devenu pute3
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
devenu pute3
La rosée était fraiche mais le soleil a fait son apparition et m’a réchauffé. Un mec est arrivé avec un seau et un petit sac.
-Ne bouge pas, tout va bien se passer.
Une gourde pendait à son coté. Il l’a ouverte et tendue à la bouche. J’ai bu un peu c’était amer, pas du café mais presque et ça m’a fait du bien. Lui s’était installé sur un rocher près de moi et a d’abord sorti de son sac une tondeuse qu’il a passé partout où il me restait des poils, au ventre et sous les aisselles et au pubis. La vibration m’a fait bandouiller.
-Bien ! Vous n’y êtes pas tous sensibles. La suite sera plus pratique. Il a étalé de la mousse partout où restait des racines de poils y compris mes fesses et la raie.
Mais ils ont déjà rasé ma raie !
-Tais toi, ici tu parles si on t’interroge. Je vais te dire ce que je fais pour une fois. La crème que j’ai passé va tuer la racine des poils. Ils repousseront mais plus doux et on refera l’opération.
Après un moment il m’a détaché une main et tendu un torchon.
-Frotte bien avec ça la crème va partir avec les poils. Je ferais l’aisselle que tu ne peux atteindre.
En effet à chaque passage en frottant les poils disparaissaient et je me suis retrouvé tel un bébé qui vient de naître. Il a remis le poignet en haut et a frotté l’aisselle encore poilue.
-Bien les maîtres seront satisfaits je pense. Je vais voir les autres arrivés.
Il a disparu en remontant et je l’ai vu descendre près d’un autre poteau. Je n’étais donc pas seul et ça me réconfortait.
Le soleil en montant a commencé à brûler, surtout les endroits où je n’avais plus de poils et j’ai dû me tourner Mais les fesses étaient exposées. Plus supportable mais limite de la brulure.
Deux mecs sont passés voir dans mon trou.
-Celui là est bientôt à point. Rose mais pas rouge. Voyons le suivant.
Je les ai entendu gueuler puis sortir avec lui, nu comme moi, tenu en laisse. Sa peau mate résistait plus au soleil, son sexe m’a paru long et seul le bout sous la circoncision était blanc. Lui était arabe et devait trainer sans papiers dans Marseille. Peut être même pas homo. Il a jeté un coup d’œil dans mon trou. Puis je l’ai plus vu. Le soleil commençait vraiment à cogner des épaules aux fesses quand ils sont descendus dans le trou.
-La cuisson te plaît salope ?
J’ai très chaud, je n’avais pas dû répondre comme il voulaient et j’ai eu ma première claque sur mes fesses rouges.
-Ici tu dis monsieur ok ?
Oui pardon monsieur. J’aurais dit la messe en latin pour être détaché. Ils ont fini par le faire mais c’est à genoux que j’ai dû les suivre sur les gravillons. Pas si facile les mains toujours attachées devant moi cette fois.
Sous les arbres, au frais un mec était assis en jean cuir et bottes cuir luisantes. Torse nu. Ils m’ont arrêté juste avant l’ombre.
-Il vient d’où celui-là ?
-Ramassé dans un bar du vieux port un peu pété il voulait se faire mettre. On lui a fait le coup du mineur et il est devenu tout sage.
-Tu fileras cinq doses à Sahid pour son numéro de gamin. Libérez-lui les mains il ne peut aller loin. Pas mal le soleil la pute. Tu as apprécié j’espère.
J’ai eu très chaud monsieur.
-Tourne toi, montre tes fesses. Oui en effet tu as pris un bon coup de soleil recule vers moi, tout près ! Encore. Là ne bouge plus.
Sa main caressait mes fesses doucement, il les a écartées pour passer entre, touchant mon anus en passant. Il me pelotait les couilles, les autres mataient, bandant dans leurs frocs visiblement.
-Mon pote a fait du bon travail t’es bien doux.
Sans prévenir il a donné un bon coup main ouvertes sur mes fesses rouges. J’ai crié de douleur. De la main sur mes couilles il a senti ma queue gonfler.
-La douleur te fait bander ?
Encore sous le coup je n’ai pu que souffler un oui.
-Tu aimes faire mal aussi ?
Je ne sais pas mais surement oui.
-Ramène celui de tout à l’heure.
Un mec est entré dans une baraque délabrée, ramenant le mec que j’avais vu passer plus tôt. Nu comme moi mais pas bandant, plutôt rabougri de la queue.
-Ecoutez bien tous les deux. Toi le homard tu vas l’enculer. Nous on l’a fait mais trop simple. Toi t’es homo et il va serrer les fesses pour ne pas se faire enculer par un gay. Pour lui ce sera plus infamant que par nous. Mettez-le à quatre pattes et tenez le bien que je vois bien quand la bite va le prendre. Il va gueuler mais on aime faire gueuler les mecs.
