Du bord de Cèze je sors de baise.
Récit érotique écrit par Plug & Play [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plug & Play ont reçu un total de 2 814 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 814 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Du bord de Cèze je sors de baise.
Depuis le le mois d'octobre je suis en manque soleil sur ma peau nue. La météo annonçant pour cette journée de mi-mars une température de 21° je décide d'aller passer l’Après midi au bord de la Cèze sur ma plage habituelle
Au cœur des des gorges de la Cèze, accessible uniquement par des piste de 2 ou 3 km, le lieu est situé à proximité des campings naturistes. Cette plage à culs nus, comme disent les locaux textiles, est un petit paradis fréquentée par des couples libertins, des gays, des hommes mariés aux fesses blanches en quette ou quéquette d'aventure et des voyeurs
Je suis un sexygénaire bi poivre et sel, faisant 15 ans de moins que mon age, de 1,85 cm pour 90 kilos, doté d'un petit pénis au repos mais atteignant 14 cm en érection. Après 50 ans d'hétéro sexualité, je ne baise plus qu'avec des hommes, avec une préférence pour les actifs à grosse bite cherchant des fesses et un rectum accueillant.
Autant mon attirance pour une femme était conditionnée à son apparence physique, autant seul le désir que j'inspire à un autre homme et non son apparence déclenche mon désir. Celui qui a envie de moi, pose ses mains sur moi, peut m'avoir, quelque soit son âge, son physique, à moins d’être crade, obèse ou souhaiter me sodomiser sans préservatif.
J'ai préparé mon sac avec natte serviettes de plage, plaquette de Cialis, la trousse contenant un gel hydroalcoolique et un lubrifiant, des préservatifs et deux plugs de belle taille. Apres la douche et un lavement, j'ai vaqué a mes taches ménagères, sorti les poubelles et le recyclage avec mon anus crispé autour d'un plug de 4 cm de diamètre, inséré de 6 cm, engendrant une petite douleur combinée à des onde de plaisir à chaque pas ,tout en déclenchant un début d'érection. A la belle saison, il m'arrive de faire le trajet en voiture avec un plug tout en tortillant du cul sur le siège, mais aujourd'hui l'eau sera trop froide pour rafraîchir mes fesses à l'arrivée après l'extraction du plug. J'ai donc pris la route après un second lavement.
A l'arrivée juste trois voiture sont garées au bord du chemin de terre à 50m de la rivière, je me gare au plus près, à l'orée du petit bois. L'été les pèlerins qui souhaitent une sodomie discrète dans un lieu ombragé en font leur chemin de proies, le gros goupillon ou le petit jésus à l'air. Rapidement je me déshabille, enfile mes chaussure d'eau, prend mon sac et rejoins la rive. Sur le petit chemin qui borde la rive d'en face, une femme blonde en jupe courte et un homme se dirigent vers la zone échangiste. Sur ma rive, deux hommes habillés discutent sur la plage gay et bi. Le niveau de l'eau étant aussi bas qu'en mai ou juin, Je décide de gagner la plage plus en aval qui sera hors d'eau et restera plus longtemps ensoleillée en cette saison.
La plage est déserte, je m'installe sur le sable face à la rivière et au soleil. Sur l'autre rive, à vingt mètres au delà d'une ripisylve non totalement masquante en l'absence de feuilles, la piste d’accès de l'autre rive surplombe la rivière sur cent mètres. Qu'importe, je sors de la trousse le gel lubrifiant, un plug noir ,4,5 cm de diamètre et de 18 cm de longueur, avec une boule avant son embase sécurisante mais hyper visible de 6 cm de diamètre. Toujours face à la rivière j'enduis ma rondelle de lubrifiant avec mon majeur et le fais pénétrer au plus profond, j'enduis le plug et commence à le faire pénétrer. En moins de trente secondes je l'enfonce jusqu'à la garde. Il coulisse sur toute sa longueur sans douleur, rentre et ressort délicieusement sans problèmes Quand j'entends sur la piste en face des voix de randonneurs, le gravier crisser sous les roues de voiture moto ou vélo, je cesse cette masturbation annale mais reste sur le dos les jambes repliées et largement ouvertes. Si un voyeur observe, il peut apercevoir malgré la distance l'embase du plug. Deux voiture se sont arrêtées, pour mieux voir, la voix d'une randonneuse a dit je ne vois rien Mais à mon grand regret personne n'est descend jusqu'à la rivière comme cela arrive parfois. De guerre lasse je décide de bronzer pile et face, jambes écartées, toujours avec mon plug enfoncé jusqu'à la garde.
