Dévergondage dans un club privé

- Par l'auteur HDS Boris -
Récit érotique écrit par Boris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dévergondage dans un club privé Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dévergondage dans un club privé
<p>Méditerranéenne, avec de longs cheveux noirs et des yeux bleus, Myriam, célibataire endurcie, était responsable financière dans une société de télécommunication. Cette camarade de promotion m’avait expliqué combien son plaisir était redoublé devant l’inconnu ou la peur. Alors que je m’attardai au bureau pour boucler un dossier, mon amie m’appela et me proposa de la rejoindre dans un bar pour prendre un verre. Je pris donc ma voiture au parking et me dirigeai vers un quartier populaire où se situait notre lieu de rencontre. Dans une atmosphère enfumée, j’aperçus Myriam assise dans un coin observant la faune masculine. Elle portait un manteau beige entrouvert sur un pull à col roulé noir en laine et un pantalon en cuir de même couleur.



Elle m’embrassa sur les joues et nous commandâmes deux scotchs. Mon amie souhaitait se divertir en ma compagnie. Elle m’avoua n’être pas sortie depuis deux mois et qu’elle ressentait le besoin de se dévergonder. Je connaissais son attirance pour les hommes macho et son goût pour entreprendre de nouvelles choses. Je lui proposai de prendre un steak tartare et un jaune d’oeuf cru avec un ballon de rouge. En mangeant, son visage prit des couleurs et ses intentions se précisèrent. Elle recherchait sous mon patronage des relations fortes en émotion et surprise. Connaissant des endroits chauds, je lui fis des propositions qu’elle accepta. Aussi, nous quittâmes le bar pour aller à pied dans un local réputé pour ses spectacles sado-masochistes.



Nous laissâmes nos manteaux au vestiaire et nous assirent sur un canapé à proximité d’une petite scène inondée de lumière. Dans la salle, nous notâmes plus d’hommes que de femmes, habillés de cuir. Trois artistes sportifs apparurent sur la scène. Il s’agissait de deux beaux hommes et d’une jeune femme avec des fesses bien rondes. Ils étirèrent celle-ci sur une croix, son dos au regard du public. Ils fouettèrent avec de multiples lanières son fessier, ses cuisses et ses épaules. La femme restait muette dans cette position de soumission. Puis, ils la placèrent de face aux spectateurs en enchaînant ses poignets et ses pieds. Le regard fuyant, la femme ne portait qu’un minuscule string, ses cheveux retombant sur ses seins. Les deux hommes attachèrent des pinces sur les tétons et coupèrent les cordons du string pour montrer la chatte. Sur les grandes lèvres de celle-ci ils posèrent des anneaux de sorte que l’orifice s’élargit. Cette position animait le public et mon amie suivait avec intérêt ce spectacle. Les rideaux de la scène se fermèrent à l’entracte.



Nous nous dirigeâmes au bar où on nous servit des bières. Les verres à la main nous nous entrâmes dans une pièce voisine qui était dans la semi obscurité. Le long d’une paroi, étaient alignées des cabines occupées chacune par deux ou trois personnes. Certaines cabines étaient fermées d’autre ouvertes. Myriam me demanda d’approcher pour mieux voir ce qui s’y passait. Dans la première, un couple se caressait ; dans la seconde, deux homos s’embrassaient ; dans une troisième, une femme assise branlait deux partenaires. Mon amie me proposa de prendre une cabine ; nous nous y assîmes en laissant le battant ouvert. Plusieurs hommes seuls se proposèrent de se joindre à nous. Myriam en choisit un particulièrement bien monté. Elle lui sourit et le masturba en léchant du bout de sa langue le gland. Elle absorba à moitié le gros membre devant trois spectateurs qui la regardaient faire de l’entrée de la cabine. Ces regards posés sur elle lui plaisaient car elle avait conscience d’être à l’origine de l’excitation de plusieurs hommes. Nous sortîmes pour rejoindre nos places assises, le show reprenant avec les mêmes acteurs.



Etendue sur une table, l’actrice portait une tenue de cuir laissant apparaître ses seins et sa chatte. Ses deux partenaires lui firent subir diverses postures : l’introduction du manche d’un fouet dans le vagin ; le versement de gouttes de cire sur la poitrine ; un godemiché dans la bouche...Toujours impassible, la femme semblait insensible à ces actes démonstratifs. A l’invitation d’un acteur, une femme monta sur la scène ; les deux hommes la déculottèrent et la fessèrent. Puis, ils l’agenouillèrent entre les cuisses de l’actrice et lui ordonnèrent de la lécher. Les rideaux se refermèrent annonçant ainsi la fin du spectacle. En partant, un couple nous demanda si nous étions intéressés par une rencontre avec d’autres adeptes du sadomasochisme. Ils nous rassurèrent en expliquant qu’aucune obligation ne nous serait imposée. En fin de trentaine, ce couple était bien physiquement et élégamment vêtu. Nous les suivîmes en subodorant que leur milieu était probablement plus mondain que l’endroit dont nous sortions. Myriam était impatiente de découvrir un environnement secret où femmes et hommes jouent alternativement les rôles de dominants ou de soumis.



