Drole de proprietaire
Récit érotique écrit par Buerto [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Buerto ont reçu un total de 407 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 407 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Drole de proprietaire
Je demeure en campagne et loue une maison mitoyenne, la deuxième partie appartient à la propriétaire de l'ensemble, la cinquantaine genre bouledogue, pas de sourire, pas de politesse, tout pour plaire ! Ayant une quinzaine d'années de plus qu'elle, cela ne me gênait pas beaucoup : jusqu'au matin où cette "agréable" personne me demanda (ou me donna plutôt l'ordre) de lui changer une roue crevée sur sa voiture.
Bon gré mal gré je m'exécutais et surprise de ma vie ma propriétaire se baissa à mes cotés pour me voir faire le travail, la surprise faillit me faire tomber à la renverse !
Ployée à mes cotés cuisses légèrement écartées sur une culotte transparente avec une vue de première sur un buisson d'un noir d'ébène, j'en arrivais à démonter sa roue au touché plus qu'à la vue et commençais à remettre en place sa roue de secours. A cet instant elle me demanda si je n'avais pas des problèmes de vue, vu mes hésitations à centrer cette roue, étant d'un caractère un peu soupe au lait je lui fais remarquer qu'avec ses exhibitions de petite culotte il est normal de pinailler un peu pour recentrer cette roue et que si elle est pressée elle n'a qu'a prendre une position plus correcte, un mot en entraînant un autre je lâche la roue, les outils et lui dit de se démerder !!! Toute seule ! Je dois spécifier que nous sommes à huit cent mètres du premier voisin et que le garage le plus proche est à quinze kilomètres , me voyant piquer ma colère elle me dit qu'elle ne comprend pas que je fasse un plat pareil pour une culotte entre aperçue et que je suis un vieux pudibond , enfin des tas de mots agréables à entendre , ne voulant pas être en reste je lui parle de son charmant sourire habituel de sa politesse qui depuis deux ans et demi que je lui loue son appartement a fait que je lui est toujours dit bonjour et qu'elle ne répond qu'une fois sur deux ou trois et encore quand il lui tombe une dent… exécutent un revirement complet la voila partie à me présenter ses plus plates excuses, me disant qu'elle est noyée de problèmes , qu"elle n'est que nu-propriétaire que c'est sa mère qui encaisse le loyer et qu'elle est juste bonne à assumer les charges et les problèmes , qu'elle est célibataire et doit donc faire appel à des professionnels pour toutes les bricoles touchant à l'entretien de la maison , enfin les esprits calmés je remonte sa roue range la roue crevée dans son coffre avec le cric et la trousse à outil. Elle me remercie presque chaleureusement et s'en va, l’histoire aurait pu en rester là… Et non ! Deux jours après elle frappe à ma porte et m'invite à venir boire l'apéritif ce soir à 18 H 30, je la remercie et me creuse la tête pour savoir quoi lui apporter en allant chez elle, des fleurs elle en a un plein jardin, un gâteau pour l'aperto ??? C’est un peu cucul, j’opte en fin de réflexion pour une bouteille de champagne que je mets au frais illico, le soir arrive…
Douché, rasé, je sonne à sa porte lui colle la bouteille enveloppée dans les bras en lui disant que cela scellera notre réconciliation, elle l'accepte avec un vrai sourire et me dit qu'elle avait prévue la même pour l’apéro, après quelques balourdises sur notre futur état si nous buvons les deux bouteilles nous nous installons dans un petit salon avec canapé et petite table basse. Elle me demande d'ouvrir la bouteille pendant qu'elle va chercher les coupes et nous voici installés à déguster notre divin breuvage en discourant sur les choses de la vie et une phrase après l'autre nous entraînent à parler de nos vies, pour moi c'est d'un simplissime exemplaire divorcé et seul, très tranquille pas de problème. Elle commence a me raconter qu'elle a vécue dix ans avec un homme qui n'a jamais voulu divorcer pour l'épouser et que depuis une bonne dizaine d'années elle vit seule, la première bouteille étant vide elle va chercher l'autre et ramène un plateau de petits amuses gueule qui étaient préparé d'avant mon arrivée, ce qui me surprend un peu, mais pas de raison pour se mettre martel en tête, j'ouvre à son ordre la deuxième bouteille et elle vient se rasseoir tout à coté de moi. Un peu étonné mais enfin sans plus nous continuons à discuter, et à ce moment elle me sort que j'aurai bien pu faire le premier pas pour l’inviter ! Je lui réponds que vu notre différence d'age, par soucis du ridicule je m'étais abstenu de toute approche, je trouvais qu'elle commençait à parler et à rire un peu fort, les coupes de champagne devaient commencer à faire effet. a cet instant en se servant elle me tend en bouche un toast je l'accepte , elle se remet à rire en m'en offrant un autre et laissant courir ses doigts sur mes lèvres , ne voulant pas être en reste, je lui tend une olive et lui impose un de mes doigts à sucer, se qu'elle fait en me fixant bien du regard. Je me décide à tenter le tout pour le tout je me penche et l'embrasse au coin des lèvres en lui disant que j'en avais trop envie, elle se penche et m'embrasse à pleine bouche. Ne voulant pas être en reste je l'enlace et commence à la caresser sur les épaules, la nuque, le cou, les cheveux, et descendant doucement sur le haut des seins, ne trouvant aucune résistance et je dirais plutôt une invite à continuer, je ne m'en privais pas… le petit pull fut bientôt troussé et je lui caressais les seins sur son soutien gorge, puis passant une main dans son dos je le dégrafais et pris à pleine main deux seins lourds avec des pointes toutes turgescentes. Elle avait commencée à me caresser les cuisses mais maintenant elle en était plutôt à l'entre cuisse et les résultats ne se sont pas fait attendres, une érection de première, je continuais mes explorations sous sa jupe et découvrais un petit volcan au sommet des deux colonnes, la moiteur de son entre jambes m'incitât à précipiter les choses. Je la faisais lever et la déshabillais entièrement, elle possédait une luxurieuse toison d'un noir intense une vraie brune. Des seins lourds avec de grandes auréoles et des pointes longues le ventre un peu bombé et les hanches un peu larges à mon goût, mais pour son age une belle plante !
