Dominique
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Dominique
Enfin mon rêve se réalise, depuis le temps que je l’attendais.
Je corresponds avec internet avec une copine depuis pas mal de temps. Elle me raconte parfois sa vie amoureuse qui n’est pas triste. C’est une femme mariée dans la quarantaine qui aime aussi les filles.
Elle m’a donné envie moi aussi de me lancer dans l’amour au féminin. C’est vachement dur de trouver une autre fille qui se donne comme ça, sur un simple claquement de doigts, comme on lit dans les histoires de sites connus. Depuis des mois, j’en suis réduite à me contenter e mes doigts. Ce n’est pas que je n’aime pas me donner du plaisir d’autant plus que mes fantasmes sont toujours avec une autre.
Ces dernières semaines, le patron a engagé une nouvelle employée au magasin. Elle doit avoir à peine 25 ans. Notre différence d’âge n’est pas réelle puisque j’ai à peine 30 ans. Quand je l’ai vue la première fois j’ai eu un choc, comme la première fois que j’ai vu celui qui allait devenir mon mari plus tard: il faut se rassurer, j’en ai vite divorcé.
J’ai eu comme un vertige, je volais légère dans tout ce que je faisais. Que dire alors quand nous nous sommes touchées, sans le faire exprès. Je ne faisais que passer derrière elle quand elle reculait. J’ai frôlé ses fesses avec mon ventre et son dos avec mes seins. J’en étais toute chose. En finissant le travail un soir, elle partait avec une de ses camarades: j’en étais jalouse. Bref j’étais tombée amoureuse d’elle dont je ne connaissais que le prénom: Dominique. Dans la vie de l’entreprise nos rapports étaient normaux, avec des sourires amicaux sans plus de sa part: elle faisait les même sourires aux autres.
Notre première conversation privée a un lieu dans un café, un matin avant d’aller au travail. Nous pouvions enfin bavarder de tout, même de rien. Presque tous les jours non prenions un petit noir ensemble: de quoi améliorer nos relations. Je ne pouvais pas me déclarer, alors je me racontais comme elle le faisait. Dominique avait eu une longue liaison avec un garçon qui l’avait dépucelée sans trop lui donner de plaisir cette première fois. Par contre les fois suivantes étaient parfaites. Travaillant en pleine ville il l’avait quittée. Maintenant elle se contentait toute seule.
Je n’osais pas lui dire que pour moi l’histoire était pratiquement la même, que je me satisfaisais seule. Nous n’étions pas les seules dans ce cas. Peu de femmes délaissées parlent ainsi. Pourtant elles doivent être nombreuses sans rien dire.
Une fin de semaine avec un pont assez long, je l’invitais à venir à la plage avec moi: nous pourrions manger au restau le soir, partir pour dormir en route et nous baigner. Ma proposition est accueillie avec joie: elle avait trouvé une amie pour la sortir de l’ambiance morose de la ville.
Nous nous retrouvons au restaurant: je poses des jalons pour l’emmener vers moi. Je prend sa main comme me le faisais mon ex: mes références ne sont pas très complètes. Elle me regarde en souriant, et lentement retire sa main. Je me fais encore un cinéma pas possible: si elle a attendu pour retirer sa main c’est qu’elle……….Je n’en sais strictement rien.
Nous roulons depuis plus de 2 heures quand je vois un petit hôtel apparaitre. Elle est d’accord: nous essayons d’avoir au moins une chambre. C’est la seule qui reste. Nous la prenons.
Je pense que je vais la voir en petite tenue, peut-être nue, qui sait dans mes bras.
Je mets du temps à me déshabiller lentement en ne me cachant pas du tout: elle prend une douche. Quand elle sort elle est nue.
- Excuses moi, d’être toute nue, je n’ai pas autre chose à me mettre.
- Ce n’est pas grave, je le suis aussi.
- J’ai vu, tu es bien fichue.
