Ecole Privée Ch. 03
Récit érotique écrit par Trouchard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ecole Privée Ch. 03
Traduction d'un texte de « Anne ».
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --*********
7 -- Amusement en classe.
Anne passa une nuit blanche à essayer de trouver une solution à son problème. Mais plus elle réfléchissait, plus elle essayait de chercher des solutions, plus elle réalisait qu'elle ne pouvait faire qu'une chose : divertir MAURICE pour l'empêcher de publier les photos.
Le lendemain matin, elle était distraite et comprit à peine comment elle avait assuré ses premiers cours. Quand elle entra dans sa classe principale, elle tremblait de partout. Mais le cours se déroula sans problème. Même MAURICE se comporta bien et la traita poliment. Elle décida alors de raisonner une nouvelle fois l'étudiant.
- Ahhh MAURICE, pouvez-vous rester un moment. Dit-elle alors que le reste des étudiants partait déjeuner.
Le garçon haussa les sourcils, mais s'approcha du bureau.
- MAURICE, je veux...
Il l'interrompit tout de suite :
- Mettons une chose au point chienne. Tu m'appelles Monsieur MAURICE. Et tu ne t'adresses pas à moi sans ma permission. Est-clair?
- Oui M. MAURICE. Je...
- Tais-toi stupide salope, je ne t'ai pas donné la permission de parler. Et je suppose que pour te donner une bonne leçon, je vais devoir publier une des photos après tout. A moins que...
Sa voix s'estompa. Anne regarda nerveusement la porte, puis se mit à genoux derrière le bureau.
- S'il vous plaît, punissez-moi M. MAURICE.
- Montre tes seins.
Se mordant les lèvres, elle ouvrit son chemisier et exhiba ses seins. La main du garçon frappa deux fois ses seins durement. Cela fit mal à Anne et des larmes coulèrent de ses yeux.
- La prochaine fois tu ne t'en tireras pas aussi facilement salope. Maintenant je n'ai pas toute la journée, que veux-tu?
Anna essaya de rassembler ses pensées. Quelqu'un pouvait passer dans le couloir d'une seconde à l'autre et la voir, agenouillée, la poitrine à l'air. Toutefois elle n'osa pas se relever.
- S'il vous plaît M. MAURICE, ne pourrions-nous pas reparler de tout ça? N'y a t-il pas un autre moyen?
Le garçon se tourna pour partir et répondit :
- Il n'y a que deux manières salope. Soit tu fais ce que je te dis, soit tout le monde verra quelle chienne tu es. Maintenant range tes pis!
Il commença à s'éloigner mais regarda en arrière depuis la porte et dit :
- J'espère que tu reviendras ici après le dernier cours pour une leçon particulière. Ne sois pas en retard.
Bon sang, pourquoi ne voulait-il pas discuter? Anne s'empressa de fermer son chemisier quand elle entendit des pas dans le couloir. Elle avait à peine reboutonné le dernier bouton que Nicolas passait la tête dans la pièce.
- Vous allez bien? Vous avez perdu quelque chose?
Anne rougit et se releva.
- Oui je... j'ai cru que j'avais laissé tomber quelque chose. Mais ce n'est pas ici.
- Vous voulez que je vous aide à regarder?
Nicolas entra dans la salle de cours.
- Non ça va. Je viens de me rappeler que je l'avais laissé à la maison.
L'enseignant sourit et demanda :
- D'accord. Voulez-vous venir déjeuner avec moi?
Il y a quelques jours, Anne aurait sauté sur l'occasion. Mais elle ne se sentait plus comme une bonne compagnie. Elle secoua la tête.
- Non, je vais sauter le déjeuner et faire une promenade dans le parc.
Nicolas haussa les épaules et se tourna pour sortir.
- Peut-être un autre jour. Ajouta Anne.
L'homme regarda par-dessus son épaule et sourit :
- D'accord, remettons ça à plus tard.