Je laissais mes lèvres et mes doigts découvrir tous ses endroits secrets, ses effluves commençaient à m'exciter sérieusement et je la couchais sur le canapé quand elle me fit venir dans sa chambre. Elle me déshabilla en vitesse et commença par me lécher de partout, la renversant sur le lit je lui enfoui le visage en son entre cuisses pour lui lécher sa chatte qui était toute mouillée les grandes lèvres étaient gonflées et il fallait les distendre pour atteindre son coquillage, elle n'avait pas perdue de temps pour se mettre en position tête bêche et nous avons effectués un 69 d’enfer, elle coulait comme une fontaine et je désirais lui introduire mon vit dans la chatte avant qu'elle me fasse décharger en me suçant. D’elle même elle s'installa à quatre pattes et me précisa qu'elle adorait être prise en levrette, il n'y eut pas à forcer pour l'enfiler, la porte était largement ouverte et son fessier ouvert devant mes yeux me donna l’idée de lui titiller la rondelle, ce qui fut accueilli par des, ho oui, encore, entre tes doigts… Je la fouillais en la baisant et lui fit prendre son pied deux fois avant de lui décharger tout le foutre que j'avais en stock dans le ventre, nous nous écroulâmes pour reprendre notre respiration et j'en profitais pour aller chercher le reste de la bouteille et les coupes. Nous discutâmes pendant un moment et surtout nos regrets allaient vers les presque deux ans de perdus à nous regarder en chien de faïence, apres un moment nous réprimes nos ébats et je terminais la soirée en la sodomisant à sa demande !
Depuis nous buvons l'apéritif une ou deux fois par semaine et nous y prenons toujours autant plaisir…
Bon gré mal gré je m'exécutais et surprise de ma vie ma propriétaire se baissa à mes cotés pour me voir faire le travail, la surprise faillit me faire tomber à la renverse !
Ployée à mes cotés cuisses légèrement écartées sur une culotte transparente avec une vue de première sur un buisson d'un noir d'ébène, j'en arrivais à démonter sa roue au touché plus qu'à la vue et commençais à remettre en place sa roue de secours. A cet instant elle me demanda si je n'avais pas des problèmes de vue, vu mes hésitations à centrer cette roue, étant d'un caractère un peu soupe au lait je lui fais remarquer qu'avec ses exhibitions de petite culotte il est normal de pinailler un peu pour recentrer cette roue et que si elle est pressée elle n'a qu'a prendre une position plus correcte, un mot en entraînant un autre je lâche la roue, les outils et lui dit de se démerder !!! Toute seule ! Je dois spécifier que nous sommes à huit cent mètres du premier voisin et que le garage le plus proche est à quinze kilomètres , me voyant piquer ma colère elle me dit qu'elle ne comprend pas que je fasse un plat pareil pour une culotte entre aperçue et que je suis un vieux pudibond , enfin des tas de mots agréables à entendre , ne voulant pas être en reste je lui parle de son charmant sourire habituel de sa politesse qui depuis deux ans et demi que je lui loue son appartement a fait que je lui est toujours dit bonjour et qu'elle ne répond qu'une fois sur deux ou trois et encore quand il lui tombe une dent… exécutent un revirement complet la voila partie à me présenter ses plus plates excuses, me disant qu'elle est noyée de problèmes , qu"elle n'est que nu-propriétaire que c'est sa mère qui encaisse le loyer et qu'elle est juste bonne à assumer les charges et les problèmes , qu'elle est célibataire et doit donc faire appel à des professionnels pour toutes les bricoles touchant à l'entretien de la maison , enfin les esprits calmés je remonte sa roue range la roue crevée dans son coffre avec le cric et la trousse à outil. Elle me remercie presque chaleureusement et s'en va, l’histoire aurait pu en rester là… Et non ! Deux jours après elle frappe à ma porte et m'invite à venir boire l'apéritif ce soir à 18 H 30, je la remercie et me creuse la tête pour savoir quoi lui apporter en allant chez elle, des fleurs elle en a un plein jardin, un gâteau pour l'aperto ??? C’est un peu cucul, j’opte en fin de réflexion pour une bouteille de champagne que je mets au frais illico, le soir arrive…
