dressage 2
Récit érotique écrit par c-levis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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dressage 2
DRESSAGE. 2ème séance
Ma femme, très satisfaite de la première séance où la Maîtresse m’obligea à faire le petit chien, décida de m’envoyer parfaire mon éducation lors d’une deuxième séance, plus chere certes, mais beaucoup plus hard, pour mon grand malheur. La Maîtresse se montra effectivement beaucoup plus sadique que lors de première séance. L’humiliation fut terrible pour moi.
Lorsque j’arrivais à ce fameux rendez vous obligatoire, je fus reçu par une jeune (et très jolie) jeune femme que je ne connaissais pas, vêtue très sexy (jupe courte, chemisier échancré, bas, talons,…). Elle m’expliqua que notre Maîtresse serait un peu en retard et qu’en l’attendant, elle était chargée de me préparer :
-Va dans la pièce d’à côté et enfile tous les vêtements, et j’ai bien dit tous sans exception, qui ont été préparés pour toi. Tu as deux minutes pour revenir totalement changé. Chaque minute de retard équivaudra à une fessée que t’administrera la Maîtresse.
Après la première séance, j’étais décidé à prendre les choses à la légère. Faire le petit chien ou le cheval, être contraint de faire des toilettes intimes à des femmes inconnues, même très très sales, certes cela me gênait énormément, mais j’étais bien décidé à ne pas laisser paraître mon embarras. Non vraiment, rien ne pourrait plus m’atteindre désormais et j’étais bien décidé à prendre les choses à la légère et à m’amuser. C’est donc l’esprit tranquille que je me rendis dans la pièce voisine, décidé à me changer très rapidement.
Mais ô surprise, les seuls vêtements que je découvris étaient des vêtements féminins. Je les examinai, incrédule. Je cherchais tout autour de moi s’il n’y avait rien d’autre. Mais non. Il n’y avait que cela. Le temps passait vite. Que faire ? Je commençais à paniquer. Mes engagements de tout à l’heure étaient en train de s’envoler. Enfiler des vêtements de femme ? Non, je ne pouvais pas. J’examinais en tremblant les jolies choses que la Maîtresse m’avait préparées si sadiquement. Une petite robe légère, une jolie culotte blanche, des bas et des portes jarretelles. Quelle honte. Moi si masculin, si macho, m’obliger à enfiler ces petites choses si féminines. Je ne pouvais pas.
- Déjà quatre minutes de passées, dit une petite voix dans la pièce d’à côté.
Mon esprit cherchait désespérément une solution à cette situation catastrophique. Chaque minute allongeait ma punition, mais je ne pouvais me résoudre à obéir à ces ordres immondes. Je tremblais de la tête aux pieds. Et si elle me prenait en photos dans cette tenue ? Quelle horreur. Si mes amis me voyaient un jour dans cette tenue ridicule.
- Huit minutes.
Je n’avais pas le choix ; je devais obéir. Je me dévêtis lentement et enfilais encore plus lentement et maladroitement les douces affaires qui m’étaient réservées. Après avoir mis le porte jarretelle, je passais la robe. La sensation étrange du tissu flottant légèrement sur mon corps me troubla. Il me fut particulièrement pénible d’enfiler les bas (ces choses ô combien féminines) dont l’attache me posa de gros problèmes et une perte de temps incalculable. Je crus ne pas y parvenir. Mais le pire restait à venir. Je pris la délicieuse petite culotte blanche qui m’était destinée et la déliai pour la passer. Ce n’est qu’à cet instant que je découvris qu’elle n’était pas aussi blanche que je le pensais. En fait, elle avait été portée auparavant par une femme (qui ?) et de toute évidence plusieurs jours de suite. La couleur du fonds et surtout l’odeur abominable qui s’en dégageait ne laissait aucun doute. Comment pouvait-on me faire subir une telle humiliation ?
- Douze minutes.