Anne poussa un soupir de soulagement. Elle s'était presque fait prendre. Elle quitta la salle de classe et hocha la tête distraitement aux élèves et professeurs qu'elle croisa. Près de la sortie elle rencontra le concierge, un gars dans la quarantaine qui était toujours un peu débraillé. Il hocha la tête, mais ses yeux ne quittèrent pas la poitrine d'Anne. Ce type lui donnait la chair de poule. Elle sortit au soleil. Qu'allait-elle faire?
La promenade dans le parc la calma un peu et elle essaya de réfléchir de manière logique. Elle avait épuisé toutes les solutions possibles. Le fait est qu'il n'y en avait pas. Aller à la police lui serait encore plus préjudiciable que ce que ferait MAURICE. Elle ne se faisait pas d'illusions, le garçon commençait juste à « s'amuser » avec elle. Tout ce qu'elle pouvait faire c'est de serrer les dents et essayer de garder l'étudiant heureux. Elle espéra ardemment qu'il avait dit la vérité en disant qu'il ne voulait « s'amuser » que cette année et qu'il la laisserait tranquille après. Elle prit une profonde inspiration. Il n'y avait aucun moyen de s'en sortir alors autant faire plaisir à MAURICE. Peut-être que plus tard elle pourrait lui parler à nouveau.
- Tu ne sais pas que tu es supposée me saluer?
Elle leva les yeux de surprise et vit le jeune garçon à quelques mètres d'elle. Elle avait été si plongée dans ses pensées qu'elle ne l'avait pas vu remonter le chemin. Rapidement elle vérifia les environs. Il n'y avait personne à proximité.
- Je suis désolé M. MAURICE, je ne vous ai pas vu venir. Bon après-midi M. MAURICE.
Le jeune homme sourit.
- Donc tu n'es pas trop stupide pour apprendre hein? Ok, parlons un peu. Mais avant, voyons tes gros nichons. Montre-les!
Anne était sur le point d'objecter, mais elle se souvint de sa décision d'essayer de plaire à MAURICE. Elle ouvrit son chemisier et souleva ses seins. Elle pensa que dans cette position, elle ressemblait à une vulgaire salope affichant ses atouts.
- C'est beaucoup mieux. Il est bon qu'on te rappelle ce que tu es salope. Maintenant dis-moi, es-tu gouine?
Anna sentit la colère monter. Silencieusement elle se gronda.
- Non M. MAURICE. Répondit-elle doucement.
- Alors tu baises avec les hommes aussi.?
- Je suis hétérosexuelle M. MAURICE.
- Ce qui veut dire que tu baises les hommes. Réponds salope!
- Oui M. MAURICE. Se força-t-elle à dire.
- Combien en as-tu baisé?
- Ce n'est pas vos affaires. Siffla-t-elle.
- Eh bien...
Il sourit puis attendit.
- C'est tout ce que tu veux dire avant que je ne retourne à mon ordinateur?
Anne était furieuse, furieuse contre MAURICE pour son arrogance et furieuse contre elle-même qui avait perdu son sang-froid. Elle se força à redevenir calme. Puis elle se mit doucement à genoux.
- S'il vous plaît, punissez-moi pour mon insolence M. MAURICE.
Elle se mordit les lèvres en attendant les gifles sur sa poitrine qui pendait de manière obscène.
- Tu demanderas ta punition la prochaine fois que nous serons à la maison salope. Mais rappelle-toi que je t'ai dit que tu ne t'en sortirais pas aussi facilement la prochaine fois. Maintenant j'attends une réponse.
- Cinq. Murmura Anne.
- Tu es une petite pute n'est-ce pas? Quels trous ont-ils utilisés.
Calme-toi se répéta Anne, calme-toi et ne lui donne pas une raison de se mettre en colère.
- Mon vagin et... ma bouche.
MAURICE éclata de rire.