Dans un immeuble cossu, nous prîmes tous les quatre l’ascenseur. L’appartement était composé de grandes pièces avec des plateaux de petits fours et des flûtes de champagne disposés sur des tables basses. Nos hôtes nous présentèrent à leurs amis répartis un peu partout dans ce logement. Les lampadaires furent éteints et des chandeliers allumés. La pénombre permettait toutefois de bien distinguer les invités. Nous entendîmes un claquement et nous nous retournâmes. D’un coup de baguette, un homme rougissait le fessier d’une femme qui avait gardé son corsage. Une invitée nue et chaussée de bottes hautes était attachée en laisse. Son maître lui demanda de sucer le membre d’un participant qui parlait debout avec lui. Plus loin, une femme avec un phallus en ébène érigé au dessus de son nombril enculait un homme ravi de cette position. Notre hôte s’approcha et nous invita dans un boudoir où étaient assis deux hommes. L’un deux demanda à Myriam de se déshabiller et de s’asseoir face à eux. Il prit une canne avec l’extrémité de laquelle il fouina dans la chatte de mon amie. Soumise, elle s’accepta se s’agenouiller pour sucer les queues des quatre hommes dans la pièce. Quand mon tour de fellation vint, je restai immobile et coi. Ce bizutage se poursuivit par un jeu plus subtil.



Le maître promena Myriam nue dans l’appartement en demandant aux invité(e)s de choisir une carte dans un jeu où figuraient des positions érotiques. Cinq cartes furent ainsi tirées : une partie carrée ; une levrette complétée d’une fellation ; une double pénétration ; quatre hommes et une femme ; un duo lesbien. Une femme mince à forte poitrine embrassa Myriam en la caressant dans le dos. Elle descendit sa main vers le bas ventre et caressa la chatte. Mon ami se donnait ainsi devant les invités regroupés. Elle tendit sa croupe ce qui intéressa un homme de haute taille à la prendre en levrette. Sa partenaire s’éloigna et un autre homme présenta à l’entrée de la bouche ses deux couilles à lécher. Deux hommes lui demandèrent dans cette position de les masturber. Quand chacun eut assouvi son plaisir, le maître s’empala sur le cul de Myriam pendant qu’un invité la labourait par devant. Ainsi, rapidement, mon amie s’était acquittée de ses gages. Sa soumission lui offrait l’adoubement du groupe. Notre hôte la félicita et lui expliqua qu’elle pouvait à présent se montrer autoritaire envers les autres invités.



Nous nous isolâmes dans une petite salle où Myriam se toiletta et se rhabilla. Elle doutait de ses capacités à jouer la maîtresse, se considérant néophyte au regard des participants à cette soirée. Je l’encourageai pourtant à prendre l’initiative en suivant son instinct. Elle rejoignit les invités en claquant ses talons sur le parquet. Puis elle saisit une laisse ; enfila le collier au cou d’un jeune homme qui la suivit à genoux. Par intermittence, elle le fouettait sur le cul pour lui rappeler qu’il devait lui caresser les chevilles à l’arrêt. En croisant des femmes, elle leur proposa son partenaire prêt à leur lécher la chatte en cas de besoin. Prés d’une grande cheminée où copulaient deux couples, elle demanda à son partenaire de renifler les entre jambes des échangistes. Obéissant son partenaire suivit les instructions, la queue bien raide entre les jambes. En récompense, elle lui fit une fellation et lui donna congé. Nous décidâmes de partir ; aussi nous saluâmes en échangeant nos cartes de visite nos hôtes.



Myriam me confia avoir été excitée par ces relations de soumission et de domination. Elle m’informa cependant n’avoir pas assouvi son plaisir dans des positions de femme-objet et non réellement désirée. Avant de reprendre la voiture, nous revînmes dans le local sado-masochiste pour finir la soirée. Alors que nous buvions une eau de vie à la poire, nous entendîmes des petits cris provenant d’une pièce contiguë au bar. Curieux, nous y entrâmes et distinguâmes dans la pénombre trois hommes se partageant une femme qui laissait échapper des gémissements d’encouragement à ses partenaires. Nous nous approchâmes pour mieux mâter le spectacle. Etendue sur le dos, la femme avait les jambes maintenues en l’air par deux hommes, le troisième la pénétrant avec force en écrasant les seins. Son gros membre pistonnait la chatte, ses deux couilles tapant le cul de sa partenaire. Mon amie se blottit contre moi et me dit à l’oreille qu’elle enviait la femme. Nous nous assirent sur un sofa en regardant les ébats. Deux hommes nus robustes nous firent face avec leurs queues dans leurs mains. Opportune, Myriam se dévêtit et se laissa prendre par ces deux mâles qui l’excitaient en lui parlant grossièrement. La chatte se dilatait ce qui permettait des pénétrations plus profondes et rapides. Mon amie garda cette position pendant une bonne demi-heure sans connaître d’épuisement. Trois hommes à proximité la regardaient ; elle se leva et offrit son cul aux mateurs .Ces derniers la besognèrent successivement dans les deux orifices et éjaculèrent sur ses fesses. Myriam m’apparut satisfaite de la densité de ces échanges éphémères.



Je la conduisis jusqu’à l’entrée de son domicile en lui confirmant ma disponibilité pour une autre virée. Elle me remercia pour mon patronage et m’embrassa amicalement


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