Du miel et du lait chez les scouts
Récit érotique écrit par Indiascalling [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Du miel et du lait chez les scouts
Cette histoire est arrivée lors d'un Jamboree (un rassemblement mondial des scouts). Il avait lieu en Angleterre.
Je me souviens que je ne l'avais rencontré que vers la fin du jamboree et que nous nous étions tout de suite plu : moi j'étais encore musculeux à l'époque, indien aux yeux et aux cheveux d'un noir profond et elle, d'une silhouette mince, aux yeux bleus et blonde. J’arborais encore une mâchoire légèrement carrée et un regard à la fois doux mais profond (selon ses dires). Elle avait un sourire charmeur et des yeux pétillants. Ses cheveux volaient au vent quand elle ne les attachait pas en queue de cheval, serrés à la mode polonaise. J’aimais passer du temps avec elle, main dans la main, à flâner ici et là au gré de nos envies. Il nous arrivait de nous enfuir du campement pour aller nous aventurer, complices, et doucement… nous tombions amoureux….
Si je devais me décrire à cette époque, je dirais que j’étais grand, serviable, aventureux et désireux de connaître les choses de l’amour. Elle, avait déjà eu un copain avec qui cela s’était mal terminé. Elle me racontait qu’ils n’avaient fait que quelques préliminaires mais qu’avec son ami d’enfance, elle avait appris « pas mal de chose concernant les mecs ». Je n’en revenais pas de son audace, de sa féminité et de sa fougue. J’étais subjugué de voir a quel point elle était à l’aise avec son corps, qu’elle ne s’interdisait jamais de montrer, que ce soit simplement son ventre, un décolleté ou encore ses longues jambes fines de jeune femme. Son nez était légèrement droit et sa bouche pulpeuse mais bien dessinée. Quand elle souriait je voyais apparaître des ridules sur le coin de ses lèvres et j’aimais la manière dont les arêtes de son nez se retroussaient légèrement. Elle arborait quelques taches de rousseur très mignonnes.
Un soir, après avoir acheté une glace puis un chocolat chaud dans une échoppe ambulante pour ma douce amoureuse, nous avions décidé d'aller voir le lac central car il y avait là un bois calme où nous pourrions parler tranquillement.
Quand nous sommes arrivé près du lac, il était déjà tard dans la nuit. La nuit était noire car des nuages obscurcissaient la lune. Nous n’avions qu’un portable avec une vague lumière pour nous éclairer et tentions de nous avancer entre les buissons et les arbres bordant une clairière jouxtant le lac. Lorsque je déplaçai la lampe du portable d’une main, je me figeai et elle suivit le geste. Nous entendions des petits bruits étranges. En tendant l’oreille, je me concentrai pour saisir la provenance de ces bruits. Je compris alors avec un sourire. Il s’agissait de bruit de bouches mouillées entrelacées et de langues se glissant dans la bouche de l’autre et de gémissements étouffés. En me concentrant mieux, j’entendis des bruits de vêtements serrés, de liquide giclant sous l’assaut répété de doigts fureteurs. Faisant le faux naïf, je brandis la lampe sur un couple en pleins ébats. Un tunisien se faisait branler par une autrichienne (d’après leurs chemises et foulards reconnaissables) tout en lui mettant la main dans la culotte. Mon cœur battait la chamade et je pense que j’insistai un peu trop car le couple s’arrêta pour me lancer un « duuuude » mais j’étais fasciné par la main de cette autrichienne, aux doigts si fins, enserrant une colonne de chair et par la main de ce tunisien dont je devinais les mouvements à travers le tissus de la culotte violacée de sa partenaire.
Je me tournai pour éclairer les lieux et découvris que l’endroit était envahis de couples en chaleur. Je me retournai alors vers Anna et lui dis qu’il nous fallait trouver un autre endroit… j’avais peur de sa réaction face à ce déferlement d’hormones et de senteurs marines. Elle souriait.