- Vagin? Les hommes ne baisent pas un vagin, ils baisent des chattes. Alors recommence!
Anne déglutit.
- Mon... ma chatte et ma bouche.
- C'est quand la dernière fois qu'un mec à fourré sa queue en toi?
- Il y a deux mois M. MAURICE.
Est-ce que ça ne finirait jamais? C'était si humiliant de devoir raconter à ce jeune étudiant tous ces détails intimes. Mais elle n'osa pas mentir.
- Deux mois tu dis? Je suppose que tu te touches tous les jours.
Anne rougit furieusement. Mais heureusement, comme il ne lui avait rien demandé, elle ne se sentit pas obligée de répondre.
- Ou plutôt, à quelle fréquence joues-tu avec ta chatte?
Elle aurait dû comprendre. Pendant un moment, elle envisagea de lui dire d'aller au diable et tant pis pour les conséquences. Mais elle ne put se résoudre à le faire.
- Tous les jours M. MAURICE.
Il hocha la tête.
- C'est bien ce que je pensais. Une chienne aussi chaude que toi en a besoin régulièrement. Mais désormais, il n'y aura plus de plaisir personnel salope. Et ne crois pas que je ne le saurais pas. Peut-être qu'une webcam est installée dans ta maison. Si tu as besoin tu me demandes la permission. Est-ce clair?
Ça ne pouvait pas être vrai. Une webcam?
- Oui M. MAURICE. Dit-elle.
- Bon, on se voit dans notre classe après le dernier cours.
Il s'éloigna sans rien dire de plus. Un moment après elle repartit pour l'école. Mais ce n'est qu'après avoir parcouru 100 mètres qu'elle réalisa que son chemisier était toujours ouvert sur sa poitrine pendante.
L'après-midi se passa aussi mal que la matinée et Anne se demanda comme les élèves pouvaient ne pas se rendre compte à quel point elle était distraite. Heureusement il n'y avait que deux cours, et à la fin du deuxième, elle se dirigea vers sa salle de classe principale, le cœur battant à tout rompre. MAURICE était déjà là, assis de travers sur sa chaise au premier rang. Anne ferma la porte doucement. Le garçon lança :
- On dirait que tu peux suivre des ordres simples après tout, salope! Maintenant passons aux choses sérieuses. Je veux de belles photos de toi sans les autres salopes. Ouvre ton chemisier et montre-moi tes gros nichons.
Se mordant les lèvres, Anne obéit.
- Non, non salope! Montre-moi à quel point tu aimes me les montrer. Quand je te donne un ordre, j'attends de toi que tu obéisses avec un sourire. N'oublie pas à quel point il est important pour toi de me satisfaire.
Anne le maudit silencieusement. Mais se rappelant sa résolution de lui plaire, elle se força à sourire. MAURICE souleva son portable et prit une première photo. Anne grimaça quand elle entendit le léger déclic de l'obturateur.
- Maintenant assieds-toi et voyons ces deux grosses mamelles.
Il n'arrêta pas de lui donner des instructions. Anne s'efforça de ne pas penser à ce qu'elle était obligée de faire et juste d'obéir. Elle se força aussi à garder le sourire, même quand elle fut assise sur son bureau en petite culotte.
- Maintenant salope, laisse-moi voir la partie la plus importante de ton corps.
Anne leva les yeux, confuse.
- Ta chatte, idiote! Après tout, c'est juste ce que tu es une stupide chatte de professeur. Tire la culotte sur le côté et prenons une bonne photo de toi en train de montrer ta chatte.
Anne se força à obéir et elle entendit une nouvelle fois le déclencheur cliquer.
- Je pense que je vais nommer cette photo « regarde ce que je suis ». C'est approprié non? Maintenant enlève ta culotte.
Il la fit poser nue devant puis sur le bureau.
- et maintenant comme plat de résistance, une belle photo de ta chatte humide. Montre!
