Dialogue
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Dialogue
- O :Depuis que je suis veuve, depuis son accident je ne pense qu’à baiser.
- -M Et alors, je ne suis pas veuve, j’aime toujours baiser, surtout qu’il ne me rate jamais.
- -O :Dis-moi ce qu’il te fait, pour comparer.
- -M :C’est idiot, tu vas t’exciter pour rien.
- O :Et alors, je me mettrais nue, te me regarderas faire en m’accompagnant si tu veux
- M.Bon alors, voilà. Imagines que nous soyons au lit, lui à mes cotés. J’ai envie de jouir. Comme souvent il fait celui qui ne comprend pas. Je suis obligé de passer ma main sur sa queue qui grossit vite. Je n’ai même pas le plaisir de le branler, il grossit tout seul. Je me tourne sur le coté, seules mes fesses le touchent. J’ai toujours aimé que sa queue soit dans la raie. En plus je sens les poils de ses couilles sur le haut des cuisses.
- -O :Tu m’excite.
- -M :Je te l’avais bien dit. Déshabilles toi. Montres moi tes seins, tes gros seins. Je les embrasserais peut-être.
- -O :Continue.
- -M :Je me mets sur le ventre, il passe une main sur ma chatte : mon abricot est tout mouillé. Sa main est entre mes cuisses, elle caresse doucement le con. Tu me donne envie.
- -O :Toi aussi tu me donne envie,
- M.Il met des doigts dans le vagin, il les fait aller et venir comme s’il me baisait avec sa queue. Pourtant elle reste entre mes fesses. Je la sens battre contre moi. Je sais qu’il a envie de me la mettre. Je le fais attendre le plus possible. J’aime quand il s’impatiente qu’il a envie de me la mettre n’importe où. C’est moi qui décide là où je la veux. Je me mets en levrette, j’adore me faire baiser en levrette. Je prends sa queue avec la main droite, je la serre un peu, je la réchauffe encore plus. Je le fais entrer dans la figue. Je sens mes chairs s’écarter doucement quand il entre. Je serre les dents pour ne pas crier ma joie. Il tient mes seins avec ses mains, comme s’il avait peur que je les perde.
- O. Je vais me branler.
- M. Vas-y branles toi. Je mouille aussi. Quand il me la mise au fond, il ne bouge plus, pendant quelques précieuses secondes. Je le sens gonfler encore un peu. Il va et vient dans le corps, lentement puis plus vite. Il me fait jouir deux ou trois fois d’affilé ; C’est bon, c’est innommable de plaisir. Putain que je mouille. Tu te branles ?
- -O.Oui, je me doigte.
- -M.Fais moi le aussi.
- -O.Tu ne sais pas te branler ?
- - M.Si mais je voudrais que ce soit toi qui me le fasse.
- - O.Et moi alors ?
- - M.Je te sucerais après.
- - O.Non ensemble ;
Le désir les fait venir près de l’autre. Si l’une est nue, l’autre est presque pareille. Il ne reste qu’un vague soutien gorge à M pour tenir une opulente poitrine qui plait à son époux. Elle prend finalement l’initiative pour embrasser son amie sur la bouche : elle ne l’avoue pas et le désire depuis longtemps. Les mains parcourent les épaules, les dos et les seins. O se laisse faire, y prend un plaisir différent qu’avec un homme. C’est sa première fois avec une autre fille, autant en profiter. M elle sait que ce soir elle racontera tout à son ami. Elle se fera bien mieux baisée encore si c’est possible. O se serre contre la poitrine de son amie. C’est plus excitant de toucher les seins d’une autre avec ses pointes. Elle se laisse aller totalement, elle touche en l’effleurant le pubis de l’amie.
Elles frissonnent toutes les deux. O passe ses tétons sur le sexe de M. Elle masturbe longuement le sexe mouillé. M la demande pour aussi la caresser, la branler ou la lécher, elle ne sait elle-même. Ce serait la première minette qu’elle gouterait. Pouah ce soit être dégoutant. C’est dégoutant peut être, mais sacrément excitant, cette odeur fine ce goût à peine salé. Et le poids du corps de l’autre sur le sien…….. Se tourner avec elle dans un même mouvement. Poser les mains sur des fesses féminines douces, plus douces que celles d’un vulgaire homme. Et puis entrer d’abord un doigt puis un autre dans le puits des délices. En mettre un autre juste à coté, dans l’anus réceptif, autant sinon plus que le con.
Qui sait, après en avoir parlé à son homme, elle pourrait coucher avec elle et lui à la fois. Ce doit être bon d’avoir une queue dans le ventre et par derrière une langue qui fouille entre les fesses, ou l’inverse, une queue dans l’arrière train et une pine dans le zigomar ? En attendant elle a un doigt d’une autre fille dans le vagin avec un autre doigt à coté. Et si elle prenait la belle bite de son ami dans le bouche pour lui faire cracher son poison violent : l’orgasme total.