Elle me fixa, mis une main sur ma nuque, l’autre entre mes omoplates et m’embrassa langoureusement. Elle posa sa lèvre supérieure entre mes lèvres et sa lèvre inférieure agrippa la mienne avec force. Je sentis son souffle couper le mien et je fermai les yeux, envahis de plaisir. Rien d’autre ne comptait plus. Pour la première fois, je senti une langue passer mes lèvres pour arriver sur la mienne et la titiller avec douceur. Je répondis à cet appel en tournant ma langue autour de la sienne et en terminant en refermant doucement mes lèvres sur sa langue pour la « sucer ». Elle me regarda avec des yeux pétillants et me dit d’écouter les ébats qui se poursuivaient presqu’à nos pieds. Le tunisien faisait gémir sa partenaire. Je sentais mon Anna retenant son souffle pour écouter mais son cœur battre fort dans sa poitrine. « ça te fait quoi ? » me demanda-t-elle. Je ne savais pas bien quoi répondre alors je répondis « du bien,… pas mal de choses » avec un sourire un peu gêné. Je la regardai toujours mais je commençais vraiment à sentir monter en moi le désir. Je savais que j’avais mal répondu à sa demande car elle appuya son regard et me ré-embrassa langoureusement. Dans le silence de ma tête, je sentis mon corps répondre à son appel de langue. Ma queue commençait à se gonfler doucement, je sentais chaque battement de mon cœur faire grossir cette bite… Mon gland commençait à sortir de son prépuce et je senti un léger liquide humecter le bout de mon gland rose. Je le devinais commencer à frotter légèrement contre mon caleçon américain, ce qui m’infligea un éclair délicieux de plaisir qui parcouru ma queue pour remonter dans mon ventre. Je sentais alors mes couilles se durcir légèrement. J’émis un son « oh ! », elle arrêta de m’embrasser et me demanda « alors ? » dans un sourire charmeur. Je répondis « ça me fait bander… ». Elle me répondit « j’espère bien ». Elle me prit par la main et nous quittions ce baisodrôme sous les gémissements de fin de jouissance féminine de l’autrichienne.
Nous nous sommes alors dirigé vers un coin que nous apprécions pour y avoir passé du temps avec des amis et que nous savions esseulé. La lune réapparu. Elle me tenait la main et je sentais ses doigts glisser et caresser les miens tandis que nous nous arrêtions parfois pour nous embrasser intensément.
A un moment alors que nous « discutions », j'ai senti ses yeux devenir comme flous ou habité d'un lumineux et pétillant désir alors je décidai de l'embrasser : ma langue et la sienne tourbillonnaient dans la bouche de l'autre et la salive se mélangeait doucement tandis que je sentais ma partenaire et ma queue s'émoustiller doucement. Elle devait commencer à sentir mon désir monter car la bosse de mon short était fortement visible à présent et en la tenant fermement contre moi pour l’embrasser, je savais qu’elle devait sentir ma queue gonflée de désir contre son mont de vénus.
J'en profitais pour poser mes mains d'abord sur sa joue puis sur son occiput afin de caler doucement ma langue autour de la sienne.
Mes mains devenaient de plus en plus vagabondes. Comme indépendantes, mes mains commencèrent à remonter de ses hanches et du bas de son dos pour soulever, un doigt après l’autre, son t-shirt bleu ciel. Je senti alors sa peau, douce et ferme et commençai à doucement et lentement parcourir son échine. Lors d’un échange de salive intense, j’en profitai pour lui « griffer » légèrement le dos et je la senti se cambrer et gémir. Je passai de ses lèvres humides à des joues, son nez, son cou, sa nuque et je descendis jusqu’à ses clavicules. Je la sentais se laisser faire et prendre du plaisir aux caresses et baisers parcourant son corps. Elle gémissait doucement « HhhhHhhhh » puis de plus en plus fort « Mmmmhmmh ». Tandis que je sentais ses mains rester pudiquement sur mon dos et ma tête, je l'enserrai plus fort contre moi et lorsqu'elle senti mon sexe dur pressant sur son jeans, elle eu un soubresaut et un gémissement étouffé. Je relâchai alors mon étreinte et la regardai dans les yeux et elle me surprit...
Elle m'avait attrapé les fesses d'une main et de l'autre, ma queue, qu'elle commençait à frotter à travers le jeans: d'abord doucement puis plus sauvagement. Je sentais sa paume frotter contre ma bite turgescente puis petit à petit ses doigts enserrèrent mon gland et je sentis du liquide visqueux et chaud sortir un peu plus de mon gland et mouiller mon caleçon. C’était ma rosée de désir. Ses doigts pressaient et faisaient tourner mon gland jusqu'à ce que je gémisse et que j'ai moi-même un soubresaut car elle appuyait tellement que cela me faisait presque mal. Le plaisir était tel que je n’étais plus qu’une matraque ruisselante de pré-foutre.