Malgré sa détermination, Anne hésita, mais se força à écarter les jambes. C'était si humiliant, c'était comme si elle l'invitait à regarder ou même, à toucher sa chatte. Le jeune homme s'approcha et secoua la tête :
- Maintenant salope qu'est-ce que je vais faire avec une chatte sèche? Une chatte de salope doit être humide et brillante.
Anne le regarda d'un air suppliant.
- Mais... je suis désolé M. MAURICE, mais je ne suis pas excitée.
Il répondit sèchement :
- Et alors? Tu sais très bien comme te faire mouiller. Joue avec ta chatte!
Anne écarquilla les yeux.
- Devant vous?
MAURICE secoua la tête et prit un air fatigué.
- Tu n'as toujours pas compris? A partir de maintenant et pour le reste de l'année, il n'y aura pas d'autres moyens. Si tu veux être excitée, tu dois me demander et je peux te laisser jouer avec ta chatte. Ou je ne voudrais pas, ça dépendra de mon humeur. Le fait est que si tu joues avec ton corps, ça sera devant moi. Maintenant, vas-y!
Lentement, la main d'Anne se fraya un chemin entre ses jambes. Elle essaya de ne pas penser au garçon qui regardait, ni à la caméra qui attendait pour prendre des photos. Mais il lui fut impossible d'oublier la situation dans laquelle elle était. Très lentement, sa main avança vers sa chatte. Mais quand son doigt toucha son clitoris, une décharge électrique traversa son corps. Elle frissonna. Elle réalisa qu'elle n'avait pas eu d'orgasmes depuis plusieurs jours, trop prise dans son problème pour penser au sexe. Du coup, ça alla vite. Elle se toucha à peine quelques secondes avant de sentir l'humidité envahir sa chatte. Son corps entier était en feu. Elle essaya de ne pas le montrer et elle ralentit le mouvement de ses doigts pour montrer qu'elle ne faisait qu'obéir aux ordres. Mais elle ne pouvait cacher la moiteur de son sexe.
- Tu es chaude petite chienne n'est-ce pas? A peine as-tu commencé à te toucher que tu es prête à tomber sur le bureau.
L'appareil cliqua une nouvelle fois.
- Bon ça suffit, arrête ça. Tu auras de mes nouvelles.
Il sortit sans un autre mot et laissa la porte ouverte. A la hâte, Anne enfila ses vêtements et le suivit. Dans le couloir elle rencontra le concierge. Ils se saluèrent et marchèrent côte à côte pendant un moment. Elle, l'entendit respirer profondément et avoir un sourire vicieux sur le visage. Ce n'est qu'après son retour dans son chalet, qu'elle réalisa que ses doigts sentaient intensément sa chatte brûlante.
8 -- le châtiment.
Quelqu'un ouvrit la porte sans frapper. Anne se retourna avec colère et était sur le point de lâcher un sermon sur la politesse quand elle vit qui c'était. MAURICE commença à sourire.
- J'espère que tu n'étais pas sur le point de me dire de frapper, salope? Après tout c'est ta chambre, mais comme tu m'appartiens c'est ma chambre n'est-ce pas?
Il attendit. Anne prit de profondes inspirations. « Ne fais rien pour le contrarier, amadoue-le » se dit-elle silencieusement.
- Non M. MAURICE. Bien sûr, vous pouvez venir ici quand vous voulez.
- Oui c'est vrai. Et tu te lèves et tu montres du respect quand ton seigneur et maître entre.
Jurant silencieusement, Anne se leva de son bureau et lui fit face.
- C'est beaucoup mieux. Tu n'as pas oublié quelque chose?
Il s'assit sur le lit et se penche confortablement pour la regarder. Anne se creusa la tête. Est-ce qu'il s'attend à ce qu'elle s'agenouille à nouveau? Il ne lui a jamais dit ça. MAURICE secoue la tête.
