Ma reine chapitre 5

- Par l'auteur HDS c-levis -
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Récit libertin : Ma reine chapitre 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma reine chapitre 5
Chapitre 5

Elle me tendit un survêtement pour que je me rhabille (sans sous-vêtements). « Maintenant, on est au tournant. C’est à toi de décider ce que tu veux. Désormais, tout le monde te connait en tant que Virginie, tu ne peux plus revenir en Colin. Ici, Colin, c’est fini. Alors il faut choisir : soit tu ne viens plus, soit tu reviens, mais toujours en fille ».

Ces paroles me faisaient tourner la tête. Je comprenais bien le tournant définitif. Au fond de moi, je savais déjà ce que je voulais. La petite boule dans ma gorge, dans mon ventre, la petite érection qui accompagnait ces pensées répondait à la question. Et me priver de Geneviève n’était pas possible. J’étais accroc à ses odeurs intimes. Même si je ne pourrais plus me branler dans ses culottes sales comme avant, j’avais entendu les promesses de ses copines de me faire aller à la messe dans des culottes non lavées. Alors… Et puis, il y aurait bien des occasions de me retrouver seul dans la salle de bain. « Alors, tu décides quoi ? Colin ou Virginie ?» J’hésitais encore une seconde puis les yeux baissés « Virginie ».

Mon sort était jeté.

« Il va falloir s’organiser. On ne doit pas te voir en garçon ici. Alors je vais t’accompagner sur le début du trajet et on amènera ta tenue de Colin dans un sac et tu te changeras en route. On fera pareil quand tu reviendras. Toujours le soir, jamais de jour ». Et nous voilà partis. J’avais son survêtement et un manteau féminin. Arrivés à mi-chemin, nous quittâmes le tramway pour aller dans les toilettes publiques où je dus me changer, retirer la perruque et me démaquiller. Il fallait être précis et ne rien oublier pour ne pas que ma mère voie quoique ce soit. Pour le retour, je devais l’appeler avant de partir et elle me rejoindrait au même endroit avec une tenue plus féminine et un maquillage léger pour la fin du trajet.

Le weekend arriva bien vite.

Trop vite, peut-être. En fait, mes pensées se mélangeaient. J’avais envie. J’avais peur. J’appelais marraine et rendez-vous fut pris pour 19 h 00. Elle m’attendait au lieu prévu et nous entrâmes dans les toilettes des filles. Il fallait éviter d’être vus dans cet endroit où je n’étais pas sensé me trouver avant ma métamorphose.

Les copines guettaient notre retour avec impatience. « Demain, nouvelle opération rasage pour la miss. On ne doit pas voir un poil dépasser ». Elles riaient à cette perspective. Marraine ne partageait pas leur gaité. Elle semblait soucieuse. Je ne savais pas encore pourquoi. « Allez les filles, laissez-nous un peu tranquilles. On a encore des choses à voir ensemble » « Ah… La formation ? » Et elles éclatèrent de rire encore plus fort. « Allez, bonne nuit. A demain. »

La formation ? De quoi parlaient-elles ?

J’enfilais la nuisette et la culotte sale que Geneviève me tendit. L’effet fut immédiat. Ma petite tige se dressa immédiatement. « TU ES INCORRIGIBLE. TU ME DEGOUTES. COMMENT VEUX-TU CONTINUER A PASSER POUR UNE FILLE SI TU BANDES SANS ARRET ? »

Ses hurlements soudains me firent sursauter. Je ne savais plus quoi faire. Mes mains cachaient ma trop grande virilité. J’avais honte de ce sexe, certes bien minuscule, mais au garde à vous malgré moi.

« Mais que va-t-on faire de toi ? Imagine que tu bandes dimanche matin pendant la quête ? Surtout avec la robe que Martine t’a achetée exprès pour l’occasion. Il sera impossible de cacher quoique ce soit. Il faut absolument que tu perdes cette sale habitude. Et pour cela un seul moyen. Voilà ce qu’on va faire : puisque mes culottes te font autant d’effets, on va employer la manière forte. Va à la salle de bain et ramène toutes les culottes sales de la panière ».