Ses yeux lançaient des éclairs d'envie et je n'hésitai plus : je glissai alors une main sur ses fesses. Je passai mes mains sous sa culotte serrée pour venir apprécier le forme et la fermeté de ses magnifiques fesses galbée. Je commençai par passer ma paume de main sur l’entièreté de ses fesses puis mes doigts les malaxèrent doucement pour finir par les pincer et les serrer fermement alternativement. Mon autre main en avait profité pour caresser son ventre, j’étais passé sur son nombril où j’avais inséré une fraction de seconde mon index pour remonter, le temps de baisers langoureux, vers son soutien gorge et ses clavicules. Cette main-là était passé sur les baleines et avaient senti des petits mamelons dur sous le tissu. Je ne m’y étais pas attardé et avant caressé le haut de ses seins. Puis d’un coup sec mais léger j’avais décidé de glisser mes doigts sous la coque des baleines et j’avais senti un sein chaud et doux. Que j’avais enlacé dans mes doigts pour les presser de différentes manières. Je titillais ses mamelons durs et les pinçai fermement mais amoureusement ce qui la fit gémir plus fort que jamais.
Ses seins me prenaient toute la main et je ne pouvais m'empêcher de les malaxer et de titiller doucement l'aréole puis le mamelon que je sentais devenir comme la pierre.
Je commençai alors à lui détacher un bouton de son jeans et lorsque celui-ci sauta sous mes doigts rageurs, sans hésitation, j'enfonçai ma main droite dans sa culotte. Ma main se fraya un chemin en forçant sous la pression de la braguette non ouverte et de la petite culotte. Je senti sous mes doigts inexpérimenté un mont de vénus doux et soyeux puis quelques poils rêches mais fins. Je parcourrai sa forêt avec douceur tandis que son corps entier ne semblait tenir que par cette main fouineuse. Je descendis encore pour arriver à une légère fente. Je sentais les doux poils s'engluer de cyprine et je parcouru alors de mon majeur ses grandes lèvres... droite puis gauche…elle gémit alors fort... et encore... et encore à mesure que je glissais mes doigts plus proche de son temple.
Je remontai le long de ses grandes lèvres, les écartai et découvris les petites lèvres… Je senti alors le voile de son vagin et remontai sur son bouton d’amour gorgé d’envie. Je fis des mouvement de haut en bas partant des bases de ses lèvres jusqu’à son clitoris que je m'ingéniais à tantôt titiller tantôt pincer légèrement...Alors de deux doigts, je serrai un mamelon et remontant son t-shirt, je lui suçai le sein doucement en passant ma langue autour de son téton puis je le mordillai gentiment en même temps que je trouvai l'orifice de son vagin dégoulinant. Je commençai alors à parcourir de nouveau ses fesses, ma main gauche cherchant à rejoindre ma droite qui agaçait le clitoris de ma belle Anna. Mes mains se rejoignirent dans un de ses gémissements qui faisaient figure de cri étouffé. Mon majeur gauche tentait de pénétrer millimètre par millimètre son vagin qui faisait ventouse sur mes doigts humide tandis que mon majeur droit titillait son clitoris avec fermeté… Je ne sentais plus mon gland tellement lui donner du plaisir m’excitait….
Alors qu'elle gémissait tendrement et sauvagement, je la senti se ressaisir, ce qui me surpris : elle m'embrassa alors fougueusement et tira mes mains de leurs douces rêveries. Elle me regarda dans les yeux, passa sa langue sur sa lèvre supérieure et sans me parler, me fit comprendre que je devais m'allonger sur le sol humide… Ce que je fis sans tarder.
Elle respirait fort, elle était haletante et je remarquai qu’elle souriait. Assise, elle recommença a me frotter la queue à travers mon jeans et je commençai alors à bander comme jamais avant. Je sentais ses doigts devenus expert apprécier la longueur, la grosseur et l’excitation de ma bite. Elle entoura mon gland qu’elle titillait en appuyant fort dessus.
Alors que je prenais déjà mon pied, fermant les yeux, j’entendis qu’elle abaissa ma braguette. Ni trop vite, ni trop lentement. Et je senti ses doigts fins écarter les pants de mon short en jeans puis se glisser à l'intérieur et me frotter le pénis turgescent, comme avant, avec gourmandise. La sensation de ma queue frottant sur mon caleçon et ses doigts enserrant complètement ma queue à travers le tissu me fit gémir fort. Elle prit alors son temps pour caresser mon bas ventre de ses doigts et de me susurrer à l’oreille « tu aimes ça ? » je répondis par un gémissement intense lorsqu’elle soulevant de deux doigts l’élastique de mon caleçon avant d’y passer la main. Je senti alors sa paume chaud et ses doigts parcourir les veines de ma bite. Je sentais ses doigts caresser superficiellement la peau fine de mon fourreau ce qui me procura une sensation de chatouillis érotiques.
Quand elle prit mon gourdin dans sa petite main, je frémis.