- Deux jours à peine que tu as si bien posé pour les photos et tu as déjà oublié les bases. Mais je suppose que ça se produit quand une salope n'arrive pas à se doigter la chatte. Elle oublie tout sauf le besoin de se masturber.
Anna avait du mal à cacher sa fureur. Et le pire était qu'il avait partiellement raison. Elle n'avait pas osé jouer avec elle-même. Elle était restée sans orgasmes depuis longtemps, mais le fait de savoir qu'elle ne devait pas en avoir lui donnait envie de se toucher.
- Tu ne t'es pas cachée dans les toilettes pour jouer avec ta chatte, salope?
- Non M. MAURICE.
- Bon ça explique tout alors n'est-ce pas? Mais tu dois quand même te rappeler tes devoirs. Ils disent que l'exercice réduit le désir sexuel. Peut-être qu'un peu de gymnastique peut t'aider. Commence à sauter sur place.
Anne se sentit stupide de sauter de haut en bas dans le petit espace laissé entre le bureau et le lit.
- Non, non ça ne va pas. Montre-moi tes nichons!
Elle s'était attendue à moitié à ce qu'il lui fasse faire plus tôt. Alors elle ouvrit le devant de son gilet sans rien dire. Il la regarda et réfléchit un moment.
- A la réflexion, pourquoi ne te déshabilles-tu pas complètement?
Anne se mordit les lèvres. Maintenant il voudrait la baiser. Mais elle se déshabilla quand même. Avait-elle le choix?
- Faisons ces exercices maintenant! Sois attentive, à chaque fois que je tape du doigt, tu sautes.
« Il était vraiment doué pour commander » pensa Anne. Elle se jura de ne lui donner aucune raison de se fâcher contre elle. Il posa sa main près d'elle et attendit. Lorsque son doigt se leva, elle sauta et sentit ses gros seins rebondir contre son corps. Il la fit attendre puis leva le doigt, elle sauta. Une attente plus longue, puis trois sauts en succession rapide. Il continua encore et encore. Il ne la laissa jamais entrer dans un rythme. Il la garda attentive, prête à sauter. « Comme un chien entraîné à obéir aux ordres son maître » pensa-t-elle. Ses jambes lui faisaient mal et la sueur coulait le long de son corps. Mais elle ne lui donnerait pas l'occasion de la punir. La punir! C'était ça! Elle était censée lui demander une punition. C'est ce qu'elle avait oublié. Elle était sur le point de lui dire, quand elle se souvint qu'elle était censée s'agenouiller pour ça. Elle se demanda si elle devait tout simplement arrêter de sauter et s'agenouiller, quand il s'arrêta et la regarda. Rapidement elle se laissa tomber à genoux.
- S'il vous plaît M. MAURICE, punissez-moi pour ma désobéissance.
Le visage du jeune garçon se fendit d'un sourire.
- Ahhhh ça a fonctionné. Faites faire quelques exercices à une chienne en chaleur et elle oublie sa chatte pendant un moment. Elle peut réellement réfléchir. Oui, tu étais censée demander une punition méritée. Maintenant que tu l'as fait, je vais t'accorder ton souhait.
De l'intérieur de sa veste, il sortit une large sangle en cuir. Anne eut le souffle coupé. Elle s'était attendue à quelques gifles de plus sur ses seins, et même si c'était douloureux, elle se dit que ça allait l'être beaucoup plus. L'étudiant vit sa réaction et sourit.
- Oui salope, le temps de quelques caresses sur tes gros nichons est révolu. Tu devrais avoir maintenant appris à obéir. Si tu ne le fais pas, tu dois payer. Après tout tu m'as supplié de te punir, souviens-toi. Tu veux éviter la sangle?
Il s'assit sur e lit et regarda la porte d'un air méchant.
- Je pars tout de suite si tu le dis.
« Et tu mettras certaines images sur le net » pensa Anne.
