Doux aveux
Récit érotique écrit par Helene2012 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Doux aveux
Pouvais-je avouer à mon mari que depuis que j’étais enceinte je n’arrêtais pas de me masturber. Déjà qu’il ne savait pas que j’avais été une jeune fille masturbatrice grondée par sa mère qui se masturbait en secret elle aussi ! Il partait tous les lundis matins pour son travail et ne rentrait que le vendredi soir mais il me téléphonait tous les jours et il me racontait des cochonneries et c’est comme ça qu’il m’a demandé que je me masturbe pour lui, au téléphone, jusqu’à l’orgasme.
Le vendredi soir, bien qu’il soit fatigué, nous faisions toujours l’amour. J’en ai toujours eu besoin et je m’étais vite lassée de lui faire des pipes dans sa voiture quand on se fréquentait et la première fois qu’il m’a baisée pour de vrai ça a été dans un sous-bois alors que je venais de faire pipi accroupie, devant lui, à côté de la voiture. Jusque là, je lui avais toujours dit que je voulais rester vierge jusqu’à ce qu’on soit mariés pour lui faire ce cadeau lors de notre nuit de noces mais je savais bien que c’était ridicule.
Je me masturbais en secret et je suçais la bite de mon fiancé et je le branlais. J’avais même avalé sa semences plusieurs fois. C’était excitant de pisser comme ça, devant lui. Une sorte de soumission. Il avait regardé jaillir ma pisse entre mes cuisses. Je sentais l’air frais du soir sur mes fesses nues. Toi, ma fille, ai-je alors pensé, ça va te faire du bien de te faire prendre par une bite ! Ça te changera de tes crayons, stylos, carottes et bougies qui t’ont initiée. Je me suis relevée sans m’essuyer parce que j’avais oublié de prendre un mouchoir en papier dans mon sac et quelques gouttes ont coulé sur mes jambes.
- Je suis désolé, ai-je dit à mon futur mari, j’ai eu tort, j’avais des préjugés ridicules, je ne peux plus résister, j’ai besoin d’être baisée !
Il s’est laissé faire. L’hypocrite, il bandait déjà et ça faisait une bosse dans son pantalon. J’ai sorti sa bite. Le gland était déjà dégagé du prépuce et je me suis penchée pour poser un baiser dessus puis j’ai retiré ma culotte et mon ami a voulu que je me déshabille complètement et me voilà complètement nue dans la fraîcheur du soir et lui qui se déshabille à son tour et nous voilà nus tous les deux dans la lueur de la pleine lune.
J’avais honte de mes seins que je trouvais bien trop gros à l’époque et de mes aréoles immenses et sombres qui me faisaient ressembler à une nourrice. Un court instant, j’ai cru que mon mari avait peur de faire la chose mais il m’a retournée et il m’a couchée sur le capot. Je pense aujourd’hui que ça a ressemblé à un viol parce qu’il a tout fait tout seul. Une fois les seins écrasés sur le capot, mon ami m’a écarté les jambes et sa bite s’est enfoncée sans hésitation.
J’étais prise et officiellement j’avais perdu ma virginité. Il n’avait plus qu’à mais ça a été trop rapide pour que j’y prenne vraiment du plaisir. J’étais surtout contente d’être enfin une femme. Je ressens encore aujourd’hui les puissants jets de sperme qui ont inondé mon vagin. Le premier surtout, fort comme un coup de karcher et qui m’a préparée à recevoir les aux autres giclées.
Nous sommes restés sans bouger, collés l’un dans l’autre comme un couple de chiens. Je sens encore la bite qui vibrait et toujours raide au fond de mon ventre et les doigts de mon amant qui me prétrissaient la poitrine. Mon ami m’a traité de putain et de salope et j’étais plutôt flattée qu’il pense ça de moi. Au moins, ça voulait dire que j’avais su tenir mon rang et que je n’étais plus une gamine mais une vraie femelle. Une femelle assez bonne pour donner du plaisir à son partenaire.
Nous sommes restés collés jusqu’à ce que le membre ramollisse et se retire tout seul. Mon ami me regardait et je me suis sentie assez humiliée pour lui demander ce qu’il regardait :
- Tu as les seins qui tombent, a-t-il fini par me dire !
Quel idiot ! Bien sûr que mes seins tombaient ! Forcément, vu leur volume et leur poids ! On n’a rien sans rien ! Il a ajouté que c’était comme si ils allaient se détacher comme des fruits trop murs. Il n’avait pas tort parce qu’à leur attache, il ne faisaient guère plus qu’un centimètre d’épaisseur. J’ai toujours l’impression qu’ils ont toujours été comme ça car ils ont poussé très vite quand j’avais douze ans. A quatorze, mes seins étaient plus gros que ceux de ma mère qui, pourtant… Il suffit que je me penche pour que leur attache reprenne un peu de rondeur. Il suffit que mon mari me prenne en levrette !