On ne peut pas dire qu’il y mettait du sien et serrait les fesses. Le jus des mecs qui venaient de le prendre glissait et je glissais dans dans sa raie. Pas plusieurs solutions, la fessée et un doigt dans le cul pour le fouiller. Il grognait mais tellement aplati sur le sol, sa queue encore humide se frottait au sable et il a bandé. Deux doigts sont passés au grand plaisir du chef et son trou s’est rendu j’ai pu lui prendre le cul. Il chialait, secoué de sanglots et à chaque fois je le baisais plus facile. J’ai senti de l’ombre sur mon dos et une queue, une belle surement a forcé mon trou me poussant encore plus dans celui que je prenais. Pris en sandwich j’aimais bien mais encore plus celui qui me prenait. Et j’étais forcé de suivre la cadence. Il m’a retiré d’un coup j’ai eu le temps de voir le trou du mec avant d’être soulevé pris entre les bras et comme assis sur la queue du mec qui me faisait sauter sur sa bite.
Quand il m’a lâché j’ai eu une sensation de vide le temps que mon anus se referme. Le mec pleurnichait toujours. Celui sur le fauteuil l’a déclaré fait pour la bite de tout le monde et que dès ce soir il serait mis dans une chambre de bar pour servir ceux qui auraient besoin d’un trou, bouche ou cul. Il aurait un surveillant et ne pourrait pas dire non. Plus jamais.
-Toi en revanche tu restes ici un moment, on a appris que tu aimais la soumission, pas que la queue. Alors Habib va t’emmener à la cave. On a tout ce qu’il faut pour les mecs comme toi ce qui n’empêchera pas des clients qu’on amènera ici cagoulés pour jouer un peu. Ne bouge pas encore. Il a saisi une cravache qu’il a fait siffler dans l’air avant de l’abattre sur les fesses rougies par le soleil, deux fois, me faisant gueuler mais rester bandé.
-Emmène le sur le tréteau.
Je ne pouvais que suivre et la cave était fraîche, sombre mais un fois les spots allumés j’ai vu le tréteau, identique ceux du bâtiment, un peu plus large en haut, recouvert d’un genre de paillasson.
-Monte dessus, tu vas sentir un creux pour placer ta bite bandée. Installe-toi juste à cet endroit. Bien. Allonge ton torse dessus et laisse tes bras pendre comme tes pieds. Ne bouge plus.
Il a mis de menottes en cuir à me poignets et chevilles qu’il a reliées à des anneaux. Il a repoussé l’arrière du tréteau, laissant mon cul bien visible et mes couilles sorties aussi. J’ai senti les pieds arrière du tréteau s’abaisser. Il a posé une sangle sur mon dos, plaqué sur le tréteau.
-Ne bouge pas, tout va bien se passer.
Une gourde pendait à son coté. Il l’a ouverte et tendue à la bouche. J’ai bu un peu c’était amer, pas du café mais presque et ça m’a fait du bien. Lui s’était installé sur un rocher près de moi et a d’abord sorti de son sac une tondeuse qu’il a passé partout où il me restait des poils, au ventre et sous les aisselles et au pubis. La vibration m’a fait bandouiller.
-Bien ! Vous n’y êtes pas tous sensibles. La suite sera plus pratique. Il a étalé de la mousse partout où restait des racines de poils y compris mes fesses et la raie.
Mais ils ont déjà rasé ma raie !
-Tais toi, ici tu parles si on t’interroge. Je vais te dire ce que je fais pour une fois. La crème que j’ai passé va tuer la racine des poils. Ils repousseront mais plus doux et on refera l’opération.
Après un moment il m’a détaché une main et tendu un torchon.
-Frotte bien avec ça la crème va partir avec les poils. Je ferais l’aisselle que tu ne peux atteindre.
En effet à chaque passage en frottant les poils disparaissaient et je me suis retrouvé tel un bébé qui vient de naître. Il a remis le poignet en haut et a frotté l’aisselle encore poilue.
-Bien les maîtres seront satisfaits je pense. Je vais voir les autres arrivés.
Il a disparu en remontant et je l’ai vu descendre près d’un autre poteau. Je n’étais donc pas seul et ça me réconfortait.
Le soleil en montant a commencé à brûler, surtout les endroits où je n’avais plus de poils et j’ai dû me tourner Mais les fesses étaient exposées. Plus supportable mais limite de la brulure.
Deux mecs sont passés voir dans mon trou.
-Celui là est bientôt à point. Rose mais pas rouge. Voyons le suivant.
Je les ai entendu gueuler puis sortir avec lui, nu comme moi, tenu en laisse. Sa peau mate résistait plus au soleil, son sexe m’a paru long et seul le bout sous la circoncision était blanc. Lui était arabe et devait trainer sans papiers dans Marseille. Peut être même pas homo. Il a jeté un coup d’œil dans mon trou. Puis je l’ai plus vu. Le soleil commençait vraiment à cogner des épaules aux fesses quand ils sont descendus dans le trou.
-La cuisson te plaît salope ?
J’ai très chaud, je n’avais pas dû répondre comme il voulaient et j’ai eu ma première claque sur mes fesses rouges.