Un peu éberlué, je lui obéis et trouvais sans mal quatre culottes bien disposées au-dessus du reste du linge. Je les ramenais à ma maitresse. « Dorénavant tu nettoieras toutes mes culottes de la semaine, et ce, jusqu’à ce que cela ne te fasse plus le moindre effet. Je veux que tu sois dégoutée de mes odeurs. COMPRIS » « Oui marraine, compris. Je ferai tout ce que tu me demandes. Je ne veux pas te faire honte » « Allez, prends cette culotte et lèche-là. Lèche-là jusqu’à ce qu’elle soit nickel ».

Je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais. « Marraine, tu veux que je.., que je… » « Oui, je veux que tu le fasses et je t’interdis de bander évidemment, sinon, punition. » J’approchais doucement ma langue du doux tissu en la regardant dans les yeux pour être vraiment sûr de ce que je devais faire. Mais elle restait imperturbable, elle ne changeait pas d’avis. Ma langue entra en contact avec les salissures et bien évidemment l’odeur et le gout de sa vulve eut un effet immédiat sur ma tige qui de nouveau tira ma nuisette très en avant.

« J’AI DIT QUOI ? TU ES SOURDE ? » J’avais beau me concentrer, impossible d’agir sur mes réactions naturelles. « Viens-là » en s’asseyant sur une chaise. Elle me fit allonger sur ses genoux et commença à frapper doucement sur mes fesses « Continue de lécher ». Elle souleva la nuisette et frappa de plus en plus fort visant chaque fesse alternativement. Je commençais à avoir mal mais en même temps je commençais à sentir monter ma jouissance que je ne pus pas retenir plus longtemps. J’explosais sur sa jambe. Elle le sentit évidemment et frappa encore plus fort, presque hystériquement.
J’avais horriblement mal, horriblement honte et je me sentais tellement, … tellement bien…

Nous restâmes immobiles quelques minutes reprenant doucement nos esprits. Puis elle me fit relever. « Déshabille-toi et va laver tes cochonneries. » Je quittais prestement la nuisette et la culotte souillée et lavais prestement le tout dans le lavabo. Enfin j’étendis le tout et après m’être également lavé, je rejoins ma maitresse dans la pièce principale. Elle m’attendait tranquillement et me tendit une nouvelle nuisette « Allez, au lit. Demain est un autre jour ».

Le lendemain matin, très tôt, Geneviève, Nicole, Martine, Linda et Clarisse étaient toutes là. Pour moi.

« Il va falloir l’épiler à nouveau totalement. Ses petits poils ont déjà repoussé. Allez, dans la baignoire. » Et je dus quitter ma nuisette et entièrement nu me plonger dans la douce chaleur de l’eau savonneuse et parfumée spécialement coulée pour moi. Elles étaient toutes autour de moi et me passait tour à tour le gant de toilette sur tout le corps, ce qui était extrêmement agréable.

« Dis donc, ses fesses sont toutes rouges. Que s’est-il passé ? » demanda Martine. « Elle a eu une grosse punition hier soir, une gosse fessée bien méritée. Je ne supporte pas qu’un garçon puisse me considérer comme de la chair à consommer sans s’occuper de ce que pense la femme. » « Dis donc, tu n’y es pas allé de main morte. » Elles éclatèrent toutes de rire à cette remarque me laissant pantois…

Elles me séchèrent et ce fut le tour de l’épilation. Pas toujours agréable bien que ces mains qui se baladaient sur ma peau me faisaient un bien fou. « Il faut aller partout. » « Partout ? Même le zizi ? Et le cucul ? » « Oui répondit Geneviève »

Elles me firent pencher en avant et je sentis la crème déposée tout autour de mon anus. Les bandes furent collées sur l’intérieur de chacune de mes fesses. Et lorsqu’elles tirèrent dessus, la douleur me fit… un bien incroyable. Puis elles me retournèrent et allongé sur le dos, elles entreprirent les mêmes gestes autour de mon sexe extrêmement bandé. Je sentais les mains effleurer mon attribut. Elles en jouaient évidemment. « Il faudrait le vider pour éviter qu’il bande quand il aura sa robe » « je l’ai fait hier soir déjà. Mais c’est vrai qu’on risque d’avoir un problème demain avec la robe de Martine. » « Je m’en occupe décida Linda. Allez-y, tirez doucement sur les bandes » Et elle enroula sa main autour de mon pénis et me branla doucement pendant que Clarisse tirait sur la bande. Mélange de douleur et de plaisir. Mon éjaculation fut presque instantanée. « T’es une championne Linda. Quelle professionnelle ! on voit que tu t’y connais en hommes », riaient ses copines.