Demi heures plus tard, le plug commence à gêner, le lubrifiant à base d'eau a séché, je le ressors avec quelque difficulté et vais le rincer à la rivière. Je le pose à sécher bien en vue sur la natte à coté du tube de lubrifiant et vais me rafraîchir les fesses dans l'eau glaciale du gourd à trente mètres Alors que j'ai presque fini un homme à moitié nu arrive sur la plage à dix mètre de moi, il me dit bonjour, tout en continuant mon rinçage je lui rends son bonjour. Il ne s’arrête pas et poursuit sa marche, fesses, à l'air vers ma natte. Je sais que pour passer, il va devoir contourner ma natte et immanquablement voir le plug noir et le tube bleu et blanc sur la serviette jaune. Je m'en moque, je n'ai plus ni pudeur ni honte ni angoisse, Je suis là pour le sexe en solo à deux ou plus, et si des mateurs ou des branleurs regardent, c'est encore plus jouissif. Quand je reviens à ma place Il est debout face à la rivière à vingt mètres, me tournant le dos. Je m'assois et laisse plug et lubrifiant en vue sur la serviette.
Quelques secondes plus tard il se dirige vers moi engage la conversation sur le beau temps, le faible débit de la rivière. Au bout de quelques minutes n'y tenant plus, pointant du doigt le plug il me déclare que j'ai un bel engin, et que j'ai ce qu'il faut pour l'utiliser. Il me demande s'il peut le toucher, il teste son diamètre dans sa paume, la flexibilité au niveau de la boule et le repose. Il me dit qu'il aimerait essayer un jour, mais qu'il le trouve gros. Je lui dit qu'il faut commencer avec plus petit, mais qu’après ça rentre tout seul, joignant le geste à la parole j'attrape le lubrifiant, en enduit mon anus, me doigte quelques, secondes, empoigne le plug, le lubrifie et l'enfonce d'un trait jusqu'à la garde dans mes entrailles toujours dilatées. Je le rentre le ressort , me gode trente secondes tout en gémissant devant lui. Devant son inaction je me lève, le plug toujours planté à fond, me dirige vers la rive, me courbe en avant pour me laver les mains longuement, il a une vue imprenable sur le plug Je reviens m’asseoir sans retirer le plug. Il n'a pas bougé. Il me demande si ce n'est pas douloureux de marcher avec et de le garder après. Je lui affirme que non, que c'est extrêmement jouissif, et qu'a chaque pas j'ai l'impression de prendre un coup de bite. Il me dit qu'il faudra vraiment qu'il essaye et prend congé.
Quelques minutes plus tard, un des deux hommes aperçu à mon arrivée sur la plage gay passe entièrement vêtu devant moi à moins cinq mètres, se tourne vers moi et me dit bonjour avec un sourire. Avec mes jambes repliées et largement écarté il n'a pu ne pas remarquer l’énorme rondelle noire de l'embase du plug. Il s'installe à vingt mètres de moi derrière un petit buisson défeuillé qui ne le masque pas totalement mais peut lui permettre de m'observer en toute discrétion et se déshabille totalement pour bronzer. Il n'est que quinze heures, il fait encore chaud tout est possible.
Au cœur des des gorges de la Cèze, accessible uniquement par des piste de 2 ou 3 km, le lieu est situé à proximité des campings naturistes. Cette plage à culs nus, comme disent les locaux textiles, est un petit paradis fréquentée par des couples libertins, des gays, des hommes mariés aux fesses blanches en quette ou quéquette d'aventure et des voyeurs
Je suis un sexygénaire bi poivre et sel, faisant 15 ans de moins que mon age, de 1,85 cm pour 90 kilos, doté d'un petit pénis au repos mais atteignant 14 cm en érection. Après 50 ans d'hétéro sexualité, je ne baise plus qu'avec des hommes, avec une préférence pour les actifs à grosse bite cherchant des fesses et un rectum accueillant.
Autant mon attirance pour une femme était conditionnée à son apparence physique, autant seul le désir que j'inspire à un autre homme et non son apparence déclenche mon désir. Celui qui a envie de moi, pose ses mains sur moi, peut m'avoir, quelque soit son âge, son physique, à moins d’être crade, obèse ou souhaiter me sodomiser sans préservatif.
J'ai préparé mon sac avec natte serviettes de plage, plaquette de Cialis, la trousse contenant un gel hydroalcoolique et un lubrifiant, des préservatifs et deux plugs de belle taille. Apres la douche et un lavement, j'ai vaqué a mes taches ménagères, sorti les poubelles et le recyclage avec mon anus crispé autour d'un plug de 4 cm de diamètre, inséré de 6 cm, engendrant une petite douleur combinée à des onde de plaisir à chaque pas ,tout en déclenchant un début d'érection. A la belle saison, il m'arrive de faire le trajet en voiture avec un plug tout en tortillant du cul sur le siège, mais aujourd'hui l'eau sera trop froide pour rafraîchir mes fesses à l'arrivée après l'extraction du plug. J'ai donc pris la route après un second lavement.
A l'arrivée juste trois voiture sont garées au bord du chemin de terre à 50m de la rivière, je me gare au plus près, à l'orée du petit bois. L'été les pèlerins qui souhaitent une sodomie discrète dans un lieu ombragé en font leur chemin de proies, le gros goupillon ou le petit jésus à l'air. Rapidement je me déshabille, enfile mes chaussure d'eau, prend mon sac et rejoins la rive. Sur le petit chemin qui borde la rive d'en face, une femme blonde en jupe courte et un homme se dirigent vers la zone échangiste. Sur ma rive, deux hommes habillés discutent sur la plage gay et bi. Le niveau de l'eau étant aussi bas qu'en mai ou juin, Je décide de gagner la plage plus en aval qui sera hors d'eau et restera plus longtemps ensoleillée en cette saison.