Je surmontais mon horreur et doucement enfilait le délicat tissu. Mon dégoût s’intensifia encore lorsque la culotte entra en contact avec mes fesses. Maintenant, il fallait ouvrir la porte et me présenter devant une personne inconnue, de sexe féminin, et qui, bien entendu, n’allait pas se gêner pour se moquer de moi. Comment pourrais-je supporter le regard et les ricanements de cette jeune fille ? Je cherchais encore désespéramment une issue à cette horrible situation. N’y avait-il vraiment aucun autre vêtement autour de moi ? Non, bien sûr.
Un miracle peut être ? Non, bien sûr, pas de miracle. Tandis que la douce voix disait « quinze minutes », j’ouvris tout doucement la porte et pénétrais dans la pièce où se trouvait ma tortionnaire. Son rire me glaça d’effroi.
- Comme tu es belle, ma chérie. Comme tu es séduisante, sexy.
Elle riait et riait encore, me traitant encore de pucelle, entre autre. Je ressentais la plus grande honte de ma vie. Elle me fit marcher dans la pièce. Je devais faire comme si j’étais un mannequin en train de défiler. Puis elle me fit pencher en avant et me caressa doucement les fesses, comme je savais si bien le faire aux femmes, sauf que là, j’étais la femme et que cette caresse m’horrifiait au plus haut point. La Maîtresse assistante s’aperçut que j’avais pris soin de ne pas remonter complètement la culotte pour que les salissures du fonds ne soient pas trop en contact avec mon cul.
- Tu as peur d’attraper des maladies, on dirait. Pourtant il paraît que tu as, dans le passé, reniflé et même léché des culottes aussi sales que celle ci.
Et sans que je ne puisse intervenir, elle me la remonta très haut et m’enfonça bien le fonds dans ma raie. Je sentais parfaitement les immondes salissures au contact de mon intimité. C’était affreux.
Ensuite, elle me fit faire quelques exercices de flexion pour, me dit-elle, que je ressente encore mieux les choses. Il est vrai qu’outre les sensations tactiles, s’ajoutaient les sensations olfactives. L’odeur de l’immonde culotte remontait jusqu’à mes narines à chaque fois que je m’accroupissais. Elle me fit encore accroupir.
- Ecarte bien les jambes, je veux voir ta petite culotte. Ca ne te gène pas, n’est ce pas ?
Si. Cela me gênait énormément. Moi qui avais toujours pris un malin plaisir à découvrir à leur insu les petites culottes des filles, je me retrouvais dans la situation inversée. Et c’était très désagréable. La petite vicieuse faisait durer le plaisir tout en m’insultant sur la saleté visible et l’odeur nauséabonde qui se dégageait de sous ma robe.
La Maîtresse s’assit sur une chaise.
- Bon, passons à la petite fessée promise. Nous avons dit quinze minutes de retard… Allez, viens t’allonger sur mes jambes.
Je dus m’éxécuter. Elle commença par me caresser les fesses par dessus la robe, enfonçant encore la culotte dans ma raie, puis releva ma robe sur mon dos, caressa encore mes fesses sur la culotte. Elle abaissa ensuite doucement ma culotte et me caressa encore se moquant de nouveau de moi :
- Tu es trop poilue, il faudra que je te rase, dit-elle en riant.
Quelle honte, quelle position inconfortable. Puis les claques commencèrent à tomber sur mes fesses. Pas très douloureuses certes, mais tellement humiliante.
Elle me fit enfin relever et m’ordonna de me reculotter.
- Je dois t’attacher sur le canapé en attendant le retour de notre Maîtresse.
Je dus m’allonger sur le dos, bras et jambes écartés. Elle m’attacha solidement aux quatre coins.