Elles durent repasser un gant de toilette pour enlever toute trace de sperme, décalottant mon prépuce pour le nettoyer à fond. Je n’en pouvais plus de plaisir. « Allez, habillage ». Elles me firent enfiler des bas couleurs chair, un porte-jarretelles noir, un soutien-gorge noir également pré rembourré et une culotte de la même couleur. Martine précisa qu’elle avait trouvé plusieurs de ces soutien-gorge pré rembourrés « qui seront parfaits pour elle ». « On peut lui essayer sa robe de demain ? »

Aussitôt dit, aussitôt fait et je vis apparaitre la fameuse robe rose à fleurs en mousseline avec une profonde échancrure devant, un long lacet juste au-dessus de la poitrine. Pas de jupon en dessous mais une jupe en tissu plus épais et une forme assez proche du corps me rendait particulièrement vulnérable. « On voit sa culotte et ses jarretelles par transparence » « tu as prévu quoi pour demain ? » « Il faudra lui mettre un porte-jarretelles chair et elle aura une culotte blanche. Celle que j’ai aujourd’hui et que j’avais déjà hier d’ailleurs. Elle sentira bien la femme avec ça. Surtout qu’hier quand je l’ai punie, je l’ai... comment dire… je l’ai bien… lubrifiée ».

Linda s’offusqua de cette révélation « Mais dis donc, t’es une vraie sadique en fait. Je te croyais lesbienne, mais apparemment, t’es plutôt une dominatrice. Faire mal aux garçons a l’air de te plaire. » Geneviève confirma « Je hais les hommes. Je hais les hommes qui ne respectent pas les femmes ». « Moi ce qui m’inquiète, c’est qu’on risque de voir son zizi. » « Heureusement ma culotte est assez grande, elle est en coton. Sa queue ne devrait pas en sortir. Mais il vaudrait mieux qu’elle ne bande pas du tout. Tu entends Virginie ? » « Oui, j’entends » mais j’étais très inquiet. J’avais si peur qu’on découvre mon secret. Surtout dans l’église. Ce serait terrible.
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J’imaginais… J’imaginais… un homme qui me serre d’un peu trop près pendant la quête et qui d’un coup hurle tout fort « Mais, c’est un garçon. Regardez, c’est un garçon. » Et il soulève violemment ma robe. J’essaie de la rabattre mais déjà deux autres hommes lui viennent en aide et ils me la retirent complètement. Je me retrouve à moitié nue devant la foule ahurie. Un des hommes attrape mon soutien-gorge et dévoile ma poitrine plate. Mes mains tentent de recouvrir mes seins. Grossière erreur car dans le même temps, un autre homme attrape ma culotte et la baisse sur mes genoux découvrant mon zizi tout droit. « En plus, il bande ce cochon. Mais quelle honte !.. » Les hommes me portent maintenant en hauteur pour que tout le monde dans l’église puisse me voir. Ils me transportent parmi la foule maintenant outrée. Je sens des mains qui me tapent violemment au passage, tripotent mon sexe, insèrent des doigts dans mon anus. « Un travelo. Un travelo dans notre église. Mais quelle horreur ! Mais qu’allons-nous en faire ? » Je n’osais pas imaginer la suite…
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Geneviève me sortit de mes pensées « il ne faut pas que cela arrive. Tu as compris Virginie ? personne ne doit voir ton zizi. Sinon, tu es foutue. Compris ? » « Oui marraine. J’ai trop peur. »

Les avis des lecteurs

Coucou ! Honnêtement j’ai adoré l’histoire et j’espère que tu feras une suite que je pourrais lire ! J’aurais bien aimée plus de détail et plus de contenu avec le prêtre de l’église (pourquoi pas enfant de chœur et il/elle rencontre un garçon qui la drague etc….). Bonne journée à toi !



Texte coquin : Ma reine chapitre 5
Histoire sexe : Une rose rouge
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