devenu pute
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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devenu pute
Comment j’ai pu me laisser aller ?
Un jour dans un bar près du vieux port à Marseille ou j’étais allé passer quelques jours de repos et visiter les vieux quartiers, après quelques bières je descends pisser la tête déjà bien échaudé des mecs au bar et là problème, une érection pas possible. J’attends un moment puis déclenche la flotte, gland dessous pour débander. Et enfin ma bite dégonfle et je pisse tranquille. Je remonte le zip et me lave les mains, un beur passe derrière moi et me fous la main aux fesses. Je regarde dans la glace, mec pas mal, petite barbe en pointe, rigolard.
-Tu cherches de la bite mec ?
Vu le ton lui il cherche des trous.
Quand elle est belle je ne dis pas non.
Il me pousse dans un recoin et fou ma main sur son paquet.
-Elle te fais envie ?
Ce que je palpais n’étais pas raide mais devait être un bel engin.
-J’ai des potes au bar qui cherche un blanc qui aime la bite, pas des petites merdes mais un mec qui assure vraiment. T’es chaud pour un plan démontage ?
Euh, démontage ?
-Ouai tu nous sers de lope, on te récompense. Si t’as pas peur tu dois être pas mal à poil ! Et je sens que t’as envie de dire oui.
Ben si vous êtes tous comme ce que je sens je suis tenté.
-Tu le regretteras pas, si t’es ok on monte au bar, tu payes tes consos avec ce que je t’ai laissé et tu vas attendre dehors en face sur le trottoir.
Le petit salaud m’avait piqué mon portefeuille ne laissant qu’un billet. Bon je le récupérerai après. Je monte et sous le regard lourd du patron je paye mes bières et vais attendre en face.
La nuit tombait quand il est sorti avec un pote.
-Salut Éric tu fais le trottoir ?
Il rigolait mais je devais avoir l’air d’une pute.
-Viens avec nous on va dans l’immeuble à côté, c’est tranquille. Encadré, la main de son pote sur mes fesses je me chauffais à ce contact.
Dans l’entrée deux mecs balèze ont souri. « Pas mal la trouvaille ». Au lieu de monter ils m’ont fait descendre deux étages avant de pousser une porte. L’intérieur, sobre avait un canapé, un banc et un genre de fauteuil. Le mec a refermé la porte en s’appuyant dessus.
-Fous toi à poil qu’on voit la marchandise.
Je ne suis pas pudique mais là j’ai commencé à flipper.
-J’aime pas me répéter. Il s’est avancé et tirant des deux mains a détruit mon teeshirt dévoilant ma poitrine. Tu continues ou je m’en occupe ?
Non, non, j’ai défait la ceinture et laissé glisser le jean aux pieds.
-Continue, t’as encore du tissu.
J’ai ôté mes tennis et mes chaussettes, enlevé le jean. Retardant le moment mais je n’ai pas eu à attendre pour que le slip me soit arraché.
-Mets les mains sur la tête et tourne sur toi-même.
J’ai compris que je ne m’en sortirais pas facilement et j’ai obéi.
-Pas mal comme mec. Penche-toi en avant. Creuse les reins. Écarte les fesses des mains. T’as le petit trou plissé.
J’ai senti un doigt passer sur ma raie, insister sur ma rondelle.
-Ouai on fera venir les petites bites avant et après ben, on y passera tous. T’as fait un bon choix de pute.
Il a déplié le canapé. J’ai maté autour de moi. Dans un coin un lavabo sans bonde et un trou pour les besoins naturels.
-Allonge-toi sur le ventre. Ce sera ta position normale. J’ai presqu’aussitôt senti le poids d’un mec sur moi, encore fringué mais bite dehors qui fouillait ma raie et l’a ouverte d’un coup. Heureusement il mouillait et malgré la taille il est entré. Tu peux gueuler mec, ici personne ne descend, c’est à nous.
J’avais en effet poussé un cri malgré moi quand il m’a pénétré. Pas du tout habitué à me faire prendre d’un coup sans préparatifs.