Tu sais, j’ai un petit secret à te dire. J’ai un problème avec notre Maîtresse. Je subis actuellement un dressage car elle trouve que je ne sais pas contrôler ma vessie. D’ailleurs elle m’appelle la pisseuse. Je n’ai le droit d’aller aux toilettes que quatre fois par jour sous sa surveillance. Le reste de la journée, les WC sont fermés. C’est très dur pour moi et lorsque je ne peux pas me retenir, je suis sévèrement punie. J’espère que tu ne m’en voudras pas, mais j’ai une idée qui à mon avis ne va pas te plaire. Je vais faire pipi sur ton entre jambe et ainsi la Maîtresse te punira toi, et non moi. J’étais horrifié. Je me retrouvais solidement lié, incapable de me défendre et cette salope allait uriner son moi. Je la vis monter sur le canapé, se positionner jambes écartées de chaque côté de mon bas ventre. Elle remonta sa courte jupe, découvrant sa culotte qu’elle fit lentement glisser sur ses jambes et malgré mes suppliques désespérées, s’accroupit inexorablement.
- Humm, que ça va faire du bien de se soulager enfin.
Alors que je me résignais à mon triste sort, n’espérant plus de miracle, elle se ravisa soudain.
- J’ai une autre idée, mais je crois que suis décidément trop gentille. Je te propose quelque chose. Si tu veux, au lieu de te pisser sur l’entre jambe, je te propose de le faire dans ta bouche. Si tu avales tout, la Maîtresse ne saura rien et tu éviteras une terrible punition. Mais tu as le choix, je ne t’oblige pas. Je sais que boire de la pisse n’a rien de réjouissant, mais bon…
Quel choix abominable ! Avaler le pipi d’une inconnue ou subir une douloureuse punition ? Et si je ne parvenais pas à tout avaler et que je subissais malgré tout la punition ? Je paniquais et cherchais désespérément une solution, attendant de nouveau un miracle. Mais rien, bien sûr. J’étais seul, tout seul.
- Dépêche-toi, je n’en peux plus. Je te promets que je ferais tout doucement pour que tu puisses bien avaler sans recracher. T’inquiètes pas, ce ne sera pas très long. Essaie de penser à autre chose.
Je finis par choisir la deuxième solution. Ma tortionnaire se releva, descendit du canapé et retourna dans la pièce d’à côté. Elle revint un instant après tenant dans sa main un entonnoir. Elle me le mit dans la bouche. Puis de nouveau, baissa sa culotte et releva sa robe. Elle recula au dessus de ma tête se penchant légèrement en arrière. Je découvris sa merveilleuse croupe, ses fesses rebondies et apparemment très fermes. Elle se plaça au dessus de l’entonnoir en le maintenant d’une main. Je voyais maintenant parfaitement son anus et sa vulve bien ouverts à quelques centimètres de mon visage. Je sentais également parfaitement ses puissantes odeurs, anales et vaginales, mélange de vieux pipi, de sécrétions intimes et d’anus mal nettoyé. J’étais à la fois écœuré et excité. Mais le pire de l’écœurement allait maintenant débuter.
- Tu es prêt, je vais commencer, me dit la petite garce.
Un premier petit jet me surprit. Le chaud et infâme liquide coula brusquement dans ma bouche. C’était infecte. Avaler me semblait impossible.
- Tu as avalé ? Je peux t’en redonner un peu ?
Je n’avais plus le temps de réfléchir, j’avalais. Beurk ! Quelle horreur. C’était plus affreux que je ne le pensais. Mais pas le temps de réfléchir, une deuxième giclée pénétrait déjà insidieusement dans ma gorge. J’aurais voulu hurler mon dégoût, mais je ne pouvais pas. Avaler était ma seule obsession. Elle tenait sa promesse et les jets se succédaient avec une lenteur régulière. Je l’en aimais presque pour cette gentille attention, alors que cette truie me pissait dans la bouche. Le temps me paraissait interminable. Ca semblait devoir ne jamais se terminer et chaque goulée était plus difficile à avaler que la précédente. Je pensais vomir à chaque fois. Je sentais l’ignoble liquide me remplir l’estomac. C’était intolérable. Et la honte d’être dans cette position incroyable ! Et pourtant, je me rendis subitement compte que je bandais. Cette incroyable situation m’excitait. Etais je en train de devenir maso ? ..
- Une dernière petite goutte et c’est fini. Je suis fière de toi, tu sais, je n’aurais jamais cru que tu avalerais tout. J’ai du t’en mettre prêt d’un litre. En tout cas, moi, ça m’a fait du bien.