J’aurais bien voulu qu’on se bécotte mais mon fiancé se contentait de me regarder et de me toucher du bout des doigts. Il m’a avoué qu’il était allé voir une putain justement le jour précédant notre rencontre et que je ne pouvais rien lui reprocher à cause de ça. Sur le coup, j’étais un peu jalouse et je lui ai demandé comment ils avaient fait pour la… chose et il m’a répondu qu’ils avaient juste parlé, qu’ils s’étaient mis d’accord pour qu’elle lui montre ses seins. Il avait choisi une fille jeune, plutôt mince avec de gros nichons, un peu dans mon genre mais d’après lui ses seins étaient moins beaux que les miens, bien trop gros, bien trop moches, presque pas d’aréole et encore moins de mamelon… Il a attrapé les miens du bout de ses doigts et il les a pincés. J’avais envie de pleurer tellement ça me faisait mal puis il les a tortillés et j’ai caché mes larmes en baissant la tête. Je vois ses doigts et mes mamelons tortillés mais ça m’était égal. Il aurait pu prendre une branche et me fouetter avec les fesses et les seins que je ne me serais pas plainte. Il aurait pu enrouler une corde s’il en avait eu une autour de me seins et me suspendre avec comme il l’a fait plus tard que je lui aurais pardonné mais il n’en a rien fait.
Il m’a juste demandé si j’arrivais à me téter et je lui ai montré que je pouvais le faire facilement. J’ai soulevé mes seins dans mes mains et je me suis tétée. Je l’avais souvent fait et ça m’était très agréable. Ne me manquait plus que d’avoir du lait. J’avais une voisine qui en avait tant qu’elle se servait d’une trayeuse électrique qu’elle avait louée à la pharmacie pour se traire et elle mettait le lait dans son frigidaire. Elle me l’avait montré et j’avais pu voir qu’elle en tirait presqu’un litre tous les jours. Je lui ai dit aussi que je ferais la même chose mais je n’en ai pas eu le courage même si j’ai utilisé moi aussi une trayeuse. C’était plus par vice parce que je donnais déjà mon lait à ma fille et aussi à mon mari quand il était là le week-end. Je m’en servais pour m’exciter, et faire disparaître mes mamelons et mes aréoles dans le tube et aussi mon clitoris.
C’était ma revanche car je voulais être plus putain que la putain qu’était allé voir mon mari avant notre rencontre. C’est pour ça que je lui ai proposé de m’enculer. Il avait eu peur de le faire mais j’ai insisté. Il m’a enculé et pendant plusieurs mois ça a été notre seule façon de faire l’amour jusqu’à ce qu’on recommence à faire l’amour normalement et que ses spermatozoïdes ne rencontrent mon ovule.
Je l’ai su tout de suite en me relevant du lit pour aller me laver. La semence s’écoulait de mon vagin sur mes cuisses quand j’ai dit à mon mari que j’étais prise. Il avait suffit d’un instant. J’étais prise. Il m’avait engrossée. Ne restait plus qu’à attendre ce moment que j’avais toujours souhaité : que mon ventre soit assez gros pour que personne ne puisse plus ignorer que j’étais enceinte mais ce sont mes seins qui ont commencé la danse car ils n’ont pas tardé à enfler. Me voilà avec des nichons énormes, aussi gros que des ballons de rugby et l’envie, le besoin de me masturber en plus de faire l’amour.
Au début, c’était toujours aussi facile. Pas de gros ventre pour gêner mon bras. Pas besoin d’en faire le tour. Mes doigts facilement sur ma chatte et même dans mon vagin. Je serrais mon index et mon majeur l’un contre l’autre et je les enfonçais dans mon trou et avec mon pouce j’écrasais mon clitoris. Il ne me fallait pas longtemps. Tout au plus dix minutes avant d’avoir le rouge aux joues et l’impression que j’allais mourir comme ça m’était souvent arrivé quand j’étais jeune fille. Un soir, ma mère m’avait surprise dans ma chambre. Là encore, j’avais eu l’impression que j’allais mourir. Oh, ma chérie m’avait-elle dit avant de découvrir ce que j’avais fait, qu’est-ce qu’il y a ? Tu es malade ? C’était facile. Il lui avait suffit de soulever le drap et de suivre mon bras du regard. J’avais encore les doigts plongés dans mon pot de confiture. Oh, chérie, avait-elle ajouté en posant sa main sur mon front… Elle n’avait rien dit de plus. Ça faisait longtemps que je savais qu’elle se masturbait en l’absence de mon père et quand il était là, ils se disputaient, même au lit quand elle lui disait qu’elle ne voulait pas faire ses cochonneries et qu’il lui répondait qu’elle était sa femme et qu’il avait le droit de l’enculer. Pendant longtemps j’avais entendu ma mère dire qu’il lui faisait mal mais elle avait fini par accepter de subir ce qu’elle appelait le vice de mon père. Je me rappelle encore ce que mon père avait répondu à ma grand-mère, sa belle-mère qui lui demandait comment ça allait, au lit, entre sa fille et son gendre. Mon père lui avait répondu que ma mère aimait ça et même bien plus qu’une honnête femme n’aurait dû l’aimer. Je sais bien qu’il avait fait ce qu’il fallait pour choquer sa belle-mère. Je ne crois pas que ma mère ait démenti. Je l’ai juste entendu dire qu’elle s’était mariée pour le meilleur et le pire et qu’il y avait souvent du pire dans le meilleur et que c’est bien souvent le pire qui est le meilleur du meilleur.