Elle gémissait dans mon oreille quand elle le fit. « Laisse moi faire » me dit-elle. Je ne la contredis pas et voulu mettre mes mains sous ma tête mais une odeur de cyprine, une odeur âcre, salée, marine monta dans l’air au moment où je passai mes mains au dessus de mon visage. Alors, tandis qu’elle caressait doucement ma queue, je pris le temps de sentir mes doigts et de me délecter de cette odeur. J’introduisis un doigt dans ma bouche et le suçai afin de récolter le reste de cette cyprine… Je voulu lui en faire profiter et lui caressai la joue avec mon doigt de mon autre main, je glissai mon majeur vers sa bouche et introduisis facilement mon doigt entre ses lèvres pulpeuses. Elle passa sa langue sur mon doigt en gémissant et remonta, en un mouvement de va et viens, ses lèvres sur mon doigt.
Elle libéra d’un coup ma queue de son caleçon et je senti l’air frais de la nuit contrastant avec sa main chaude. C’est à ce moment là que, par surprise, elle commença à me décalotter. Ce décalottage sauvage me fit émettre un « oooh putaiiin » de satisfaction. Mon gland à l’air libre semblait pulser d’envie. Elle devait sentir le poids de mon pénis dans sa main car elle me rassura en disant « J’adore ta queue, elle est parfaite, laisse toi faire » avec un sourire charmeur devant mon regard inquiet de puceau. Elle se pencha vers moi et me roula une pelle en fermant les yeux tout en commençant à me branler doucement : elle faisait des vas et viens sur ma hampe et parfois jouait de ses doigts sur mon gland afin de titiller mon frein ou les bords de mon gland... Je tremblais littéralement de plaisir et je sentais tous mes nerfs à vif me parcourir le corps... Des éclairs me transperçaient de partout… J'étais dans un rêve, je fermais les yeux et je ne pouvais me focaliser que sur mon gland, unique source de mon bonheur d'alors... Je sentais ma rosée de désir parfaire le glissement de ses doigts des bords de mon gland à la base de ma queue.
Dans mes rêveries, je senti alors un changement. Je la sentis se pencher en gémissant et soudain, une caverne brulante et trempée étreignait à présent mon gland gonflé… J'ouvris les yeux et contemplai une jeune femme me regarder amoureusement tandis que ma queue avait disparu entre ses lèvres que je voyais monter et descendre tandis que je sentais sa langue tourner à l'intérieur autour de mon gland, lui écrasant la pointe et les bords dans un étaux moelleux et douillet. Je sentais chaque fibre de mon corps transpercé d’éclair de plaisir et je vis de la salive perler le long de ma hampe, ce qui ne fit que m’exciter d’avantage… Ses yeux me fixaient avec amour tandis que je sentais ma queue se mouiller entièrement et entrer dans ce logis chaleureux à chaque mouvement. Je gémissais tellement fort et je sentais qu'elle aussi gémissait en me suçant... Je la voyais parfois me libérer de son étreinte buccale et titiller mon méat avec sa langue, descendre le long de mon frein jusqu'à mes couilles, qui à chaque fois s'engluait un peu plus de salive et de jus... Elle prenait alors doucement chacun de mes testicules et d'une pression, les faisait rouler dans ses doigts ce qui me procurait une douleur radieuse....
A chaque reprise en bouche, je me tordais de plaisir et ne cessais de gémir et de m’écrier « oh ouiii » « j’aime çaaa » « continue » « je t’aiiime ». Ce à quoi elle répondait par des sourires, des gémissements, des coups de langues bien placé ou une pression plus forte sur mes couilles… Parfois, elle venait m’embrasser et en profitait pour enduire un peu plus mon pénis de salive. Elle continuait de me masturber doucement tout en m’embrassant… Je sentais alors le gout de ma queue, sa salive et un peu de sperme couler dans ma bouche… Je la trouvais magnifique…
Alors, sans prévenir, j’eu un sursaut, je senti mes couilles se presser légèrement, un peu de liquide parcourir mes couilles vers mon gland, ma queue gluante sursauter et mon gland grossir... « Je vais venir mon amouur » dis-je dans un souffle, parcouru par un plaisir si intense que je manquai de défaillir. Je lâchai mon jus chaud et salé dans sa bouche alors qu'elle mordillait mon gland en le frôlant de sa langue... Elle gémit de plaisir et me regarda avec des yeux doux... Je la senti me pomper doucement, doucement, doucement, et avaler une partie du liquide crème avec gourmandise et sauvagerie... avant de m’embrasser langoureusement, partageant ma semence dans une étreinte amoureuse.
« Attend, je vais t'aider à te tenir en forme » dit-elle en saisissant ma hampe de ses fins doigts de fée... elle me branla dans le reste de mon sperme non avalé et lorsqu'elle senti ma queue redevenir aussi dure que de la pierre, elle me dit : « A ton tour mon coeur... » avec un sourire malicieux...
