Deux mois de vacances
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Deux mois de vacances
Ouf, c’est fait. J’ai réussi le concours de la 1° année de médecine. Je me vois en professeur dans une grande faculté. Cessons de rêver.
J’ai deux grands mois de vacances à m’amuser avant de reprendre le collier des études. Le choix du lieu se pose : ou ma tante ou ma grand-mère. Elles me proposent d’aller chez elles. Je suis comme l’âne de Buridan. Si je vais chez ma grand-mère, je serais à la plage avec une liberté maximum, (elle est très libérée). Par contre ma tante est un peu libertine. Je décide de ne pas décider. Je vais passer un mois chez l’une et un mois chez l’autre.
Ma grand-mère m’accueille à bras ouverts. Dans sa jeunesse, elle me l’a dit, elle avait pas mal de copains et copines avec lesquelles elle s’amusait. Je comprenais, sans qu’elle me le dise que les jeux étaient très « hots ».
Le soir de mon arrivée je fais un tour sur la plage, juste en bas de la villa. Pieds nus je patauge dans l’eau encore tiède. J’ai envie de prendre un bain. Aussitôt décidé aussitôt fait. Je suis nue, je me précipite dans l’eau. Sentiment de bonheur !
L’eau passe sur mes jambes, caresse légèrement l’entrejambes. La certitude de me donner facilement du plaisir fait que je ne me préoccupe pas de l’environnement. Je reste les jambes écartées, ma main sur la chatte. La masturbation, ma compagne fidèle donne ces plaisirs que j’aime. Tournée vers le large, mon corps entier réagit en ayant des frissons. Avec deux doigts seulement je caresse le petit bouton gonflé. Dans un mouvement instinctif, je tends le pubis en avant, mon autre main posée sur la hanche. J’avance doucement vers le large comme si j’allais nager ainsi. L’orgasme arrête mes mouvements. C’est trop bon, je m’assois dans l’eau, les jambes toujours dirigées vers le large. Les vaguelettes visitent le sexe. En laissant l’océan jouer ainsi j’ai encore envie.
Je me doigte sans cesse. Le sexe ouvert attend une suite. J’aimerais connaitre une queue. Hélas, en pleine nuit sur cette plage je n’ai pas cette chance.
Je vais me coucher, je me caresse un peu avant de dormir. Le lendemain je repense à la veille : je mouille.
L’après midi arrive. Sur la plage cette fois plusieurs jeunes jouent ensemble. Personne de ma connaissance. Pas grave. Un garçon de mon âge me tape dans l’œil. Peut-être que je pourrais voir de près la queue que je devine dans son slip : il bande à moitié. Je suis prête quand je sors en tenue légère. Un soit disant string devrait cacher ma féminité. Je sais que tout le monde peut voir que je suis rasée, que j’ai des fesses dodues. Un peine un timbre poste cache le haut de la fente. Si je me penche en avant n’importe qui pourrait voir l’entrée du vagin.
Il sait que je ne regarde avec gourmandise. J’observe tellement sa queue qu’elle se développe totalement : le gland en sort du haut du slip. Je le fais exprès quand en passant contre lui je prends sa pine dans la main devant les autres. Oui, je le veux, j’ai envie qu’il me la mette n’importe où.
Sa pudeur le force à tourne le dos aux autres. Il ne sait pas que se montrer aux autres quand on baise est excellent ! Je suis salope quand je l’embrasse toujours en caressant la queue. Il se laisse pousser vers la haie qui borde les villas. Ce qui me couvrait est vite poussé sur le coté. Je suis nue ou presque, je le pousse avec le ventre. Sa bite bien dure se tend vers moi. Je me lève à peine sur les pieds pour qu’il vienne dans la moule. Il glisse très facilement. Il semble savoir bien baiser quand il passe deux doigts entre les fesses. Ils descendent lentement vers le fondement. Il me branle le cul. J’ai beau ouvrir l’anus, il ne vient pas dedans. Sa langue vient dans ma bouche. Nous échangeons nos salives. Je me donne totalement : il me fait jouir comme j’aime. Mon con entoure la bite, je le sens aussi quand il me donne son jus.
