Du bonheur à l'horreur 8

- Par l'auteur HDS La Trompe -
Récit érotique écrit par La Trompe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Du bonheur à l'horreur 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Du bonheur à l'horreur 8
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il fallait que j’agisse très vite, en effet je venais d’assommer le maire de la ville, il fallait que je parte au plus vite de ce lieu de dépravation et cela sans me faire repérer au risque de vraiment me retrouver dans une situation très critique. Seulement je ne pouvais pas sortir de la villa toute nue je me ferai immédiatement agresser. Il fallait donc que je rejoigne la piste de danse ou devait trainer ma combi. Le plus discrètement possible je me faufilais dans le couloir de la villa pour atteindre le jardin sans encombre.
Je pus me cacher derrière un muret ce qui me permis d’analyser mon environnement. A mon grand désarroi la piste de danse était inaccessible ; en effet Yasmina était encore en train de se faire défoncer en bon et due forme. Une bite dans chaque trou, une dans chaque main et des dizaines d’hommes qui faisaient encore la queue pour profiter de la jeune femme. Le gang bang devait vraiment être rude car ces étalons noirs n’y allaient pas de main morte et la pilonnaient à grands coups de bites. Elle semblait totalement amorphe et se laissait totalement faire les yeux fermés.
Je remarquais de l’autre côté du jardin près de la piscine un genre de cabanon qui semblait être une douche, c’était ma seule chance de trouver des fringues. Le plus discrètement possible je passais de cachette en cachette pour rejoindre le cabanon ; de toute façon les autres étaient trop occupés avec Yasmina pour prêter attention aux alentours.
Je rejoignais donc sans difficulté la cabane qui a ma grande joie contenait une douche mais surtout deux peignoirs. Je me rinçais rapidement sans faire de bruit et enfilais un des peignoirs en soie qui couvrait intégralement ma nudité. Fin prête, je sortais tout aussi discrètement du cabanon pour enfin sortir de la villa quand je fus interpellé par un bruit de vomissement. Un homme était en train de vomir tout l’alcool qu’il avait ingurgité à travers le puit ou avait été enfermé Ping. La raison me forçait à filer en vitesse mais mon cœur m’empêchait de laisser cette pauvre fille a ce sort horrible. J’attendais donc que l’homme finisse de vomir et reparte vers la partouze. Après une vérification que personne ne venait je me précipitais vers le puit, le déverrouillais et je pus voir la malheureuse Ping assise, pleurant toutes les larmes de son corps mais surtout couverte de matières fécales et de vomi.
- Ping ! C’est moi ! Dépêche de sortir on n’a pas beaucoup de temps !
Je pus voir la surprise et le soulagement dans les yeux de l’asiatique qui se précipita hors du puit. Je la conduisis vers la cabane pour qu’elle se décrasse du mieux qu’elle pouvait. Elle enleva le plus gros et était à peu près présentable. Je lui tendis le deuxième peignoir, nous étions prêtes à quitter cet endroit de fous. Heureusement la sortie était juste à côté du cabanon et nous pûmes sortir en vitesse.
Enfin dans la rue, je me rendais compte que nous étions très loin d’être tirées d’affaire. Nous étions deux jeunes femmes en peignoirs en plein milieu d’un village du Sénégal a plus d’une heure de voiture de l’hôtel. Mais il fallait que je retrouve mon homme, que je m’excuse par tous les moyens et que je lui promette d’arrêter mes conneries.
Il faisait nuit noire et Ping sous le choc ne disait pas un mot. Nous marchions le long de la route en espérant trouver un bus qui mènerait à l’hôtel. Apres une bonne demi-heure de marche le long d’une grande rue déserte mon souhait se réalisa et un bus passait. Je lui fis donc de grands signes et il s’arrêta.
- Bonjour Monsieur nous sommes perdu, allez-vous a l’hôtel Paradisio ?
- Oui ça sera 5 euros pour les 3h de trajet- Nous n’avons rien sur nous Monsieur je vous jure que je vous payerai à l’arrivée vous êtes notre seul espoir s’il vous plait.
Le chauffeur qui comprenait le français fut pris d’une certaine pitié et à la vue de notre dégaine nous fit signe de monter dans le bus gratuitement. Enfin j’avais un peu de chance.
Le bus était totalement vide et par chance étant un bus de nuit il comprenait de nombreuses couchettes. Nous pûmes nous coucher chacune dans une couchette l’une en face de l’autre et après cette journée plus qu’épuisante nous sommes tombés toutes les deux dans les bras de Morphée.
Je dormais vraiment bien, je pense pendant 1 heure, quand je sentis une présence dans ma couchette. J’étais allongée face à la vitre le dos vers le couloir, Ping était dans l’autre rangée. J’ai d’abord pensé que c’était elle qui m’avait rejoint mais la présence paraissait beaucoup trop lourde pour être Ping. Je n’osais me retourner et préférais faire semblant de dormir.