- Non M. MAURICE, restez s'il vous plaît et punissez-moi. Dit-elle toujours agenouillée sur le sol devant lui.
- Eh bien, si tu supplies si gentiment, lève-toi et mets tes mains derrière toi.
Quand elle eut obéi, il la regarda et savoura l'occasion de donner une fessée à sa professeure. Il se leva.
- Penche-toi sur le bureau!
Frissonnante, Anne obéit et le regarda approcher.
- la tête en bas, le cul en l'air! Commanda-t-il.
La pire chose était qu'elle ne savait pas combien de coups il lui donnerait. Les coups de sangle lui faisaient de plus en plus mal. Mais si elle avait su, elle aurait pu attendre avec impatience la fin. Pour le moment, elle devait souffrir et espérer, tandis que ses fesses tournaient lentement en une couleur feu. Quand finalement il lâcha la sangle et s'assit à nouveau sur le lit, elle poussa un soupir de soulagement.
- Maintenant la partie amusante! Entendit Anne derrière elle.
- Viens ici et couche-toi sur mes genoux.
NON pas ça, ne pas être fessée comme un enfant gâté. Mais elle obéit silencieusement. Elle frissonna quand elle sentit la main du garçon courir sur son cul nu, puis elle gémit quand il commença à la fesser. Il la frappa lentement, mais pas trop fort. Son cul enflammé lui faisait toujours mal à chaque contact. Quand il s'arrêta et passa juste sa main sur ses fesses nues, elle se sentit soudainement frissonner, mais pas de douleur ou de peur, mais avec des picotements dans sa chatte. Quelle sorte de pervers était-elle pour être excitée par une fessée? Mais elle se dit que c'était juste une réaction naturelle à un contact près de ses zones intimes après quelques jours de chasteté. Elle se calma. Puis elle sentit quelque chose se presser contre ses cuisses. MAURICE avait une érection! Elle déglutit et repoussa avec colère l'image de sa queue remplissant son sexe humide.
- Lève-toi et couche-toi sur le lit, le cul en l'air!
Il se leva aussi et la regarda. Il sourit quand il vit son cul rouge ouvertement exposé.
- Très joli ma salope. Tu as remarqué que de fessée ton gros cul m'a fait bander comme un âne. Et ce serait vraiment dommage de gâcher l'occasion n'est-ce pas?
Il allait la baiser. Elle mordit la literie pour s'empêcher de crier. Mais elle l'entendit s'éloigner du lit.
- Alors, dans la prochaine heure, tu ne feras pas le tout des chambres des filles. Je pense que je vais laisser Belinda profiter de ma bite aujourd'hui. Elle a une belle chatte bien étroite. Et c'est une vraie tigresse, elle ne se fait pas baiser assez souvent.
Quand la porte se referma sur lui, Anne martela la literie avec son poing. Et cela pour deux raisons, la première étant l'humiliation d'avoir été fessée par son élève, la deuxième étant la frustration d'être laissée excitée et insatisfaite alors qu'une des filles recevait la grosse bite bien dure de MAURICE.
A suivre...
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-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --*********
7 -- Amusement en classe.
Anne passa une nuit blanche à essayer de trouver une solution à son problème. Mais plus elle réfléchissait, plus elle essayait de chercher des solutions, plus elle réalisait qu'elle ne pouvait faire qu'une chose : divertir MAURICE pour l'empêcher de publier les photos.
Le lendemain matin, elle était distraite et comprit à peine comment elle avait assuré ses premiers cours. Quand elle entra dans sa classe principale, elle tremblait de partout. Mais le cours se déroula sans problème. Même MAURICE se comporta bien et la traita poliment. Elle décida alors de raisonner une nouvelle fois l'étudiant.
- Ahhh MAURICE, pouvez-vous rester un moment. Dit-elle alors que le reste des étudiants partait déjeuner.
Le garçon haussa les sourcils, mais s'approcha du bureau.