- -M Et alors, je ne suis pas veuve, j’aime toujours baiser, surtout qu’il ne me rate jamais.
- -O :Dis-moi ce qu’il te fait, pour comparer.
- -M :C’est idiot, tu vas t’exciter pour rien.
- O :Et alors, je me mettrais nue, te me regarderas faire en m’accompagnant si tu veux
- M.Bon alors, voilà. Imagines que nous soyons au lit, lui à mes cotés. J’ai envie de jouir. Comme souvent il fait celui qui ne comprend pas. Je suis obligé de passer ma main sur sa queue qui grossit vite. Je n’ai même pas le plaisir de le branler, il grossit tout seul. Je me tourne sur le coté, seules mes fesses le touchent. J’ai toujours aimé que sa queue soit dans la raie. En plus je sens les poils de ses couilles sur le haut des cuisses.
- -O :Tu m’excite.
- -M :Je te l’avais bien dit. Déshabilles toi. Montres moi tes seins, tes gros seins. Je les embrasserais peut-être.
- -O :Continue.
- -M :Je me mets sur le ventre, il passe une main sur ma chatte : mon abricot est tout mouillé. Sa main est entre mes cuisses, elle caresse doucement le con. Tu me donne envie.
- -O :Toi aussi tu me donne envie,
- M.Il met des doigts dans le vagin, il les fait aller et venir comme s’il me baisait avec sa queue. Pourtant elle reste entre mes fesses. Je la sens battre contre moi. Je sais qu’il a envie de me la mettre. Je le fais attendre le plus possible. J’aime quand il s’impatiente qu’il a envie de me la mettre n’importe où. C’est moi qui décide là où je la veux. Je me mets en levrette, j’adore me faire baiser en levrette. Je prends sa queue avec la main droite, je la serre un peu, je la réchauffe encore plus. Je le fais entrer dans la figue. Je sens mes chairs s’écarter doucement quand il entre. Je serre les dents pour ne pas crier ma joie. Il tient mes seins avec ses mains, comme s’il avait peur que je les perde.
- O. Je vais me branler.
- M. Vas-y branles toi. Je mouille aussi. Quand il me la mise au fond, il ne bouge plus, pendant quelques précieuses secondes. Je le sens gonfler encore un peu. Il va et vient dans le corps, lentement puis plus vite. Il me fait jouir deux ou trois fois d’affilé ; C’est bon, c’est innommable de plaisir. Putain que je mouille. Tu te branles ?
- -O.Oui, je me doigte.
- -M.Fais moi le aussi.
- -O.Tu ne sais pas te branler ?
- - M.Si mais je voudrais que ce soit toi qui me le fasse.
- - O.Et moi alors ?
- - M.Je te sucerais après.
- - O.Non ensemble ;
Le désir les fait venir près de l’autre. Si l’une est nue, l’autre est presque pareille. Il ne reste qu’un vague soutien gorge à M pour tenir une opulente poitrine qui plait à son époux. Elle prend finalement l’initiative pour embrasser son amie sur la bouche : elle ne l’avoue pas et le désire depuis longtemps. Les mains parcourent les épaules, les dos et les seins. O se laisse faire, y prend un plaisir différent qu’avec un homme. C’est sa première fois avec une autre fille, autant en profiter. M elle sait que ce soir elle racontera tout à son ami. Elle se fera bien mieux baisée encore si c’est possible. O se serre contre la poitrine de son amie. C’est plus excitant de toucher les seins d’une autre avec ses pointes. Elle se laisse aller totalement, elle touche en l’effleurant le pubis de l’amie.
Elles frissonnent toutes les deux. O passe ses tétons sur le sexe de M. Elle masturbe longuement le sexe mouillé. M la demande pour aussi la caresser, la branler ou la lécher, elle ne sait elle-même. Ce serait la première minette qu’elle gouterait. Pouah ce soit être dégoutant. C’est dégoutant peut être, mais sacrément excitant, cette odeur fine ce goût à peine salé. Et le poids du corps de l’autre sur le sien…….. Se tourner avec elle dans un même mouvement. Poser les mains sur des fesses féminines douces, plus douces que celles d’un vulgaire homme. Et puis entrer d’abord un doigt puis un autre dans le puits des délices. En mettre un autre juste à coté, dans l’anus réceptif, autant sinon plus que le con.
Qui sait, après en avoir parlé à son homme, elle pourrait coucher avec elle et lui à la fois. Ce doit être bon d’avoir une queue dans le ventre et par derrière une langue qui fouille entre les fesses, ou l’inverse, une queue dans l’arrière train et une pine dans le zigomar ? En attendant elle a un doigt d’une autre fille dans le vagin avec un autre doigt à coté. Et si elle prenait la belle bite de son ami dans le bouche pour lui faire cracher son poison violent : l’orgasme total.
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