Du monde au balcon - histoire érotique

Ma voisine,Hélène ma voisine de palier, est veuve depuis quelques années, nous nous connaissons bien et nous nous apprécions par la même occasion, c’est une femme qui a toujours pris soin de sa tenue vestimentaire, de son maquillage ce qui la rajeunit de plusieurs années.
Son élégance lui est très probablement dû à son métier de commerçante, mais elle est à la retraite maintenant que son fils a repris le magasin de chaussures.
Elle a un beau visage avec un nez bien dessiné, comme je les aime, son corps est un peu disproportionné par l’opulente poitrine (ça me rappelle quelqu’un..) qu’elle cache sous des corsages trop serrés. Pour autant je n’ai jamais été attiré et n’ai jamais trop fantasmé sur elle, mais la contiguïté de nos appartements a changé un peu la donne et mon comportement.
Une de mes chambres donne sur une des pièces de son appartement, et une autre donne sur son balcon, celui-ci est si proche que nous pourrions nous serrer la main sans problème.
Quand elle est sur son balcon elle a une très belle vue sur ma chambre. Une anecdote me revient à l’esprit, l’année dernière, lors d’une journée très chaude comme les journées de canicule que nous connaissons en ce moment, j’étais à poil dans l’appartement, ma femme étant partie la journée en randonnée avec des amies.
J’aperçois Hélène sur son balcon en train de s’occuper de ses fleurs, le velux était ouvert lui permettant ainsi de voir l’intérieur, l’idée me prend (merci à ma libido) d’aller chercher un chiffon afin d’épousseter des cadres fixés au mur dont un, avec une vitre réfléchissante, me permet de surveiller son balcon du coin de l’œil.
J’ai le dos tourné ce qui fait qu’elle ne peut voir que le haut de mon dos jusqu’à la naissance de mes fesses et pas plus ; c’est bien là le but recherché, lui donner la certitude que je suis totalement nu sans qu’elle puisse le voir directement à moins de monter sur un petit escabeau.
Elle me voit et n’est pas dupe de mon petit stratagème, car je passe beaucoup de temps à épousseter ce cadre qui ne mérite pas autant d’attention. Je ne suis pas dupe du sien également car elle passe beaucoup de temps à s’occuper de son petit pot de fleur mais je vois bien qu’elle me regarde avec surprise et très probablement avec plaisir…c’est la première fois depuis 20 ans qu’on se fréquente qu’elle me voit dans une telle tenue (le bon mari et père de famille si sérieux et rangé...)Je ne bande qu’à moitié, mais un mince filet de liquide séminal s’écoule de ma queue, et s’allonge jusqu’au sol comme un fil de toile d’araignée, c’est l’expression d’un intense plaisir cérébral, celui d’être totalement nu devant une femme habillée, un sentiment de soumission, un plaisir que j’ai découvert tardivement lorsque j’avais la cinquantaine grâce à une fabuleuse maîtresse que j’ai connue et grâce aussi à une pratique sexuelle découverte sur des sites porno, et qu’on appelle : CFNM où des hommes se livrent nus aux fantasmes d’ une ou plusieurs femmes, en extérieur comme en intérieur pour leur plus grand plaisir.
Je crois que ce plaisir qu’éprouvent certains hommes, pour cette pratique, vient du fait qu’ils recèlent en eux une grande part de féminité, et je pense être de ceux-là ; les mêmes se livrent parfois aux plaisirs de la domination féminine et de la sodomie en particulier, ce qui est aussi mon cas !
Je savais quelque part qu’elle devait apprécier le spectacle car ses divertissements doivent être plutôt rares excepté sa petite chienne qu’elle sort trois fois par jour et ses programmes télé qu’elle regarde très tard le soir. Lors d’une journée galette que nous faisons une fois par an pour fêter la nouvelle année j’ai été surpris, une fois, de l’entendre parler d’érotisme en affirmant : « qu’une femme était bien plus sexy habillée de belle manière qu’à poil » je partage en partie son avis.
Cette phrase m’est restée et je me suis dit qu’elle devait apprécier l’érotisme et des situations du même genre, d’où ma stratégie de ne pas me mettre complètement nu devant elle.
D’autres occasions, pas plus tard qu’hier, de « jouer à cache-cache » c’est-à-dire de faire semblant de ne pas se voir tout en se matant du coin de l’œil se sont présentées, et ce qui est encore plus jouissif c’est quand on se rencontre de faire comme si rien ne s’était passé, tout en discrétion (sûrement son comportement d’ancienne commerçante).
J’en ai fini avec cette anecdote coquine, et je m’aperçois qu’elle a eu un effet sur moi puisque mon sexe est tout humide de plaisir, celui de raconter et de me relire. Ce plaisir cérébral qui consiste à exhiber ses propres fantasmes, se mettre à nu…..
J’espère qu’il en sera de même pour toi chère Marquise et que tu voudras peut-être en savoir plus par tes questions que j’imagine curieuses, pleines de surprises et excitantes à te lire.
Votre dévoué Marquis et valet soumis et obéissant,