D’ailleurs pendant plusieurs minutes rien ne se passait et je commençais à me rendormir quand je sentis des doigts effleurés mes cuisses nues. Je devais offrir un beau spectacle avec mes magnifiques jambes nues, seul le peignoir fin en soie cachait mon corps et cela avait forcement attiré le regard. Je sentis une nouvelle fois des doigts passer le long de mes jambes, ainsi que le souffle chaud de la personne dans mon coup et mes cheveux.
Je feignais toujours le sommeil ce qui encourageait mon tourmenteur, il posa maintenant totalement sa main sur ma cuisse et commençait à la caresser de haut en bas délicatement. De son autre main il tira sur la lanière de mon peignoir qui se dénoua facilement. Quelle du être sa surprise en découvrant ma nudité. Il n’hésitait plus et me caressait maintenant le ventre pour arriver sur mes seins. D’un coup il retira ses mains et je le sentais s’agitait, j’ouvrais le plus discrètement possible un œil et pus découvrir dans le reflet de la vitre un homme noir d’une cinquantaine d’année avec une barbe blanche, surement un ouvrier car il retirait sa salopette laissant découvrir une belle pense à bière. Je le sentais maintenant collé à mon dos en position cuillère et je pouvais maintenant sentir un très beau sexe. Ses mains avaient repris leur travail, l’une sur mon sein et l’autre qui remontait entre mes cuisses. L’homme commença à déposer des bisous sur mes épaules et dans mon cou pendant que sa main atteignait mon sexe.
Malgré moi la situation m’excitait au plus au point et mon sexe devait être sacrement humide. Il dut le sentir car il inséra directement un doigt à l’intérieur et je ne pus retenir un petit gémissement. Cela l’encouragea à m’enfoncer un deuxième doigt et commencer des vas et vient rapides pendant que son autre main me massait les seins avec force. La situation était vraiment trop excitante et j’en voulait plus je passais donc ma main dans mon dos et saisit son sexe qui était déjà sorti. C’était une belle bête d’au moins 30cm et je commençais à le masturber pour qu’il atteigne vraiment son potentiel maximum. Une fois sa taille optimal atteinte je le plaçais à l’entrée de ma vulve détrempée et reculais de moi-même pour qu’il s’enfonce de toute sa longueur en moi et criant mon plaisir.
- Oh ouuuui !
Il plaqua sa main sur ma bouche et commença de lents et puissants va et vient.
- Je me doutais que tu étais française. C’est mon jour de chance.
Il me prenait en cuillère de toute sa longueur et c’était vraiment trop bon que j’eu un premier orgasme. Je me retournais vers lui et pus le voir dans le blanc des yeux, il était vraiment moche mais je m’en foutais j’avais envie de son gros sexe. Je le plaquais sur le dos, le chevauchais et m’empalais sur lui. Je me plaquais contre lui et tout en prenant son visage entre mes mains pour l’embrasser, j’imprimais le rythme de la baise en me déhanchant sur sa bite.
L’homme n’en revenait pas et était aux anges. Apres de longues minutes à le chevaucher il se braqua et en me donnant un nouvel orgasme déchargea en moi. Je m’effondrais donc sur lui et profitais de mon orgasme quand le bus marquait un arrêt. N’y prêtant pas attention je n’étais pas encore rassasiée. Je me glissais donc entre les cuisses de l’ouvrier pour le prendre en bouche. Il avait une odeur forte mais je devais lui redonner de la vigueur. Appliquée à ma fellation je ne remarquais pas l’autre homme qui était à notre hauteur.
- Wouah Lucien comment tu as réussi ça ?
- Joel tu ne me croirais pas si je te le disais mais une chose est sûre elle a faim la petite.
L’autre homme était grand et fin la peau sur les os. Il était lui aussi en salopette surement un collègue, il était chauve et lui manquait la plupart des dents.
- Y’en a une autre juste en face tente ta chance Joel.
Comprenant qu’il allait rejoindre Ping et me souvenant de sa virginité je ne pouvais laisser faire ça. Avant qu’il s’éloigne je posais ma main sur son pénis au-dessus de la salopette et commençais à le masser.
- Bon bah je pense que je ne lui suffis pas. Viens je te fais une place.
Lucien se décala et Joel une fois dénudé s’installa à côté de son ami. Joel avait lui aussi une très belle bite et je le pris immédiatement en bouche alternant entre les deux sexes. Quand mes deux amants étaient durs comme des gourdins, je me plaçais au-dessus de Joel et lui roula une pelle prenant soin de passer ma langue dans les espaces libres de dents. Je plaçais son sexe devant ma chatte et m’enfonçais d’un coup. De ma main libre je m’enfonçais un doigt dans l’anus comme pour donner le signal à Lucien que la voie était libre. Il saisit immédiatement le message et se positionna à l’entrée de ma grotte. Lentement il m’encula jusqu’à la garde pendant que son pote s’activait dans mon vagin. Je commençais à donner un rythme à mes amants qu’ils suivirent de manière coordonnée. Nous étions maintenant tous les trois synchronisés et leurs deux grosses bites me remplissaient totalement me procurant énormément de plaisir. Ils me prirent en double pendant un long moment alternant les rôles et me procurèrent de bons et longs orgasmes. Ils finirent par éjaculer en même temps remplissant mes orifices de leurs liquides chauds.