-Abdou ferme lui la gueule de ta queue qu’il se calme, il s’y habituera.
Il ramonait sans pitié, pour son plaisir pur et n’a pas été long à décharger dans mes fesses.
-Abdou si tu veux en profiter vas-y.
J’ai eu la bouche vide un instant mais le mec qui venait de m ’enculer m’a fourré sa queue grasse dans la bouche.
-Nettoie ma queue de ta merde. Vite ou les baffes vont voler.
Il avait le gland puant mais je n’avais pas le choix et j’ai nettoyé sa bite.
-Bien, on adore les garçons obéissant ici.
Une fois fini il a mis mes fringues dans un sac de plastique. Et il est sorti avec.
Abdou me baisait pépère.
- T’as plus besoin de tes fringues pour un bon moment. On a des gagneuses mais les mecs aiment bien baiser les culs de mecs. Les beurs ici ne manquent pas, les blacks non plus et quand tu sentiras plus la queue tu seras vendu comme esclave. On a des preneurs pour ça.
Il s’est répandu lui aussi dans mes fesses. Mais il est resté sur moi et a sorti un marqueur pour écrire pute a mecs sur mon dos.
Je te laisse tu as une ampoule derrière le grillage mais on l’allume juste quand un mec viens te voir et on éteint dix minutes après, le temps de chier et de laver ton cul. Les premiers temps elle ne restera pas longtemps éteinte. La porte a un judas en hauteur les mecs pourront voir la marchandise avant. J’ai failli oublier. Tends ton cou.
Il a passé un collier rose style pour petite chienne autour de mon cou.
-Aller je te laisse, dépêches toi de te vider et te laver. Je ne savais pas l’heure ni comment ça finirait. Moi, Éric, 25ans gay mais pas pute à ce point je m’étais fait avoir et comment me tirer de là ? Je finissais de me laver quand un mec est entré. Beur mais sombre et baraqué.
-T’es le nouveau toi. Approche, juste sur les genoux et dégage ma bite. J’ai besoin de la vider.
Pas énorme du tout sauf le gland un peu plus épais et c’est à genoux que je l’ai sortie. Juste devant moi, bandée, j’ai commencé à la sucer, tenu par les cheveux, il a fait durer son plaisir avant de jouir sans prévenir.
-Bonne lope je le dirais aux potes. Ah j’allais oublier. Ne bouge pas la tête.
Il m’a enfilé une cagoule noire vraiment aveuglante avec pour seul trou celui de la bouche.
-T’as assez situé les lieux et la pièce n’est pas immense. Tu vas satisfaire nos jeunes avant qu’il leur prenne l’envie de sauter nos filles. Tu ne vas chier que le foutre des minots. Et laisse-les faire il y aura toujours un frère pour te surveiller.
La cagoule avait aussi un système pour m’empêcher de l’ôter. Il est sorti je ne savais même plus ou j’étais. Je me suis cogné au mur pour trouver le lavabo et pisser de frousse dedans. Surpris par la porte qui s’ouvrait et deux voix différentes.
-C’est lui la pute ?
-Ouai tu lui baises la bouche ou le cul comme tu veux et les deux si t’es en forme.
-Génial j’ai déjà baisé une bouche de nana mais jamais un cul.
Il a écarté mes lobes, introduit un doigt.
-Il a le cul gras et déjà près à se faire prendre.
J’ai entendu un bruit de vêtement et du tissu qui tombait et un sexe chaud mince mais long qui s’est enfoncé me faisant couiner. Il allait loin dans mes fesses et tenu par les hanches je me suis fait baiser. Heureusement j’avais le cul propre car pour jouir il a changé et s’est foutu devant moi pour avoir juste le temps de gicler dans ma bouche. J’ai avalé puisqu’il restait dedans et senti l’odeur propre à un jeune mec. J’ignorais son âge mais il a joui comme un homme. J’ai reçu une claque sur les fesses de satisfaction.
-T’es une bonne pute toi. En plus pas cher, je vais te faire de la pub aux potes. T’auras pas trop le temps de dormir.
Une fois que la porte s’est refermée je sentais encore une présence.