Elle se releva, se rhabilla et m’ôta l’entonnoir. J’attendis encore de longues minutes dans cette position humiliante. Puis la vraie Maîtresse rentra. Elle me regarda, méprisante. J’avais honte.
- A-t-elle été sage ?
- Assez. Très obéissante, en tout cas, très docile.
Je fus bientôt détaché et pus me relever. La Maîtresse me fit à nouveau défiler devant elle se moquant à son tour de ma tenue ridicule.
- Au fait, combien de temps a mis notre charmante amie pour s’habiller dans cette si jolie robe ?
- 23 minutes, répondit sadiquement la jeune fille, tout en me souriant.
- 23 minutes ! Mais c’est une blague ! Pourquoi as-tu été aussi longue ? Ce n’est pas si difficile que cela à enfiler. Bon, je suppose que tu connais la sanction à cette désobéissance. Allez, sur mes genoux et surtout, je ne veux pas t’entendre crier. Tu es un homme, n’oublies pas, quand même.
La fessée fut terrible. Rien à voir avec la précédente. Mes fesses rougissaient à vue d’œil. La souffrance me faisait miauler et supplier comme une petite fille. Quelle honte !
- Dorénavant, c’est ton épouse qui poursuivra ton éducation.
Comment ça mon épouse ? Il n’était pas possible que ma femme sache ce que je subis depuis maintenant deux semaines ?
- Et oui, ta femme sait tout. Je vais te dire la vérité. C’est elle qui t’a envoyé vers moi. Elle m’a demandé d’enquêter sur toi pour prouver ton infidélité. Et quand je lui ai fourni les preuves, elle m’a demandé de te punir mais maintenant, c’est elle qui te punira sur mes conseils. On va bien s’amuser, tu verras… Hi hi hi…
Ma femme, très satisfaite de la première séance où la Maîtresse m’obligea à faire le petit chien, décida de m’envoyer parfaire mon éducation lors d’une deuxième séance, plus chere certes, mais beaucoup plus hard, pour mon grand malheur. La Maîtresse se montra effectivement beaucoup plus sadique que lors de première séance. L’humiliation fut terrible pour moi.
Lorsque j’arrivais à ce fameux rendez vous obligatoire, je fus reçu par une jeune (et très jolie) jeune femme que je ne connaissais pas, vêtue très sexy (jupe courte, chemisier échancré, bas, talons,…). Elle m’expliqua que notre Maîtresse serait un peu en retard et qu’en l’attendant, elle était chargée de me préparer :
-Va dans la pièce d’à côté et enfile tous les vêtements, et j’ai bien dit tous sans exception, qui ont été préparés pour toi. Tu as deux minutes pour revenir totalement changé. Chaque minute de retard équivaudra à une fessée que t’administrera la Maîtresse.
Après la première séance, j’étais décidé à prendre les choses à la légère. Faire le petit chien ou le cheval, être contraint de faire des toilettes intimes à des femmes inconnues, même très très sales, certes cela me gênait énormément, mais j’étais bien décidé à ne pas laisser paraître mon embarras. Non vraiment, rien ne pourrait plus m’atteindre désormais et j’étais bien décidé à prendre les choses à la légère et à m’amuser. C’est donc l’esprit tranquille que je me rendis dans la pièce voisine, décidé à me changer très rapidement.
Mais ô surprise, les seuls vêtements que je découvris étaient des vêtements féminins. Je les examinai, incrédule. Je cherchais tout autour de moi s’il n’y avait rien d’autre. Mais non. Il n’y avait que cela. Le temps passait vite. Que faire ? Je commençais à paniquer. Mes engagements de tout à l’heure étaient en train de s’envoler. Enfiler des vêtements de femme ? Non, je ne pouvais pas. J’examinais en tremblant les jolies choses que la Maîtresse m’avait préparées si sadiquement. Une petite robe légère, une jolie culotte blanche, des bas et des portes jarretelles. Quelle honte. Moi si masculin, si macho, m’obliger à enfiler ces petites choses si féminines. Je ne pouvais pas.