Douché, rasé, je sonne à sa porte lui colle la bouteille enveloppée dans les bras en lui disant que cela scellera notre réconciliation, elle l'accepte avec un vrai sourire et me dit qu'elle avait prévue la même pour l’apéro, après quelques balourdises sur notre futur état si nous buvons les deux bouteilles nous nous installons dans un petit salon avec canapé et petite table basse. Elle me demande d'ouvrir la bouteille pendant qu'elle va chercher les coupes et nous voici installés à déguster notre divin breuvage en discourant sur les choses de la vie et une phrase après l'autre nous entraînent à parler de nos vies, pour moi c'est d'un simplissime exemplaire divorcé et seul, très tranquille pas de problème. Elle commence a me raconter qu'elle a vécue dix ans avec un homme qui n'a jamais voulu divorcer pour l'épouser et que depuis une bonne dizaine d'années elle vit seule, la première bouteille étant vide elle va chercher l'autre et ramène un plateau de petits amuses gueule qui étaient préparé d'avant mon arrivée, ce qui me surprend un peu, mais pas de raison pour se mettre martel en tête, j'ouvre à son ordre la deuxième bouteille et elle vient se rasseoir tout à coté de moi. Un peu étonné mais enfin sans plus nous continuons à discuter, et à ce moment elle me sort que j'aurai bien pu faire le premier pas pour l’inviter ! Je lui réponds que vu notre différence d'age, par soucis du ridicule je m'étais abstenu de toute approche, je trouvais qu'elle commençait à parler et à rire un peu fort, les coupes de champagne devaient commencer à faire effet. a cet instant en se servant elle me tend en bouche un toast je l'accepte , elle se remet à rire en m'en offrant un autre et laissant courir ses doigts sur mes lèvres , ne voulant pas être en reste, je lui tend une olive et lui impose un de mes doigts à sucer, se qu'elle fait en me fixant bien du regard. Je me décide à tenter le tout pour le tout je me penche et l'embrasse au coin des lèvres en lui disant que j'en avais trop envie, elle se penche et m'embrasse à pleine bouche. Ne voulant pas être en reste je l'enlace et commence à la caresser sur les épaules, la nuque, le cou, les cheveux, et descendant doucement sur le haut des seins, ne trouvant aucune résistance et je dirais plutôt une invite à continuer, je ne m'en privais pas… le petit pull fut bientôt troussé et je lui caressais les seins sur son soutien gorge, puis passant une main dans son dos je le dégrafais et pris à pleine main deux seins lourds avec des pointes toutes turgescentes. Elle avait commencée à me caresser les cuisses mais maintenant elle en était plutôt à l'entre cuisse et les résultats ne se sont pas fait attendres, une érection de première, je continuais mes explorations sous sa jupe et découvrais un petit volcan au sommet des deux colonnes, la moiteur de son entre jambes m'incitât à précipiter les choses. Je la faisais lever et la déshabillais entièrement, elle possédait une luxurieuse toison d'un noir intense une vraie brune. Des seins lourds avec de grandes auréoles et des pointes longues le ventre un peu bombé et les hanches un peu larges à mon goût, mais pour son age une belle plante !
Je laissais mes lèvres et mes doigts découvrir tous ses endroits secrets, ses effluves commençaient à m'exciter sérieusement et je la couchais sur le canapé quand elle me fit venir dans sa chambre. Elle me déshabilla en vitesse et commença par me lécher de partout, la renversant sur le lit je lui enfoui le visage en son entre cuisses pour lui lécher sa chatte qui était toute mouillée les grandes lèvres étaient gonflées et il fallait les distendre pour atteindre son coquillage, elle n'avait pas perdue de temps pour se mettre en position tête bêche et nous avons effectués un 69 d’enfer, elle coulait comme une fontaine et je désirais lui introduire mon vit dans la chatte avant qu'elle me fasse décharger en me suçant. D’elle même elle s'installa à quatre pattes et me précisa qu'elle adorait être prise en levrette, il n'y eut pas à forcer pour l'enfiler, la porte était largement ouverte et son fessier ouvert devant mes yeux me donna l’idée de lui titiller la rondelle, ce qui fut accueilli par des, ho oui, encore, entre tes doigts… Je la fouillais en la baisant et lui fit prendre son pied deux fois avant de lui décharger tout le foutre que j'avais en stock dans le ventre, nous nous écroulâmes pour reprendre notre respiration et j'en profitais pour aller chercher le reste de la bouteille et les coupes. Nous discutâmes pendant un moment et surtout nos regrets allaient vers les presque deux ans de perdus à nous regarder en chien de faïence, apres un moment nous réprimes nos ébats et je terminais la soirée en la sodomisant à sa demande !
Depuis nous buvons l'apéritif une ou deux fois par semaine et nous y prenons toujours autant plaisir…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Buerto
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...