Dominé pour la première fois - histoire érotique

J'ai 60 ans, je suis divorcé une première fois et remarié depuis 12 ans. J'ai eu pendant longtemps une sexualité "normale" c'est à dire hétérosexuelle même si je pense avoir toujours été aussi plus ou moins attiré par les hommes. J'aimais exhiber ma(mes) femme(s) – en faisant du nudisme sur la plage, en bord de rivière pendant les vacances, en Ardèche par exemple. Me montrer aussi, malgré – ou peut être à cause du fait que je ne me sente pas très bien dans ma peau – je suis plutôt –beaucoup- enveloppé (1m78 pour 90kg) et surtout je ne suis pas très "fier" de ma queue (16X4). Mais surtout, j'appréciais de voir les autres hommes, les voyeurs, nus leur bites plus ou moins grosses longues excitées etc … Je fantasmais à l'idée de les voir venir s'occuper de ma femme, la saillir, je les y aurais aidé, je l'aurais préparée, je les aurais introduits ….. Je n'ai jamais osé le faire et j'en ai toujours gardé une grande frustration.
C'est probablement ce qui m'a conduit, depuis quelque temps – en même temps que mes relations de couple devenaient de plus en plus "calmes" et moi de moins en moins "performant" -a envisager des relations avec les hommes. Dans mon fantasme, sur le mode domination-soumission.
J'ai donc commencé à fréquenter les lieux de rencontres que j'avais repérés. Parcs, aires repos etc. sans beaucoup de succès – quelques exhibs, branlettes, sucettes rapides, un peu honteuses.
Jusqu'à ce que je découvre, il y a 1 mois à peu près, un nouveau lieu, tranquille ou il est vraiment possible de "s'exprimer" : Un bois jouxtant une petite route désaffectée qui sert maintenant d'aire de repos et fait aussi office de lieu de rencontres C'est un peu loin de chez moi mais ça vaut le coup (si j'ose dire) de faire la route.
A l'occasion d'un déplacement, je m'y suis arrêté, pour pisser.
Pendant que je me soulageais, une voiture est arrivée – un homme au volant - qui s'est rangée un peu plus loin.
Je suis remonté dans ma voiture et – à tout hasard - allumé un cigarette avant de repartir. Au bout d'un petit moment, le mec est sorti de sa voiture – 30 – 35 ans peut être, grand et assez baraqué. Il est rentré dans le petit bois. J'ai encore attendu – on ne sait jamais, il allait peut être simplement pisser lui aussi ! – Comme il ne revenait pas j'ai décidé d'y aller aussi pour voir.
Je ne l'ai pas repéré tout de suite, il s'était enfoncé entre les arbres et s'il n'avait pas fait du bruit pour se signaler, je serais sans doute ressorti de suite.
Je me suis donc avancé dans sa direction pour m'arrêter un peu avant, préférant lui laisser l'initiative. J'ai ouvert ma braguette et commencé à me masturber. Il s'est approché et arrivé devant moi :
- "Baisse ta culotte"
Ca m'a donné comme une décharge électrique, ma jambe s'est même mise à trembler pendant que je dégrafais mon pantalon et le baissais. Je ne mets généralement pas de slip et c'était le cas ce jour là, je me suis donc retrouvé le cul nu devant lui. Il a eu un sourire satisfait
- "Remonte ta veste et ta chemise"
Voilà, ça y était : troussé devant cet homme à attendre la suite.
- « Petite bite dis donc ! Tu es marié ? »
- « Oui »
- « Et tu la baises souvent ? »
- « Non , plus trop »
- « Ca ne m’étonne pas et, de toutes façons, elle ne doit pas y trouver beaucoup son compte ! mais bon ! c’est un autre problème, sur lequel on pourra revenir éventuellement ! en attendant, tournes toi »
Ce que j'ai fait aussitôt, sans réfléchir.
- " Par contre, t'as un gros cul ! penches toi un peu ! cambre ta croupe !
Et voilà, j'obéissais ! et j'en avais envie ! et même si je ne bandais pas, j'étais très excité par la situation.
- "Bien, qu'est ce que tu aimes?"
- "Ca, obéir"
- "Très bien grosse salope, tu en veux, tu vas en avoir! "Et je reçois une première claque sur les fesses qui me fait bondir tellement je ne m'y attendais pas.
- " Remets toi en position et tiens toi tranquille! "
Je reçois une nouvelle claque sur l’autre fesse cette fois qui me fait sursauter à nouveau mais je m’efforce de ne pas bouger.
- " Bien ! écarte un peu les jambes maintenant "
Et une troisième tape, cette fois juste sur la raie, bien entre les cuisses, à frôler les couilles, bien forte qui me fait à nouveau bondir. Ca m’a fait mal et en même temps j’attends presque qu’il continue. Le lieu, la situation, ma position, cette fessée, tout ça m’excite au plus haut point, je ne bande toujours pas mais je sens dans mon ventre, dans ma bite, dans mes couilles une chaleur, comme un gonflement intérieur, presqu’une envie de jouir là tout de suite, que ça sorte que ça me libère …
- " Bien je vois que tu aimes ça aussi ! et quoi d’autre ? "
- " je sais pas, comme ça, oui … "
- " Mouilles toi le cul "