- Déjà quatre minutes de passées, dit une petite voix dans la pièce d’à côté.
Mon esprit cherchait désespérément une solution à cette situation catastrophique. Chaque minute allongeait ma punition, mais je ne pouvais me résoudre à obéir à ces ordres immondes. Je tremblais de la tête aux pieds. Et si elle me prenait en photos dans cette tenue ? Quelle horreur. Si mes amis me voyaient un jour dans cette tenue ridicule.
- Huit minutes.
Je n’avais pas le choix ; je devais obéir. Je me dévêtis lentement et enfilais encore plus lentement et maladroitement les douces affaires qui m’étaient réservées. Après avoir mis le porte jarretelle, je passais la robe. La sensation étrange du tissu flottant légèrement sur mon corps me troubla. Il me fut particulièrement pénible d’enfiler les bas (ces choses ô combien féminines) dont l’attache me posa de gros problèmes et une perte de temps incalculable. Je crus ne pas y parvenir. Mais le pire restait à venir. Je pris la délicieuse petite culotte blanche qui m’était destinée et la déliai pour la passer. Ce n’est qu’à cet instant que je découvris qu’elle n’était pas aussi blanche que je le pensais. En fait, elle avait été portée auparavant par une femme (qui ?) et de toute évidence plusieurs jours de suite. La couleur du fonds et surtout l’odeur abominable qui s’en dégageait ne laissait aucun doute. Comment pouvait-on me faire subir une telle humiliation ?
- Douze minutes.
Je surmontais mon horreur et doucement enfilait le délicat tissu. Mon dégoût s’intensifia encore lorsque la culotte entra en contact avec mes fesses. Maintenant, il fallait ouvrir la porte et me présenter devant une personne inconnue, de sexe féminin, et qui, bien entendu, n’allait pas se gêner pour se moquer de moi. Comment pourrais-je supporter le regard et les ricanements de cette jeune fille ? Je cherchais encore désespéramment une issue à cette horrible situation. N’y avait-il vraiment aucun autre vêtement autour de moi ? Non, bien sûr.
Un miracle peut être ? Non, bien sûr, pas de miracle. Tandis que la douce voix disait « quinze minutes », j’ouvris tout doucement la porte et pénétrais dans la pièce où se trouvait ma tortionnaire. Son rire me glaça d’effroi.
- Comme tu es belle, ma chérie. Comme tu es séduisante, sexy.
Elle riait et riait encore, me traitant encore de pucelle, entre autre. Je ressentais la plus grande honte de ma vie. Elle me fit marcher dans la pièce. Je devais faire comme si j’étais un mannequin en train de défiler. Puis elle me fit pencher en avant et me caressa doucement les fesses, comme je savais si bien le faire aux femmes, sauf que là, j’étais la femme et que cette caresse m’horrifiait au plus haut point. La Maîtresse assistante s’aperçut que j’avais pris soin de ne pas remonter complètement la culotte pour que les salissures du fonds ne soient pas trop en contact avec mon cul.
- Tu as peur d’attraper des maladies, on dirait. Pourtant il paraît que tu as, dans le passé, reniflé et même léché des culottes aussi sales que celle ci.
Et sans que je ne puisse intervenir, elle me la remonta très haut et m’enfonça bien le fonds dans ma raie. Je sentais parfaitement les immondes salissures au contact de mon intimité. C’était affreux.
Ensuite, elle me fit faire quelques exercices de flexion pour, me dit-elle, que je ressente encore mieux les choses. Il est vrai qu’outre les sensations tactiles, s’ajoutaient les sensations olfactives. L’odeur de l’immonde culotte remontait jusqu’à mes narines à chaque fois que je m’accroupissais. Elle me fit encore accroupir.
- Ecarte bien les jambes, je veux voir ta petite culotte. Ca ne te gène pas, n’est ce pas ?