-Ecoute moi. Je suis Abdou, tu m’as sucé tout à l’heure. Le gosse qui t’a baisé a 16ans et j’ai pris des photos. Même si tu vas te plaindre un jour t’auras le délit de mineur au cul. Il va prévenir qu’il y a une pute blanche ici et tu auras du monde. Ceux qui te baiserons pas te verrons sucer et te faire mettre. Je ne te dis pas leur âge, tu pourras imaginer mais y en a des précoces. Et le banc est là pour qu’ils voient. Tout à l’heure je vais te raser ta chatte de mec qu’ils voient bien où ils s’engagent. Profites en, eux ne sont pas encore formés totalement. Après t’auras les majeurs et là tu les sentiras bien. Dors vite avant le prochain.
Avec la cagoule je n’avais aucune lumière et je me suis tapé plusieurs fois avant de trouver le coin du lavabo, me laver la bouche et le cul et de retrouver le canapé ou je me suis écroulé.
Je n’ai pas vu la lumière se rallumer je dormais encore et Abdou s’est assis sur mes reins.
-Ecarte bien les cuisses que je voie ce que je fais.
D’une claque il m’a fait remonter et ouvrir les fesses.
-Tiens les ouvertes je ne rase pas des culs tous les jours.
J’ai senti sa main étaler de la mousse du bas des couilles jusqu’en haut de ma raie et le rasoir passer. Je ne voyais toujours rien mais devinais la peau blanche et J’avais déjà vu des culs rasés, j’ai senti quand il a approché tout près de la partie sombre. Je me tenais immobile pour qu’il ne me coupe pas et après un coup de torchon humide il a été satisfait.
-Je ne soulève pas la cagoule mais ouvre la main et serre le bol il est juste chaud, tu auras ça matin, midi et soir. Ne le renverse pas tu n’auras que ça. Fais vite il y en a un qui te veux avant les cours.
Le truc était tiède et a été vite avalé. J’ai tendu le bol dans le vide. Abdou l’a saisi et ouvrant la porte il a dû le poser sur une table.
Un jour dans un bar près du vieux port à Marseille ou j’étais allé passer quelques jours de repos et visiter les vieux quartiers, après quelques bières je descends pisser la tête déjà bien échaudé des mecs au bar et là problème, une érection pas possible. J’attends un moment puis déclenche la flotte, gland dessous pour débander. Et enfin ma bite dégonfle et je pisse tranquille. Je remonte le zip et me lave les mains, un beur passe derrière moi et me fous la main aux fesses. Je regarde dans la glace, mec pas mal, petite barbe en pointe, rigolard.
-Tu cherches de la bite mec ?
Vu le ton lui il cherche des trous.
Quand elle est belle je ne dis pas non.
Il me pousse dans un recoin et fou ma main sur son paquet.
-Elle te fais envie ?
Ce que je palpais n’étais pas raide mais devait être un bel engin.
-J’ai des potes au bar qui cherche un blanc qui aime la bite, pas des petites merdes mais un mec qui assure vraiment. T’es chaud pour un plan démontage ?
Euh, démontage ?
-Ouai tu nous sers de lope, on te récompense. Si t’as pas peur tu dois être pas mal à poil ! Et je sens que t’as envie de dire oui.
Ben si vous êtes tous comme ce que je sens je suis tenté.
-Tu le regretteras pas, si t’es ok on monte au bar, tu payes tes consos avec ce que je t’ai laissé et tu vas attendre dehors en face sur le trottoir.
Le petit salaud m’avait piqué mon portefeuille ne laissant qu’un billet. Bon je le récupérerai après. Je monte et sous le regard lourd du patron je paye mes bières et vais attendre en face.
La nuit tombait quand il est sorti avec un pote.
-Salut Éric tu fais le trottoir ?
Il rigolait mais je devais avoir l’air d’une pute.
-Viens avec nous on va dans l’immeuble à côté, c’est tranquille. Encadré, la main de son pote sur mes fesses je me chauffais à ce contact.
