Échanges agreables
Récit érotique écrit par Exelmans [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Échanges agreables
Bonjour a tous,
J’étais couché hier soir, lorsque j’ai flirté au téléphone avec une amie.
La conversation était assez basique, lorsque nous nous sommes rendus compte qu’il aurait été fort agréable d’être ensemble à ce moment précis.
Voici un copier coller sans aucune modification de ce que j’ai reçu, chaque espace correspondant à un nouveau message
« Tu attends que je me glisse insidieusement sous la couette ? Que ma bouche descende le long de ton ventre, que je te mordille l'intérieur des cuisses, que mes seins frôlent accidentellement ton pénis ?
Je passe ma langue sur l'aine, je remonte juste au-dessus de ton membre qui se durcit de plus en plus. Je lèche doucement, redescends sur tes testicules les les avale une à une avec douceur.
Enfin, ma langue passe sur ton membre, lente, humide, et je viens titiller ton gland
Ma langue tourne autour, puis je l'aspire, en resserrant les lèvres. Toujours dans ma bouche, je passe un coup de langue appuyé.
Doucement, j'aspire ton membre, et je fais des vas et viens, en avalant ta queue de plus en plus.
Ton gland touche le fond de ma gorge, et lorsque que je me retire, la salive dégouline le long de ton membre. Je prends ma main, la resserre autour de ta queue, et étale la salive en te caressant fermement.
Puis, ta queue toujours dans ma main, je reviens taquiner ton gland avec ma bouche, ma langue, et l'avale à nouveau, jusque dans ma gorge.
Ton membre est enfoncé dans ma gorge, la salive coule, et je m'applique à te sucer, à t'aspirer, de plus en plus vite. Je serre ma main à nouveau et ajoute les caresses à la fellation.
Je me place au-dessus de ton bas ventre, et m'empale sur ta queue, centimètre par centimètre. Je resserre aussitôt mon vagin et entame un mouvement de va et viens en ondulant le bassin
J'y vais lentement, je suis toute serrée, trempée de t'avoir donné du plaisir, d'avoir eu ta queue dans ma bouche.
Je t'invite à toucher, caresser, malaxer mes seins arrogants qui se dressent devant toi
Ne tenant plus, tu me renverses sur le dos, place mes jambes sur tes épaules et me pilone sauvagement, le visage assombri par un désir animal.
Ta main se place sur ma gorge, et tu me répètes "elle te plaît, ma grosse queue ?". Tu me mords les épaules, le cou, et me répètes encore "j'adore fourrer ta petite chatte avec ma grosse queue". Je sens le plaisir qui monte de plus en plus, brutal, mes doigts s'enfoncent dans ta chair ; l'orgasme n'est pas loin.
Tu me gifles, en murmurant "c'est moi, le maître, ici, moi seul commande." Tu me fixes avec ce regard bestial qui m'excite encore plus, tes coups de reins sont violents, et je lâche un cri d'extase.
Cette fois, ça y est, l'orgasme m'emporte ; je suffoque de plaisir, j'en ai presque envie de pleurer. Toi aussi, tu es sur le point de jouir. Tu te retires et éjacules sur ma poitrine.
Tu te places au-dessus de mon visage, je t'attendais, la bouche ouverte. Tu rentres ton pénis, et je te suce une nouvelle fois, avec délectation.
Puis tu prélève du sperme avec ton index et ton majeur, et me les fourre dans la bouche.
"Tu es une bonne petite pute". Je te regarde droit dans les yeux, heureuse de t'avoir satisfait. »
J’espère que cela vous aura plu. Au plaisir de lire vos commentaires...
J’étais couché hier soir, lorsque j’ai flirté au téléphone avec une amie.
La conversation était assez basique, lorsque nous nous sommes rendus compte qu’il aurait été fort agréable d’être ensemble à ce moment précis.
Voici un copier coller sans aucune modification de ce que j’ai reçu, chaque espace correspondant à un nouveau message
« Tu attends que je me glisse insidieusement sous la couette ? Que ma bouche descende le long de ton ventre, que je te mordille l'intérieur des cuisses, que mes seins frôlent accidentellement ton pénis ?
Je passe ma langue sur l'aine, je remonte juste au-dessus de ton membre qui se durcit de plus en plus. Je lèche doucement, redescends sur tes testicules les les avale une à une avec douceur.
Enfin, ma langue passe sur ton membre, lente, humide, et je viens titiller ton gland
Ma langue tourne autour, puis je l'aspire, en resserrant les lèvres. Toujours dans ma bouche, je passe un coup de langue appuyé.
Doucement, j'aspire ton membre, et je fais des vas et viens, en avalant ta queue de plus en plus.
Ton gland touche le fond de ma gorge, et lorsque que je me retire, la salive dégouline le long de ton membre. Je prends ma main, la resserre autour de ta queue, et étale la salive en te caressant fermement.
Puis, ta queue toujours dans ma main, je reviens taquiner ton gland avec ma bouche, ma langue, et l'avale à nouveau, jusque dans ma gorge.
Ton membre est enfoncé dans ma gorge, la salive coule, et je m'applique à te sucer, à t'aspirer, de plus en plus vite. Je serre ma main à nouveau et ajoute les caresses à la fellation.
Je me place au-dessus de ton bas ventre, et m'empale sur ta queue, centimètre par centimètre. Je resserre aussitôt mon vagin et entame un mouvement de va et viens en ondulant le bassin
J'y vais lentement, je suis toute serrée, trempée de t'avoir donné du plaisir, d'avoir eu ta queue dans ma bouche.
Je t'invite à toucher, caresser, malaxer mes seins arrogants qui se dressent devant toi
Ne tenant plus, tu me renverses sur le dos, place mes jambes sur tes épaules et me pilone sauvagement, le visage assombri par un désir animal.
Ta main se place sur ma gorge, et tu me répètes "elle te plaît, ma grosse queue ?". Tu me mords les épaules, le cou, et me répètes encore "j'adore fourrer ta petite chatte avec ma grosse queue". Je sens le plaisir qui monte de plus en plus, brutal, mes doigts s'enfoncent dans ta chair ; l'orgasme n'est pas loin.
Tu me gifles, en murmurant "c'est moi, le maître, ici, moi seul commande." Tu me fixes avec ce regard bestial qui m'excite encore plus, tes coups de reins sont violents, et je lâche un cri d'extase.
Cette fois, ça y est, l'orgasme m'emporte ; je suffoque de plaisir, j'en ai presque envie de pleurer. Toi aussi, tu es sur le point de jouir. Tu te retires et éjacules sur ma poitrine.
Tu te places au-dessus de mon visage, je t'attendais, la bouche ouverte. Tu rentres ton pénis, et je te suce une nouvelle fois, avec délectation.
Puis tu prélève du sperme avec ton index et ton majeur, et me les fourre dans la bouche.
"Tu es une bonne petite pute". Je te regarde droit dans les yeux, heureuse de t'avoir satisfait. »
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