La plage est déserte, je m'installe sur le sable face à la rivière et au soleil. Sur l'autre rive, à vingt mètres au delà d'une ripisylve non totalement masquante en l'absence de feuilles, la piste d’accès de l'autre rive surplombe la rivière sur cent mètres. Qu'importe, je sors de la trousse le gel lubrifiant, un plug noir ,4,5 cm de diamètre et de 18 cm de longueur, avec une boule avant son embase sécurisante mais hyper visible de 6 cm de diamètre. Toujours face à la rivière j'enduis ma rondelle de lubrifiant avec mon majeur et le fais pénétrer au plus profond, j'enduis le plug et commence à le faire pénétrer. En moins de trente secondes je l'enfonce jusqu'à la garde. Il coulisse sur toute sa longueur sans douleur, rentre et ressort délicieusement sans problèmes Quand j'entends sur la piste en face des voix de randonneurs, le gravier crisser sous les roues de voiture moto ou vélo, je cesse cette masturbation annale mais reste sur le dos les jambes repliées et largement ouvertes. Si un voyeur observe, il peut apercevoir malgré la distance l'embase du plug. Deux voiture se sont arrêtées, pour mieux voir, la voix d'une randonneuse a dit je ne vois rien Mais à mon grand regret personne n'est descend jusqu'à la rivière comme cela arrive parfois. De guerre lasse je décide de bronzer pile et face, jambes écartées, toujours avec mon plug enfoncé jusqu'à la garde.
Demi heures plus tard, le plug commence à gêner, le lubrifiant à base d'eau a séché, je le ressors avec quelque difficulté et vais le rincer à la rivière. Je le pose à sécher bien en vue sur la natte à coté du tube de lubrifiant et vais me rafraîchir les fesses dans l'eau glaciale du gourd à trente mètres Alors que j'ai presque fini un homme à moitié nu arrive sur la plage à dix mètre de moi, il me dit bonjour, tout en continuant mon rinçage je lui rends son bonjour. Il ne s’arrête pas et poursuit sa marche, fesses, à l'air vers ma natte. Je sais que pour passer, il va devoir contourner ma natte et immanquablement voir le plug noir et le tube bleu et blanc sur la serviette jaune. Je m'en moque, je n'ai plus ni pudeur ni honte ni angoisse, Je suis là pour le sexe en solo à deux ou plus, et si des mateurs ou des branleurs regardent, c'est encore plus jouissif. Quand je reviens à ma place Il est debout face à la rivière à vingt mètres, me tournant le dos. Je m'assois et laisse plug et lubrifiant en vue sur la serviette.
Quelques secondes plus tard il se dirige vers moi engage la conversation sur le beau temps, le faible débit de la rivière. Au bout de quelques minutes n'y tenant plus, pointant du doigt le plug il me déclare que j'ai un bel engin, et que j'ai ce qu'il faut pour l'utiliser. Il me demande s'il peut le toucher, il teste son diamètre dans sa paume, la flexibilité au niveau de la boule et le repose. Il me dit qu'il aimerait essayer un jour, mais qu'il le trouve gros. Je lui dit qu'il faut commencer avec plus petit, mais qu’après ça rentre tout seul, joignant le geste à la parole j'attrape le lubrifiant, en enduit mon anus, me doigte quelques, secondes, empoigne le plug, le lubrifie et l'enfonce d'un trait jusqu'à la garde dans mes entrailles toujours dilatées. Je le rentre le ressort , me gode trente secondes tout en gémissant devant lui. Devant son inaction je me lève, le plug toujours planté à fond, me dirige vers la rive, me courbe en avant pour me laver les mains longuement, il a une vue imprenable sur le plug Je reviens m’asseoir sans retirer le plug. Il n'a pas bougé. Il me demande si ce n'est pas douloureux de marcher avec et de le garder après. Je lui affirme que non, que c'est extrêmement jouissif, et qu'a chaque pas j'ai l'impression de prendre un coup de bite. Il me dit qu'il faudra vraiment qu'il essaye et prend congé.
Quelques minutes plus tard, un des deux hommes aperçu à mon arrivée sur la plage gay passe entièrement vêtu devant moi à moins cinq mètres, se tourne vers moi et me dit bonjour avec un sourire. Avec mes jambes repliées et largement écarté il n'a pu ne pas remarquer l’énorme rondelle noire de l'embase du plug. Il s'installe à vingt mètres de moi derrière un petit buisson défeuillé qui ne le masque pas totalement mais peut lui permettre de m'observer en toute discrétion et se déshabille totalement pour bronzer. Il n'est que quinze heures, il fait encore chaud tout est possible.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plug & Play
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...