Je me souviens que je ne l'avais rencontré que vers la fin du jamboree et que nous nous étions tout de suite plu : moi j'étais encore musculeux à l'époque, indien aux yeux et aux cheveux d'un noir profond et elle, d'une silhouette mince, aux yeux bleus et blonde. J’arborais encore une mâchoire légèrement carrée et un regard à la fois doux mais profond (selon ses dires). Elle avait un sourire charmeur et des yeux pétillants. Ses cheveux volaient au vent quand elle ne les attachait pas en queue de cheval, serrés à la mode polonaise. J’aimais passer du temps avec elle, main dans la main, à flâner ici et là au gré de nos envies. Il nous arrivait de nous enfuir du campement pour aller nous aventurer, complices, et doucement… nous tombions amoureux….
Si je devais me décrire à cette époque, je dirais que j’étais grand, serviable, aventureux et désireux de connaître les choses de l’amour. Elle, avait déjà eu un copain avec qui cela s’était mal terminé. Elle me racontait qu’ils n’avaient fait que quelques préliminaires mais qu’avec son ami d’enfance, elle avait appris « pas mal de chose concernant les mecs ». Je n’en revenais pas de son audace, de sa féminité et de sa fougue. J’étais subjugué de voir a quel point elle était à l’aise avec son corps, qu’elle ne s’interdisait jamais de montrer, que ce soit simplement son ventre, un décolleté ou encore ses longues jambes fines de jeune femme. Son nez était légèrement droit et sa bouche pulpeuse mais bien dessinée. Quand elle souriait je voyais apparaître des ridules sur le coin de ses lèvres et j’aimais la manière dont les arêtes de son nez se retroussaient légèrement. Elle arborait quelques taches de rousseur très mignonnes.
Un soir, après avoir acheté une glace puis un chocolat chaud dans une échoppe ambulante pour ma douce amoureuse, nous avions décidé d'aller voir le lac central car il y avait là un bois calme où nous pourrions parler tranquillement.
Quand nous sommes arrivé près du lac, il était déjà tard dans la nuit. La nuit était noire car des nuages obscurcissaient la lune. Nous n’avions qu’un portable avec une vague lumière pour nous éclairer et tentions de nous avancer entre les buissons et les arbres bordant une clairière jouxtant le lac. Lorsque je déplaçai la lampe du portable d’une main, je me figeai et elle suivit le geste. Nous entendions des petits bruits étranges. En tendant l’oreille, je me concentrai pour saisir la provenance de ces bruits. Je compris alors avec un sourire. Il s’agissait de bruit de bouches mouillées entrelacées et de langues se glissant dans la bouche de l’autre et de gémissements étouffés. En me concentrant mieux, j’entendis des bruits de vêtements serrés, de liquide giclant sous l’assaut répété de doigts fureteurs. Faisant le faux naïf, je brandis la lampe sur un couple en pleins ébats. Un tunisien se faisait branler par une autrichienne (d’après leurs chemises et foulards reconnaissables) tout en lui mettant la main dans la culotte. Mon cœur battait la chamade et je pense que j’insistai un peu trop car le couple s’arrêta pour me lancer un « duuuude » mais j’étais fasciné par la main de cette autrichienne, aux doigts si fins, enserrant une colonne de chair et par la main de ce tunisien dont je devinais les mouvements à travers le tissus de la culotte violacée de sa partenaire.
Je me tournai pour éclairer les lieux et découvris que l’endroit était envahis de couples en chaleur. Je me retournai alors vers Anna et lui dis qu’il nous fallait trouver un autre endroit… j’avais peur de sa réaction face à ce déferlement d’hormones et de senteurs marines. Elle souriait.