Mon ami s’était mis à rebander. Il faisait un peu plus frais et la lune se cachait derrière un nuage. Je me suis agenouillée et mon ami m’a baisée dans la bouche, jusqu’au bout et j’ai encore avalé la semence. Ça ne me plaisait pas au début mais je m’appréciais de plus même si ça faisait de moi une anthropophage comme je l’avais entendu dire à la télé. Ça valait tout de même mieux que de manger son bébé. J’avais chaud et froid à la fois et il nous a bien fallu repartir. Je me suis rhabillée. Un baiser avant de repartir. J’avais pourtant besoin de beaucoup plus et je me suis réveillée dans mon lit pour me masturber et jouir une fois de plus.
C’était avant notre mariage. Hier, ma fille aînée est venue me rendre visite. Elle a sonné et j’ai été étonné parce qu’elle était venue sans prévenir et nous voilà toutes les deux face à face dans la cuisine, chacune de notre côté de la table.
- Maman, j’ai fait l’amour hier au soir avec une femme !
Ça ne m’a pas vraiment surprise que ma fille ait de tels fantasmes… Après tout, ne dit-on pas telle mère telle fille ? Nous sommes restées sans rien dire avant que je ne lui demande ce qu’il y avait entre elle et son ami. Il n’y avait rien à l’en croire et tout allait bien.
- Tu ne me demandes pas qui c’est, a ajouté ma fille, visiblement énervée par mon silence ?
Je lui ai répondu que ça ne me regardait pas et que ça ne concernait qu’elle mais visiblement ma réponse ne lui a pas plu.
- C’est Corinne, a-t-elle ajouté ! Tu te souviens de Corinne, non ? Nous étions inséparables quand nous étions à la petite école !
Corinne ! Tout à coup je me suis rappelée de cette gamine qui venait chez nous passer les mercredi après-midi quand sa mère nous la confiait. Je me souvenais aussi de la photo prise lors d’une petite fête. Elles étaient déguisées, toutes ces gamines, en danseuses avec leur tutu et leur collant rose que moi tout comme les autres parents avions dû coudre.
-Eh bien, je l’ai rencontrée dans la galerie marchande, a poursuivi ma fille et ça a tout de suite été le coup de foudre !
Je suis restée sans rien dire ce qui ne m’empêchait pas de regarder ma fille.
- Tu ne veux pas savoir ce qu’on a fait, a-t-elle encore ajouté ?
- Tu es lesbienne ?
- Mais non, a rugi ma fille ! Je ne suis pas lesbienne ! J’ai juste baisé avec elle et j’en ai honte ! J’ai honte de m’être laissée surprendre !
- Peut-être que tu es bisexuelle, lui ai-je répliqué ? J’ai lu quelque part que c’était de plus en plus courant…
- Maman ! Tu me vois bisexuelle ? J’avais juste envie de baiser avec elle !
Je lui ai demandé si elles allaient se revoir mais elle n’avait pas envie de me répondre puis après un long silence ma fille a ajouté qu’elle l’avait avoué à son ami, enfin, qu’elle lui avait téléphoné ce matin pour lui avouer mais qu’il n’avait pas eu l’impression…
- L’impression de quoi, ai-je insisté ?
- J’avais l’impression qu’il… que ça ne l’intéressait pas de savoir, a continué ma fille ! Pourtant, il est jaloux comme un poux et il veut savoir tout ce que je fais quand il n’est pas là !