Dans l’entrée deux mecs balèze ont souri. « Pas mal la trouvaille ». Au lieu de monter ils m’ont fait descendre deux étages avant de pousser une porte. L’intérieur, sobre avait un canapé, un banc et un genre de fauteuil. Le mec a refermé la porte en s’appuyant dessus.
-Fous toi à poil qu’on voit la marchandise.
Je ne suis pas pudique mais là j’ai commencé à flipper.
-J’aime pas me répéter. Il s’est avancé et tirant des deux mains a détruit mon teeshirt dévoilant ma poitrine. Tu continues ou je m’en occupe ?
Non, non, j’ai défait la ceinture et laissé glisser le jean aux pieds.
-Continue, t’as encore du tissu.
J’ai ôté mes tennis et mes chaussettes, enlevé le jean. Retardant le moment mais je n’ai pas eu à attendre pour que le slip me soit arraché.
-Mets les mains sur la tête et tourne sur toi-même.
J’ai compris que je ne m’en sortirais pas facilement et j’ai obéi.
-Pas mal comme mec. Penche-toi en avant. Creuse les reins. Écarte les fesses des mains. T’as le petit trou plissé.
J’ai senti un doigt passer sur ma raie, insister sur ma rondelle.
-Ouai on fera venir les petites bites avant et après ben, on y passera tous. T’as fait un bon choix de pute.
Il a déplié le canapé. J’ai maté autour de moi. Dans un coin un lavabo sans bonde et un trou pour les besoins naturels.
-Allonge-toi sur le ventre. Ce sera ta position normale. J’ai presqu’aussitôt senti le poids d’un mec sur moi, encore fringué mais bite dehors qui fouillait ma raie et l’a ouverte d’un coup. Heureusement il mouillait et malgré la taille il est entré. Tu peux gueuler mec, ici personne ne descend, c’est à nous.
J’avais en effet poussé un cri malgré moi quand il m’a pénétré. Pas du tout habitué à me faire prendre d’un coup sans préparatifs.
-Abdou ferme lui la gueule de ta queue qu’il se calme, il s’y habituera.
Il ramonait sans pitié, pour son plaisir pur et n’a pas été long à décharger dans mes fesses.
-Abdou si tu veux en profiter vas-y.
J’ai eu la bouche vide un instant mais le mec qui venait de m ’enculer m’a fourré sa queue grasse dans la bouche.
-Nettoie ma queue de ta merde. Vite ou les baffes vont voler.
Il avait le gland puant mais je n’avais pas le choix et j’ai nettoyé sa bite.
-Bien, on adore les garçons obéissant ici.
Une fois fini il a mis mes fringues dans un sac de plastique. Et il est sorti avec.
Abdou me baisait pépère.
- T’as plus besoin de tes fringues pour un bon moment. On a des gagneuses mais les mecs aiment bien baiser les culs de mecs. Les beurs ici ne manquent pas, les blacks non plus et quand tu sentiras plus la queue tu seras vendu comme esclave. On a des preneurs pour ça.
Il s’est répandu lui aussi dans mes fesses. Mais il est resté sur moi et a sorti un marqueur pour écrire pute a mecs sur mon dos.
Je te laisse tu as une ampoule derrière le grillage mais on l’allume juste quand un mec viens te voir et on éteint dix minutes après, le temps de chier et de laver ton cul. Les premiers temps elle ne restera pas longtemps éteinte. La porte a un judas en hauteur les mecs pourront voir la marchandise avant. J’ai failli oublier. Tends ton cou.
Il a passé un collier rose style pour petite chienne autour de mon cou.
-Aller je te laisse, dépêches toi de te vider et te laver. Je ne savais pas l’heure ni comment ça finirait. Moi, Éric, 25ans gay mais pas pute à ce point je m’étais fait avoir et comment me tirer de là ? Je finissais de me laver quand un mec est entré. Beur mais sombre et baraqué.
-T’es le nouveau toi. Approche, juste sur les genoux et dégage ma bite. J’ai besoin de la vider.