- Mêmes dans mes plus beaux rêves je n’aurais jamais imaginé ça- Moi non plus c’était le paradis merci ma belleLes deux hommes se rhabillèrent et descendirent au prochain arrêt ne manquant pas de me rouler une dernière grosse pelle que je leur rendis. Cela m’avait fait un bien fou de prendre le contrôle de cette baise et j’y avait pris énormément de plaisir surtout que ces deux hommes malgré leurs physiques ingrats avaient été doux et vigoureux. Il fallait se rendre à l’évidence j’adorais le sexe et les grosses bites ; comment pourrais-je me passer de ça et me contenter seulement de la bite de taille moyenne de Julien. Il fallait qu’on ait une vraie discussion à ce sujet et voir comment on allait retrouver une vie normale en France. Une chose était sure il fallait partir de ce pays car si Boubakar me retrouve il pourrait me le faire payer très sévèrement.
Regardant par la fenêtre je commençais à reconnaitre les alentours de l’hôtel je partis donc réveiller Ping qui avait dormi comme un bebe pendant tout ce temps. Le bus nous déposa juste devant l’hôtel au petit matin et le chauffeur nous fit cadeau du trajet en me disant que je lui avais offert un assez beau spectacle. Nous sommes donc descendus et sommes rentré dans l’hôtel directement.
Je passais la porte de l’hôtel avec Ping avec un sentiment de soulagement, nous avions réussi et il me restait à retrouver Julien et prendre le premier vol pour la France. Il devait être maintenant 7h ou 8h du matin et Moussa était déjà au bord de la piscine lisant son journal.
• Mon dieu Adèle que fais-tu dans cet état déplorable ?
En effet j’étais toujours en peignoir, décoiffée et le visage rongé par la fatigue.
• Nous sommes sortis de l’enfer Moussa, ton ami le maire est un psychopathe, il voulait nous retenir prisonnières chez lui. Il faut que je retrouve Julien et qu’on parte immédiatement pour que ce malade ne me retrouve pas.
• Comment ça ? Je suis désolé Adèle, il s’était toujours bien comporté. Je ne sais pas quoi te dire. Du coup cette jeune fille est une victime également ?
• Oui je te présente Ping, je l’ai fait sortir avec moi après avoir assommé Boubakar. Maintenant il faut vraiment qu’on parte.
• Viens Ping je vais te donner une chambre, Adèle il faut qu’on discute tranquillement.
J’attendais donc que Moussa revienne, quelque chose ne tournait pas rond cela se sentait. Il revint avec l’air grave.
• Ecoute Adèle je ne sais pas trop comment te dire ça mais Julien est reparti… Cette phrase resonna comme une bombe dans mon crane. Je restais sans voix totalement sous le choc.
• Hier quand il a découvert que tu étais parti sans lui, il s’est senti trahi. J’ai tout fait pour lui expliquer que tu avais besoin de découvrir des choses par toi-même et que tu avais besoin de profiter au maximum mais il n’a rien voulu entendre. Il ne peut pas supporter que tu aies découvert ta vraie personnalité. Voici ce qu’il m’a laissé pour toi… Il déposa sur la table l’alliance de mon Julien, l’homme que j’aime depuis si longtemps. J’éclatais en sanglots, comment avais-je pu en arriver là ? Comment mes parents allaient réagir a cela surtout en sachant les raisons de cet échec ? J’avais tout perdu en une semaine et je ne savais pas quoi faire du tout. Il fallait que je le recupere mais comment ?
• Je suis désolé ma belle, viens je sais ce dont tu as besoin pour te remettre les idées en place. On va aller te faire couler un bon bain.
Il me conduit jusque ma chambre, moi toujours en train de pleurer, alluma la grande baignoire avec tous les sels moussants.
• Allez princesse c’est prêt. Ça va te faire du bien.
Je fis tomber mon peignoir dévoilant mon corps de rêve maintenant percé, tatoué et je pu voir le regard amusé de Moussa. J’entrais dans la baignoire et l’eau brulante sur ma peau me fit un bien fou. Moussa pris une grosse éponge et commença à me savonner lentement le dos • Tu sais ma belle, des fois les couples ne sont pas faits pour être ensemble. Julien était un bon gars mais il était trop faible pour te comprendre.
Moussa m’épongeait maintenant les bras puis passa au ventre et à mes seins. Moi toujours dépitée j’écoutais sans dire un mot.
• Une femme comme toi avec ce corps de rêve a besoin de vrais males.
Le patron noir fit tomber sa chemise et son short pour faire apparaitre son énorme engin dressé et me rejoignit dans la grande baignoire.
