Du Pets-play au selfbondage du désespoir

- Par l'auteur HDS TSM -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Du Pets-play au selfbondage du désespoir Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Du Pets-play au selfbondage du désespoir
Bianca était heureuse en femme soumise et surtout en pets. Quand son maître, un ambassadeur très doué avait été muté dans un pays du moyen orient, son coeur s’était déchiré. Bon prince, Maitre Carl rencontré sur XXX lui avait dit avec des larmes dans les yeux, qu’elle pouvait vivre sa vie. En guise de réponse, elle répondit simplement que les autres hommes ne l’intéressaient pas. Ce fut un grand moment de déchirement, quand la porte s’était refermée. L’un et l’autre n’arrivaient pas à rompre les dernières minutes, d’une relation idyllique.

Bianca sombra dans la déprime pendant quelques mois avant d’être rattrapée par la vie, avec sa mère sombrant dans la vie d’Alzheimer. Ce nouveau « loisir » si difficile à vivre poussa un peu la déchirure précédente. Après l’avoir placée en maison de retraite spécialisée, elle s’était retrouvée. Retrouvée seule sans obligation autre que son travail, seule sans envie particulière. Pendant le premier confinement, la solitude devint pesante, elle ne pouvait même plus aller boire un verre avec ses copines du travail.

« Dans nos appartements, nous sommes comme enfermés dans des cages » lui avait dit une copine au travail. Pour Bianca ce fut comme un déclic. Elle avait toujours sa cage, une vraie cage à chien que Maitre Carl lui avait laissée, avec toutes leurs petites affaires de pets-play et d’autres accessoires BDSM. Pendant tout le trajet en transport en commun, elle ne pensa qu’à ça. Malgré les masques, les voyageurs pouvaient apercevoir la détresse de cette femme perdue dans ses pensées.

Arrivée chez elle, mue par une impérieuse envie de revivre, Bianca se rendit au garage pour ouvrir la malle poussiéreuse, contenant leurs petits secrets achetés sur un sexshop en ligne Tout était là, soigneusement emballé dans des poches plastiques. Contre le mur, la cage démontée semblait lui faire de l’oeil. Elle eut comme une décharge électrique quand elle l’attrapa pour la rentrer dans la maison. En se traitant de folle, Bianca l’installa dans la chambre puis remonta tous les éléments de son futur lit. Sans même prendre sa douche, après s’être mise nue, elle rapporta la fameuse malle devenant magique. Après avoir posé son collier qu’elle serra plus que d’habitude, Bianca suça le rosebud du plug queue de chienne pour le lubrifier et se le mit dans les fesses.

Dans la folie de cette envie de revivre sa vie de pets, elle réinstalla les gamelles sur le sol dans la cuisine, l’une avec de l’eau, l’autre avec une boite de Corn flakes avec du lait. Comme si elle était pressée, Bianca fonça dans sa chambre pour attraper ses genouillères, les ceintures, sa cagoule de chienne. Assise sur le lit, elle mit les genouillères puis plia les jambes pour les bloquer avec les petites ceintures. Après avoir mis sa cagoule, pour lier ses bras pliés l’un sur l’autre avec les ceintures, elle galéra un peu en maugréant.

Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle se vit dans le miroir de sa penderie. « Ça y est, tu es enfin revenue » se dit-elle à voix basse avant de se gronder, une chienne ne parle pas, descends du lit, tu n’as pas le droit d’y monter sans permission.

« Quelle conne, je n’ai pas éteint la lumière » pensa Bianca après être descendu du lit avec prudence. Elle s’avança à quatre pattes en appui sur ses genoux et ses coudes pour aller faire la belle contre le mur afin d’appuyer sur l’interrupteur avec son nez. Dans la pénombre de la chambre, elle distinguait encore sa cage, son refuge. Elle s’y précipita alors qu’en d’autres temps, elle râlait un peu quand Maitre Carl ne la voulait pas dans son lit. Roulé en chien de fusil, elle attendit tristement le sommeil. Il tarda à venir, elle avait perdu l’habitude de sa cage, chacun de ses mouvements lui rappelant sa condition de chienne, une chienne abandonnée, livrée à elle même, même pas conduite à la SPA.