Pas énorme du tout sauf le gland un peu plus épais et c’est à genoux que je l’ai sortie. Juste devant moi, bandée, j’ai commencé à la sucer, tenu par les cheveux, il a fait durer son plaisir avant de jouir sans prévenir.
-Bonne lope je le dirais aux potes. Ah j’allais oublier. Ne bouge pas la tête.
Il m’a enfilé une cagoule noire vraiment aveuglante avec pour seul trou celui de la bouche.
-T’as assez situé les lieux et la pièce n’est pas immense. Tu vas satisfaire nos jeunes avant qu’il leur prenne l’envie de sauter nos filles. Tu ne vas chier que le foutre des minots. Et laisse-les faire il y aura toujours un frère pour te surveiller.
La cagoule avait aussi un système pour m’empêcher de l’ôter. Il est sorti je ne savais même plus ou j’étais. Je me suis cogné au mur pour trouver le lavabo et pisser de frousse dedans. Surpris par la porte qui s’ouvrait et deux voix différentes.
-C’est lui la pute ?
-Ouai tu lui baises la bouche ou le cul comme tu veux et les deux si t’es en forme.
-Génial j’ai déjà baisé une bouche de nana mais jamais un cul.
Il a écarté mes lobes, introduit un doigt.
-Il a le cul gras et déjà près à se faire prendre.
J’ai entendu un bruit de vêtement et du tissu qui tombait et un sexe chaud mince mais long qui s’est enfoncé me faisant couiner. Il allait loin dans mes fesses et tenu par les hanches je me suis fait baiser. Heureusement j’avais le cul propre car pour jouir il a changé et s’est foutu devant moi pour avoir juste le temps de gicler dans ma bouche. J’ai avalé puisqu’il restait dedans et senti l’odeur propre à un jeune mec. J’ignorais son âge mais il a joui comme un homme. J’ai reçu une claque sur les fesses de satisfaction.
-T’es une bonne pute toi. En plus pas cher, je vais te faire de la pub aux potes. T’auras pas trop le temps de dormir.
Une fois que la porte s’est refermée je sentais encore une présence.
-Ecoute moi. Je suis Abdou, tu m’as sucé tout à l’heure. Le gosse qui t’a baisé a 16ans et j’ai pris des photos. Même si tu vas te plaindre un jour t’auras le délit de mineur au cul. Il va prévenir qu’il y a une pute blanche ici et tu auras du monde. Ceux qui te baiserons pas te verrons sucer et te faire mettre. Je ne te dis pas leur âge, tu pourras imaginer mais y en a des précoces. Et le banc est là pour qu’ils voient. Tout à l’heure je vais te raser ta chatte de mec qu’ils voient bien où ils s’engagent. Profites en, eux ne sont pas encore formés totalement. Après t’auras les majeurs et là tu les sentiras bien. Dors vite avant le prochain.
Avec la cagoule je n’avais aucune lumière et je me suis tapé plusieurs fois avant de trouver le coin du lavabo, me laver la bouche et le cul et de retrouver le canapé ou je me suis écroulé.
Je n’ai pas vu la lumière se rallumer je dormais encore et Abdou s’est assis sur mes reins.
-Ecarte bien les cuisses que je voie ce que je fais.
D’une claque il m’a fait remonter et ouvrir les fesses.
-Tiens les ouvertes je ne rase pas des culs tous les jours.
J’ai senti sa main étaler de la mousse du bas des couilles jusqu’en haut de ma raie et le rasoir passer. Je ne voyais toujours rien mais devinais la peau blanche et J’avais déjà vu des culs rasés, j’ai senti quand il a approché tout près de la partie sombre. Je me tenais immobile pour qu’il ne me coupe pas et après un coup de torchon humide il a été satisfait.
-Je ne soulève pas la cagoule mais ouvre la main et serre le bol il est juste chaud, tu auras ça matin, midi et soir. Ne le renverse pas tu n’auras que ça. Fais vite il y en a un qui te veux avant les cours.
Le truc était tiède et a été vite avalé. J’ai tendu le bol dans le vide. Abdou l’a saisi et ouvrant la porte il a dû le poser sur une table.
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