• Mets-toi a 4 pattes je vais nettoyer ta belle petite chatte.
J’obéis, et il commença à passer l’éponge sur ma vulve et mon anus pour nettoyer tous les affronts de la veille, c’était très agréable.
• Tu aimes trop le sexe pour te contenter d’un homme faible et sans aucune vigueur. Ici tu auras tout ce que tu veux pour découvrir toute ta sexualité et tu seras en sécurité ma belle.
• Mais je ne peux pas laisser toute ma vie comme ça… Toujours à 4 pattes, je sentis deux doigts s’introduire en moi ce qui me fit gémir.
• Tu sais très bien que j’ai raison arrête de te mentir.
Il accélérait le mouvement de ses doigts y ajoutant même un 3éme et je commençais à mouiller vraiment fortement.
• Oublis ce looser il ne te mérite pas.
Moussa retira ses doigts et plaça son gourdin à l’entrée de mon sexe, je pouvais sentir son gland à l’entrée de mes lèvres ce qui m’électrisa.
• Alors je te laisse le choix, soit on sort du bain et je te dépose illico a l’aéroport et tu pourras retrouver la petite bite qui te servait de mari, soit on reste la et je te démonte en te faisant jouir de plaisir ?
Sans même réfléchir je reculais pour enfoncer mon sexe sur son énorme pénis dans un cri de plaisir.
• Très bon choix petite chienne. Je vais faire de toi une vraie femme maintenant.
Moussa mêlant le geste à la parole prit mes cheveux dans une main et commença à me pilonner à grands coups de bite. L’orgasme fut quasi immédiat et mes cris sans retenu le poussait à aller encore plus vite et plus loin. D’une grosse fessée il m’indiquait qu’il voulait sortir de la baignoire. Il saisit la chaine qui reliait les piercings sur mes tétons et me tirait hors de l’eau.
• Pratique ce nouvel accessoire. Allez maintenant suce moi salope.
Complètement excitée je le pris en bouche et commençais à le sucer avec entrain, lui caressant les couilles. Il me laissait faire profitant de ma bouche gobant son chibre de plus en plus loin dans ma gorge. Avec la chainette il me releva avec force me plaqua contre le lavabo et m’encula d’un coup sec. C’était douloureux mais j’adorais ça. Je criais ma jouissance comme un petite pute. Il m’enculait avec une force inouïe et j’eu encore un orgasme. Il avait raison j’adorait le sexe et cet homme savait me satisfaire ce que Julien ne pourrait pas. Il accéléra encore jusqu’à éjaculer de longues saccades dans mon anus.
• Tu m’as beaucoup manqué Adèle tu es vraiment la plus belle chienne que j’ai jamais baisée.
Moi je me remettais tranquillement de cet assaut quand la sonnette de la chambre resonna.
• Finis de te nettoyer je vais ouvrir t’inquiète j’ai plein de choses à faire tu te souviens qu’il y a une fête ce soir ici.
Moussa se rhabilla et sortit de la salle de bains. Je l’entendis ouvrir la porte et saluer Ping. Moi je me replonger rapidement dans la baignoire pour nettoyer ce dernier coït.
• Adele?
• Oui Ping je suis dans la salle de bain entre.
La jeune asiatique entra dans la salle de bain toujours vêtue de son peignoir mais elle s’était refait une beauté et c’était vraiment une belle femme malgré ses traits enfantins.
• Désolé je ne savais pas que tu étais nue. Je t’attends dans la chambre • Pas de soucis. Je sors j’arrive de suite.
Ayant fini ma toilette, je m’entourais d’une serviette et rejoignis Ping dans la chambre.



Je vivais un cauchemar, hier en descendant les marches de l’hôtel après avoir découvert qu’Adèle n’était plus dans le lit avec moi j’étais tombé sur Moussa.
• Bonjour Moussa tu sais ou est Adèle par hasard ?
• Oui elle est partie en virée pour découvrir un village • Ah bon ? Mais on était censé faire ça tous les deux. Je vais la rejoindre.
• Non toi tu restes ici.
• Comment ça ? Non je vais prendre un taxi tu peux l’appeler stp Moussa m’avait alors directement fait une clé de bras et d’un violent coup sur la tête m’avait assommé.
Je m’étais réveillé dans l’après-midi attaché à une chaise avec des écrans devant moi montrant toutes les parties de l’hôtel dont le hall, la piscine, ma chambre, etc. J’ai passé toute la nuit dans cette petite pièce sombre sans la moindre visite. C’est au petit matin que je pus découvrir l’arrivée de ma femme dans un état lamentable et assisté au lavage de cerveau que lui avait fait Moussa ainsi qu’à leur baise dans la salle de bain. J’avais énormément bandé malgré moi.
Cette épreuve fut terrible car je n’avais pas de solution, Adèle croyait que le l’avait quitté avec pour preuve l’alliance que je n’avais plus au doigt. Ping que j’avais découvert ce matin venait d’entrer dans la chambre quand la porte de la pièce s’ouvrit et Moussa fit son entrée.