J’avais soudain l’impression de ne pas connaître ma fille aînée. Ma mère m’avait surprise à me masturber et j’avais surpris moi aussi ma fille et je l’avais même observée plusieurs fois pendant qu’elle se masturbait. Cela la rendait encore plus jolie malgré ses grimaces. Elle se courbait et son ventre se soulevait à l’approche de l’orgasme. Elle était vulgaire elle aussi quand elle avait fini et qu’elle disait : Putain, j’aime ça ou putain, que c’est bon, il me faut une queue ! Une fois, alors qu’elle s’était servie de ses doigts, elle s’est levée de son lit et elle avait fouillé dans son armoire. Elle en avait sorti un énorme gode transparent, cylindrique et à peine arrondi aux deux bouts et ma fille était remontée sur son lit. Ah, putain, tu vas rentrer, avait-elle pleuré pendant de longues minutes jusqu’à ce que le godemiché disparaisse dans son vagin puis elle avait tourné en rond dans sa chambre. Je me cachais derrière l’entrebâillure de la porte de sa chambre et je voyais tout ? Ah, putain, tu n’as pas fini ! Tu as besoin d’être punie ! Ma fille avait replongé dans son armoire et celle fois elle en avait sorti un plug anal. Ma fille s’est penchée sur le lit et j’ai eu l’impression qu’elle avait choisi cette position pour que je puisse la voir faire. Le plug avait disparu dans son anus et retenu par le renflement et la rondelle qui restait coincée entre les fesses, elle a repris sa ronde dans la chambre avant de se coucher.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, je me suis demandée si je n’avais pas rêvé et je suis allée dans la chambre de ma fille qui était partie au lycée et j’ai fouillé l’armoire. Je n’ai rien trouvé. Ni gode transparent ni plug anal mais quand elle est rentrée du lycée, j’ai bien remarqué qu’elle marchait avec un curieux déhanchement. Elle m’a dit qu’elle était fatiguée et qu’elle se changeait avant d’aller voir ses copines. J’ai attendu dans la cuisine et quand j’ai entendu claquer la porte de l’entrée je suis retournée dans la chambre de ma fille aînée et j’ai à nouveau fouillé dans son armoire. Ils étaient là, cachés sous des sous-vêtements, le godemiché et le plug anal et quand je les ai reniflés, ils sentaient encore la petite fille salle et j’ai compris que ma fille les avaient gardés sur elle toute la nuit et toute la journée, bien en place. Je n’avais jamais fait ça. J’ai relevé ma robe et j’ai écarté ma petite culotte et je me suis enfoncée le godemiché. Il était froid, voire glacé mais j’ai compris que ma fille pouvait aimer l’avoir bien caché au fond de son ventre et quand je me suis enfoncé le plug anal dans l’anus, j’ai eu des frémissements et j’ai compris qu’il fallait que je me masturbe là, tout de suite, dans la chambre de ma fille. Son père et ses frères et sœur ne rentreraient que plus tard et j’avais le temps. Je me suis agenouillée et il fallait que je me mette nue pour expier les fantasmes et les besoins que ma fille avait hérité de moi. J’ai retiré mes vêtements et une main sur la poitrine et l’autre sur mon clitoris j’ai commencé à me masturber.
C’était une sensation que je ne connaissais pas, différente. Avoir le vagin occupé ainsi que l’anus et n’avoir que mon clitoris et mes seins à caresser. J’ai eu plusieurs orgasmes et je n’en pouvais plus et j’ai rampé sur le tapis et dans le couloir jusqu’à ma chambre. Il fallait que je récupère, que je remette les deux objets à leur place dans leur armoire sous les sous-vêtements de ma fille. Je ne sais pas combien de temps je suis restée à quatre sans bouger. Je regardais mon visage dans le miroir de mon armoire et je me traitais de salope, de vicieuse, de putain la bouche ouverte sans que n’en sorte un seul son puis j’ai chassé le godemiché de mon ventre. Ce fut comme un nouvel accouchement puis j’ai tiré le plug de mon anus. J’avais enfin la force de me relever. J’ai caché les godes dans l’armoire de ma fille et j’ai ramassé mes vêtements sur son tapis. Il était temps. Mon mari rentrait avec nos autres enfants. Je me suis mise deux claques sur les joues. J’étais prête à nouveau, moi la mère exemplaire !
- Maman ! Réagi ! J’ai compris que j’aime ça faire l’amour avec une femme ! Enfin, c’est Corinne !
J’étais incapable de réagir.
- Maman ! Dis-moi ce que je dois faire, a insisté ma fille !
Je ne savais pas quoi lui répondre et j’étais même un peu jalouse.
- Tu dois savoir, a-t-elle insisté ! Qu’est-ce que je fais ?
Je lui ai demandé si elle avait envie de continuer avec Corinne et si Corinne le voulait elle aussi.
- Ce que j’ai surtout aimé c’est quand elle m’a fait un fist, a ajouté ma fille !
- Un fist…
- Oui, un fist, a répété ma fille ! J’en ai pourtant fait des trucs, mais son fist c’est ce que j’ai trouvé de plus excitant ! C’est comme un accouchement, mais à l’envers, comme si on voulait retourner dans le ventre qui nous a donné la vie, a ajouté ma fille ! Tu n’as jamais essayé ?
J’étais prise par surprise. Je n’avais jamais essayé ça. Elle m’aurait demandé si je me faisais sodomiser par son père que j’aurais pu lui répondre, mais ça… Il me fourrait tous ses doigts mais il n’avait jamais osé m’enfoncer toute sa main. Je m’agenouillais et il se mettait derrière moi et il m’enfonçait ses doigts et il enfonçait son pouce dans mon anus ou il l’écrasait sur mon clitoris. J’aimais bien qu’il me masturbe parce que je pouvais voir mes seins bouger. Ils remuaient comme peut remuer de la gélatine, d’avant en arrière et de gauche à droite. Dis-moi quand ça vient, me demandait-il et je lui répondais qu’il avait fati de moi une putain, sa putain. Ça le faisait rire.
