Deuxième soirée avec Stef Partie 3 - histoire érotique

Johan était collé au flanc de Stef et ils se murmuraient des choses que je n'arrivais pas à saisir ou auxquelles je ne faisais simplement pas attention tellement mon esprit était concentré sur la grosse queue rigide que j'avais entre les mains Après un petit moment, Johan s'est dégagé en souriant en marquant un instant d'hésitation pour se placer debout face à Stef et ôter son pantalon. Il se tenait à quelques centimètres de moi, seule la jambe de Stef nous séparait, et je regardais le spectacle en branlant Stef plus lentement. Après avoir ôté son pantalon, il a remonté le tissu et l'élastique de son caleçon pour former une sorte de string et mettre en évidence ses fesses rondes et galbées. À le voir d'aussi près, je devais accorder à Stef son bon goût. Johan avait un cul de prof d'aérobic qui rendrait jalouse la plupart des filles, avec des fesses rebondies et la peau douce. Il a légèrement écarté les jambes et a commencé à se peloter les fesses lentement en les faisant rebondir de temps en temps. Je sentais la tension augmenter dans la queue de Stef. Alors que je m'apprêtais à lécher son gland, Stef s'est adressé à moi pour me dire "Fais voir le tien...". Sans hésiter, j'ai lâché son sexe qui est retombé lourdement sur son ventre pour me relever en lui tournant le dos et imiter Johan en remontant les bords de mon caleçon pour en faire un string. Stef s'est redressé et a guidé Johan pour qu'il vienne se placer entre ses jambes à côté de moi, fesse contre fesse. Par-dessus mon épaule, je lui ai demandé en souriant "Tu aimes la vue?". Sans répondre à ma question, il a soufflé "Vous avez vraiment deux superbes culs de femmes.." avant de nous peloter délicatement. Mon regard a croisé celui de Johan qui regardait également par dessus son épaule et nous nous sommes adressé un petit sourire complice. On était cuisse contre cuisse à se faire reluquer et masser le cul, et on aimait ça. Stef serrait nos fesses, il les faisait remuer et il y déposait parfois un baiser pendant qu'on l'épiait par-dessus nos épaules. Il s'est finalement relevé pour se tenir debout entre nous, on s'est retournés vers lui et il nous a serrés contre lui, une main sur chaque paire de fesses.

La présence de sa queue dressée entre nous ne passait pas inaperçue et j'ai laissé ma main glisser vers elle pour la caresser lentement avant que la main de Johan la rejoigne. Nous faisions courir nos mains sur son gros sexe pour en apprécier toute la taille en allant de temps en temps presser ses couilles bien fermes. Le regard fixé sur nos mains qui caressaient son sexe, il a soufflé en souriant : "Vous avez vraiment l'air d'aimer ça...", on a ponctué son commentaire de nos rires sans lâcher prise. J'ai senti sa main glisser entre mes fesses et j'ai lâché sa bite pour ôter mon caleçon en le jetant négligemment d'un coup de pied avant de revenir rapidement au côté de Stef qui a aussitôt repris le massage de mon fessier tout en titillant mon anus avec son majeur. Johan a regardé ma queue dressée qui venait d'être exposée à nos regards en affichant un petit sourire. J'ai supposé qu'il s'amusait du contraste de taille entre nos bites. J'ai saisi ma queue pour la frotter contre le gourdin de Stef, comme par révérence. Stef m'a regardé jouer un moment avant de s'adresser à Johan pour lui murmurer "fais voir la tienne...". Johan a rougi et a hésité une seconde avant de lâcher les grosses bourses qu'il malaxait avec amour pour ôter son caleçon en nous tournant le dos. La main de Stef est allée peloter les fesses nues dès que le caleçon est arrivé aux chevilles de Johan.

