Deux soeurs attachantes 2

- Par l'auteur HDS Lelapinlecheur -
Auteur homme.
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Récit libertin : Deux soeurs attachantes 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Deux soeurs attachantes 2
Deux sœurs (2)


3° jour


Au matin, je sens un bout de tissu qui me caresse le visage alors que la lumière du jour m'éblouit à travers ce volet roulant qui se relève doucement. Et avant que mes yeux aient pu s'habituer à la lumière, une chatte humide vient demander des caresses que je m’empresse de lui donner. Me sentant un peu inquiet concernant l'heure, ne voulant pas me faire attendre, la voix de Patricia me rassure en m'annonçant l'heure. Cette femme avide de plaisir a pris soin d'anticiper mon réveil pour avoir le temps de prendre son pied. Je me concentre donc sur son clitoris et, une fois mes mains libérées, j'en profite pour venir lui caresser seins et fesses. Ses tétons pointus me rendent dingues et ce n'est que parce que mes pieds restent attachés que je n'arrive la renverser et les lui bécoter. Finalement, elle jouit, m'innondant la bouche de son sirop.
Repue, elle se relève, fini de me détacher et me conduit à la douche, me tirant par mon sexe en érection. Elle me me rattache alors les poignets en haut de la douche, à un piton que je n'avais pas remarqué. Ensuite, nue,elle me rejoint sous le jet pour se et me laver, collant ses seins à mon torse, glissant mon sexe entre ses fesses. A chaque fois que je tente de glisser mon sexe plus en avant, elle se décolle avant de revenir au contact. Après s'être savonnée, elle fait de même avec moi, insisrtant légèrement sur mon sexe qui bondit. Cependant, ses caresses ne dure que le temps nécessaire à me tendre encore plus. C'est finalement avec un jet d'eau froide sur qu'elle conclu ce moment si sensuel et, me libérant, m'invite à aller m'habiller et à me hâter afin de ne pas être en retard au départ du bateau.
Après un petit déjeuner soft avec mes deux charmantes hôtesses toujours habillées de manière très sexy et légère, me voilà donc contraint de les abandonner. M'embrassant en même temps sur le coin des lèvres au moment où je m'apprête à franchir la porte, leurs mains me caressant sexe et fesses à travers le short, elles m'annoncent une soirée de plaisir. Autant dire que je pars avec le barreau et qu'il eut été bien difficile de se concentrer sur les exercices techniques si la température de l'eau aurait été bien plus clémente.

Dès la plongée de l'après-midi terminée, me voilà bien impatient de retrouver mes charmantes amies. Et mon sexe se tend à la seule idée de les retrouver. En arrivant à la villa, je suis aussitôt appelé pour rejoindre ces dames qui prennent le soleil en terrasse, chacune dans un slip de bain qui me donne une fois de plus le loisir le loisir de détailler leurs formes pleines et alléchantes et chaussées de . Aussitôt, Patricia m'intime l'ordre de me mettre nu. C'est ainsi que qu'elles découvrent mon érection qui se renforce. Il faut rappeler que de mettre nu en extérieur a toujours décuplé mon érection.

Après quelques commentaires sur ma virilité, Isabelle m'invite à aller prendre une douche afin de me dé-saler suite à mes plongées. Alors que je me dirige vers la salle de bain, elle m'emboîte le pas, ponctuant le parcours de commentaires sur mon « petit cul musclé ». bien que ce ne soit pas la première qui me fasse se compliment, cela me flatte toujours, surtout venant de cette beauté mature. Alors que je rentre dans la douche, Isabelle s'assoit sur un siège face à cette dernière et me regarde me laver, guidant mes gestes par ses paroles, m'invitant à pincer mes tétons, branler ma queue toujors aussi dressé ou à doigter mon anus. Autant dire que mon excitation dépasse les sommets du matin, d'autant que la belle à écarté l'entrejambe de son maillot et caresse sa chatte à la toison peu fournie. Que j'aimerais y remettre la langue comme hier !