Au milieu de la nuit, rattrapée par une envie pressante, elle quitta la cage quasiment à l’aveugle pour aller toujours à quatre pattes se soulager dans la douche. Si Maitre Carl avait appris qu’elle avait quitté sa cage sans permission, il l’aurait grondée. Sur le chemin du retour, tenaillée par une petite faim, elle se rendit à la cuisine en se disant qu’il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’imposer de rester dans la cage. Avant il arrivait que son Maître la verrouille pour l’obliger à attendre. Elle devait trouver le moyen de revivre son passée de pets comblée. Le nez dans la gamelle, elle grignota un peu de Corn flakes puis but un peu d’eau en lapant avant de retourner se coucher.

Il était là, il la tenait par la laisse et la prenait en position Doggystyle. Elle s’entendit couiner, ce qui la réveilla. Triste retour à la réalité que de passer du rêve à la réalité. « J’ai la chatte qui me démange » pensa vulgairement Bianca. Cela faisait un an qu’il était parti, un an de deuil, un an sans le moindre orgasme, sans le moindre plaisir solitaire. S’être remise à jouer seule, lui ouvrit les yeux, elle avait le droit de vivre sa vie de femme. Cette dernière pensée déclencha chez Bianca, le besoin de rêver et de fantasmer à nouveau.

Vivre sa sexualité avec un autre homme n’était pas concevable. Elle décida de chercher de quoi s’amuser seule, se faire plaisir en version BDSM. C’est sur ses pensées aussi coquines que motivées, qu’elle quitta sa cage et se libéra. A la suite de quoi, elle prit sa douche et un café devant son ordinateur. Après avoir réactivé son compte sur le nouveau Fessestivites, elle se lança sur les forums qui sont surveillés et où l’on trouve de bonnes idées, de bons renseignements. C’est là qu’elle tomba sur la rubrique selfbondage. Bianca avait déjà parcourus quelques scénarios de selfbondage, avec comme idée de trouver des trucs pour s’offrir entravée à son Maître, comme cadeau d’anniversaire.

Dans sa tête, les idées s’entrechoquaient, un an de sagesse et privation libéré en une nuit, cela fait faire quelques folies. Elle commença par suivre le lien indiquant comment trouver des cadenas électroniques. Cela lui permettrait de fermer sa cage sur une durée et surtout, de s’interdire d’en sortir. Et là, elle découvrir que sur ABCplaisir.com, il y a aussi des scénarios de selfbondage qui sont proposés avec certains produits.

Prise dans sa folie des achats, elle téléphona au bureau pour dire qu’elle était souffrante et que, par précaution avec ce covid, elle ne viendrait pas travailler.

- Cliquets de corde pour bondage et selfbondage x 2- Collier BDSM métalliques avec cadenas x 1- Un coffre électronique de BDSM ABDL ou chasteté- 2 sangles 2 mètres pour vos bondage et selfbondage x 2- Menottes poignets en métal x 2- Cadenas électronique bondage et selfbondage x 2
Elle en était là quand elle consulta son panier sur ABCplaisir, quand elle tomba sur le Lot sex-machine complet 225 coups par minute. Ce fut sa dernière folie dans ses achats compulsifs ! ! !

Après avoir fait « fondre » sa carte bleue, Bianca revint sur Fessestivites. Elle dévora tous les scénarios de selfbondage qu’elle découvrir dans les articles. Son but était simple : se former, apprendre, trouver des trucs et des astuces ! Nue sous son peignoir de bain, elle constata que ses tétons pointaient. « tiens, ils se remettent à vivre eux aussi » se dit Bianca. Naturellement attirés par son entrejambe, ses doigts trouvèrent les lieux très humides. Presque honteusement, c’est en regardant les vidéos de selfbondage qu’elle décida de se caresser. Le plaisir fut au rendez-vous « des anciens de la vie », les retrouvailles des doigts solitaires avec son intimité furent généreux et même épuisants.