Si. Cela me gênait énormément. Moi qui avais toujours pris un malin plaisir à découvrir à leur insu les petites culottes des filles, je me retrouvais dans la situation inversée. Et c’était très désagréable. La petite vicieuse faisait durer le plaisir tout en m’insultant sur la saleté visible et l’odeur nauséabonde qui se dégageait de sous ma robe.
La Maîtresse s’assit sur une chaise.
- Bon, passons à la petite fessée promise. Nous avons dit quinze minutes de retard… Allez, viens t’allonger sur mes jambes.
Je dus m’éxécuter. Elle commença par me caresser les fesses par dessus la robe, enfonçant encore la culotte dans ma raie, puis releva ma robe sur mon dos, caressa encore mes fesses sur la culotte. Elle abaissa ensuite doucement ma culotte et me caressa encore se moquant de nouveau de moi :
- Tu es trop poilue, il faudra que je te rase, dit-elle en riant.
Quelle honte, quelle position inconfortable. Puis les claques commencèrent à tomber sur mes fesses. Pas très douloureuses certes, mais tellement humiliante.
Elle me fit enfin relever et m’ordonna de me reculotter.
- Je dois t’attacher sur le canapé en attendant le retour de notre Maîtresse.
Je dus m’allonger sur le dos, bras et jambes écartés. Elle m’attacha solidement aux quatre coins.
Tu sais, j’ai un petit secret à te dire. J’ai un problème avec notre Maîtresse. Je subis actuellement un dressage car elle trouve que je ne sais pas contrôler ma vessie. D’ailleurs elle m’appelle la pisseuse. Je n’ai le droit d’aller aux toilettes que quatre fois par jour sous sa surveillance. Le reste de la journée, les WC sont fermés. C’est très dur pour moi et lorsque je ne peux pas me retenir, je suis sévèrement punie. J’espère que tu ne m’en voudras pas, mais j’ai une idée qui à mon avis ne va pas te plaire. Je vais faire pipi sur ton entre jambe et ainsi la Maîtresse te punira toi, et non moi. J’étais horrifié. Je me retrouvais solidement lié, incapable de me défendre et cette salope allait uriner son moi. Je la vis monter sur le canapé, se positionner jambes écartées de chaque côté de mon bas ventre. Elle remonta sa courte jupe, découvrant sa culotte qu’elle fit lentement glisser sur ses jambes et malgré mes suppliques désespérées, s’accroupit inexorablement.
- Humm, que ça va faire du bien de se soulager enfin.
Alors que je me résignais à mon triste sort, n’espérant plus de miracle, elle se ravisa soudain.
- J’ai une autre idée, mais je crois que suis décidément trop gentille. Je te propose quelque chose. Si tu veux, au lieu de te pisser sur l’entre jambe, je te propose de le faire dans ta bouche. Si tu avales tout, la Maîtresse ne saura rien et tu éviteras une terrible punition. Mais tu as le choix, je ne t’oblige pas. Je sais que boire de la pisse n’a rien de réjouissant, mais bon…
Quel choix abominable ! Avaler le pipi d’une inconnue ou subir une douloureuse punition ? Et si je ne parvenais pas à tout avaler et que je subissais malgré tout la punition ? Je paniquais et cherchais désespérément une solution, attendant de nouveau un miracle. Mais rien, bien sûr. J’étais seul, tout seul.
- Dépêche-toi, je n’en peux plus. Je te promets que je ferais tout doucement pour que tu puisses bien avaler sans recracher. T’inquiètes pas, ce ne sera pas très long. Essaie de penser à autre chose.
Je finis par choisir la deuxième solution. Ma tortionnaire se releva, descendit du canapé et retourna dans la pièce d’à côté. Elle revint un instant après tenant dans sa main un entonnoir. Elle me le mit dans la bouche. Puis de nouveau, baissa sa culotte et releva sa robe. Elle recula au dessus de ma tête se penchant légèrement en arrière. Je découvris sa merveilleuse croupe, ses fesses rebondies et apparemment très fermes. Elle se plaça au dessus de l’entonnoir en le maintenant d’une main. Je voyais maintenant parfaitement son anus et sa vulve bien ouverts à quelques centimètres de mon visage. Je sentais également parfaitement ses puissantes odeurs, anales et vaginales, mélange de vieux pipi, de sécrétions intimes et d’anus mal nettoyé. J’étais à la fois écœuré et excité. Mais le pire de l’écœurement allait maintenant débuter.
