Deux Maîtresse s'amusent
Récit érotique écrit par Hupotasso05 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Deux Maîtresse s'amusent
J’ai répondu à une annonce sur un journal spécialisé dans les rapports de domination féminine. Après une multitude d’échanges par sms puis par téléphone, nous avons convenu d’un rendez-vous dans un bar hier puis chez elle ce matin.
Madame me fait entrer chez elle et commence à reprendre ce dont nous avions parlé ces derniers temps. A savoir ce que j’aimais, ce que je n’aimais pas et les points pour lesquels je n’avais pas d’avis. Ensuite elle me donne un mot de sécurité qui est « Hupatasso ».
- C’est bien, me dit-elle. Mets-toi nu.
Elle m’a attaché les mains dans le dos. Elle s’est positionnée à l’arrière de son bar qui est dans un coin de la pièce. Elle m’a tendu un plug de taille conséquente.
- Tu vas t’asseoir sur ce plug entre mes jambes puis tu me lèches devant et derrière.
Dans ce but, elle lève sa robe longue et ample qui lui descendait aux chevilles pour que je m’installe à l’aplomb de son entrejambes.
- Applique-toi surtout et ne fait pas de bruit. Je vais recevoir ma meilleure amie pour boire un thé, je veux qu’elle ne sache rien pour lui faire la surprise. Si je te tape sur la tête, tu te positionne à mon sexe pour boire ma pisse.
Il est vraiment gros ce plug et, bien que j’ai l’habitude de me rentrer dans le fondement des objets divers, je peine à le rentrer mais surtout à m’asseoir dessus. Une fois fait, je la lèche avec beaucoup d’application. Je sens le plaisir monter en elle car elle mouille énormément et son anus est bien dilaté. Après un moment, la sonnette de la porte se fait entendre.
- Entre ma chérie, je prépare le thé.
J’entends des talons entrer dans la pièce puis :
- Bonjour, Karine. J’ai plein de choses à te raconter.
Je viens de comprendre sue Madame se prénomme Karine.
- Attends et assied-toi sur la chaise haute Céline, nous allons rester au bar si tu veux bien.
- Pas de problème. Ecoute tu sais Catherine de mon club de sport qui est complétement coincée ?
- Oui et alors ?
- Et bien … elle ne l’est plus. S’amuse-t-elle à l’informer.
- Non, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
- Depuis le temps que j’essaye de faire amie-amie avec elle pour la mettre dans mon lit.
- Oui, c’est vrai que c’est un beau brin de fille surtout avec ses leggings qui ne laissent pas de place pour l’imagination.
- J’ai monté un plan pour la faire venir sur des motifs mensongers. Elle est venue manger samedi soir chez moi et après un repas au champagne, elle n’était plus elle-même.
- Tu l’as enivrée ?
A ce moment, je sens la main de Madame me tapoter sur la tête. Je me positionne sur son sexe la bouche ouverte et rapidement elle m’envoie son champagne de sa production. Je m’empresse de tout boire et reprend ma tâche de léchage. Je suis excité par ce que j’entends et ce n’est pas un calvaire malgré la chaleur sous sa robe.
- Juste un peu, après l’avoir cajolée dans la salle à manger, je l’ai emmené dans ma chambre où je l’ai embrassée, puis déshabillée. Son string était trempé et sentait bon sa mouille. J’ai sucé ses seins et je peux te dire que ses tétons étaient tendus comme des bites. Je les ai sucés puis mordillés, et elle ne disait pas non. Son sexe bavait comme a une chienne en chaleur. Je me suis empressée de la boire cette salope en lui glissant un doigt dans son cul. Quand je me suis assise sur sa bouche, elle m’a léchée le sexe mais aussi l’anus. J’ai attrapé un gode dans ma table de chevet pour le lui mettre dans l’anus qui n’était pas vierge du tout.
- C’est fou çà, je ne l’aurais jamais cru.
- Attends, elle est vraiment une grosse salope car je lui ai envoyé quelques gouttes de pipi qu’elle s’est empressé de boire. Du coup, j’ai pissé allégrement et elle ne s’est pas fait prier pour me boire.
- Qu’elle salope…
Je sens que Madame est excitée car elle mouille vraiment beaucoup. Pour mon plus grand bonheur je lui bois toute sa liqueur.
- Nous avons baisé toute la nuit et je l’ai soumise comme une chienne qu’elle est. Le lendemain ne travaillant pas, je l’ai gardé chez moi pour subir tout ce que je voulais. Elle a gardé un plug et un gode en elle avec son string pour garder bien en place ses jouets toute la matinée toute nue avec des pinces aux seins. J’ai pris mon petit déjeuner avec elle sous la table pour me lécher. Je peux te dire que c’est très agréable de manger en se faisant lécher. Un vrai plaisir car elle devait avoir des odeurs fortes après la nuit que nous avons passé en plus elle était mes toilettes personnelles et m’a lavée sous la douche puis m’a habillée.
- Elle est lesbienne et soumise ?
- Non pas du tout, elle n’avait jamais fait çà mais le champagne et un petit pétard lui ont fait péter un plomb.
- C’est fou comme histoire.
- Mais dis-moi depuis une heure tu ne sembles pas comme d’habitude. Il y a un problème ?
- Non, non, tout va bien même très bien. Ton histoire m’excite beaucoup et j’ai un esclave sous ma robe qui me lèche depuis tout à l’heure.
- Quoi ? un mec te lèche depuis une heure ?
- Oui et j’ai envie de jouir comme une folle.
- Ne te gêne pas. Jouit ma chérie.