• Alors mon pote comment ça va ?
• Espèce d’enfoire tu ne vas pas t’en tirer comme ça.
• Ta gueule petite merde c’est moi qui donne les ordres.
Il m’assena un bon gros coup de poing dans le ventre pour affirmer son autorité.
• Bon tu as de la chance je vais te faire participer un peu aux évènements. Aujourd’hui à la fête tu t’imagines bien que ça va baiser dans tous les sens et en particulier Adèle qui risque de prendre très cher.
• Pourquoi vous nous faites ça ?
• Tu ne croyais quand même pas que tu allais rentrer dans mon hôtel avec une bombe pareille sans que je te la pique quand même ? hahaha !
Il s’approcha de moi et fis passer un anneau autour de mon sexe mou il était juste un peu trop grand.
• Voilà tu es prêt maintenant comme tu peux le remarquer si tu te mets a bander cela va compresser ton sexe très fort et tu souffriras. Mais de toute façon tu n’as pas de raison de bander en voyant ta femme se faire prendre pas vrai ? Profites bien du spectacle lopette.
Il sortit de la chambre et me laissa à nouveau seul devant les écrans. Au même moment Adèle sortait de la salle de bain et rejoignait Ping assise sur le lit.
• Comment vas-tu Ping ?
• On peut dire que ça va. Excuse-moi de te déranger je me demandais si tu avais des fringues à me prêter ?
• Oui bien sûr. Par contre j’ai surtout des robes.
Je voyais Adèle chercher dans la valise ou mes fringues avaient disparu une petite robe noire pour l’asiatique ainsi que des sous-vêtements noirs plutôt sexy que je lui avais offert.
• Je voulais aussi te remercier de m’avoir sauvé la vie en me sortant de ce trou. Je te dois tout Adele.
• De rien Ping je suis désolé que ton copain t’a abandonné à cette soirée, mon mari a fait la même chose hier.
• Oh je suis tellement désolé. Merci encore pour les fringues. Je vais aller passer ça dans ma chambre.
• Ne te gêne pas change toi ici j’ai pas envie d’être seule.
La chinoise retira donc son peignoir et je pu découvrir ses petits seins bien fermes et son beau petit cul. Elle avait un physique d’adolescente mais c’était vraiment une belle fille.
Elle enfilait les sous-vêtements tanga et soutien-gorge noirs ainsi que la robe devant les yeux de ma femme.
• Ca te vas super bien • Merci Adèle. Tu penses que je peux rester jusqu’à quand ici ? Car je suis un peu perdu je n’ai pas d’argent et ne sais pas comment rentrer.
• Alors il faudrait en discuter avec Moussa mais moi aussi je compte rester un petit moment. Tu veux qu’on aille le voir ?
• Oui s’il te plait.
• Je fais une petite sieste et on y va. Reste avec moi si tu veux Les deux femmes s’endormirent 2 bonnes heures. A leur réveil je vis ma femme enfiler une petite robe blanche avec un string blang également mais pas de soutien-gorge et elles sortirent toutes les deux de la chambre.
Sur un autre écran je pouvais voir Moussa et sa mère sur des transats autour de la piscine se reposant avant la fiesta du soir. Adèle et Ping ne mirent pas longtemps à apparaitre et se diriger vers le colosse noir.
• Moussa, Ping voudrait savoir combien de temps elle pouvait rester à l’hôtel en attendant de pouvoir rentrer chez elle ?
• Alors aujourd’hui je te fais cadeau de la chambre par contre il faudra payer par la suite, ce n’est pas les restos du cœur.
• Monsieur je n’ai plus d’argent sur moi mais je vous promets de tout rembourser après.
• Je ne peux pas me baser sur des promesses par contre je peux te trouver un boulot a l’hôtel si tu veux.
• Ça serait merveilleux merci beaucoup.
• Il faut voir si tu es prête pour ce genre de boulot par contre petite. Ce n’est pas si simple.
• Ah bon d’accord qu’est-ce que je dois faire ?
• Alors on va passer une sorte d’entretien. Adèle va pouvoir t’aider, elle est une très bonne élève.
La jeune Ping était donc seule debout devant eux, ma belle latine à ses côtés. Le tableau était saisissant avec ces deux bombes debout devant ces deux pervers allongés.
• Adèle dévoile nous les charmes de cette petite.
• Comment ça ? Adèle ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
• Chut calme toi. Fais-moi confiance.
Ma femme passa alors la main dans les cheveux de l’asiatique, se rapprocha et l’embrassa tendrement, elle inséra lentement sa langue dans la bouche de Ping qui d’abord réticente semblait être rassurée par ma femme. Ce baiser passionné des deux femmes commença à me faire bander ce qui déclencha une douleur intense dans mon pénis à cause de l’anneau c’était un supplice.