- Tu es prêt, je vais commencer, me dit la petite garce.
Un premier petit jet me surprit. Le chaud et infâme liquide coula brusquement dans ma bouche. C’était infecte. Avaler me semblait impossible.
- Tu as avalé ? Je peux t’en redonner un peu ?
Je n’avais plus le temps de réfléchir, j’avalais. Beurk ! Quelle horreur. C’était plus affreux que je ne le pensais. Mais pas le temps de réfléchir, une deuxième giclée pénétrait déjà insidieusement dans ma gorge. J’aurais voulu hurler mon dégoût, mais je ne pouvais pas. Avaler était ma seule obsession. Elle tenait sa promesse et les jets se succédaient avec une lenteur régulière. Je l’en aimais presque pour cette gentille attention, alors que cette truie me pissait dans la bouche. Le temps me paraissait interminable. Ca semblait devoir ne jamais se terminer et chaque goulée était plus difficile à avaler que la précédente. Je pensais vomir à chaque fois. Je sentais l’ignoble liquide me remplir l’estomac. C’était intolérable. Et la honte d’être dans cette position incroyable ! Et pourtant, je me rendis subitement compte que je bandais. Cette incroyable situation m’excitait. Etais je en train de devenir maso ? ..
- Une dernière petite goutte et c’est fini. Je suis fière de toi, tu sais, je n’aurais jamais cru que tu avalerais tout. J’ai du t’en mettre prêt d’un litre. En tout cas, moi, ça m’a fait du bien.
Elle se releva, se rhabilla et m’ôta l’entonnoir. J’attendis encore de longues minutes dans cette position humiliante. Puis la vraie Maîtresse rentra. Elle me regarda, méprisante. J’avais honte.
- A-t-elle été sage ?
- Assez. Très obéissante, en tout cas, très docile.
Je fus bientôt détaché et pus me relever. La Maîtresse me fit à nouveau défiler devant elle se moquant à son tour de ma tenue ridicule.
- Au fait, combien de temps a mis notre charmante amie pour s’habiller dans cette si jolie robe ?
- 23 minutes, répondit sadiquement la jeune fille, tout en me souriant.
- 23 minutes ! Mais c’est une blague ! Pourquoi as-tu été aussi longue ? Ce n’est pas si difficile que cela à enfiler. Bon, je suppose que tu connais la sanction à cette désobéissance. Allez, sur mes genoux et surtout, je ne veux pas t’entendre crier. Tu es un homme, n’oublies pas, quand même.
La fessée fut terrible. Rien à voir avec la précédente. Mes fesses rougissaient à vue d’œil. La souffrance me faisait miauler et supplier comme une petite fille. Quelle honte !
- Dorénavant, c’est ton épouse qui poursuivra ton éducation.
Comment ça mon épouse ? Il n’était pas possible que ma femme sache ce que je subis depuis maintenant deux semaines ?
- Et oui, ta femme sait tout. Je vais te dire la vérité. C’est elle qui t’a envoyé vers moi. Elle m’a demandé d’enquêter sur toi pour prouver ton infidélité. Et quand je lui ai fourni les preuves, elle m’a demandé de te punir mais maintenant, c’est elle qui te punira sur mes conseils. On va bien s’amuser, tu verras… Hi hi hi…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour ma part je porte de la lingerie presque tous les jours, au moins une petite culotte sous mes pantalons.
Je suis aussi une "buveuse de pisse"...
Je suis aussi une "buveuse de pisse"...
J'adore l'idée d'être féminisée et n'aurai aucun mal à l'être surtout que je trouve agréable d'enfiler en solitaire toutes "ces choses ô combien féminines" qui me vont si bien