- Et toi aussi, en plus tu est sexy.
- Ne me dit pas que tu me cherche ?
- Si justement je te cherche.
- Tu m’a trouvée.
Elle vient vers moi. Finalement les choses se passent bien mieux que ce que je croyais. Elle ajoute:
- Tu sais se sera ma première fois avec une fille;
- Moi aussi. Embrasses moi.
Ainsi en un éclair une simple nudité de sa part et de la mienne font que nous sommes lèvres à lèvres. La suite est que nos langues se caressent en changeant de bouche sans arrêt. Le reste est encore à inventer.
Mon amie sur internet m’avait bien expliqué que pour bien faire l’amour entre filles il fallait ne pas oublier de caresser sans arrêt, presque jusqu’à n’en plus pouvoir ni une ni l’autre.
Caresser je veux bien, mais où et comment. Je n’ai pas de problème pour donner du plaisir à un homme. A une femme je saurais bien la faire jouir, en la branlant comme je me le fais, mais avant ?
Dominique me demande de faire ne chose toute simple qui m’avait échapper: nous coucher d’abord. Je me sens totalement idiote. Elle se couche la première. J’ai à peine le temps de vois qu’elle a le pubis rasé. J’en suis confuse, je porte mes poils. J’espère qu’elle ne m’en voudra pas.
Je reviens près d’elle. Ma bouche retourne sur la sienne. Je lui fait poser sa tête sur mon bras. Le reste suit: elle passe aussi un bras sur ma poitrine, sans me toucher les seins. Pourtant si elle savait comme j’ai envie qu’elle me pelote.
Je m’y suis mal prise: si je m’étais mise sur le ventre, je l’embrasserai pareil et mes mains pourraient lui montrer le chemin, je commencerais la première. Je suis encore surprise quand elle prend mon menton dans sa main pour mieux m’embrasser: sa langue pénètre au fond de ma bouche. Je mouille comme une éponge.
J’en ai assez, il faut que je fasse d’autre câlineries. De mon autre bras j’arrive enfin sur un sein: je le prend à pleine main, je caresse le mamelon et elle se laisse faire. Je caresse longuement le même sein qui gonfle sous ma main. Il m’encourage à descendre ma main sur le ventre plat de Dominique qui se laisse toujours faire. Je caresse son pubis avant de plonger ma main entière sur sa chatte.
Je suis la maitresse du monde: je vais la faire jouir. Elle écarte les jambes, juste ce qu’il faut pour que ma main aille dans son intimité. Elle est mouillée aussi, je cherche un peu son bouton: c’est ma première fois, je le trouve et ne sachant ce qu’elle aime, je fais comme pour moi. Il faut croire que nous nous branlons pareillement puisqu’elle en jouit. Je suis contente, surpris et heureuse, j’ai donné du plaisir à celle que j’aime.
Elle ne s’encombre pas de politesse, à son tour, elle me caresse à peine un sein, pour venir aussi sur ma chatte. J’écarte bien les jambes quand sa main est sur mon sexe. Qu’elle branle bien. Nous jouissons presque ensemble.
Nous arrêtons tout un moment pour nous consacrer aux baisers à faire: ils sont nombreux les endroits à embrasser, des seins aux fesses en passant par le cou et autres endroits que j’oublie.
Enfin je fais l’amour avec une autre fille. Mon amie avait raison, c’est plus que bon.
C’est Dominique qui a encore besoin de caresses, elle ne les demande pas, elle les provoque: elle frotte son corps contre le mien. Je mouille encore. Je crois qua ma cyprine doit déborder sur mon anus. Je sens ses seins sur le miens. J’ai envie d’elle: je me retourne pur lui lécher le sexe. Je ne l’ai jamais fait: on verra comment Dominique réagira. Elle écarte ses jambes pour laisser passer ma tête, Elle la tient comme si elle avait peur que j’arrête. Je passe ma langue surtout sur son clitoris,; je l’aspire également, je le frictionne énergiquement avec juste le bout de la langue.