Adèle tout en embrassant fit passer les brettelles de la robe de Ping par-dessus ses épaules et elle s’écroula au sol. Moussa avait sorti son sexe et commençait à se masturber tout comme sa mère. Adèle dégrafa le soutien-gorge de la jeune femme et commença à sucer les petits tétons de Ping qui les yeux fermés, semblait apprécier le traitement. Méroé s’était levé pour aller chercher quelque chose. Moussa se délectait du spectacle et avec un regard vers la caméra me fit un clin d’œil. La culotte de Ping était elle aussi tombée au sol et les doigts de ma femme s’activait sur le clitoris de l’asiatique qui commençait à bien gémir.
• Bon les filles passons au choses sérieuses venez dire bonjour à mon troisième bras.
Adèle pris la main de Ping et se mit à genoux avec elle. Elle posa la main de la chinoise sur le membre de Moussa et rythma son poignet de haut en bas. La chinoise s’appliqua à suivre les indications de ma femme.
Méroé fit son apparition dans la salle nue son corps obese me dégouta, elle était équipée d’un ceinture gode énorme d’au moins 30cm et sans me laisser le temps de comprendre bascula ma chaise, enleva le dossier et m’encula ce qui me fit hurler de douleur. J’étais au sol avec un gode dans le cul qui allait et venait à une vitesse folle avec un anneau qui me comprimait le sexe, j’étais au summum de l’humiliation. Je pouvais néanmoins voir les écrans ou ma femme montrait à Ping comment faire en prenant lentement le chibre de Moussa en bouche, Ping l’imita non sans hésiter un petit peu. Les deux femmes alternaient les prises en bouche et Moussa semblait aux anges avec une main sur chaque tète il dictait le rythme.
• Je pense qu’elle sait comment faire maintenant Adèle. Tu peux la préparer.
Adèle s’écarta donc du sexe de Moussa laissant seule la chinoise le sucer, elle se plaça derrière Ping et plongea son visage entre ses cuisses. Ma femme était en train de lécher comme il se doit la chinoise qui poussée par le plaisir suçait maintenant avec appétit le géant noir. Moi je subissais encore la sodomie de Méroé dans la douleur et résigné. Cela dura un bon quart d’heure puis Méroé me releva et quitta la pièce sans un mot, j’étais en pleurs. Ping semblait avoir atteint un premier orgasme sous les coups de langues de ma femme vu son gémissement étouffé par la bite de Moussa.
• Allez j’ai envie de baiser maintenant.
• Attention Moussa elle est encore vierge.
• Quelle bonne nouvelle. Je vais me régaler !
On pouvait voir de la panique dans les yeux de Ping mais Adèle la rassura et l’allongea délicatement sur le bout du transat. Moussa qui s’était levé se plaça à genoux, leva les jambes de la chinoise en plaçant son sexe devant la vulve intacte de Ping et commença le dépucelage doucement. Adèle embrassait tendrement la chinoise pendant que le sexe noir entrait cm par cm jusqu’à l’hymen qu’il perfora d’une poussée. La douleur fut intense pour la petite mais Adèle la réconfortait. C’était super excitant mais l’anneau me faisait tellement mal que je ne pouvais pas apprécier correctement ce moment.
Une fois bien au fond Moussa se retira pour mieux re-rentrer dans la jeune femme. Méroé avait rejoint l’assistance toujours équipé de son outil. Elle s’approcha de ma femme un peu surprise et d’une main ferme sur son crane l’obligea à sucer le chibre en plastique recouvert de mes excréments. Le dégout était affiché sur le visage de ma belle mais elle le suçait sans rechigner. Une fois bien propre Mero retira le gode, déshabilla ma femme et commença à l’embrasser en la caressant de partout. Pendant ce temps Moussa besognait maintenant avec force la chinoise qui hurlait son plaisir, elle était agrippée au dos du géant tel un koala recevant les coups de bite avec bonheur.
Méroé et ma femme étaient allongées par terre en ciseau et se frotter mutuellement le clitoris c’était tellement bandant surtout à entendre leurs gémissements. Voir le petit corps parfait de ma femme encastré avec le corps obese de la mama était surprenant. C’est d’ailleurs simultanément que les deux femmes jouirent s’inondant de leurs jus. Méroé comme à son habitude une fois son plaisir obtenu s’éclipsa laissant les trois autres à leur basse besogne.
- Adèle ne reste pas là à rien faire. Enfile la ceinture et dépêche-toi.
Ma femme a ses ordres s’exécuta rapidement. Moussa embrassait la chinoise a pleine bouche en la culbutant lui procurant un autre orgasme très intense. Il finit par sortir et j’étais toujours impressionné par son endurance. Ping complètement au septième ciel, ma femme s’allongea à côté d’elle sur le transat et lui indiqua de l’enjamber. Ping s’enfonça le gode en elle et ma femme commença des va et vient tout en la serrant contre elle.
- Dernière petite étape et tu seras prête ma nouvelle petite pute. Adèle écarte lui bien les fesses.