- J’ai fait des folies sur ABCplaisir ! Se dit soudain à haute voix Bianca une fois rassasiée.

Pour mettre un terme à ses moment d’égarement, elle s’habilla pour aller travailler avec plus de deux heures de retard. Elle allait soudain mieux....

......................

Le soir même, Bianca recommença ses petites folies solitaires en vivant sa vie de pets-girl célibataire. Pour ses bras, elle ne mit pas les ceintures pour cause de petites douleurs aux coudes mais enfila les moufles en cuir sur ses petites mains. Une heure plus tard, elles étaient retirées, surfer sur Fessestivites avec des moufles, ce n’est pas pratique. Elle commença à faire des scénarios à la façon de Petifou-Selfbondage.

- Comment m’attacher au radiateur en guise de punition avec mon bâillon os.
- Comment fermer la cage pour une nuit- Comment utiliser la sex-machine comme si je n’étais pas volontaire
Dans chacun de ses scénarios écrits sur des fichiers Word, Bianca notait méticuleusement tous les détails. Pour la nuit imposée en cage, pour s’éviter de dormir dans son urine, elle avait même prévu une couche pour personne incontinente alors qu’elle déteste ça. Pour le scénario avec la sex-machine, elle avait décidé qu’elle ne devait pas pouvoir se soustraire avant la fin du temps décidé. Ce fut le scénario le plus compliqué à écrire et lui imposant même de faire des tests de position. Dans un état d’excitation avancé, elle voulut s’interdire de se caresser avant que les nouveaux accessoires ne soient livrés. Cette résolution ressembla à toutes celles prises le premier janvier.... « J’aurai aussi du prendre une ceinture de chasteté » se dit Bianca en se traitant de S......

Par chance, le colis fut livré le samedi matin. Elle put le réceptionner sans aller faire deux heures de queue à la poste. Rien que d’ouvrir le carton la mit dans tous ses états, tout comme la vue de la sex-machine et son phallus soudain très attirant. « J’ai du cicatriser en bas » se dit Bianca avec humour.

Une fois la porte et les volets fermés, elle testa le collier en premier. Il ne la quitta plus jusqu’au lundi. Elle mit en charge les cadenas électroniques puis étudia le fonctionnement du coffre électronique qu’elle testa sur deux minutes. Conformément à ce que qui était indiqué, il était impossible à ouvrir avant la fin du compte à rebours. Pour bien démarrer son week-end de pets, Bianca mit sa combinaison de chienne et sa cagoule préférée. Elle fixa une paire de menottes au radiateur puis les clés dans le coffre électronique. Les clés des menottes étant attachées avec de la ficelle à ses menottes comme le conseille Petifou-Selfbondage, quand le coffre s’ouvrirait elle n’aurait qu’à tirer sur la ficelle pour récupérer les clés. Par peur que le coffre ne fonctionne pas et sécurité, elle attacha le deuxième jeu de clés de menottes à son rouleau de ficelle à rôti qu’elle déposa le plus loin possible.

Tout étant prêt et sécurisé, Bianca s’entrava une heure au radiateur avec les poignets menottés. cette heure lui parut longue, et en même temps, l’excita un peu par le fait de ne pouvoir fuir. Elle décida qu’il faudrait qu’elle s’achète une chaîne pour s’attacher par le cou comme une chienne ou qu’elle essaye de coincer la laisse avec les cadenas électroniques.

Toujours très prudente, Bianca teste ensuite les cadenas électroniques pour voir s’ils s’ouvrent comme prévu. A la suite de quoi, elle se penche sur la sex-machine. Après l’avoir branchée elle joue avec la télécommande et découvre en se pinçant les lèvres de gourmandise, que l’oeuf vibrant et le mini gode sont aussi puissants voir plus que son Magic Wand Massager. Elle en ouvre et ferme ses cuisses d’excitation.

L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence !

Bianca imprime son scénario puis se rend dans sa chambre pour l’installer. Placée au fond de sa cage, la machine ne pourra pas reculer. Pour s’interdire toute fuite en avant, elle a prévu de mettre une ceinture avec un cliquets de corde qui sera fixée au barreau. Avec deux autres cliquets de corde fixés également à sa ceinture, elle s’interdira de fuir sur les côtés.

Pour ses poignets, Bianca a prévu les deux paires de menottes, une de chaque côté de la cage avec les cadenas électroniques. Ainsi, si l’un tombe en panne, l’autre lui libèrera une main menottée ce qui lui permettra alors d’attraper les clés posées devant elle.

L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Bis)
Pour être encore plus dans l’ambiance de chienne couverte à un mâle assoiffé de sexe, elle se met son bâillon os. Au lieu de mettre sa queue de chienne, Bianca décide de se mettre l’oeuf vivrant de la sex-machine dans les fesses. Elle serre ses cuisses et ses jambes avec des ceinture pour avoir encore plus la sensation d’être prisonnière. Elle n’a pas besoin de lubrifiant quand elle entre à reculons dans la cage, le phallus glisse en elle sans difficulté. Avant de tendre les cliquets de corde, elle fait un petit essai et savoure avec délice les premiers mouvements. « Je vais m’éclater comme une folle » si dit Bianca en tendant un peu trop les 3 cliquets de cordes. Elle ne peut ni bouger sur les côtés ni avancer.

Dans son état d’excitation démesuré, elle règle les cadenas électroniques sur une heure puis, passe la menotte dans l’anneau du cadenas électronique. Elle démarre la sex-machine puis l’oeuf vibrant. Les yeux fermés et en mordant son bâillon, Bianca savoure les vibrations anales et le phallus s’enfonçant en elle à un rythme régulier. « Ça va être l’extase totale » se dit elle en décidant d’accélérer un peu la vitesse du phallus.

Elle décide donc de finir son selfbondage de pets à faire « couvrir » en fermant la deuxième paire de menottes. Elle a donc les bras écarté fixés aux angles de la cage, elle ne peut pas avancer ni même bouger sur les côtés, la ceinture et les cliquets de corde l’en empêchent.

L’excitation ne fait pas toujours bon ménage avec la prudence ! (Ter)
Toutes les conditions sont réunies pour qu’elle s’éclate et « se fasse défoncer » longuement en étant entravée. Sentant le plaisir arriver, sans penser à la durée, Bianca pousse la machine à son maximum ainsi que la puissance de l’oeuf dans le creux de ses reins. Et dans ce moment de folie, elle jette aussi loin que possible la télécommande. Grossière erreur ! ! !

Grossière erreur car 225 coups par minute c’est vraiment beaucoup. Si c’est extraordinaire sur une courte durée avant la jouissance, pendant la jouissance c’est ..... trop. Trop bon la première fois, puis, lorsque les jouissances s’enchaînent, c’est trop rapide, trop fort, trop puissant.

L’orgasme est fulgurant, Bianca mord le bâillon os comme une folle pour ne pas hurler. La machine ne ralentissant pas tout comme l’oeuf dans ses fesses, un autre orgasme arrive quasiment de suite. Elle essaye en vain d’attraper la télécommande pour ralentir la machine. Jetée trop loin, il lui est même impossible d’attraper le fil pour la tirer. Elle n’est qu’à une quinzaine de centimètre de ses doigts tendus. Foudroyée par un autre orgasme, elle abandonne cette idée et essaye de se libérer car une heure à ce rythme là, c’est inconcevable.

Ce n’est pas d’empiler les jouissances qui n’est pas concevable, mais les 225 coups « de bite » par minute pendant une heure. 13 500 coups calcule la chef comptable reine des chiffres, cela va me massacrer si cela ne me tue pas se dit Bianca. A bout de souffle avec un énième orgasme, la tête posée sur le sol, elle est à deux doigts de perdre connaissance. Tout son corps tremble, ses mains, ses jambes. Elle ruisselle de transpiration et bave lamentablement.