Je regardais ma ville. A vingt-deux ans, elle avait encore l’air d’être une gamine et elle cachait bien son jeu. Je me souviens encore du jour où elle m’avait montré son piercing au clitoris.
FIN
Le vendredi soir, bien qu’il soit fatigué, nous faisions toujours l’amour. J’en ai toujours eu besoin et je m’étais vite lassée de lui faire des pipes dans sa voiture quand on se fréquentait et la première fois qu’il m’a baisée pour de vrai ça a été dans un sous-bois alors que je venais de faire pipi accroupie, devant lui, à côté de la voiture. Jusque là, je lui avais toujours dit que je voulais rester vierge jusqu’à ce qu’on soit mariés pour lui faire ce cadeau lors de notre nuit de noces mais je savais bien que c’était ridicule.
Je me masturbais en secret et je suçais la bite de mon fiancé et je le branlais. J’avais même avalé sa semences plusieurs fois. C’était excitant de pisser comme ça, devant lui. Une sorte de soumission. Il avait regardé jaillir ma pisse entre mes cuisses. Je sentais l’air frais du soir sur mes fesses nues. Toi, ma fille, ai-je alors pensé, ça va te faire du bien de te faire prendre par une bite ! Ça te changera de tes crayons, stylos, carottes et bougies qui t’ont initiée. Je me suis relevée sans m’essuyer parce que j’avais oublié de prendre un mouchoir en papier dans mon sac et quelques gouttes ont coulé sur mes jambes.
- Je suis désolé, ai-je dit à mon futur mari, j’ai eu tort, j’avais des préjugés ridicules, je ne peux plus résister, j’ai besoin d’être baisée !
Il s’est laissé faire. L’hypocrite, il bandait déjà et ça faisait une bosse dans son pantalon. J’ai sorti sa bite. Le gland était déjà dégagé du prépuce et je me suis penchée pour poser un baiser dessus puis j’ai retiré ma culotte et mon ami a voulu que je me déshabille complètement et me voilà complètement nue dans la fraîcheur du soir et lui qui se déshabille à son tour et nous voilà nus tous les deux dans la lueur de la pleine lune.
J’avais honte de mes seins que je trouvais bien trop gros à l’époque et de mes aréoles immenses et sombres qui me faisaient ressembler à une nourrice. Un court instant, j’ai cru que mon mari avait peur de faire la chose mais il m’a retournée et il m’a couchée sur le capot. Je pense aujourd’hui que ça a ressemblé à un viol parce qu’il a tout fait tout seul. Une fois les seins écrasés sur le capot, mon ami m’a écarté les jambes et sa bite s’est enfoncée sans hésitation.
J’étais prise et officiellement j’avais perdu ma virginité. Il n’avait plus qu’à mais ça a été trop rapide pour que j’y prenne vraiment du plaisir. J’étais surtout contente d’être enfin une femme. Je ressens encore aujourd’hui les puissants jets de sperme qui ont inondé mon vagin. Le premier surtout, fort comme un coup de karcher et qui m’a préparée à recevoir les aux autres giclées.
Nous sommes restés sans bouger, collés l’un dans l’autre comme un couple de chiens. Je sens encore la bite qui vibrait et toujours raide au fond de mon ventre et les doigts de mon amant qui me prétrissaient la poitrine. Mon ami m’a traité de putain et de salope et j’étais plutôt flattée qu’il pense ça de moi. Au moins, ça voulait dire que j’avais su tenir mon rang et que je n’étais plus une gamine mais une vraie femelle. Une femelle assez bonne pour donner du plaisir à son partenaire.
Nous sommes restés collés jusqu’à ce que le membre ramollisse et se retire tout seul. Mon ami me regardait et je me suis sentie assez humiliée pour lui demander ce qu’il regardait :
- Tu as les seins qui tombent, a-t-il fini par me dire !
Quel idiot ! Bien sûr que mes seins tombaient ! Forcément, vu leur volume et leur poids ! On n’a rien sans rien ! Il a ajouté que c’était comme si ils allaient se détacher comme des fruits trop murs. Il n’avait pas tort parce qu’à leur attache, il ne faisaient guère plus qu’un centimètre d’épaisseur. J’ai toujours l’impression qu’ils ont toujours été comme ça car ils ont poussé très vite quand j’avais douze ans. A quatorze, mes seins étaient plus gros que ceux de ma mère qui, pourtant… Il suffit que je me penche pour que leur attache reprenne un peu de rondeur. Il suffit que mon mari me prenne en levrette !