L’heure tardive ne nous permet pas de continuer. Peut-être que demain…Sans doute que si une ancienne copine de vacances n’était pas venues, je serai retournée au bord de l’eau.
Je ne vais pas dire que ma grand mère en soit la cause, mais enfin pourquoi nous avoir dit d’aller dans ma chambre. C’est là que déjà depuis des années nous nous trouvons pour faire des caresses personnelles, très personnelles. J’ai appris avec elle à caresser une autre fille, la faire gémir, gémir moi même entre ses bras. Elle est très douce, agréable à caresser. Sa bouche est très habile à me donner des frissons quand elle passe entre mes jambes. Je trouve sa chatte fragile sous ma langue. Bref j’aime prendre du bon temps avec elle. Sa façon de me lécher la chatte en étant entre mes cuisses, les mains sur mon ventre fait que je sacrifie volontiers au saphisme.
J’adore quand grand-mère me demande comment les choses se sont passées, comme si elle ne savait pas que les filles comme nous s’aiment.
Je me souviens l’avoir entendu dire à jour à une amie qu’elle regrettait le temps où elle baisait avec les autres filles.
Pour ce soir nous décidons de passer prendre son copain. Elle sait qu’il a envie de se farcir deux filles. Elle est d’accord pour un trio. Il faut reconnaitre qu’elle a bon goût. C’est un malabar bien doté sans être trop gros. Chez elle c’est facile de nous amuser. Elle commence par prendre la queue, la sort du pantalon, me la montre. Il bande bien, j’ai envie qu’il me baise. C’est lui qui choisit son amie. Elle ne se couche pas, elle le fait venir contre elle, écarte les cuisses avant de se faire enfiler.
Je suis obligée de me branler en la regardant se faire mettre. Elle n’oublie pas de satisfaire le cul de son amant. Je suis encore plus excitée de voir son doigt entrer et sortir d’un cul masculin. Je me doigte longuement, puis je me masturbe derrière. Il ne jouit pas : il bande fort quand il me prend dans ses bras.
J’aime sentir sa queue bien dure sur le ventre. Cette fois il me couche. En passant mes jambes autour de lui, je m’accroche complètement. Ma copine demande que je la branle. Difficilement j'arrive à lui toucher la chatte. Je jouis un peu après elle et après lui.
Mon premier mois est vite fini. J’ai le ventre satisfait des orgasmes que j’ai eu. Et pourtant. Pourtant chez ma tante…..
Ma tante m’attend depuis le début. Elle ne vit pas seule. Son éternelle amie a décidé de venir s’installer chez elle. Bel exemple pour moi. Il m’arrivait de passer la nuit avec elle, elle me faisait l’amour merveilleusement bien. Nos langues s’entendaient bien pour les plaisirs partagés.
Je suis un peu gênée quand j’arrive. L’amie, l’amante et moi ? Mieux que ce que je craignais. Elles me partagent simplement. Je suis la victime de leurs jeux. Elles me demandent de me mettre nue sur la table. Si ma tante m’embrasse comme souvent sur la bouche, l’autre ma caresse l’abricot avec adresse. Sa main va et vient facilement. Je la laisse faire, prise par le plaisir qui arrive hélas trop vite. Elles changent quand elles se servent de deux godes. Moi, une presque pure jeune fille me faire des choses pareilles !! Je prends un plaisir presque sadique à me faire baiser et enculer. Elles me font goûter aux plaisirs de la double pénétration.
Je sais comment faire en prenant les deux godes. J’encule d’abord l’amie. Elle est sur le dos, le sexe offert. Sa cyprine coule dans les fesses, facilitant la pénétration dans le cul. Je me tourne en 69. Je voulais me faire lécher par l’amante, c’est ma tante qui passe la langue et sur la moule et sur le cul. Le bout de la langue se durcit pour faire ce que je n’attends pas. Elle me sodomise à peine.