Elle me surprends quand elle commence à gémir:
- C’est trop bon ce que te me fais, tu vas me faire jouir encore. Continue
Bien sur que je vais continuer, en changeant un peu d’endroit, je vais sur son vagin, j’y fait pénétrer encore ma langue. J’écarte bien ses lèvres pour découvrir encore son petit trou, tout en bas: il est mignon. Je le caresse un peu avant que mon doigt y entre doucement. Je le ressorts pour le mouiller d’avantage et le remettre cette fois plus profond. Je ne sais pas si ce que je fais en plus de la normale en est la cause, elle part dans un orgasme monumental qui la fait crier. Je lui ai donné un plaisir que je voudrai connaitre avec elle ensemble, nos sexe reliés à nos bouches. J’aimais faire des 69 avec mon ex mari, pourquoi pas avec elle. Je soulève un peu mon corps pour lui donner ma chatte. Elle l’accepte immédiatement et sa langue à son tour donne du plaisir à une sexe féminin.
Sa langue doit être encore meilleur que la mienne. Si elle gémissait je crois que je commençais à crier de plus en plus fort.
- Que c’est bon, continue, baises moi encore. Oui, oui.
Comme tout à l’heure nous sommes ensemble au rendez vous des orgasmes. Nous ne nous séparons plus dans cette position. Nous y trouvons trop de plaisir surtout quand elle pose sa langue sur mon petit trou. Elle le lèche come le clitoris, elle me donne encore un de ces plaisirs fous que je commence à adorer. Et que dire quand je sesn la langue pénétrer dans mon cul. Je crois devenir folle.
Pourquoi j’ai perdu tant de temps sans fille. Pourquoi les premiers émois n’étaient pas avec une de me semblable.
- Je t’aime. Je t’aime, continues à me baiser, n’arrêtes pas;
- Moi aussi je t’aime, baisons encore longtemps, tant pis pour la plage.
Je corresponds avec internet avec une copine depuis pas mal de temps. Elle me raconte parfois sa vie amoureuse qui n’est pas triste. C’est une femme mariée dans la quarantaine qui aime aussi les filles.
Elle m’a donné envie moi aussi de me lancer dans l’amour au féminin. C’est vachement dur de trouver une autre fille qui se donne comme ça, sur un simple claquement de doigts, comme on lit dans les histoires de sites connus. Depuis des mois, j’en suis réduite à me contenter e mes doigts. Ce n’est pas que je n’aime pas me donner du plaisir d’autant plus que mes fantasmes sont toujours avec une autre.
Ces dernières semaines, le patron a engagé une nouvelle employée au magasin. Elle doit avoir à peine 25 ans. Notre différence d’âge n’est pas réelle puisque j’ai à peine 30 ans. Quand je l’ai vue la première fois j’ai eu un choc, comme la première fois que j’ai vu celui qui allait devenir mon mari plus tard: il faut se rassurer, j’en ai vite divorcé.
J’ai eu comme un vertige, je volais légère dans tout ce que je faisais. Que dire alors quand nous nous sommes touchées, sans le faire exprès. Je ne faisais que passer derrière elle quand elle reculait. J’ai frôlé ses fesses avec mon ventre et son dos avec mes seins. J’en étais toute chose. En finissant le travail un soir, elle partait avec une de ses camarades: j’en étais jalouse. Bref j’étais tombée amoureuse d’elle dont je ne connaissais que le prénom: Dominique. Dans la vie de l’entreprise nos rapports étaient normaux, avec des sourires amicaux sans plus de sa part: elle faisait les même sourires aux autres.