Ma femme qui avait chaque fesse de Ping dans une main les écarta au maximum tout en continuant de la baiser. Moussa plaça sa grosse bite à l’entrée de l’anus serré de la chinoise, cracha sur ce dernier et commença à pousser. Les cris de la Ping prise en sandwich étaient tellement stridents que tout le voisinage devait entendre. Cela paraissait encourager encore plus Moussa qui appuyait encore plus fort pour que son gland entre complétement. Le plus dur était fait et le reste du chibre ne fut qu’une formalité. Adèle se synchronisa avec son maitre et ils défoncèrent la jeune asiat à grands coups de boutoirs. Je ne sais pas si elle prenait du plaisir et paraissait a moitie dans les vapes en subissant ces assauts. Moussa se déchainait et éclatait le cul de la petite pendant un bon moment. Juste avant d’éjaculer il sortit, se releva fièrement le sexe bandé au maximum.
- Allez Adèle tu as bien travaillé, je t’ai gardé le meilleur.
Ma femme souriante se précipita et pris en bouche le sexe a peine sortit de l’anus en se délectant des saveurs. Il ne fallut que quelques allers retour dans sa gorge pour que Moussa éjacule de longues saccades que ma belle avala sans rechigner.
- Bon les filles reposez-vous bien car ce soir ça va être une grande soirée. On se donne rdv à 19h dans le hall pour un briefing je vous ferai parvenir vos tenues auparavant.
Quelques minutes après, Moussa entra dans la pièce ou j’étais au bord de la désespération.
- Alors mon petit Julien tu as apprécié le spectacle ? T’inquiète tu vas adorer la soirée de ce soir. Et puis avec l’anneau à la fin de la soirée tu ne pourras plus jamais bander hahaha. Allez repose toi bien et a ce soir.
A bout de force je m’endormis sur ma chaise attendant avec une grande appréhension la soirée de ce soir.

Comme Ping j’étais parti faire une bonne sieste afin d’être en pleine forme pour ce soir. Connaissant Moussa je savais que la soirée allait surement partir en vrille mais de toute façon j’avais tout perdu dans ma vie donc autant en profiter au maximum et cela ne m’excitait déjà rien que d’y penser. Une magnifique robe était posée sur un cintre dans ma chambre ainsi qu’un maillot de bain sur le bout du lit. Le maillot était splendide, bleu turquoise il comportait un haut sexy et un tanga en bas c’était très chaud. La robe était de la même couleur, courte avec un décolleté plongeant. Elle me mettait bien en valeur, j’étais vraiment canon et ultra sexy avec ma peau qui avec le soleil avait encore bronzée. Une fois maquillée je descendais rejoindre Moussa qui était avec les filles. Ping portait exactement la même robe couleur lilas et Camille en jaune. Nous étions toutes les trois canons.
- Bonsoir les filles j’espère que vous êtes en forme car la soirée va être longue. Petit briefing, pendant les deux premières heures que vont durer l’apéro je veux qu’il y ait une de vous dans la piscine, une sur la piste de danse et une au stand photo. Vous pouvez tourner les postes mais je veux que vous divertissiez les invites gentiment.
- Ensuite vous irez mangez chacune a une table et enfin on finira la soirée en s’amusant. Sachez que les invites vont payer pour faire les activités donc tachez de les pousser à consommer. Tout est clair ?
- Oui monsieurNous avions répondu toutes les trois en cœur. Nous nous étions mis d’accord pour que Ping commence dans la piscine, Camille sur la piste et moi aux photos. Nous devions tournez les stands chaque 40min.
Les invites commençaient à arriver dans l’hôtel, Il y avait exclusivement des hommes la plupart âgés, le plus jeune devait avoir 45 ans. Ils étaient tous noirs évidement. Je voyais qu’ils commençaient par passer à un genre de billetterie qui remplaçait de l’argent par des jetons. Un peu comme au casino. Je pu apercevoir Pierre habillé en serveur, il allait travailler en salle ce soir. Une trentaine d’hommes composait la soirée, une fois tous présents Moussa pris la parole.
- Bonjour à tous et bienvenu à ma soirée annuelle, je vous ai préparé de nombreuses surprises comme d’habitude. J’espère que vous avez bien changer votre argent en jetons. Pour info l’accès a la piscine est de 5 jetons, pareille pour la séance photo et la piste de danse. Mes trois princesses sont là pour vous accompagner dans ces activités prenez bien soin d’elles.
Ainsi la soirée était lancée et je ne dus pas attendre longtemps avant qu’un des invités vienne prendre une première photo avec moi c’était un homme puissant de 50ans qui posa une de ses grosses mains sur ma fesse et l’autre sur un sein pour prendre la photo. Elles s’enchainèrent avec des mains baladeuses, des bisous, plusieurs me roulèrent de grandes pelles. Moi je m’exécutais me prêtant au jeu. Apres 40 minutes de ce petit manège je passais sur la piste de danse et j’enchainais les partenaires. La plupart dansait des slows ou des zouks, à chaque fois leurs mains me caressaient les fesses, les seins, je commençais à mouiller sévèrement. Surtout que selon les pas de danses je pouvais deviner des sexes imposants contre mes fesses ou mes cuisses.