J’aurais bien voulu qu’on se bécotte mais mon fiancé se contentait de me regarder et de me toucher du bout des doigts. Il m’a avoué qu’il était allé voir une putain justement le jour précédant notre rencontre et que je ne pouvais rien lui reprocher à cause de ça. Sur le coup, j’étais un peu jalouse et je lui ai demandé comment ils avaient fait pour la… chose et il m’a répondu qu’ils avaient juste parlé, qu’ils s’étaient mis d’accord pour qu’elle lui montre ses seins. Il avait choisi une fille jeune, plutôt mince avec de gros nichons, un peu dans mon genre mais d’après lui ses seins étaient moins beaux que les miens, bien trop gros, bien trop moches, presque pas d’aréole et encore moins de mamelon… Il a attrapé les miens du bout de ses doigts et il les a pincés. J’avais envie de pleurer tellement ça me faisait mal puis il les a tortillés et j’ai caché mes larmes en baissant la tête. Je vois ses doigts et mes mamelons tortillés mais ça m’était égal. Il aurait pu prendre une branche et me fouetter avec les fesses et les seins que je ne me serais pas plainte. Il aurait pu enrouler une corde s’il en avait eu une autour de me seins et me suspendre avec comme il l’a fait plus tard que je lui aurais pardonné mais il n’en a rien fait.
Il m’a juste demandé si j’arrivais à me téter et je lui ai montré que je pouvais le faire facilement. J’ai soulevé mes seins dans mes mains et je me suis tétée. Je l’avais souvent fait et ça m’était très agréable. Ne me manquait plus que d’avoir du lait. J’avais une voisine qui en avait tant qu’elle se servait d’une trayeuse électrique qu’elle avait louée à la pharmacie pour se traire et elle mettait le lait dans son frigidaire. Elle me l’avait montré et j’avais pu voir qu’elle en tirait presqu’un litre tous les jours. Je lui ai dit aussi que je ferais la même chose mais je n’en ai pas eu le courage même si j’ai utilisé moi aussi une trayeuse. C’était plus par vice parce que je donnais déjà mon lait à ma fille et aussi à mon mari quand il était là le week-end. Je m’en servais pour m’exciter, et faire disparaître mes mamelons et mes aréoles dans le tube et aussi mon clitoris.
C’était ma revanche car je voulais être plus putain que la putain qu’était allé voir mon mari avant notre rencontre. C’est pour ça que je lui ai proposé de m’enculer. Il avait eu peur de le faire mais j’ai insisté. Il m’a enculé et pendant plusieurs mois ça a été notre seule façon de faire l’amour jusqu’à ce qu’on recommence à faire l’amour normalement et que ses spermatozoïdes ne rencontrent mon ovule.
Je l’ai su tout de suite en me relevant du lit pour aller me laver. La semence s’écoulait de mon vagin sur mes cuisses quand j’ai dit à mon mari que j’étais prise. Il avait suffit d’un instant. J’étais prise. Il m’avait engrossée. Ne restait plus qu’à attendre ce moment que j’avais toujours souhaité : que mon ventre soit assez gros pour que personne ne puisse plus ignorer que j’étais enceinte mais ce sont mes seins qui ont commencé la danse car ils n’ont pas tardé à enfler. Me voilà avec des nichons énormes, aussi gros que des ballons de rugby et l’envie, le besoin de me masturber en plus de faire l’amour.
Au début, c’était toujours aussi facile. Pas de gros ventre pour gêner mon bras. Pas besoin d’en faire le tour. Mes doigts facilement sur ma chatte et même dans mon vagin. Je serrais mon index et mon majeur l’un contre l’autre et je les enfonçais dans mon trou et avec mon pouce j’écrasais mon clitoris. Il ne me fallait pas longtemps. Tout au plus dix minutes avant d’avoir le rouge aux joues et l’impression que j’allais mourir comme ça m’était souvent arrivé quand j’étais jeune fille. Un soir, ma mère m’avait surprise dans ma chambre. Là encore, j’avais eu l’impression que j’allais mourir. Oh, ma chérie m’avait-elle dit avant de découvrir ce que j’avais fait, qu’est-ce qu’il y a ? Tu es malade ? C’était facile. Il lui avait suffit de soulever le drap et de suivre mon bras du regard. J’avais encore les doigts plongés dans mon pot de confiture. Oh, chérie, avait-elle ajouté en posant sa main sur mon front… Elle n’avait rien dit de plus. Ça faisait longtemps que je savais qu’elle se masturbait en l’absence de mon père et quand il était là, ils se disputaient, même au lit quand elle lui disait qu’elle ne voulait pas faire ses cochonneries et qu’il lui répondait qu’elle était sa femme et qu’il avait le droit de l’enculer. Pendant longtemps j’avais entendu ma mère dire qu’il lui faisait mal mais elle avait fini par accepter de subir ce qu’elle appelait le vice de mon père. Je me rappelle encore ce que mon père avait répondu à ma grand-mère, sa belle-mère qui lui demandait comment ça allait, au lit, entre sa fille et son gendre. Mon père lui avait répondu que ma mère aimait ça et même bien plus qu’une honnête femme n’aurait dû l’aimer. Je sais bien qu’il avait fait ce qu’il fallait pour choquer sa belle-mère. Je ne crois pas que ma mère ait démenti. Je l’ai juste entendu dire qu’elle s’était mariée pour le meilleur et le pire et qu’il y avait souvent du pire dans le meilleur et que c’est bien souvent le pire qui est le meilleur du meilleur.