Notre première conversation privée a un lieu dans un café, un matin avant d’aller au travail. Nous pouvions enfin bavarder de tout, même de rien. Presque tous les jours non prenions un petit noir ensemble: de quoi améliorer nos relations. Je ne pouvais pas me déclarer, alors je me racontais comme elle le faisait. Dominique avait eu une longue liaison avec un garçon qui l’avait dépucelée sans trop lui donner de plaisir cette première fois. Par contre les fois suivantes étaient parfaites. Travaillant en pleine ville il l’avait quittée. Maintenant elle se contentait toute seule.
Je n’osais pas lui dire que pour moi l’histoire était pratiquement la même, que je me satisfaisais seule. Nous n’étions pas les seules dans ce cas. Peu de femmes délaissées parlent ainsi. Pourtant elles doivent être nombreuses sans rien dire.
Une fin de semaine avec un pont assez long, je l’invitais à venir à la plage avec moi: nous pourrions manger au restau le soir, partir pour dormir en route et nous baigner. Ma proposition est accueillie avec joie: elle avait trouvé une amie pour la sortir de l’ambiance morose de la ville.
Nous nous retrouvons au restaurant: je poses des jalons pour l’emmener vers moi. Je prend sa main comme me le faisais mon ex: mes références ne sont pas très complètes. Elle me regarde en souriant, et lentement retire sa main. Je me fais encore un cinéma pas possible: si elle a attendu pour retirer sa main c’est qu’elle……….Je n’en sais strictement rien.
Nous roulons depuis plus de 2 heures quand je vois un petit hôtel apparaitre. Elle est d’accord: nous essayons d’avoir au moins une chambre. C’est la seule qui reste. Nous la prenons.
Je pense que je vais la voir en petite tenue, peut-être nue, qui sait dans mes bras.
Je mets du temps à me déshabiller lentement en ne me cachant pas du tout: elle prend une douche. Quand elle sort elle est nue.
- Excuses moi, d’être toute nue, je n’ai pas autre chose à me mettre.
- Ce n’est pas grave, je le suis aussi.
- J’ai vu, tu es bien fichue.
- Et toi aussi, en plus tu est sexy.
- Ne me dit pas que tu me cherche ?
- Si justement je te cherche.
- Tu m’a trouvée.
Elle vient vers moi. Finalement les choses se passent bien mieux que ce que je croyais. Elle ajoute:
- Tu sais se sera ma première fois avec une fille;
- Moi aussi. Embrasses moi.
Ainsi en un éclair une simple nudité de sa part et de la mienne font que nous sommes lèvres à lèvres. La suite est que nos langues se caressent en changeant de bouche sans arrêt. Le reste est encore à inventer.
Mon amie sur internet m’avait bien expliqué que pour bien faire l’amour entre filles il fallait ne pas oublier de caresser sans arrêt, presque jusqu’à n’en plus pouvoir ni une ni l’autre.
Caresser je veux bien, mais où et comment. Je n’ai pas de problème pour donner du plaisir à un homme. A une femme je saurais bien la faire jouir, en la branlant comme je me le fais, mais avant ?
Dominique me demande de faire ne chose toute simple qui m’avait échapper: nous coucher d’abord. Je me sens totalement idiote. Elle se couche la première. J’ai à peine le temps de vois qu’elle a le pubis rasé. J’en suis confuse, je porte mes poils. J’espère qu’elle ne m’en voudra pas.
Je reviens près d’elle. Ma bouche retourne sur la sienne. Je lui fait poser sa tête sur mon bras. Le reste suit: elle passe aussi un bras sur ma poitrine, sans me toucher les seins. Pourtant si elle savait comme j’ai envie qu’elle me pelote.
Je m’y suis mal prise: si je m’étais mise sur le ventre, je l’embrasserai pareil et mes mains pourraient lui montrer le chemin, je commencerais la première. Je suis encore surprise quand elle prend mon menton dans sa main pour mieux m’embrasser: sa langue pénètre au fond de ma bouche. Je mouille comme une éponge.