Elle me fixa, mis une main sur ma nuque, l’autre entre mes omoplates et m’embrassa langoureusement. Elle posa sa lèvre supérieure entre mes lèvres et sa lèvre inférieure agrippa la mienne avec force. Je sentis son souffle couper le mien et je fermai les yeux, envahis de plaisir. Rien d’autre ne comptait plus. Pour la première fois, je senti une langue passer mes lèvres pour arriver sur la mienne et la titiller avec douceur. Je répondis à cet appel en tournant ma langue autour de la sienne et en terminant en refermant doucement mes lèvres sur sa langue pour la « sucer ». Elle me regarda avec des yeux pétillants et me dit d’écouter les ébats qui se poursuivaient presqu’à nos pieds. Le tunisien faisait gémir sa partenaire. Je sentais mon Anna retenant son souffle pour écouter mais son cœur battre fort dans sa poitrine. « ça te fait quoi ? » me demanda-t-elle. Je ne savais pas bien quoi répondre alors je répondis « du bien,… pas mal de choses » avec un sourire un peu gêné. Je la regardai toujours mais je commençais vraiment à sentir monter en moi le désir. Je savais que j’avais mal répondu à sa demande car elle appuya son regard et me ré-embrassa langoureusement. Dans le silence de ma tête, je sentis mon corps répondre à son appel de langue. Ma queue commençait à se gonfler doucement, je sentais chaque battement de mon cœur faire grossir cette bite… Mon gland commençait à sortir de son prépuce et je senti un léger liquide humecter le bout de mon gland rose. Je le devinais commencer à frotter légèrement contre mon caleçon américain, ce qui m’infligea un éclair délicieux de plaisir qui parcouru ma queue pour remonter dans mon ventre. Je sentais alors mes couilles se durcir légèrement. J’émis un son « oh ! », elle arrêta de m’embrasser et me demanda « alors ? » dans un sourire charmeur. Je répondis « ça me fait bander… ». Elle me répondit « j’espère bien ». Elle me prit par la main et nous quittions ce baisodrôme sous les gémissements de fin de jouissance féminine de l’autrichienne.
Nous nous sommes alors dirigé vers un coin que nous apprécions pour y avoir passé du temps avec des amis et que nous savions esseulé. La lune réapparu. Elle me tenait la main et je sentais ses doigts glisser et caresser les miens tandis que nous nous arrêtions parfois pour nous embrasser intensément.
A un moment alors que nous « discutions », j'ai senti ses yeux devenir comme flous ou habité d'un lumineux et pétillant désir alors je décidai de l'embrasser : ma langue et la sienne tourbillonnaient dans la bouche de l'autre et la salive se mélangeait doucement tandis que je sentais ma partenaire et ma queue s'émoustiller doucement. Elle devait commencer à sentir mon désir monter car la bosse de mon short était fortement visible à présent et en la tenant fermement contre moi pour l’embrasser, je savais qu’elle devait sentir ma queue gonflée de désir contre son mont de vénus.
J'en profitais pour poser mes mains d'abord sur sa joue puis sur son occiput afin de caler doucement ma langue autour de la sienne.
Mes mains devenaient de plus en plus vagabondes. Comme indépendantes, mes mains commencèrent à remonter de ses hanches et du bas de son dos pour soulever, un doigt après l’autre, son t-shirt bleu ciel. Je senti alors sa peau, douce et ferme et commençai à doucement et lentement parcourir son échine. Lors d’un échange de salive intense, j’en profitai pour lui « griffer » légèrement le dos et je la senti se cambrer et gémir. Je passai de ses lèvres humides à des joues, son nez, son cou, sa nuque et je descendis jusqu’à ses clavicules. Je la sentais se laisser faire et prendre du plaisir aux caresses et baisers parcourant son corps. Elle gémissait doucement « HhhhHhhhh » puis de plus en plus fort « Mmmmhmmh ». Tandis que je sentais ses mains rester pudiquement sur mon dos et ma tête, je l'enserrai plus fort contre moi et lorsqu'elle senti mon sexe dur pressant sur son jeans, elle eu un soubresaut et un gémissement étouffé. Je relâchai alors mon étreinte et la regardai dans les yeux et elle me surprit...
Elle m'avait attrapé les fesses d'une main et de l'autre, ma queue, qu'elle commençait à frotter à travers le jeans: d'abord doucement puis plus sauvagement. Je sentais sa paume frotter contre ma bite turgescente puis petit à petit ses doigts enserrèrent mon gland et je sentis du liquide visqueux et chaud sortir un peu plus de mon gland et mouiller mon caleçon. C’était ma rosée de désir. Ses doigts pressaient et faisaient tourner mon gland jusqu'à ce que je gémisse et que j'ai moi-même un soubresaut car elle appuyait tellement que cela me faisait presque mal. Le plaisir était tel que je n’étais plus qu’une matraque ruisselante de pré-foutre.
Ses yeux lançaient des éclairs d'envie et je n'hésitai plus : je glissai alors une main sur ses fesses. Je passai mes mains sous sa culotte serrée pour venir apprécier le forme et la fermeté de ses magnifiques fesses galbée. Je commençai par passer ma paume de main sur l’entièreté de ses fesses puis mes doigts les malaxèrent doucement pour finir par les pincer et les serrer fermement alternativement. Mon autre main en avait profité pour caresser son ventre, j’étais passé sur son nombril où j’avais inséré une fraction de seconde mon index pour remonter, le temps de baisers langoureux, vers son soutien gorge et ses clavicules. Cette main-là était passé sur les baleines et avaient senti des petits mamelons dur sous le tissu. Je ne m’y étais pas attardé et avant caressé le haut de ses seins. Puis d’un coup sec mais léger j’avais décidé de glisser mes doigts sous la coque des baleines et j’avais senti un sein chaud et doux. Que j’avais enlacé dans mes doigts pour les presser de différentes manières. Je titillais ses mamelons durs et les pinçai fermement mais amoureusement ce qui la fit gémir plus fort que jamais.