Lorsqu'il est revenu se coller à Stef, il rougissait toujours mais il bandait et il n'a pas hésité à remettre la main sur la longue queue qui se dressait fièrement entre nos petites bites. La différence de taille nous imposait le choix du mâle alpha. Nous avions sous les yeux le spectacle de nos trois pénis en érection, le mien, d'environ 16 centimètres, assez fin, celui de Stef qui mesurait près de 24 cm (on l'a mesurera plus tard), bien plus épaisse que la mienne et parcourue d'une grosse veine aboutissant sur un beau gland rond et puissant, et la petite bite de Johan qui devait faire moins de 13 cm en pleine érection. Le spectacle a eu visiblement pour effet d'exciter Stef qui a encore rapproché le corps de Johan vers lui pour que leurs sexes se touchent. Il en a profité pour lui demander sur le ton de l'humour "ça fait quel effet d'avoir une petite bite?". Johan a souri en répondant : "ça donne envie de sucer les grosses bites comme la tienne".

C'est moi qui avait le sexe de Stef en main et j'en ai profité pour tapoter la petite bite de Johan avec le gros membre lourd. Johan a baissé les yeux pour admirer le spectacle en ajustant sa position afin de mieux apprécier le poids du gros pénis et j'ai continué à mater sa petite bite pendant une ou deux minutes en tapotant parfois sur son petit gland. Il avait l'air d'aimer ça car il ne détournait pas le regard et son sexe restait dressé dans une belle érection. Il a finalement relevé les yeux vers Stef avec un regard mêlant soumission et désir, Stef s'est approché de son visage et Johan a accueilli sa bouche en lui offrant sa langue. J'ai observé le spectacle un instant et tandis que leurs langues dansaient, j'ai senti la main de Johan rejoindre la mienne sur la queue de Stef que j'ai lâchée pour m'installer à genoux devant lui et commencer à le sucer. Johan a glissé la main sous les bourses de Stef au moment où j'accueillais son gros gland dans la chaleur de ma bouche. Nous sommes restés quelques instants dans cette position... je suçais la queue de Stef avec gourmandise sans utiliser les mains, que je gardais gentiment posées sur mes cuisses. Johan continuait d'offrir ses lèvres à Stef, sa main droite s'agrippait docilement à son épaule tandis que sa main gauche massait les bourses que j'avais sous les yeux. Il les pressait parfois avec trop d'énergie et faisait dévier la queue de Stef en l'expulsant hors de ma bouche. J'en profitais alors pour reposer ma mâchoire une seconde avant de la reprendre goulûment sur ma langue.

Tout en suçant le gland de Stef, j'ai utilisé mon index pour faire remuer la petite bite de Johan qui restait dressée sur le côté. Johan m'a adressé un petit regard complice avant de confier à Stef qu'il avait envie de le sucer. Stef a répondu en souriant qu'il y avait de la place pour deux. Une seconde après, Johan m'avait rejoint et Stef avait rectifié sa position pour que sa grosse bite brillante soit dressée entre Johan et moi. Je l'ai aussitôt saisie pour la guider vers ma bouche. Johan en a profité pour se placer sur le côté et lécher les grosses couilles de Stef. Il lui a fallu deux ou trois minutes avant de se décider à en gober une. Lorsqu'il l'a relâchée, il ne l'a pas quittée des yeux et l'a regardée rebondir avant de la reprendre en bouche. C'était étrange de voir son visage innocent d'aussi près lécher ces grosses couilles avec autant de gourmandise. Au début, l'idée de partager Stef me déplaisait et suscitait en moi une certaine jalousie, mais je me rendais compte petit à petit que la situation en était d'autant plus érotique et cette fois, j'étais non seulement impatient de voir Stef éjaculer et m'enculer jusqu'à l'orgasme, mais j'étais également curieux de voir Johan se faire enculer et observer ses réactions pendant l'acte. Après quelques instants, Johan a arrêté de jouer avec les bourses de Stef pour poser la joue contre le haut de sa cuisse et observer en très gros plan les mouvements de ma bouche sur sa grosse bite. Ses yeux parcouraient son membre et croisaient mon regard de temps en temps, il affichait alors un petit sourire en coin et entrouvrait légèrement la bouche dans un réflexe d'envie lorsque son regard se posait sur ma bouche occupée à lécher goulûment le gros gland de Stef. La complicité avait été automatique entre nous, on n'avait plus rien à cacher et on pouvait librement exprimer notre désir de satisfaire ce dieu du sexe. On était tous les deux à genoux, assis sur nos talons, en train de bander dur face à cette bite magnifique. Je n'avais pas honte de ma soumission, car lui aussi la partageait.