Ebony, Cougar, Baise
Récit érotique écrit par Temp333 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Ebony, Cougar, Baise
Madame S. est colonel. Elle m’a soigné et hébergé et juillet. Nous avons eu une histoire ensemble. En la quittant, je n’ai pas fait les choses dans les règles…….
Octobre 2011, Je suis en route un lundi pour Lagos, il est 8 heures. J’y serai au mieux à 17 heures. Je ne veux pas prendre un bus de nuit donc je vais dormir à la gare. Je décide de rappeler ma bienfaitrice. Pendant les trois mois qu’on duré mes vacances, je n’ai pas appelé Mme S. Seulement maintenant j’ai besoin d’un endroit où crécher et elle la seule personne à me le fournir.
Je l’appelle donc et lui demande si je peux faire une escale chez elle pour la nuit. Elle n’a pas répondu à ma requête. Et pourtant, quand elle décroche, je présente mes excuses pour le temps pendant lequel elle n’a pas eu de nouvelles, puis je m’enquiers de ses nouvelles avant de me lancer. Malgré cela elle reste silencieuse, un moment puis coupe le téléphone après.
Lorsque j’arrive à la gare, je n’ai donc aucun choix que de m’asseoir confortablement auprès des revendeuses pour y passer la nuit. Il sonne presque 19 heures quand j’entends quelqu’un au loin m’appeler. Je le reconnais : c’est le chauffeur de Mme S.
Il me conduit jusque chez Mme s. Je rentre dans la Villa et elle est déserte. Je m’assoies dans un canapé et je pose mes valises près de moi. Peu après, je m’endors.
Quand Mme S. rentre, elle me réveille et nous dinons après ma douche, dans une ambiance polie mais légèrement tendue. Puis à la fin du diner, elle débarrasse et se met à la vaisselle. Je me place juste à côté d’elle en face de l’évier pour rincer les assiettes. A ce moment, elle se saisit d’une fourchette l’air menaçante :
- Pourquoi tu ne m’as pas appelé en partant ? 3 mois. 3 mois sans nouvelles.
- Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger, lui répondis-je poliment
- Me déranger ? Déranger ! Dis plutôt que tu t’en fous. Je me suis inquiété. Je ne savais pas si tu allais bien où s’il t’était arrivé quelque chose.
- Je vous assure que si j’avais su que cela vous touchait autant, je vous aurais appelé.
- Si cela me touchait ! Quand j’ai payé tes soins et que je t’ai accueilli chez moi, c’était pour tes beaux yeux ?
Elle me fixe profondément et j’en perds mes moyens, percé à nue.
- Je pensais que c’était pour…. Pour…. (balbutiement)
- Ah… Juste pour que tu me baises ? C’est donc pour cela que je t’ai accueilli ? Ah ! c’est ce que tu t’imagines. Tu peux donc le rayer de ta liste. Coucher avec une femme plus vieille que toi, c’est fait.
Elle repose la fourchette et pose sa main sur les bords de l’évier. Je remarque qu’elle tremble légèrement. Je pose doucement une main sur son bras.
- J’ai eu peur. J’ai pensé que si je t’appelai je risquai de découvrir que ce moment n’était qu’une histoire qui ne représente rien pour toi. Et j’ai voulu préserver dans le silence, la beauté de ce qui s’est passé.
Je descends ma main sur son ventre et par derrière, je l’enlace de l’autre main.
- J’ai voulu garder cet instant pur dans mon cœur pour pouvoir le chérir le plus longtemps possible.
Elle se dérobe à mon étreinte et porte mes valises vers la chambre. Je la suis. Elle entre et laisse la porte entrouverte. C’est la première fois où je reviens dans cette chambre depuis la nuit folle que nous avons partagé ensemble. Elle pose mes valises sur une table et se retourne face à moi.