-Ici tu dis monsieur ok ?
Oui pardon monsieur. J’aurais dit la messe en latin pour être détaché. Ils ont fini par le faire mais c’est à genoux que j’ai dû les suivre sur les gravillons. Pas si facile les mains toujours attachées devant moi cette fois.
Sous les arbres, au frais un mec était assis en jean cuir et bottes cuir luisantes. Torse nu. Ils m’ont arrêté juste avant l’ombre.
-Il vient d’où celui-là ?
-Ramassé dans un bar du vieux port un peu pété il voulait se faire mettre. On lui a fait le coup du mineur et il est devenu tout sage.
-Tu fileras cinq doses à Sahid pour son numéro de gamin. Libérez-lui les mains il ne peut aller loin. Pas mal le soleil la pute. Tu as apprécié j’espère.
J’ai eu très chaud monsieur.
-Tourne toi, montre tes fesses. Oui en effet tu as pris un bon coup de soleil recule vers moi, tout près ! Encore. Là ne bouge plus.
Sa main caressait mes fesses doucement, il les a écartées pour passer entre, touchant mon anus en passant. Il me pelotait les couilles, les autres mataient, bandant dans leurs frocs visiblement.
-Mon pote a fait du bon travail t’es bien doux.
Sans prévenir il a donné un bon coup main ouvertes sur mes fesses rouges. J’ai crié de douleur. De la main sur mes couilles il a senti ma queue gonfler.
-La douleur te fait bander ?
Encore sous le coup je n’ai pu que souffler un oui.
-Tu aimes faire mal aussi ?
Je ne sais pas mais surement oui.
-Ramène celui de tout à l’heure.
Un mec est entré dans une baraque délabrée, ramenant le mec que j’avais vu passer plus tôt. Nu comme moi mais pas bandant, plutôt rabougri de la queue.
-Ecoutez bien tous les deux. Toi le homard tu vas l’enculer. Nous on l’a fait mais trop simple. Toi t’es homo et il va serrer les fesses pour ne pas se faire enculer par un gay. Pour lui ce sera plus infamant que par nous. Mettez-le à quatre pattes et tenez le bien que je vois bien quand la bite va le prendre. Il va gueuler mais on aime faire gueuler les mecs.
On ne peut pas dire qu’il y mettait du sien et serrait les fesses. Le jus des mecs qui venaient de le prendre glissait et je glissais dans dans sa raie. Pas plusieurs solutions, la fessée et un doigt dans le cul pour le fouiller. Il grognait mais tellement aplati sur le sol, sa queue encore humide se frottait au sable et il a bandé. Deux doigts sont passés au grand plaisir du chef et son trou s’est rendu j’ai pu lui prendre le cul. Il chialait, secoué de sanglots et à chaque fois je le baisais plus facile. J’ai senti de l’ombre sur mon dos et une queue, une belle surement a forcé mon trou me poussant encore plus dans celui que je prenais. Pris en sandwich j’aimais bien mais encore plus celui qui me prenait. Et j’étais forcé de suivre la cadence. Il m’a retiré d’un coup j’ai eu le temps de voir le trou du mec avant d’être soulevé pris entre les bras et comme assis sur la queue du mec qui me faisait sauter sur sa bite.
Quand il m’a lâché j’ai eu une sensation de vide le temps que mon anus se referme. Le mec pleurnichait toujours. Celui sur le fauteuil l’a déclaré fait pour la bite de tout le monde et que dès ce soir il serait mis dans une chambre de bar pour servir ceux qui auraient besoin d’un trou, bouche ou cul. Il aurait un surveillant et ne pourrait pas dire non. Plus jamais.
-Toi en revanche tu restes ici un moment, on a appris que tu aimais la soumission, pas que la queue. Alors Habib va t’emmener à la cave. On a tout ce qu’il faut pour les mecs comme toi ce qui n’empêchera pas des clients qu’on amènera ici cagoulés pour jouer un peu. Ne bouge pas encore. Il a saisi une cravache qu’il a fait siffler dans l’air avant de l’abattre sur les fesses rougies par le soleil, deux fois, me faisant gueuler mais rester bandé.
-Emmène le sur le tréteau.
Je ne pouvais que suivre et la cave était fraîche, sombre mais un fois les spots allumés j’ai vu le tréteau, identique ceux du bâtiment, un peu plus large en haut, recouvert d’un genre de paillasson.
-Monte dessus, tu vas sentir un creux pour placer ta bite bandée. Installe-toi juste à cet endroit. Bien. Allonge ton torse dessus et laisse tes bras pendre comme tes pieds. Ne bouge plus.
Il a mis de menottes en cuir à me poignets et chevilles qu’il a reliées à des anneaux. Il a repoussé l’arrière du tréteau, laissant mon cul bien visible et mes couilles sorties aussi. J’ai senti les pieds arrière du tréteau s’abaisser. Il a posé une sangle sur mon dos, plaqué sur le tréteau.
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