Lorsqu'elle me sent près à juter, elle me demande de cesser et de venir lui prodiguer cette caresse que j'apprécie. Elle en profite alors pour me caresser sexe et fesses avec ses pieds jusqu'au moment où elle jouit, plaquant ma tête sur sa chatte. Une fois notre souffle repris, elle m'indique alors du me mettre à 4 pattes sur l'épais tapis devant la baignoire. Me bandant les yeux, je l'entend qui prépare des choses dans mon dos. Si mon imagination galope, je suis quand même surpris par le froid du lubrifiant qu'elle applique sur mon petit trou avant d'un plonger ce que je pense être un gode fin. Me maintenant alors par le sexe, elle ouvre le mitigeur de la baignoire et je sens de l'eau m'envahir les intestins.

Se penchant à mon oreille, elle me sussure des paroles qui me rassure et m'aide à accepter ce premier lavement que je reçois. Alors que je sens mon ventre qui se gonfle progressivement, elle m'aide à accueillir un maximum d'eau en moi en le massant. Lorsqu'elle juge que je suis assez distendu, elle coupe l'arrivée de l'eau, retire le tuyau en me laissant la canule qui fait office de bouchon. Alors que je pense pouvoir aller me vider aux toilettes, Patricia nous rejoint à la salle de bains, soi-disant inquiète de notre temps d'absence. Elle a tôt fait de me demander de me coucher sur le dos et viens me plaquer sa chatte sur la bouche, ondulant du bassin pour que je puisse lui donner du plaisir par ses deux trous. Alors qu'elle se relève légèrement pour me laisser respirer, je lui demande à aller aux WC. Elle me répond « quand j'aurais joui, alors à toi de t'appliquer! ».

je m'active alors le plus possible. Au bout de quelques minutes qui me paraissent une éternité, je la sens qui se crispe et jouit alors qu'elle m’inonde de son jus. Après avoir repris ses esprits, elle se lève enfin et sa sœur me conduit alors au siège où elle me dégage la canule. Ayant retenu mes intestins jusqu'au moment où elle m'autorise un peu d’intimité, je me libère. Cependant, soucieuse de ma propreté intérieure, elle m'administre encore deux autres lavements avant de me ramener avec elle sur la terrasse, d'une poigne ferme sur mes testicules.

Arrivé dehors, je découvre alors une desserte dont le contenu est caché sous une serviette, seul un masque pour les yeux est posé de manière visible. Sexe toujours tendu, je dois tout d'abord me mettre à genoux entre les transats de mes maîtresses. Isabelle attrape alors le loup qui est sur le chariot et me prive de la vue, me rendant plus réceptifs sur mes autres sens. Je sens alors des mains qui me caressent le torse, jouant avec mes poils avant de s'attarder sur mes tétons afin de les faire pointer, alternant douces caresses et pincements plus ou moins prononcés. Les doigts laissent soudain place à deux bouches avides aux langues agiles, aux dents qui me font tressauter. Cependant, cette chaleur est vite remplacé par le froid des glaçons qui rendent mes tétons de plus en plus arrogants. Et finalement, deux pinces viennent les saisir, me provoquant une douleur toujours excitante. D'autant que je me sens soudain guidé par ces pinces qui doivent être reliées entre elles par une chaînette, si j'en crois le petit cliquetis que j'entends. J'en la rapide confirmation lorsque, à la suite d'une sensuelle caresse de doigt sur les lèvres et alors que j'ouvre ces dernières pour lécher ces derniers, je me retrouve avec la chaîne entre les dents, avec la demande express de ne pas la lâcher.

Mon sexe est alors saisi et sa base se trouve attachée serrée avant que mes couilles ne subissent le même sort, le lien se tendant de plus en plus. Mon sexe ainsi serré se dresse encore un peu plus alors que mes couilles s'alourdissent et deviennent plus sensibles aux caresses qu'elles reçoivent. Après quelques minutes de ce traitement, il m'est demandé de me retourner et de me mettre à 4 pattes. Je sens alors des pieds qui viennent me caresser les bourses, le sexe et la fente, tantôt de manière très légère, tantôt de manière plus appuyée. Je suis appelé à me retourner et un escarpin vient chercher mes lèvres. Sans qu'il soit besoin de ma dire quelque chose, ma langue s'active, se glissant également sur les bouts de pieds que j'honore. Cependant, de manière assez rapide, le talon aiguille de ces chaussures vient fouiller ma bouche.