Doucement, je lui caresse les cheveux, le visage, les lèvres. Puis je l’embrasse tendrement ; peu à peu elle se détend et moi j’y mêle une légère fougue. Des mains, je recherche fébrilement ses seins sous son décolleté et son soutien-gorge, puis je les emprisonne dans mes mains et je les malaxe. Elle me déboutonne furieusement mon habit. Pendant que d’une main elle me caresse la poitrine, elle descend l’autre pour sentir ma bosse à travers mon pantalon. Je sens sa main qui me procure une douce sensation sur mon membre à travers le tissu dur de mon jean. Le désir monte en moi, me gonfle le pénis alors que je surprends dans ses yeux une lueur inhabituel faite d’attente et d’envie. Elle n’arrive pas à se retenir et m’embrasse un têton. Moi, j’en veux encore ; j’en veux plus ; je la veux :
Elle ouvre l’éclair de mon jean et en ressort mon braquemart debout, chaud, nerveux, bien dur et prêt. Je passe une main par derrière et lui dégrafe son soutien-gorge. Puis je passe mes deux mains sous sa jupe pendant qu’elle enlève son décolleté. Je saisis les bords de son slip et je le fais descendre jusqu’à ses mollets. Je suis prêt à la retourner et à l’enfourner. Je veux qu’elle tienne la table tout en restant debout, que je puisse la pénétrer le plus profondément possible
Et Là :
- Ding, Ding, Ding
Quelqu’un sonne. Elle m’arrête, remet en place son slip et sors. Je l’attends jusqu’à ce que le sommeil m’emporte. Le jour suivant à mon réveil, elle est déjà partie. Je fais tout de même la connaissance d’une de ses amies : C’est une berbère, la trentaine, habillé en exécutive woman, portant une paire de lunette rose, les cheveux nattés avec quelques cauris posés ça et là, un nez effilé, des yeux perçants et une fine bouche.
A la minute où je l’ai vu ce qui remarque c’est une forte poitrine, elle doit faire ma taille 1m 75. Peut-être 70 kg mais pour une forme de mannequine et un visage de mode. Le courant passe entre-nous dès cet instant. Elle dirige une startup qui loue des avions et des jets privés dans tous le pays. Elle me fait dire que si j’accepte d’attendre 6 jours, elle me trouvera sans problème un vol gratuit vers ma destination finale. J’accepte et elle confie mon numéro à son assistante qui devra m’informer dès que tous sera prêt. Je passe donc toute la semaine sur place mais rien ne se passe jusqu’au….
Vendredi soir, Mme s s’est enfermé dans son bureau après le diner. Elle m’évite et donc je reste avec Anya, la berbère. Nous avons engagé une discussion et le vin aidant peu à peu le sexe s’y est mêlé. Je pousse la curiosité aussi loin que possible parce qu’anya m’avait déjà admis avoir une histoire sexuelle particulière avec S.
- Comment c’est arrivé la première fois lui ai-je demandé
Anya aime parler de sexe. Et elle a bien compris ce que je voulais savoir. Mais cette fois-ci, elle choisit bien ses mots et prends son temps.
- Nous avons participé à un congrès de femmes leaders dans mon Etat et Mme S. est arrivé en retard. Le Congrès devait durer trois jours et les hôtels étaient tous pleins. Comme je faisais parti du comité d’organisation, je l’ai invité à loger chez moi. Donc le soir même, on a fais connaissance. Comme je l’ai senti ouverte, nous avons longuement discuté sexe. Pendant que nous parlons des déviations sexuelles, j’ai vu dans ses yeux un feu que seul celui qui a vu peu comprendre. J’ai voulu alors vérifier jusqu’à quel point elle était excitée. J’ai commencé par quelques caresses anodines de mon index sur sa cuisse. Elle portait une jupe courte. Comme elle semblait réceptive, j’ai introduit ma main entre ses cuisses et j’y ai rencontré une toison sauvage que rien ne cachait. J’ai ensuite massé tous son pubis avec délicatesse pour trouver son clitoris. Le rôle du clitoris est seulement de donner du plaisir et je le sais. J’ai d’abord joué de mes doigts sur son bouton d’amour en le titillant, le massant et y dessinant des cercles. Lorsque j’ai finalement réussi à monter assez sa jupe, j’ai embrassé toute son entrejambe. Je lui ai ensuite léché toute la fente. J’aspirais de temps à autre la tête du clitoris et elle tremblait dans mes mains comme une feuille. Quelle sensation de puissance, j’ai ressenti lorsque j’ai posé une main un peu appuyé sur le bas-ventre, juste au dessus du pubis ; que d’un doigt puis de deux je l’ai pénétrai et que ma langue oscilla dans tous les sens sur tous le pourtour de son clitoris. Elle eut un orgasme qui la secoua si longuement qu’à son retour, nous avons recommencé encore et encore.