Je sens Madame qui mouille de plus en plus. Elle se dandine, me tient la tête sur son sexe. Tout à coup, elle hurle de jouissance. Elle m’envoie un flot de mouille que j’avale de suite avec plaisir.
Madame me fait entrer chez elle et commence à reprendre ce dont nous avions parlé ces derniers temps. A savoir ce que j’aimais, ce que je n’aimais pas et les points pour lesquels je n’avais pas d’avis. Ensuite elle me donne un mot de sécurité qui est « Hupatasso ».
- C’est bien, me dit-elle. Mets-toi nu.
Elle m’a attaché les mains dans le dos. Elle s’est positionnée à l’arrière de son bar qui est dans un coin de la pièce. Elle m’a tendu un plug de taille conséquente.
- Tu vas t’asseoir sur ce plug entre mes jambes puis tu me lèches devant et derrière.
Dans ce but, elle lève sa robe longue et ample qui lui descendait aux chevilles pour que je m’installe à l’aplomb de son entrejambes.
- Applique-toi surtout et ne fait pas de bruit. Je vais recevoir ma meilleure amie pour boire un thé, je veux qu’elle ne sache rien pour lui faire la surprise. Si je te tape sur la tête, tu te positionne à mon sexe pour boire ma pisse.
Il est vraiment gros ce plug et, bien que j’ai l’habitude de me rentrer dans le fondement des objets divers, je peine à le rentrer mais surtout à m’asseoir dessus. Une fois fait, je la lèche avec beaucoup d’application. Je sens le plaisir monter en elle car elle mouille énormément et son anus est bien dilaté. Après un moment, la sonnette de la porte se fait entendre.
- Entre ma chérie, je prépare le thé.
J’entends des talons entrer dans la pièce puis :
- Bonjour, Karine. J’ai plein de choses à te raconter.
Je viens de comprendre sue Madame se prénomme Karine.
- Attends et assied-toi sur la chaise haute Céline, nous allons rester au bar si tu veux bien.
- Pas de problème. Ecoute tu sais Catherine de mon club de sport qui est complétement coincée ?
- Oui et alors ?
- Et bien … elle ne l’est plus. S’amuse-t-elle à l’informer.
- Non, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
- Depuis le temps que j’essaye de faire amie-amie avec elle pour la mettre dans mon lit.
- Oui, c’est vrai que c’est un beau brin de fille surtout avec ses leggings qui ne laissent pas de place pour l’imagination.
- J’ai monté un plan pour la faire venir sur des motifs mensongers. Elle est venue manger samedi soir chez moi et après un repas au champagne, elle n’était plus elle-même.
- Tu l’as enivrée ?
A ce moment, je sens la main de Madame me tapoter sur la tête. Je me positionne sur son sexe la bouche ouverte et rapidement elle m’envoie son champagne de sa production. Je m’empresse de tout boire et reprend ma tâche de léchage. Je suis excité par ce que j’entends et ce n’est pas un calvaire malgré la chaleur sous sa robe.
- Juste un peu, après l’avoir cajolée dans la salle à manger, je l’ai emmené dans ma chambre où je l’ai embrassée, puis déshabillée. Son string était trempé et sentait bon sa mouille. J’ai sucé ses seins et je peux te dire que ses tétons étaient tendus comme des bites. Je les ai sucés puis mordillés, et elle ne disait pas non. Son sexe bavait comme a une chienne en chaleur. Je me suis empressée de la boire cette salope en lui glissant un doigt dans son cul. Quand je me suis assise sur sa bouche, elle m’a léchée le sexe mais aussi l’anus. J’ai attrapé un gode dans ma table de chevet pour le lui mettre dans l’anus qui n’était pas vierge du tout.
- C’est fou çà, je ne l’aurais jamais cru.
- Attends, elle est vraiment une grosse salope car je lui ai envoyé quelques gouttes de pipi qu’elle s’est empressé de boire. Du coup, j’ai pissé allégrement et elle ne s’est pas fait prier pour me boire.
- Qu’elle salope…
Je sens que Madame est excitée car elle mouille vraiment beaucoup. Pour mon plus grand bonheur je lui bois toute sa liqueur.
- Nous avons baisé toute la nuit et je l’ai soumise comme une chienne qu’elle est. Le lendemain ne travaillant pas, je l’ai gardé chez moi pour subir tout ce que je voulais. Elle a gardé un plug et un gode en elle avec son string pour garder bien en place ses jouets toute la matinée toute nue avec des pinces aux seins. J’ai pris mon petit déjeuner avec elle sous la table pour me lécher. Je peux te dire que c’est très agréable de manger en se faisant lécher. Un vrai plaisir car elle devait avoir des odeurs fortes après la nuit que nous avons passé en plus elle était mes toilettes personnelles et m’a lavée sous la douche puis m’a habillée.
- Elle est lesbienne et soumise ?
- Non pas du tout, elle n’avait jamais fait çà mais le champagne et un petit pétard lui ont fait péter un plomb.
- C’est fou comme histoire.
- Mais dis-moi depuis une heure tu ne sembles pas comme d’habitude. Il y a un problème ?
- Non, non, tout va bien même très bien. Ton histoire m’excite beaucoup et j’ai un esclave sous ma robe qui me lèche depuis tout à l’heure.
- Quoi ? un mec te lèche depuis une heure ?
- Oui et j’ai envie de jouir comme une folle.
- Ne te gêne pas. Jouit ma chérie.
Je sens Madame qui mouille de plus en plus. Elle se dandine, me tient la tête sur son sexe. Tout à coup, elle hurle de jouissance. Elle m’envoie un flot de mouille que j’avale de suite avec plaisir.
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