Cette fois ça y est ! Je franchis le pas ou non ? Je n’ai jamais encore "laissé" mes fesses, même ma femme ne me doigte pas. Bien sur, j’ai déjà "joué" avec un gode en me branlant, mais juste un peu, pas trop profond. Alors là ! et en plus, il est derrière moi, je ne le vois pas, je ne sais pas ce qu’il veut me faire après !!!!!!
Je mets mon doigt dans la bouche, je le salive bien et je vais me mouiller le trou .
- " Encore "
Encore, je me sens tout gluant et je sens une main se poser et m’écarter la raie, un doigt pointe à l’entrée.
- "Détends toi je vais t’examiner "
Son doigt me masse, ça glisse bien, ma jambe droite tremble de plus en plus, il s’enfonce, doucement, en tournant de droite à gauche, je me calme.
- " Bien ! C’est ça, ouvres toi "

Et il pousse et ça rentre et je le prends, jusqu’au bout . Il remue dedans et ça me fait du bien. Il ressort presque entièrement et rentre à nouveau, ressort puis recommence, son doigt me pistonne et je vais au devant, au devant du plaisir qui monte. Je commence à bander, un peu mou comme la plupart du temps, mais je sens que s'il continue je vais gicler rapidement.
Et il continue …en faisant des commentaires- sur mon gros cul qu'il va bien m'ouvrir – en me traitant de grosse pute, vieille salope vicieuse, et que j'ai intérêt à être docile si je ne veux pas qu'il me dresse …. Et ça rajoute à mon excitation. Je n'aurais jamais cru ça, me retrouver comme ça, et y prendre plaisir et attendre qu'il continue.
- " Bon c'est pas mal, mais pour prendre ma bite, il faut que tu t'assouplisses encore"
Et il présente un 2ème doigt qu'il rentre aussi, toujours doucement mais bien à fond et ça me fait un peu mal au début mais je ne proteste pas, au contraire, j'ai envie de gémir –comme la femelle consentante que je suis à ce moment. Je veux qu'il me prépare bien.
Et il continue à me fouiller, me masser l'intérieur et voilà, ça part - je jouis, de partout, mon sperme coule, je jouis du cul surtout, ça se contracte, je tremble, la tête me tourne je manque de tomber, je couine à moitié. C'est la première fois comme ça, incroyable !!
- " Eh ! grosse pute, tu m'as demandé la permission de jouir ?"
Maintenant la tension est retombée, je suis vidé (dans tous les sens du terme) mais je décide quand même de continuer le jeu.
- " Non, excusez moi"
- " Tu mériterais une bonne correction, mais tu ne perds rien pour attendre, pour le moment tu m'as excité, alors tu vas me faire le plaisir de me satisfaire"
Et il vient se mettre devant moi.
- " Sors ma bite !"
Je dégrafe sa braguette.
- "Non, ouvre mon pantalon !"
Je défais sa ceinture, son slip est gonflé et de belle manière.
- " Sors là !"
Je la sors. Euh là! Le morceau !! il me paraît énorme, bandé à mort, un gros gland rouge foncé qui goutte déjà. Je ne sais pas combien il peut faire mais à côté du mien !!!
- " Avales !"
Et j'obéis, je m'accroupis pour le prendre dans ma bouche. Il a un goût un peu fort, salé. Me voilà suceur maintenant ! Et il réagit tout de suite, il me prend par les cheveux et c'est lui qui me baise la bouche, il ne pousse pas trop fort mais quand même il va bien à fond et je suis obligé de le retenir, le repousser un peu pour ne pas étouffer. Mais j'accepte, je lui dois bien ça, Je l'entoure bien, je passe ma langue et, très vite, je le sens se contracter, il me plaque la tête contre son ventre et il me décharge tout. Je sens les saccades, 5 ou 6 au moins et il crie à moitié " Oh putain! Oh putain!". Et ça s'arrête mais il me garde un bon moment contre lui. J'en ai plein la bouche, je suffoque presque, j'en ai les larmes aux yeux. Enfin il se retire et je peux respirer, cracher surtout, j'ai l'impression qu'il y en a des litres. Il a sorti des mouchoirs et il s'essuye, il m'en tend un.
- " Merci"
- " C'était bien, tu es une bonne suceuse ! tu as aimé ?"
- " Oui"
- " Tant mieux, bon, là je dois y aller, mais si tu as envie d'en reprendre, je repasse ici jeudi prochain à la même heure à peu près. Tu pourras être là?"
- " Oui je pense"
- " Tu penses ou tu veux ?"
- " Je veux"
- " Bien ! mais en attendant je te conseille de continuer à t'assouplir le cul parce que tu n'y couperas pas de te faire enculer!"
- " Oui "
- " A la bonne heure, j'ai l'impression qu'on va s'amuser avec toi ma grosse pute, 17h00 donc jeudi prochain. Et à propos de ta femme, tu voudras bien venir avec, sur toi, une de ses culottes. OK?"
- " Oui"
- " Très bien, tu te gareras et tu attendras mes consignes dans ta voiture"
- " Oui"
- " Alors à plus"
Et il me donne une dernière claque sur les fesses en partant !

Toute la semaine qui a suivi je n'ai pensé qu'à ça. revoyant ce que j'avais accepté, fait : grosse pute en chaleur dont j'avais honte mais que je voulais être encore. J'ai imaginé toutes sortes de scénarios auxquels j'essayais de me préparer - j'ai même branlé ma femme à travers la culotte que j'avais choisi de mettre pour la rencontre afin qu'elle sente bien la femelle.

Le jour venu je me suis fait un lavement, j'ai enfilé la culotte et je suis parti. Et puis, au dernier moment, sur le point d'arriver, j'ai eu peur et j'ai fait demi tour.

Depuis je ne cesse de le regretter, je suis retourné plusieurs fois là bas, je ne l'ai pas revu ni même fait une rencontre intéressante.
Alors je me décide à publier ce récit pour le cas - improbable mais sait on jamais - ou il le lirait, se reconnaitrait et voudrait reprendre contact.