Mon ami s’était mis à rebander. Il faisait un peu plus frais et la lune se cachait derrière un nuage. Je me suis agenouillée et mon ami m’a baisée dans la bouche, jusqu’au bout et j’ai encore avalé la semence. Ça ne me plaisait pas au début mais je m’appréciais de plus même si ça faisait de moi une anthropophage comme je l’avais entendu dire à la télé. Ça valait tout de même mieux que de manger son bébé. J’avais chaud et froid à la fois et il nous a bien fallu repartir. Je me suis rhabillée. Un baiser avant de repartir. J’avais pourtant besoin de beaucoup plus et je me suis réveillée dans mon lit pour me masturber et jouir une fois de plus.
C’était avant notre mariage. Hier, ma fille aînée est venue me rendre visite. Elle a sonné et j’ai été étonné parce qu’elle était venue sans prévenir et nous voilà toutes les deux face à face dans la cuisine, chacune de notre côté de la table.
- Maman, j’ai fait l’amour hier au soir avec une femme !
Ça ne m’a pas vraiment surprise que ma fille ait de tels fantasmes… Après tout, ne dit-on pas telle mère telle fille ? Nous sommes restées sans rien dire avant que je ne lui demande ce qu’il y avait entre elle et son ami. Il n’y avait rien à l’en croire et tout allait bien.
- Tu ne me demandes pas qui c’est, a ajouté ma fille, visiblement énervée par mon silence ?
Je lui ai répondu que ça ne me regardait pas et que ça ne concernait qu’elle mais visiblement ma réponse ne lui a pas plu.
- C’est Corinne, a-t-elle ajouté ! Tu te souviens de Corinne, non ? Nous étions inséparables quand nous étions à la petite école !
Corinne ! Tout à coup je me suis rappelée de cette gamine qui venait chez nous passer les mercredi après-midi quand sa mère nous la confiait. Je me souvenais aussi de la photo prise lors d’une petite fête. Elles étaient déguisées, toutes ces gamines, en danseuses avec leur tutu et leur collant rose que moi tout comme les autres parents avions dû coudre.
-Eh bien, je l’ai rencontrée dans la galerie marchande, a poursuivi ma fille et ça a tout de suite été le coup de foudre !
Je suis restée sans rien dire ce qui ne m’empêchait pas de regarder ma fille.
- Tu ne veux pas savoir ce qu’on a fait, a-t-elle encore ajouté ?
- Tu es lesbienne ?
- Mais non, a rugi ma fille ! Je ne suis pas lesbienne ! J’ai juste baisé avec elle et j’en ai honte ! J’ai honte de m’être laissée surprendre !
- Peut-être que tu es bisexuelle, lui ai-je répliqué ? J’ai lu quelque part que c’était de plus en plus courant…
- Maman ! Tu me vois bisexuelle ? J’avais juste envie de baiser avec elle !
Je lui ai demandé si elles allaient se revoir mais elle n’avait pas envie de me répondre puis après un long silence ma fille a ajouté qu’elle l’avait avoué à son ami, enfin, qu’elle lui avait téléphoné ce matin pour lui avouer mais qu’il n’avait pas eu l’impression…
- L’impression de quoi, ai-je insisté ?
- J’avais l’impression qu’il… que ça ne l’intéressait pas de savoir, a continué ma fille ! Pourtant, il est jaloux comme un poux et il veut savoir tout ce que je fais quand il n’est pas là !
J’avais soudain l’impression de ne pas connaître ma fille aînée. Ma mère m’avait surprise à me masturber et j’avais surpris moi aussi ma fille et je l’avais même observée plusieurs fois pendant qu’elle se masturbait. Cela la rendait encore plus jolie malgré ses grimaces. Elle se courbait et son ventre se soulevait à l’approche de l’orgasme. Elle était vulgaire elle aussi quand elle avait fini et qu’elle disait : Putain, j’aime ça ou putain, que c’est bon, il me faut une queue ! Une fois, alors qu’elle s’était servie de ses doigts, elle s’est levée de son lit et elle avait fouillé dans son armoire. Elle en avait sorti un énorme gode transparent, cylindrique et à peine arrondi aux deux bouts et ma fille était remontée sur son lit. Ah, putain, tu vas rentrer, avait-elle pleuré pendant de longues minutes jusqu’à ce que le godemiché disparaisse dans son vagin puis elle avait tourné en rond dans sa chambre. Je me cachais derrière l’entrebâillure de la porte de sa chambre et je voyais tout ? Ah, putain, tu n’as pas fini ! Tu as besoin d’être punie ! Ma fille avait replongé dans son armoire et celle fois elle en avait sorti un plug anal. Ma fille s’est penchée sur le lit et j’ai eu l’impression qu’elle avait choisi cette position pour que je puisse la voir faire. Le plug avait disparu dans son anus et retenu par le renflement et la rondelle qui restait coincée entre les fesses, elle a repris sa ronde dans la chambre avant de se coucher.