Pleurer de trop jouir semble fou, et pourtant, c’est ce qui arrive à Bianca épuisée physiquement et nerveusement. Elle en arrive parfois à se cogner la tête par terre. « Oh mon dieu, cela commence à chauffer dans ma chatte » se dit Bianca terrorisée à l’idée d’être brûlée. Soudain sa vessie lâche, le plaisir revient, elle jouit encore et s’écroule à pendre dans sa ceinture avec la tête posée sur le sol. Le carrelage froid finit par la réveiller, quand elle ouvre les yeux, il ne reste plus que deux minutes sur le cadenas électronique bloquant sa main droite, celle qui est si proche de la télécommande. Deux minutes de défonce, de vibration et enfin l’ouverture. Si elle ne peut se libérer de suite, elle peut au moins arrêter la sex-machine et les vibrations.

Son premier réflexe est ensuite d’ouvrir la ceinture et de s’allonger sur le ventre. Geste arrachant le phallus de son chaton enflammé. Il lui faut un moment pour parvenir à reprendre ses esprits. C’est à quatre pattes qu’elle se rend à la douche, se lever serait trop dangereux. L’eau froide heurte sa tête, la tire de son état semi comateux. L’eau se réchauffe progressivement elle reste couchée dessous dans sa douche à l’italienne pendant un petit moment avant de parvenir à couper l’eau.

- J’ai du rattraper un an de jouissances en une heure ! Dit Bianca à haute voix dans sa salle de bain.

Lorsqu’elle porte la main à son sexe, l’irritation est telle qu’elle n’envisage pas de se laver de suite. Une crème réhydratant est obligatoire avant toute chose. Arrivée à la cuisine avec peine, il lui faut manger, n’importe quoi mais manger. Bianca ouvre le réfrigérateur et attrape ce qui peut être consommé comme ça sans préparation. Le camembert innocent est mordu par une chienne affamée. La bouteille de Yop est presque vidée en une seule fois.

Une sonnerie bien connu se fait entendre sur son téléphone, c’est celle de Maitre Carl. Son coeur se serre soudain. Un an sans nouvelle, sans aucune réponse à mes messages, pourquoi lui répondre quand il claque des doigts ? Pense Bianca.

- Qu’il aille au diable !

Bianca se couche, dans son lit cette fois et dort douze heures d’affilées. En remontant sur Fessestivites le lendemain, elle découvre que Maitre Carl lui a adressé un message lui indiquant qu’elle devrait lire l’email qui lui a adressé. Email dont le contenu ne doit être dévoilé à personne.

Mue par la curiosité, Bianca se rend sur sa messagerie personnelle. A la lecture de l’email elle fond en larmes.

..........................
Ma chère Bianca, mon amour,
Ce message ne doit jamais être dévoilé pour éviter un scandale et une guerre diplomatique, je compte sur ta totale discrétion. Supprime-le après lecture.

Après mon départ, je ne suis pas arrivé à l’ambassade. On m’a enlevé à l’aéroport. J’étais en captivité et l’objet de négociations entre le Pakistan et la France. Je ne peux rien te dire de plus, je n’en ai pas le droit.

Je suis enfin de retour, je t’aime et tu me manques cruellement. J’ai eu tout le temps de penser à toi, à nous. Acceptes-tu de m’épouser si je m’engage à devenir sédentaire.

Si tu refuses, je comprendrai que un an sans nouvelle, a de quoi justifier un refus de ta part. je ne t’adresserai plus aucun message si tu ne me réponds pas. Peut-être as-tu refais ta vie, chose logique, un an, c’est long surtout si tu as pensé que je t’ai abandonnée.

« Ouaf »
...........................

Le mot « Ouaf » était un des jeux de communication entre eux, envoyé par texto il signifiait « je t’aime ». Deux « Ouaf » était un code signifiant « je te veux en chienne quand je rentrerai ».

EPILOGUE
Maitre Carl n’est plus jamais parti à l’étranger, hormis en vacances avec sa « chienne », évidement. La sex-machine a été utilisée, mais cette fois, n’a été que jouissive.

Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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Texte coquin : Du Pets-play au selfbondage du désespoir
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