Cette description réveilla en moi un intérêt pour une partie de sexe avec mon interlocutrice. Je me suis dis un rapport sexuelle avec deux femmes, ce serait cool. Ça au moins c’était sur ma liste de fantasmes à assouvir. Quand je me suis mis au lit ce soir-là, je me plongeai dans un délire fantasmagorique basé sur ce que j’avais entendu. J’y rêvais quand j’ai eu mon coup de téléphone. Je devais m’apprêter parce que mon vol était pour le lendemain à 9 h. je sors de ma chambre et cogne à la chambre de S. Il faut que je l’informe. Je cogne plusieurs fois. Elle ne répond pas. Je descends au rez-de-chaussée. Je cogne à la porte de son bureau : idem. Je cogne enfin à la chambre de la berbère, elle est entrouverte et vide. Mais où sont-elles ? je prends le couloir pour sortir par derrière et bingo !
Le spectacle est grisant sur la terrasse en face de la piscine. Sou la lumière tamisée s est couchée sur le dos toute nu. Anya portant un string en bas et dont les grosses balloches sont nus lui lèche le vagin et lui caresse un sein avec une certaine application. Les femmes me jettent un coup d’œil complice et S me fait signe de la main pour que je m’approche.
Quand j’arrive à sa hauteur, S se tourne sur le côté et me force à me coucher le membre à hauteur de sa bouche. Habillement, elle sort ma verge complètement tendue mais avant de me donner le premier coup de langue, elle se crispe un instant pour feuler gémir sujette certainement à son premier orgasme. Puis, elle goute mon gland, caresse mon braquemart de sa langue grâce à un mouvement du haut vers le bas sur les nerfs médians les plus tendues avant de l’avaler jusqu’à la base.
Anya se lève et tire s pour la mettre en genou. Je me retrouve coucher sur le dos. Anya par derrière léché le con de S. de temps à autre, S à son tour enfonce ma bite si profondément dans sa gorge que je sens dans son étouffement mon gland toucher ses amygdales. Puis ensuite, elle me le sort et d’une main experte et me l’astique après avoir craché dessus toute sa bave. Je me retiens, serrant les dents pour ne pas laisser jaillir tous mon foutre sur son visage. Et elle gémit sous la pénétration des doigts lubrifiés de son amie.
Puis anya s’arrête et descends son string. Je suis obnubilé par ce que je vois entre ses jambes : c’est un long pénis (plus long que le mien mais avec un plu petit diamètre). Elle enduit le gland de lubrifiant et s’introduit par son trou du cul. Cette image me coupe un instant le souffle parce que c’est ma première fois d’en voir et ce que je ressens à ce moment c’est un mélange d’incompréhension, d’appréhension, de peur et de jalousie
. Et pendant qu’elle pénètre S lentement, je vois sur son visage ce désir si masculin que je connais bien. Mais ensuite je tourne mon regard et c’est la douleur d’un instant que je lis. Je lui caresse les seins. Je retire ma tige de sa main et je me lève. Elle pose donc les deux mains au sol pendant qu’anya les genoux au sol li laboure le cul.
