Devant la valise ouverte
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Devant la valise ouverte
Elle s’était accroupi les jambes largement écartées devant sa valise cherchant je ne sais quelle pièce de vêtement.
J’étais debout derrière elle, attendant qu’elle se relève pour la prendre dans mes bras.
Je ne pouvais m’empêcher de la déshabiller du regard, imaginant ses formes, la texture de sa peau, la douceur de ses seins, ses tétons si sensibles à mes caresses.
Je les adore, ils m’excitent lorsqu’ils se transforment en 2 petites framboises sous ma langue. J’aime les suçoter, les sentir si vivants, frémissants, imaginer le plaisir que je lui procure, la sentir s’abandonner, entendre son souffle s’accélérer, s’impatienter dans l’attente de caresses plus précises.
J’aime lorsque elle pousse alors ma tête vers son ventre, la fourche de ses cuisses, vers son petit minou, si avide de mes baisés. J’aime son odeur, l’entendre gémir lorsque ma langue commence à explorer sa chatte.
Doucement d’abord, descendre jusqu’à la base puis en remontant, la langue se fait insistante pour goûter sa mouille, indiscrète la pénètre, la sent enfler. Son bassin ondule alors, impatient, impudique, réclamant son comptant de léchouilles.
Tandis que ma langue remonte vers son bouton d’amour, mes doigts viennent explorer son intimité, la détaille, se font indiscrets.
Elle va ouvrir plus grand les cuisses, impudique pour me permettre en toute liberté de la regarder, de la caresser et de la pénétrer partout. Elle va se laisser aller à sa vraie nature de grande gourmande, se libérer de ses tabous.
Je titille doucement ce bouton gonflé de désir, l’aspire, le branle du bout de la langue.
Je la sens vibrer, ses yeux se révulsent, plus rien n’existe que cette chaleur qui irradie ses reins pour se concentrer dans son bas ventre.
Doucement, du bout d’un doigt je caresse sa rondelle, la lubrifie. Après un petit mouvement de recul, elle revient pour s’empaler doucement, profondément sur mon doigt et jouir sans retenue de cette caresse intime. Un vrai cadeau.
Je la veux toute, je veux qu’elle jouisse, j’aime la voir, sentir ses spasmes, la tête relevée, une expression presque douloureuse dans cet éclair qui la traverse, oubliant toute retenue, s’offrant à moi dans ce qu’elle a de plus intime.
Inconsciente de mon excitation à ces souvenirs, elle continuait de farfouiller dans sa valise.
N’y tenant plus, je me caressais la queue au travers de mon pantalon et me baissais pour peloter ses fesses offertes. Elle fit comme si de rien n’était lorsque ma main, indiscrète s’immisça entre elles pour remonter vers sa chatte.
Je la trouvais gonflée, les lèvres pleines, déjà mouillée au travers de son string que j’écartais pour la pénétrer de mon doigt. Je le portais à ma bouche pour le sucer, il était trempé de sa cyprine. J’en appréciais le goût ce qui eu pour effet d’augmenter ma bandaison autant c’était possible.
La salope mouillait comme une fontaine. Voulant continuer à la branler, je rencontrais sa main. Ses doigts avaient pris ma place et elle s’astiquait le bouton avec gourmandise.
La fouillant d’une main, je sortais ma bite de l’autre et à mon tour, bandant comme un âne, je me branlais frénétiquement.
Je sentais les spasmes de son con qui annonçaient sa jouissance et ne faisaient qu’augmenter mon excitation.
Elle partit d’un long râle alors que je ressentais les convulsions de sa chatte sur mes doigts.
Elle se releva, je la pris dans mes bras, la serrant très fort puis, la pénétrais, debout, jambes écartées pour libérer à mon tour ce très plein d’excitation.
Depuis, il m’arrive, seul dans mon lit de repenser à ce moment d’abandon en me caressant doucement.
J’étais debout derrière elle, attendant qu’elle se relève pour la prendre dans mes bras.
Je ne pouvais m’empêcher de la déshabiller du regard, imaginant ses formes, la texture de sa peau, la douceur de ses seins, ses tétons si sensibles à mes caresses.
Je les adore, ils m’excitent lorsqu’ils se transforment en 2 petites framboises sous ma langue. J’aime les suçoter, les sentir si vivants, frémissants, imaginer le plaisir que je lui procure, la sentir s’abandonner, entendre son souffle s’accélérer, s’impatienter dans l’attente de caresses plus précises.
J’aime lorsque elle pousse alors ma tête vers son ventre, la fourche de ses cuisses, vers son petit minou, si avide de mes baisés. J’aime son odeur, l’entendre gémir lorsque ma langue commence à explorer sa chatte.
Doucement d’abord, descendre jusqu’à la base puis en remontant, la langue se fait insistante pour goûter sa mouille, indiscrète la pénètre, la sent enfler. Son bassin ondule alors, impatient, impudique, réclamant son comptant de léchouilles.
Tandis que ma langue remonte vers son bouton d’amour, mes doigts viennent explorer son intimité, la détaille, se font indiscrets.
Elle va ouvrir plus grand les cuisses, impudique pour me permettre en toute liberté de la regarder, de la caresser et de la pénétrer partout. Elle va se laisser aller à sa vraie nature de grande gourmande, se libérer de ses tabous.
Je titille doucement ce bouton gonflé de désir, l’aspire, le branle du bout de la langue.
Je la sens vibrer, ses yeux se révulsent, plus rien n’existe que cette chaleur qui irradie ses reins pour se concentrer dans son bas ventre.
Doucement, du bout d’un doigt je caresse sa rondelle, la lubrifie. Après un petit mouvement de recul, elle revient pour s’empaler doucement, profondément sur mon doigt et jouir sans retenue de cette caresse intime. Un vrai cadeau.
Je la veux toute, je veux qu’elle jouisse, j’aime la voir, sentir ses spasmes, la tête relevée, une expression presque douloureuse dans cet éclair qui la traverse, oubliant toute retenue, s’offrant à moi dans ce qu’elle a de plus intime.
Inconsciente de mon excitation à ces souvenirs, elle continuait de farfouiller dans sa valise.
N’y tenant plus, je me caressais la queue au travers de mon pantalon et me baissais pour peloter ses fesses offertes. Elle fit comme si de rien n’était lorsque ma main, indiscrète s’immisça entre elles pour remonter vers sa chatte.
Je la trouvais gonflée, les lèvres pleines, déjà mouillée au travers de son string que j’écartais pour la pénétrer de mon doigt. Je le portais à ma bouche pour le sucer, il était trempé de sa cyprine. J’en appréciais le goût ce qui eu pour effet d’augmenter ma bandaison autant c’était possible.
La salope mouillait comme une fontaine. Voulant continuer à la branler, je rencontrais sa main. Ses doigts avaient pris ma place et elle s’astiquait le bouton avec gourmandise.
La fouillant d’une main, je sortais ma bite de l’autre et à mon tour, bandant comme un âne, je me branlais frénétiquement.
Je sentais les spasmes de son con qui annonçaient sa jouissance et ne faisaient qu’augmenter mon excitation.
Elle partit d’un long râle alors que je ressentais les convulsions de sa chatte sur mes doigts.
Elle se releva, je la pris dans mes bras, la serrant très fort puis, la pénétrais, debout, jambes écartées pour libérer à mon tour ce très plein d’excitation.
Depuis, il m’arrive, seul dans mon lit de repenser à ce moment d’abandon en me caressant doucement.
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