J’en ai assez, il faut que je fasse d’autre câlineries. De mon autre bras j’arrive enfin sur un sein: je le prend à pleine main, je caresse le mamelon et elle se laisse faire. Je caresse longuement le même sein qui gonfle sous ma main. Il m’encourage à descendre ma main sur le ventre plat de Dominique qui se laisse toujours faire. Je caresse son pubis avant de plonger ma main entière sur sa chatte.
Je suis la maitresse du monde: je vais la faire jouir. Elle écarte les jambes, juste ce qu’il faut pour que ma main aille dans son intimité. Elle est mouillée aussi, je cherche un peu son bouton: c’est ma première fois, je le trouve et ne sachant ce qu’elle aime, je fais comme pour moi. Il faut croire que nous nous branlons pareillement puisqu’elle en jouit. Je suis contente, surpris et heureuse, j’ai donné du plaisir à celle que j’aime.
Elle ne s’encombre pas de politesse, à son tour, elle me caresse à peine un sein, pour venir aussi sur ma chatte. J’écarte bien les jambes quand sa main est sur mon sexe. Qu’elle branle bien. Nous jouissons presque ensemble.
Nous arrêtons tout un moment pour nous consacrer aux baisers à faire: ils sont nombreux les endroits à embrasser, des seins aux fesses en passant par le cou et autres endroits que j’oublie.
Enfin je fais l’amour avec une autre fille. Mon amie avait raison, c’est plus que bon.
C’est Dominique qui a encore besoin de caresses, elle ne les demande pas, elle les provoque: elle frotte son corps contre le mien. Je mouille encore. Je crois qua ma cyprine doit déborder sur mon anus. Je sens ses seins sur le miens. J’ai envie d’elle: je me retourne pur lui lécher le sexe. Je ne l’ai jamais fait: on verra comment Dominique réagira. Elle écarte ses jambes pour laisser passer ma tête, Elle la tient comme si elle avait peur que j’arrête. Je passe ma langue surtout sur son clitoris,; je l’aspire également, je le frictionne énergiquement avec juste le bout de la langue.
Elle me surprends quand elle commence à gémir:
- C’est trop bon ce que te me fais, tu vas me faire jouir encore. Continue
Bien sur que je vais continuer, en changeant un peu d’endroit, je vais sur son vagin, j’y fait pénétrer encore ma langue. J’écarte bien ses lèvres pour découvrir encore son petit trou, tout en bas: il est mignon. Je le caresse un peu avant que mon doigt y entre doucement. Je le ressorts pour le mouiller d’avantage et le remettre cette fois plus profond. Je ne sais pas si ce que je fais en plus de la normale en est la cause, elle part dans un orgasme monumental qui la fait crier. Je lui ai donné un plaisir que je voudrai connaitre avec elle ensemble, nos sexe reliés à nos bouches. J’aimais faire des 69 avec mon ex mari, pourquoi pas avec elle. Je soulève un peu mon corps pour lui donner ma chatte. Elle l’accepte immédiatement et sa langue à son tour donne du plaisir à une sexe féminin.
Sa langue doit être encore meilleur que la mienne. Si elle gémissait je crois que je commençais à crier de plus en plus fort.
- Que c’est bon, continue, baises moi encore. Oui, oui.
Comme tout à l’heure nous sommes ensemble au rendez vous des orgasmes. Nous ne nous séparons plus dans cette position. Nous y trouvons trop de plaisir surtout quand elle pose sa langue sur mon petit trou. Elle le lèche come le clitoris, elle me donne encore un de ces plaisirs fous que je commence à adorer. Et que dire quand je sesn la langue pénétrer dans mon cul. Je crois devenir folle.
Pourquoi j’ai perdu tant de temps sans fille. Pourquoi les premiers émois n’étaient pas avec une de me semblable.
- Je t’aime. Je t’aime, continues à me baiser, n’arrêtes pas;
- Moi aussi je t’aime, baisons encore longtemps, tant pis pour la plage.
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