Ses seins me prenaient toute la main et je ne pouvais m'empêcher de les malaxer et de titiller doucement l'aréole puis le mamelon que je sentais devenir comme la pierre.
Je commençai alors à lui détacher un bouton de son jeans et lorsque celui-ci sauta sous mes doigts rageurs, sans hésitation, j'enfonçai ma main droite dans sa culotte. Ma main se fraya un chemin en forçant sous la pression de la braguette non ouverte et de la petite culotte. Je senti sous mes doigts inexpérimenté un mont de vénus doux et soyeux puis quelques poils rêches mais fins. Je parcourrai sa forêt avec douceur tandis que son corps entier ne semblait tenir que par cette main fouineuse. Je descendis encore pour arriver à une légère fente. Je sentais les doux poils s'engluer de cyprine et je parcouru alors de mon majeur ses grandes lèvres... droite puis gauche…elle gémit alors fort... et encore... et encore à mesure que je glissais mes doigts plus proche de son temple.
Je remontai le long de ses grandes lèvres, les écartai et découvris les petites lèvres… Je senti alors le voile de son vagin et remontai sur son bouton d’amour gorgé d’envie. Je fis des mouvement de haut en bas partant des bases de ses lèvres jusqu’à son clitoris que je m'ingéniais à tantôt titiller tantôt pincer légèrement...Alors de deux doigts, je serrai un mamelon et remontant son t-shirt, je lui suçai le sein doucement en passant ma langue autour de son téton puis je le mordillai gentiment en même temps que je trouvai l'orifice de son vagin dégoulinant. Je commençai alors à parcourir de nouveau ses fesses, ma main gauche cherchant à rejoindre ma droite qui agaçait le clitoris de ma belle Anna. Mes mains se rejoignirent dans un de ses gémissements qui faisaient figure de cri étouffé. Mon majeur gauche tentait de pénétrer millimètre par millimètre son vagin qui faisait ventouse sur mes doigts humide tandis que mon majeur droit titillait son clitoris avec fermeté… Je ne sentais plus mon gland tellement lui donner du plaisir m’excitait….
Alors qu'elle gémissait tendrement et sauvagement, je la senti se ressaisir, ce qui me surpris : elle m'embrassa alors fougueusement et tira mes mains de leurs douces rêveries. Elle me regarda dans les yeux, passa sa langue sur sa lèvre supérieure et sans me parler, me fit comprendre que je devais m'allonger sur le sol humide… Ce que je fis sans tarder.
Elle respirait fort, elle était haletante et je remarquai qu’elle souriait. Assise, elle recommença a me frotter la queue à travers mon jeans et je commençai alors à bander comme jamais avant. Je sentais ses doigts devenus expert apprécier la longueur, la grosseur et l’excitation de ma bite. Elle entoura mon gland qu’elle titillait en appuyant fort dessus.
Alors que je prenais déjà mon pied, fermant les yeux, j’entendis qu’elle abaissa ma braguette. Ni trop vite, ni trop lentement. Et je senti ses doigts fins écarter les pants de mon short en jeans puis se glisser à l'intérieur et me frotter le pénis turgescent, comme avant, avec gourmandise. La sensation de ma queue frottant sur mon caleçon et ses doigts enserrant complètement ma queue à travers le tissu me fit gémir fort. Elle prit alors son temps pour caresser mon bas ventre de ses doigts et de me susurrer à l’oreille « tu aimes ça ? » je répondis par un gémissement intense lorsqu’elle soulevant de deux doigts l’élastique de mon caleçon avant d’y passer la main. Je senti alors sa paume chaud et ses doigts parcourir les veines de ma bite. Je sentais ses doigts caresser superficiellement la peau fine de mon fourreau ce qui me procura une sensation de chatouillis érotiques.
Quand elle prit mon gourdin dans sa petite main, je frémis.