C’est chez elle que je sais qu’elle spécialisation je vais prendre : la gynécologie !
J’ai deux grands mois de vacances à m’amuser avant de reprendre le collier des études. Le choix du lieu se pose : ou ma tante ou ma grand-mère. Elles me proposent d’aller chez elles. Je suis comme l’âne de Buridan. Si je vais chez ma grand-mère, je serais à la plage avec une liberté maximum, (elle est très libérée). Par contre ma tante est un peu libertine. Je décide de ne pas décider. Je vais passer un mois chez l’une et un mois chez l’autre.
Ma grand-mère m’accueille à bras ouverts. Dans sa jeunesse, elle me l’a dit, elle avait pas mal de copains et copines avec lesquelles elle s’amusait. Je comprenais, sans qu’elle me le dise que les jeux étaient très « hots ».
Le soir de mon arrivée je fais un tour sur la plage, juste en bas de la villa. Pieds nus je patauge dans l’eau encore tiède. J’ai envie de prendre un bain. Aussitôt décidé aussitôt fait. Je suis nue, je me précipite dans l’eau. Sentiment de bonheur !
L’eau passe sur mes jambes, caresse légèrement l’entrejambes. La certitude de me donner facilement du plaisir fait que je ne me préoccupe pas de l’environnement. Je reste les jambes écartées, ma main sur la chatte. La masturbation, ma compagne fidèle donne ces plaisirs que j’aime. Tournée vers le large, mon corps entier réagit en ayant des frissons. Avec deux doigts seulement je caresse le petit bouton gonflé. Dans un mouvement instinctif, je tends le pubis en avant, mon autre main posée sur la hanche. J’avance doucement vers le large comme si j’allais nager ainsi. L’orgasme arrête mes mouvements. C’est trop bon, je m’assois dans l’eau, les jambes toujours dirigées vers le large. Les vaguelettes visitent le sexe. En laissant l’océan jouer ainsi j’ai encore envie.
Je me doigte sans cesse. Le sexe ouvert attend une suite. J’aimerais connaitre une queue. Hélas, en pleine nuit sur cette plage je n’ai pas cette chance.
Je vais me coucher, je me caresse un peu avant de dormir. Le lendemain je repense à la veille : je mouille.
L’après midi arrive. Sur la plage cette fois plusieurs jeunes jouent ensemble. Personne de ma connaissance. Pas grave. Un garçon de mon âge me tape dans l’œil. Peut-être que je pourrais voir de près la queue que je devine dans son slip : il bande à moitié. Je suis prête quand je sors en tenue légère. Un soit disant string devrait cacher ma féminité. Je sais que tout le monde peut voir que je suis rasée, que j’ai des fesses dodues. Un peine un timbre poste cache le haut de la fente. Si je me penche en avant n’importe qui pourrait voir l’entrée du vagin.
Il sait que je ne regarde avec gourmandise. J’observe tellement sa queue qu’elle se développe totalement : le gland en sort du haut du slip. Je le fais exprès quand en passant contre lui je prends sa pine dans la main devant les autres. Oui, je le veux, j’ai envie qu’il me la mette n’importe où.
Sa pudeur le force à tourne le dos aux autres. Il ne sait pas que se montrer aux autres quand on baise est excellent ! Je suis salope quand je l’embrasse toujours en caressant la queue. Il se laisse pousser vers la haie qui borde les villas. Ce qui me couvrait est vite poussé sur le coté. Je suis nue ou presque, je le pousse avec le ventre. Sa bite bien dure se tend vers moi. Je me lève à peine sur les pieds pour qu’il vienne dans la moule. Il glisse très facilement. Il semble savoir bien baiser quand il passe deux doigts entre les fesses. Ils descendent lentement vers le fondement. Il me branle le cul. J’ai beau ouvrir l’anus, il ne vient pas dedans. Sa langue vient dans ma bouche. Nous échangeons nos salives. Je me donne totalement : il me fait jouir comme j’aime. Mon con entoure la bite, je le sens aussi quand il me donne son jus.