J’entends alors Isabelle réclamer mes lèvres et, saisissant la chaîne, m'attire vers elle. Elle guide alors ma bouche vers ses seins que j'aspire goulûment, me délectant de ses pointes qui m'ont toujours parues énormes. Pendant ce temps, elle reprend les caresses de mon sexe avec ses chaussures. Patricia reprend alors son jeu de pied dans le bas de mon dos. Tendu comme rarement, mon gland perle et mon bassin ondule au gré des caresses alors que je tente malgré tout d'apporter le plus grand soin aux caresses buccales que je fais à ma complice. Me prenant le menton entre ses doigts, elle me relève la tête et alors qu'elle me complimente sur mon comportement de plus en plus salope, je sens le talon de Patricia qui me pénètre l'anus et se met aussitôt en mouvement. Excité, alors que je commence à haleter, Isabelle me guide vers sa chatte que je découvre dégoulinante de jus. C'est avec un immense plaisir que je répond à sa demande de se faire lécher. M'appliquant, je la conduit au plaisir, qu'elle prend en me pressant la tête sur sa chatte qui déborde de jus avec des cris de jouissance.

Patricia requiert alors mon attention et, alors que j'approche ma bouche pour lui faire un cunnilingus, je rencontre une tige en plastique qui recouvre son pubis. Me tenant par la tête, elle m'invite à lui tailler une pipe, m'annonçant que mon ardeur et ma salive seront les garants d'une sodomisation douce. Ne voulant prendre aucun risque, je m'applique, essayant de mettre en pratique les caresses buccales que j'apprécie. Patricia y va alors de ses commentaires, soulignant mon ardeur sur ce gode et y demandant à Isabelle si elle pensait que je serais aussi agile sur une véritable bite. L'une comme l'autre, après quelques échanges auxquels je ne peux prendre part, finissent par éluder la question en trouvant le trio actuel fort délicieux avec ma soumission à leur désir, et mon sexe qui reste gonflé à éclater.

Et alors que je ne m'y attend pas, le gode toujours en bouche, je sens une pointe froide et visqueuse sur mon anus qui s'enfonce de manière quasi immédiate alors qu'Isabelle me saisit les hanches. Lorsqu'elle estime que je doit être assez assouplit, elle commence d'amples et lents va et vient. De son côté, Patricia guide ma tête, libérant ma bouche de l'intrus. Me rendant la vue, je m'aperçois finalement que ce que j'avais imaginé être un gode ceinture autour de sa taille n'est qu'un double gode dont une extrémité baigne toujours dans sa chatte inondée.

Excitée, elle me demande de l'enculer avec le bout lubrifié avec son jus pendant que je lui taille minette. Alors que son plaisir monte, elle me force en tirant sur mes tétons, à la pénétrer. Le rythme toujours donné par Isabelle qui me sodomise, je m'efforce d'apporter le maximum de plaisir à Patricia avec ma bite qui frotte le gode qui la pénètre par derrière. Après plusieurs minutes de ce rythme, elle demande à changer de position. Ce faisant, les deux sœurs me font assoir sur le gode de Patricia qui me remplit d'autant plus profondément que la belle vient elle-même s'enculer sur ma bite. Isabelle, après avoir enlevé le préservatif qui recouvrait son gode, la prend par la chatte. Supportant l'ensemble de poids, la bite serrée par le contact du gode vaginal, je ne tarde pas à éjaculer en poussant de longs cris de plaisir. Cependant, je garderais encore ma vigueur plusieurs minutes où mon sexe douloureux sera mis à contribution pour amener Patricia à une jouissance bruyante.

Se dégageant après récupérer, elle me tend alors son anus pour que je lui nettoie toute trace de sperme. Finalement, Isabelle annonce le moment du repas où elle me conduit par la chaîne alors que Patricia ralentit le déplacement par les liens de mon sexe. Alors que le sexe disparaît de notre conversation, seules nos tenues absentes et les tensions régulières sur mes liens rappellent la fin d'après-midi qui vient de s'écouler. La table débarrassée, nous passons rapidement à la salle de bain et allons nous coucher. Pour la première fois je suis invité à venir partager le grand lit de ses dames, mais pour éviter que mes mains ne se baladent la nuit, elles se retrouvent à nouveau menottées à la tête de lit. Seulement mes différentes entraves me sont ôtées, m'arrachant des gémissements vites étouffés par des seins bien intentionnés. Se glissant alors chacune d'un côté, plusieurs minutes de caresses viennent précéder un sommeil de plomb.

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Texte coquin : Deux soeurs attachantes 2
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