Je retirais ma robe pour rejoindre la piscine pour mon dernier stand. Là je fus directement prise d’assaut et mon corps fut vite recouverts de mains me palpant chaque membre. C’était tellement agréable que je fermais les yeux et savourais ces massages intégraux. Plusieurs intrépides allèrent jusqu’à enfoncer des doigts dans ma chatte détrempée et cela me provoqua un premier orgasme. D’autres prirent possession de mon anus avec plusieurs doigts. Bref après ces deux heures d’attouchements j’étais ultra excitée avant de passer à table. Je pus voir que les filles étaient dans le même état que moi.
- J’espère que vous avez tous apprécié l’apéritif. Nous allons passer à table. Les filles vont s’installer sous chacune des tables et vous relaxer pendant que vous dégustiez les magnifiques plats de ma mère servit par le cocu Pierre.
Je compris donc que je n’allais pas déguster de la nourriture traditionnelle et me rendais à la table qui m’étais attribuée. La dizaine d’hommes assis comprenant le message avaient déjà sorti leur sexe sous la table et on peut dire qu’il y avait de très beaux morceaux, tous autour des 30cm. Complètement excitée j’avalais ma première queue sans attendre. Je suçais cette première bite goulument la fourrant au plus profond dans ma gorge, je me comportais comme la dernière des putes et cela m’excitait. Le premier homme ne tarda pas à éjaculer et j’avalais naturellement la bonne quantité de sperme. J’enchainais directement sur une nouvelle bite et en prenais une dans chaque main pour faire patienter. Je passais tout le repas à sucer les bites des invités qui éjaculèrent chacun a leur tour au fond de ma gorge. Ce petit manège dura une bonne heure, le temps que tout le monde ait pu déguster son repas, pour ma part j’avais bien mangé également et cela devait être la même chose pour mes collègues du soir.
- J’espère que vous avez bien mangé. Maintenant que la fête commence !!! Petit rappel des tarifs mes amis 30 euros la fellation, 50 euros la baise, 75 euros la sodomie et 100 euros la totale. Profitez bien messieurs.
Pierre apporta 3 matelas qu’il posa au milieu de la piste de danse et nous comprimes toutes les trois notre rôle dans la fin de la soirée. En effet j’étais devenu une pute pour un propriétaire d’hôtel, j’allais me faire baiser par tous les trous par de nombreuses personnes pour de l’argent et ma chatte n’avait jamais été aussi mouillé.
Une file d’attente s’était déjà formée devant chaque matelas et une légère compétition commençait à germer dans mon esprit : Je voulais gagner le plus d’argent ce soir. Je mis donc le paquet en faisant tomber de manière super sensuel mon maillot de bain en passant ma langue sur mes lèvres. Comment avais-je pu en arrivé là je ne sais pas mais ce soir j’allais en profiter, j’allais me laisser salir, j’allais être un objet pour tous ces hommes.
Les trois premiers arrivèrent me rejoignirent donc sur le matelas, j’en allongeais un directement pour l’enjamber, plaçais la bite du second a l’entrée de mon anus et pris le troisième en bouche et c’était partie pour un tour. Ainsi perforée de toute part je prenais autant, voir plus de plaisir que mes clients tous bien membrés. Je voyais que Ping et Camille enchainait aussi les triples et cela me motiva à me déhancher au max, à sucer encore plus profond pour faire éjaculer au plus vite mes clients. Une bonne dizaine de males m’avait défoncé alternant les trous entre eux et la queue était encore longues. J’alternais la sodomie par-dessus puis par-dessous histoire de changer de position et ne pas m’endolorir les muscles. Ce manège dura jusqu’à très tard et a chaque fois les hommes éjaculaient sur le corps, c’est pourquoi à la fin j’étais totalement recouverte de sperme.
- La soirée touche à sa fin les amis, j’espère que vous avez apprécié mes nouveaux trésors, elles ont besoin de se reposer maintenant. Merci à tous et à la prochaine.

Les invites partirent rapidement et Moussa est venu nous voir toutes les trois encore allongées dans un état déplorable, nos trous béants. Camille paraissait fatigué tout comme Ping mais plutôt heureuse de leur soirée moi aussi d’ailleurs.
- Je vous félicite les filles on a gagné beaucoup d’argent ce soir, surtout toi Adèle tu as été magique. Ping et Camille allez vous doucher et vous reposer vous avez bien travaillé. Quant à toi Adèle il faut que je te montre quelque chose, une petite surprise.
Je suivais donc Moussa toujours nue, il se dirigeait vers une porte qui menait à un escalier descendant a la cave de l’hôtel. Intriguée je suivais le patron noir.
- Ou m’emmène-tu Moussa ?
- Patience ma belle, tu vas bientôt découvrir ce que moi et ma mère n’avons jamais montré a personne.
A suivre

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