L’heure tardive ne nous permet pas de continuer. Peut-être que demain…Sans doute que si une ancienne copine de vacances n’était pas venues, je serai retournée au bord de l’eau.
Je ne vais pas dire que ma grand mère en soit la cause, mais enfin pourquoi nous avoir dit d’aller dans ma chambre. C’est là que déjà depuis des années nous nous trouvons pour faire des caresses personnelles, très personnelles. J’ai appris avec elle à caresser une autre fille, la faire gémir, gémir moi même entre ses bras. Elle est très douce, agréable à caresser. Sa bouche est très habile à me donner des frissons quand elle passe entre mes jambes. Je trouve sa chatte fragile sous ma langue. Bref j’aime prendre du bon temps avec elle. Sa façon de me lécher la chatte en étant entre mes cuisses, les mains sur mon ventre fait que je sacrifie volontiers au saphisme.
J’adore quand grand-mère me demande comment les choses se sont passées, comme si elle ne savait pas que les filles comme nous s’aiment.
Je me souviens l’avoir entendu dire à jour à une amie qu’elle regrettait le temps où elle baisait avec les autres filles.
Pour ce soir nous décidons de passer prendre son copain. Elle sait qu’il a envie de se farcir deux filles. Elle est d’accord pour un trio. Il faut reconnaitre qu’elle a bon goût. C’est un malabar bien doté sans être trop gros. Chez elle c’est facile de nous amuser. Elle commence par prendre la queue, la sort du pantalon, me la montre. Il bande bien, j’ai envie qu’il me baise. C’est lui qui choisit son amie. Elle ne se couche pas, elle le fait venir contre elle, écarte les cuisses avant de se faire enfiler.
Je suis obligée de me branler en la regardant se faire mettre. Elle n’oublie pas de satisfaire le cul de son amant. Je suis encore plus excitée de voir son doigt entrer et sortir d’un cul masculin. Je me doigte longuement, puis je me masturbe derrière. Il ne jouit pas : il bande fort quand il me prend dans ses bras.
J’aime sentir sa queue bien dure sur le ventre. Cette fois il me couche. En passant mes jambes autour de lui, je m’accroche complètement. Ma copine demande que je la branle. Difficilement j'arrive à lui toucher la chatte. Je jouis un peu après elle et après lui.
Mon premier mois est vite fini. J’ai le ventre satisfait des orgasmes que j’ai eu. Et pourtant. Pourtant chez ma tante…..
Ma tante m’attend depuis le début. Elle ne vit pas seule. Son éternelle amie a décidé de venir s’installer chez elle. Bel exemple pour moi. Il m’arrivait de passer la nuit avec elle, elle me faisait l’amour merveilleusement bien. Nos langues s’entendaient bien pour les plaisirs partagés.
Je suis un peu gênée quand j’arrive. L’amie, l’amante et moi ? Mieux que ce que je craignais. Elles me partagent simplement. Je suis la victime de leurs jeux. Elles me demandent de me mettre nue sur la table. Si ma tante m’embrasse comme souvent sur la bouche, l’autre ma caresse l’abricot avec adresse. Sa main va et vient facilement. Je la laisse faire, prise par le plaisir qui arrive hélas trop vite. Elles changent quand elles se servent de deux godes. Moi, une presque pure jeune fille me faire des choses pareilles !! Je prends un plaisir presque sadique à me faire baiser et enculer. Elles me font goûter aux plaisirs de la double pénétration.
Je sais comment faire en prenant les deux godes. J’encule d’abord l’amie. Elle est sur le dos, le sexe offert. Sa cyprine coule dans les fesses, facilitant la pénétration dans le cul. Je me tourne en 69. Je voulais me faire lécher par l’amante, c’est ma tante qui passe la langue et sur la moule et sur le cul. Le bout de la langue se durcit pour faire ce que je n’attends pas. Elle me sodomise à peine.
C’est chez elle que je sais qu’elle spécialisation je vais prendre : la gynécologie !
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