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, je me suis demandée si je n’avais pas rêvé et je suis allée dans la chambre de ma fille qui était partie au lycée et j’ai fouillé l’armoire. Je n’ai rien trouvé. Ni gode transparent ni plug anal mais quand elle est rentrée du lycée, j’ai bien remarqué qu’elle marchait avec un curieux déhanchement. Elle m’a dit qu’elle était fatiguée et qu’elle se changeait avant d’aller voir ses copines. J’ai attendu dans la cuisine et quand j’ai entendu claquer la porte de l’entrée je suis retournée dans la chambre de ma fille aînée et j’ai à nouveau fouillé dans son armoire. Ils étaient là, cachés sous des sous-vêtements, le godemiché et le plug anal et quand je les ai reniflés, ils sentaient encore la petite fille salle et j’ai compris que ma fille les avaient gardés sur elle toute la nuit et toute la journée, bien en place. Je n’avais jamais fait ça. J’ai relevé ma robe et j’ai écarté ma petite culotte et je me suis enfoncée le godemiché. Il était froid, voire glacé mais j’ai compris que ma fille pouvait aimer l’avoir bien caché au fond de son ventre et quand je me suis enfoncé le plug anal dans l’anus, j’ai eu des frémissements et j’ai compris qu’il fallait que je me masturbe là, tout de suite, dans la chambre de ma fille. Son père et ses frères et sœur ne rentreraient que plus tard et j’avais le temps. Je me suis agenouillée et il fallait que je me mette nue pour expier les fantasmes et les besoins que ma fille avait hérité de moi. J’ai retiré mes vêtements et une main sur la poitrine et l’autre sur mon clitoris j’ai commencé à me masturber.
C’était une sensation que je ne connaissais pas, différente. Avoir le vagin occupé ainsi que l’anus et n’avoir que mon clitoris et mes seins à caresser. J’ai eu plusieurs orgasmes et je n’en pouvais plus et j’ai rampé sur le tapis et dans le couloir jusqu’à ma chambre. Il fallait que je récupère, que je remette les deux objets à leur place dans leur armoire sous les sous-vêtements de ma fille. Je ne sais pas combien de temps je suis restée à quatre sans bouger. Je regardais mon visage dans le miroir de mon armoire et je me traitais de salope, de vicieuse, de putain la bouche ouverte sans que n’en sorte un seul son puis j’ai chassé le godemiché de mon ventre. Ce fut comme un nouvel accouchement puis j’ai tiré le plug de mon anus. J’avais enfin la force de me relever. J’ai caché les godes dans l’armoire de ma fille et j’ai ramassé mes vêtements sur son tapis. Il était temps. Mon mari rentrait avec nos autres enfants. Je me suis mise deux claques sur les joues. J’étais prête à nouveau, moi la mère exemplaire !
- Maman ! Réagi ! J’ai compris que j’aime ça faire l’amour avec une femme ! Enfin, c’est Corinne !
J’étais incapable de réagir.
- Maman ! Dis-moi ce que je dois faire, a insisté ma fille !
Je ne savais pas quoi lui répondre et j’étais même un peu jalouse.
- Tu dois savoir, a-t-elle insisté ! Qu’est-ce que je fais ?
Je lui ai demandé si elle avait envie de continuer avec Corinne et si Corinne le voulait elle aussi.
- Ce que j’ai surtout aimé c’est quand elle m’a fait un fist, a ajouté ma fille !
- Un fist…
- Oui, un fist, a répété ma fille ! J’en ai pourtant fait des trucs, mais son fist c’est ce que j’ai trouvé de plus excitant ! C’est comme un accouchement, mais à l’envers, comme si on voulait retourner dans le ventre qui nous a donné la vie, a ajouté ma fille ! Tu n’as jamais essayé ?
J’étais prise par surprise. Je n’avais jamais essayé ça. Elle m’aurait demandé si je me faisais sodomiser par son père que j’aurais pu lui répondre, mais ça… Il me fourrait tous ses doigts mais il n’avait jamais osé m’enfoncer toute sa main. Je m’agenouillais et il se mettait derrière moi et il m’enfonçait ses doigts et il enfonçait son pouce dans mon anus ou il l’écrasait sur mon clitoris. J’aimais bien qu’il me masturbe parce que je pouvais voir mes seins bouger. Ils remuaient comme peut remuer de la gélatine, d’avant en arrière et de gauche à droite. Dis-moi quand ça vient, me demandait-il et je lui répondais qu’il avait fati de moi une putain, sa putain. Ça le faisait rire.
Je regardais ma ville. A vingt-deux ans, elle avait encore l’air d’être une gamine et elle cachait bien son jeu. Je me souviens encore du jour où elle m’avait montré son piercing au clitoris.
FIN
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah non, il faut continuer, moi je veux savoir comment tu te travailles les seins, tes
magnifiques mamelles ?
Bisous sur tes tétons
magnifiques mamelles ?
Bisous sur tes tétons
Très jolie histoire.
tres bien l histoire,,,,,,,,,,,,merci et bise