Elle gémissait dans mon oreille quand elle le fit. « Laisse moi faire » me dit-elle. Je ne la contredis pas et voulu mettre mes mains sous ma tête mais une odeur de cyprine, une odeur âcre, salée, marine monta dans l’air au moment où je passai mes mains au dessus de mon visage. Alors, tandis qu’elle caressait doucement ma queue, je pris le temps de sentir mes doigts et de me délecter de cette odeur. J’introduisis un doigt dans ma bouche et le suçai afin de récolter le reste de cette cyprine… Je voulu lui en faire profiter et lui caressai la joue avec mon doigt de mon autre main, je glissai mon majeur vers sa bouche et introduisis facilement mon doigt entre ses lèvres pulpeuses. Elle passa sa langue sur mon doigt en gémissant et remonta, en un mouvement de va et viens, ses lèvres sur mon doigt.
Elle libéra d’un coup ma queue de son caleçon et je senti l’air frais de la nuit contrastant avec sa main chaude. C’est à ce moment là que, par surprise, elle commença à me décalotter. Ce décalottage sauvage me fit émettre un « oooh putaiiin » de satisfaction. Mon gland à l’air libre semblait pulser d’envie. Elle devait sentir le poids de mon pénis dans sa main car elle me rassura en disant « J’adore ta queue, elle est parfaite, laisse toi faire » avec un sourire charmeur devant mon regard inquiet de puceau. Elle se pencha vers moi et me roula une pelle en fermant les yeux tout en commençant à me branler doucement : elle faisait des vas et viens sur ma hampe et parfois jouait de ses doigts sur mon gland afin de titiller mon frein ou les bords de mon gland... Je tremblais littéralement de plaisir et je sentais tous mes nerfs à vif me parcourir le corps... Des éclairs me transperçaient de partout… J'étais dans un rêve, je fermais les yeux et je ne pouvais me focaliser que sur mon gland, unique source de mon bonheur d'alors... Je sentais ma rosée de désir parfaire le glissement de ses doigts des bords de mon gland à la base de ma queue.
Dans mes rêveries, je senti alors un changement. Je la sentis se pencher en gémissant et soudain, une caverne brulante et trempée étreignait à présent mon gland gonflé… J'ouvris les yeux et contemplai une jeune femme me regarder amoureusement tandis que ma queue avait disparu entre ses lèvres que je voyais monter et descendre tandis que je sentais sa langue tourner à l'intérieur autour de mon gland, lui écrasant la pointe et les bords dans un étaux moelleux et douillet. Je sentais chaque fibre de mon corps transpercé d’éclair de plaisir et je vis de la salive perler le long de ma hampe, ce qui ne fit que m’exciter d’avantage… Ses yeux me fixaient avec amour tandis que je sentais ma queue se mouiller entièrement et entrer dans ce logis chaleureux à chaque mouvement. Je gémissais tellement fort et je sentais qu'elle aussi gémissait en me suçant... Je la voyais parfois me libérer de son étreinte buccale et titiller mon méat avec sa langue, descendre le long de mon frein jusqu'à mes couilles, qui à chaque fois s'engluait un peu plus de salive et de jus... Elle prenait alors doucement chacun de mes testicules et d'une pression, les faisait rouler dans ses doigts ce qui me procurait une douleur radieuse....
A chaque reprise en bouche, je me tordais de plaisir et ne cessais de gémir et de m’écrier « oh ouiii » « j’aime çaaa » « continue » « je t’aiiime ». Ce à quoi elle répondait par des sourires, des gémissements, des coups de langues bien placé ou une pression plus forte sur mes couilles… Parfois, elle venait m’embrasser et en profitait pour enduire un peu plus mon pénis de salive. Elle continuait de me masturber doucement tout en m’embrassant… Je sentais alors le gout de ma queue, sa salive et un peu de sperme couler dans ma bouche… Je la trouvais magnifique…
Alors, sans prévenir, j’eu un sursaut, je senti mes couilles se presser légèrement, un peu de liquide parcourir mes couilles vers mon gland, ma queue gluante sursauter et mon gland grossir... « Je vais venir mon amouur » dis-je dans un souffle, parcouru par un plaisir si intense que je manquai de défaillir. Je lâchai mon jus chaud et salé dans sa bouche alors qu'elle mordillait mon gland en le frôlant de sa langue... Elle gémit de plaisir et me regarda avec des yeux doux... Je la senti me pomper doucement, doucement, doucement, et avaler une partie du liquide crème avec gourmandise et sauvagerie... avant de m’embrasser langoureusement, partageant ma semence dans une étreinte amoureuse.
« Attend, je vais t'aider à te tenir en forme » dit-elle en saisissant ma hampe de ses fins doigts de fée... elle me branla dans le reste de mon sperme non avalé et lorsqu'elle senti ma queue redevenir aussi dure que de la pierre, elle me dit : « A ton tour mon coeur... » avec un sourire malicieux...
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