Du sexe entre mon beau-père et moi. - histoire érotique

Je me présente, je m'appelle Cloé j'ai 20 ans. Je suis en couple avec David depuis 3 ans. Notre couple marche bien et nous nous éclatons au lit. Souvent nous allons passer le week-end chez son père Patrice.
C'est un homme de 43 ans très séduisant qui dégage une maturité et une assurance qui m'excite grandement.
Plus les mois passaient et plus je me rendais compte que je ne le laissais pas indiffèrent. En effet il posait sur moi des regards qui ne trompent pas une adepte de la séduction et du sexe dans mon genre. Je sentais ses yeux friands et coquins faire planer en moi, un désir ardant.
L'interdit de cette situation me rendait folle de plaisir, c'est pourquoi je me régalais de l'attiser par un comportement de petite coquine.

Un jour de semaine mon beau-père vint me chercher pour aller faire une course. C'était la première fois que nous nous retrouvions seuls tous les deux.
Comme il n'avait jamais osé me révéler son attirance envers moi je décidais de prendre les devants.
Pour l'occasion je m'étais vêtue d'une mini jupe noire qui laissait apparaître mes bas soigneusement tenus par un porte-jarretelles en dentelle noire. J'avais délibérément omis de mettre ma petite culotte. En haut je portais un chemisier blanc transparent qui laissait entrevoir mes petits tétons durcis par l'excitation que me procurait ce rendez-vous illicite.

En montant dans la voiture je sens son regard encore plus intense et pénétrant que d'habitude. Je fais mine de rien, mais après quelques mètres lorsqu'il passe une vitesse, il en profite pour glisser sa main chaude et abimée par le temps entre mes cuisses. Je ne me démonte pas j'accroche à mes lèvres un sourire coquin de satisfaction, il se met à rire et me dit: "je vois que tu aimes ça petite effrontée."
A ces seuls mots je sens une chaleur intense envahir mon bas ventre. Nous roulons quelques minutes et je me rends compte qu'il prend un chemin opposé à notre destination.
C'est en arrivant aux abords d'une forêt que je comprends que mon beau-père désirait me découvrir d'avantage.
Il arrête la voiture, mon cœur palpite, partagée entre la culpabilité de trahir l'homme que j'aime et l'envie démesurée de goûter à son père.
Mais l'envie est trop forte, je décide d'y succomber.
Patrice me plaque violement sur le capot de la voiture, il ouvre avec fougue mon chemisier et s'empresse de dévorer mes seins doux et sucrés qui n'arrêtent pas de le narguer sournoisement. Sa langue chaude et humide m’ôte tout contrôle de moi-même. Il se redresse et me laisse voir à travers son pantalon sa virilité impatiente de mes caresses. J'offre à Patrice un baiser langoureux et glisse ma main vers sa braguette. Je l'ouvre et saisi le membre durcit et gonflé, sans hésitation je l'enfourne dans ma bouche et le suce goulument. Mon beau-père attrape mes cheveux comme pour dire ne t'arrête pas. A ce moment là je n'ai qu'une envie c'est qu'il lèche ma petite chatte dont le nectar dégouline le long de mes cuisses. Sans rien dire il me comprend et m'allonge sur le capot. Il se jette, sa langue attirée comme un aimant vers mon intimité encore toute jeune et lisse. Je remarque qu'il a beaucoup d'expérience car son jeu de langue est tellement bon qu'il en devient délicieusement douloureux. En effet en quelques instants ma gorge se déploie et laisse échapper un gémissement de plaisir intense accompagné de mon bassin qui ne peut plus s'empêcher de se contracter. L'orgasme est là, le sirop de mon corps coule à flot; Patrice se régale de ce miel et n'en laisse pas une goutte.
Encore sonnée par ce fabuleux moment, je constate que mon beau-père n'en a pas finit avec moi, il parcoure mon corps de tendres baisers et remonte jusqu'à ce que son puissant pénis rencontre mon sexe encore luisant de cyprine. A peine son gland en moi et je ne peux m'empêcher de crier de plaisir. Il enchaîne de lents et profonds vas et viens qui nous transportent. Son bassin se crispe et accélère le mouvement, quand je sens alors en moi sa verge se gonfler comme prête à exploser. Il se retire et vient mettre son membre plein de ma mouille dans ma bouche pour que je finisse le travail. Je le suce jusqu'à sentir qu'il déverse son foutre chaud dans ma gorge comme une vraie gourmande que je suis j'avale le tout en gémissant de plaisir. Patrice encore tout émoustillé m'embrasse et me remercie.
Il me ramène et au moment de se séparer il me lance de ton rieur et à la fois diabolique : "au fait es-tu au courant qu'il y a les soldes la semaine prochaine..."