Pendant que je suis de côté, cette jalousie fait son travail. Je n’ai plus envie de rester admirateur. Je ne sais pas ce que ça me fait vraiment de les voir dans cet état. Mais je me couche sur le sol carrelé puis j’invite S à venir. Les deux arrêtent et S m’enjambe et se couche en levrette, prends mon pénis puis se l’introduis dans un vagin mouillé mais particulièrement chaud. Anya lui reprends le cul après s’être à nouveau lubrifié. Ce ballet à trois ne dure que quelques secondes pour qu’elles se mettent à jouir longuement comme folles. Lorsqu’elles finissent, Anya se couche sur le dos et S reste sur moi. Je veux aussi finir ce que j’ai commencé. Mais S m’arrête.
- Viens gouter ceci.
Elle guide mon pénis déjà bien lubrifié près du cul de la transsexuelle. Le gland pénètre bien facilement, le cul de la berbère. Cette dernière remue légèrement son bassin comme pour mieux s’ajuster et passe une main derrière moi comme pour me caresser les fesses. Je reçois cette caresse comme un feu vert. Je commence doucement puis de plus en plus vite. La sensation est différente de ce que j’ai toujours connu. Est-ce parce que c’est un cul et non un vagin ou parce que c’est un cul de transsexuelle ? Cette réflexion m’excite encore plus. Ce con est vraiment plus serrer et donc les frottements sont plus intenses. Et pendant que je la baise d’une main, je sers de l’autre ses grosses balloche par l bous. De l’autre main, je rejoins la main de s qui caresse ce pénis si long qui reprend de la vigueur. J’ouvre mes yeux jusque là fermés et quand mon regard rencontre celui de S, ce que j’aperçois me pousse dans un orgasme si puissant que je remplis ce gros cul de sperme qui en déborde.
Mes cris fougueux ont redonné vigueur à Anya et son pinceau. Elle se lève et empoigne S. Elles se retrouvent debout, face à face, contre le garde-fou et Anya baise si violemment que je crois avoir affaire à un autre homme. Et pendant qu’elle donne tous ce qu’elle à dans ce vagin chaud, S lui fais un va-et-vient de doigt dans le cul. La berbère s’arrête raide et éjacule pendant qu’elles savourent toute deux les yeux fermés un orgasme commun et lent par un souffle coupé.
Octobre 2011, Je suis en route un lundi pour Lagos, il est 8 heures. J’y serai au mieux à 17 heures. Je ne veux pas prendre un bus de nuit donc je vais dormir à la gare. Je décide de rappeler ma bienfaitrice. Pendant les trois mois qu’on duré mes vacances, je n’ai pas appelé Mme S. Seulement maintenant j’ai besoin d’un endroit où crécher et elle la seule personne à me le fournir.
Je l’appelle donc et lui demande si je peux faire une escale chez elle pour la nuit. Elle n’a pas répondu à ma requête. Et pourtant, quand elle décroche, je présente mes excuses pour le temps pendant lequel elle n’a pas eu de nouvelles, puis je m’enquiers de ses nouvelles avant de me lancer. Malgré cela elle reste silencieuse, un moment puis coupe le téléphone après.
Lorsque j’arrive à la gare, je n’ai donc aucun choix que de m’asseoir confortablement auprès des revendeuses pour y passer la nuit. Il sonne presque 19 heures quand j’entends quelqu’un au loin m’appeler. Je le reconnais : c’est le chauffeur de Mme S.
Il me conduit jusque chez Mme s. Je rentre dans la Villa et elle est déserte. Je m’assoies dans un canapé et je pose mes valises près de moi. Peu après, je m’endors.
Quand Mme S. rentre, elle me réveille et nous dinons après ma douche, dans une ambiance polie mais légèrement tendue. Puis à la fin du diner, elle débarrasse et se met à la vaisselle. Je me place juste à côté d’elle en face de l’évier pour rincer les assiettes. A ce moment, elle se saisit d’une fourchette l’air menaçante :
- Pourquoi tu ne m’as pas appelé en partant ? 3 mois. 3 mois sans nouvelles.
- Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger, lui répondis-je poliment
- Me déranger ? Déranger ! Dis plutôt que tu t’en fous. Je me suis inquiété. Je ne savais pas si tu allais bien où s’il t’était arrivé quelque chose.
- Je vous assure que si j’avais su que cela vous touchait autant, je vous aurais appelé.
- Si cela me touchait ! Quand j’ai payé tes soins et que je t’ai accueilli chez moi, c’était pour tes beaux yeux ?
Elle me fixe profondément et j’en perds mes moyens, percé à nue.
- Je pensais que c’était pour…. Pour…. (balbutiement)
- Ah… Juste pour que tu me baises ? C’est donc pour cela que je t’ai accueilli ? Ah ! c’est ce que tu t’imagines. Tu peux donc le rayer de ta liste. Coucher avec une femme plus vieille que toi, c’est fait.
Elle repose la fourchette et pose sa main sur les bords de l’évier. Je remarque qu’elle tremble légèrement. Je pose doucement une main sur son bras.
- J’ai eu peur. J’ai pensé que si je t’appelai je risquai de découvrir que ce moment n’était qu’une histoire qui ne représente rien pour toi. Et j’ai voulu préserver dans le silence, la beauté de ce qui s’est passé.
Je descends ma main sur son ventre et par derrière, je l’enlace de l’autre main.
- J’ai voulu garder cet instant pur dans mon cœur pour pouvoir le chérir le plus longtemps possible.
Elle se dérobe à mon étreinte et porte mes valises vers la chambre. Je la suis. Elle entre et laisse la porte entrouverte. C’est la première fois où je reviens dans cette chambre depuis la nuit folle que nous avons partagé ensemble. Elle pose mes valises sur une table et se retourne face à moi.
Doucement, je lui caresse les cheveux, le visage, les lèvres. Puis je l’embrasse tendrement ; peu à peu elle se détend et moi j’y mêle une légère fougue. Des mains, je recherche fébrilement ses seins sous son décolleté et son soutien-gorge, puis je les emprisonne dans mes mains et je les malaxe. Elle me déboutonne furieusement mon habit. Pendant que d’une main elle me caresse la poitrine, elle descend l’autre pour sentir ma bosse à travers mon pantalon. Je sens sa main qui me procure une douce sensation sur mon membre à travers le tissu dur de mon jean. Le désir monte en moi, me gonfle le pénis alors que je surprends dans ses yeux une lueur inhabituel faite d’attente et d’envie. Elle n’arrive pas à se retenir et m’embrasse un têton. Moi, j’en veux encore ; j’en veux plus ; je la veux :
Elle ouvre l’éclair de mon jean et en ressort mon braquemart debout, chaud, nerveux, bien dur et prêt. Je passe une main par derrière et lui dégrafe son soutien-gorge. Puis je passe mes deux mains sous sa jupe pendant qu’elle enlève son décolleté. Je saisis les bords de son slip et je le fais descendre jusqu’à ses mollets. Je suis prêt à la retourner et à l’enfourner. Je veux qu’elle tienne la table tout en restant debout, que je puisse la pénétrer le plus profondément possible
Et Là :
- Ding, Ding, Ding
Quelqu’un sonne. Elle m’arrête, remet en place son slip et sors. Je l’attends jusqu’à ce que le sommeil m’emporte. Le jour suivant à mon réveil, elle est déjà partie. Je fais tout de même la connaissance d’une de ses amies : C’est une berbère, la trentaine, habillé en exécutive woman, portant une paire de lunette rose, les cheveux nattés avec quelques cauris posés ça et là, un nez effilé, des yeux perçants et une fine bouche.
A la minute où je l’ai vu ce qui remarque c’est une forte poitrine, elle doit faire ma taille 1m 75. Peut-être 70 kg mais pour une forme de mannequine et un visage de mode. Le courant passe entre-nous dès cet instant. Elle dirige une startup qui loue des avions et des jets privés dans tous le pays. Elle me fait dire que si j’accepte d’attendre 6 jours, elle me trouvera sans problème un vol gratuit vers ma destination finale. J’accepte et elle confie mon numéro à son assistante qui devra m’informer dès que tous sera prêt. Je passe donc toute la semaine sur place mais rien ne se passe jusqu’au….
Vendredi soir, Mme s s’est enfermé dans son bureau après le diner. Elle m’évite et donc je reste avec Anya, la berbère. Nous avons engagé une discussion et le vin aidant peu à peu le sexe s’y est mêlé. Je pousse la curiosité aussi loin que possible parce qu’anya m’avait déjà admis avoir une histoire sexuelle particulière avec S.
- Comment c’est arrivé la première fois lui ai-je demandé
Anya aime parler de sexe. Et elle a bien compris ce que je voulais savoir. Mais cette fois-ci, elle choisit bien ses mots et prends son temps.
- Nous avons participé à un congrès de femmes leaders dans mon Etat et Mme S. est arrivé en retard. Le Congrès devait durer trois jours et les hôtels étaient tous pleins. Comme je faisais parti du comité d’organisation, je l’ai invité à loger chez moi. Donc le soir même, on a fais connaissance. Comme je l’ai senti ouverte, nous avons longuement discuté sexe. Pendant que nous parlons des déviations sexuelles, j’ai vu dans ses yeux un feu que seul celui qui a vu peu comprendre. J’ai voulu alors vérifier jusqu’à quel point elle était excitée. J’ai commencé par quelques caresses anodines de mon index sur sa cuisse. Elle portait une jupe courte. Comme elle semblait réceptive, j’ai introduit ma main entre ses cuisses et j’y ai rencontré une toison sauvage que rien ne cachait. J’ai ensuite massé tous son pubis avec délicatesse pour trouver son clitoris. Le rôle du clitoris est seulement de donner du plaisir et je le sais. J’ai d’abord joué de mes doigts sur son bouton d’amour en le titillant, le massant et y dessinant des cercles. Lorsque j’ai finalement réussi à monter assez sa jupe, j’ai embrassé toute son entrejambe. Je lui ai ensuite léché toute la fente. J’aspirais de temps à autre la tête du clitoris et elle tremblait dans mes mains comme une feuille. Quelle sensation de puissance, j’ai ressenti lorsque j’ai posé une main un peu appuyé sur le bas-ventre, juste au dessus du pubis ; que d’un doigt puis de deux je l’ai pénétrai et que ma langue oscilla dans tous les sens sur tous le pourtour de son clitoris. Elle eut un orgasme qui la secoua si longuement qu’à son retour, nous avons recommencé encore et encore.
Cette description réveilla en moi un intérêt pour une partie de sexe avec mon interlocutrice. Je me suis dis un rapport sexuelle avec deux femmes, ce serait cool. Ça au moins c’était sur ma liste de fantasmes à assouvir. Quand je me suis mis au lit ce soir-là, je me plongeai dans un délire fantasmagorique basé sur ce que j’avais entendu. J’y rêvais quand j’ai eu mon coup de téléphone. Je devais m’apprêter parce que mon vol était pour le lendemain à 9 h. je sors de ma chambre et cogne à la chambre de S. Il faut que je l’informe. Je cogne plusieurs fois. Elle ne répond pas. Je descends au rez-de-chaussée. Je cogne à la porte de son bureau : idem. Je cogne enfin à la chambre de la berbère, elle est entrouverte et vide. Mais où sont-elles ? je prends le couloir pour sortir par derrière et bingo !
Le spectacle est grisant sur la terrasse en face de la piscine. Sou la lumière tamisée s est couchée sur le dos toute nu. Anya portant un string en bas et dont les grosses balloches sont nus lui lèche le vagin et lui caresse un sein avec une certaine application. Les femmes me jettent un coup d’œil complice et S me fait signe de la main pour que je m’approche.
Quand j’arrive à sa hauteur, S se tourne sur le côté et me force à me coucher le membre à hauteur de sa bouche. Habillement, elle sort ma verge complètement tendue mais avant de me donner le premier coup de langue, elle se crispe un instant pour feuler gémir sujette certainement à son premier orgasme. Puis, elle goute mon gland, caresse mon braquemart de sa langue grâce à un mouvement du haut vers le bas sur les nerfs médians les plus tendues avant de l’avaler jusqu’à la base.
Anya se lève et tire s pour la mettre en genou. Je me retrouve coucher sur le dos. Anya par derrière léché le con de S. de temps à autre, S à son tour enfonce ma bite si profondément dans sa gorge que je sens dans son étouffement mon gland toucher ses amygdales. Puis ensuite, elle me le sort et d’une main experte et me l’astique après avoir craché dessus toute sa bave. Je me retiens, serrant les dents pour ne pas laisser jaillir tous mon foutre sur son visage. Et elle gémit sous la pénétration des doigts lubrifiés de son amie.
Puis anya s’arrête et descends son string. Je suis obnubilé par ce que je vois entre ses jambes : c’est un long pénis (plus long que le mien mais avec un plu petit diamètre). Elle enduit le gland de lubrifiant et s’introduit par son trou du cul. Cette image me coupe un instant le souffle parce que c’est ma première fois d’en voir et ce que je ressens à ce moment c’est un mélange d’incompréhension, d’appréhension, de peur et de jalousie
. Et pendant qu’elle pénètre S lentement, je vois sur son visage ce désir si masculin que je connais bien. Mais ensuite je tourne mon regard et c’est la douleur d’un instant que je lis. Je lui caresse les seins. Je retire ma tige de sa main et je me lève. Elle pose donc les deux mains au sol pendant qu’anya les genoux au sol li laboure le cul.
Pendant que je suis de côté, cette jalousie fait son travail. Je n’ai plus envie de rester admirateur. Je ne sais pas ce que ça me fait vraiment de les voir dans cet état. Mais je me couche sur le sol carrelé puis j’invite S à venir. Les deux arrêtent et S m’enjambe et se couche en levrette, prends mon pénis puis se l’introduis dans un vagin mouillé mais particulièrement chaud. Anya lui reprends le cul après s’être à nouveau lubrifié. Ce ballet à trois ne dure que quelques secondes pour qu’elles se mettent à jouir longuement comme folles. Lorsqu’elles finissent, Anya se couche sur le dos et S reste sur moi. Je veux aussi finir ce que j’ai commencé. Mais S m’arrête.
- Viens gouter ceci.
Elle guide mon pénis déjà bien lubrifié près du cul de la transsexuelle. Le gland pénètre bien facilement, le cul de la berbère. Cette dernière remue légèrement son bassin comme pour mieux s’ajuster et passe une main derrière moi comme pour me caresser les fesses. Je reçois cette caresse comme un feu vert. Je commence doucement puis de plus en plus vite. La sensation est différente de ce que j’ai toujours connu. Est-ce parce que c’est un cul et non un vagin ou parce que c’est un cul de transsexuelle ? Cette réflexion m’excite encore plus. Ce con est vraiment plus serrer et donc les frottements sont plus intenses. Et pendant que je la baise d’une main, je sers de l’autre ses grosses balloche par l bous. De l’autre main, je rejoins la main de s qui caresse ce pénis si long qui reprend de la vigueur. J’ouvre mes yeux jusque là fermés et quand mon regard rencontre celui de S, ce que j’aperçois me pousse dans un orgasme si puissant que je remplis ce gros cul de sperme qui en déborde.
Mes cris fougueux ont redonné vigueur à Anya et son pinceau. Elle se lève et empoigne S. Elles se retrouvent debout, face à face, contre le garde-fou et Anya baise si violemment que je crois avoir affaire à un autre homme. Et pendant qu’elle donne tous ce qu’elle à dans ce vagin chaud, S lui fais un va-et-vient de doigt dans le cul. La berbère s’arrête raide et éjacule pendant qu’elles savourent toute deux les yeux fermés un orgasme commun et lent par un souffle coupé.
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waouh, c'est chaud !