- MAURICE, je veux...
Il l'interrompit tout de suite :
- Mettons une chose au point chienne. Tu m'appelles Monsieur MAURICE. Et tu ne t'adresses pas à moi sans ma permission. Est-clair?
- Oui M. MAURICE. Je...
- Tais-toi stupide salope, je ne t'ai pas donné la permission de parler. Et je suppose que pour te donner une bonne leçon, je vais devoir publier une des photos après tout. A moins que...
Sa voix s'estompa. Anne regarda nerveusement la porte, puis se mit à genoux derrière le bureau.
- S'il vous plaît, punissez-moi M. MAURICE.
- Montre tes seins.
Se mordant les lèvres, elle ouvrit son chemisier et exhiba ses seins. La main du garçon frappa deux fois ses seins durement. Cela fit mal à Anne et des larmes coulèrent de ses yeux.
- La prochaine fois tu ne t'en tireras pas aussi facilement salope. Maintenant je n'ai pas toute la journée, que veux-tu?
Anna essaya de rassembler ses pensées. Quelqu'un pouvait passer dans le couloir d'une seconde à l'autre et la voir, agenouillée, la poitrine à l'air. Toutefois elle n'osa pas se relever.
- S'il vous plaît M. MAURICE, ne pourrions-nous pas reparler de tout ça? N'y a t-il pas un autre moyen?
Le garçon se tourna pour partir et répondit :
- Il n'y a que deux manières salope. Soit tu fais ce que je te dis, soit tout le monde verra quelle chienne tu es. Maintenant range tes pis!
Il commença à s'éloigner mais regarda en arrière depuis la porte et dit :
- J'espère que tu reviendras ici après le dernier cours pour une leçon particulière. Ne sois pas en retard.
Bon sang, pourquoi ne voulait-il pas discuter? Anne s'empressa de fermer son chemisier quand elle entendit des pas dans le couloir. Elle avait à peine reboutonné le dernier bouton que Nicolas passait la tête dans la pièce.
- Vous allez bien? Vous avez perdu quelque chose?
Anne rougit et se releva.
- Oui je... j'ai cru que j'avais laissé tomber quelque chose. Mais ce n'est pas ici.
- Vous voulez que je vous aide à regarder?
Nicolas entra dans la salle de cours.
- Non ça va. Je viens de me rappeler que je l'avais laissé à la maison.
L'enseignant sourit et demanda :
- D'accord. Voulez-vous venir déjeuner avec moi?
Il y a quelques jours, Anne aurait sauté sur l'occasion. Mais elle ne se sentait plus comme une bonne compagnie. Elle secoua la tête.
- Non, je vais sauter le déjeuner et faire une promenade dans le parc.
Nicolas haussa les épaules et se tourna pour sortir.
- Peut-être un autre jour. Ajouta Anne.
L'homme regarda par-dessus son épaule et sourit :
- D'accord, remettons ça à plus tard.
Anne poussa un soupir de soulagement. Elle s'était presque fait prendre. Elle quitta la salle de classe et hocha la tête distraitement aux élèves et professeurs qu'elle croisa. Près de la sortie elle rencontra le concierge, un gars dans la quarantaine qui était toujours un peu débraillé. Il hocha la tête, mais ses yeux ne quittèrent pas la poitrine d'Anne. Ce type lui donnait la chair de poule. Elle sortit au soleil. Qu'allait-elle faire?
La promenade dans le parc la calma un peu et elle essaya de réfléchir de manière logique. Elle avait épuisé toutes les solutions possibles. Le fait est qu'il n'y en avait pas. Aller à la police lui serait encore plus préjudiciable que ce que ferait MAURICE. Elle ne se faisait pas d'illusions, le garçon commençait juste à « s'amuser » avec elle. Tout ce qu'elle pouvait faire c'est de serrer les dents et essayer de garder l'étudiant heureux. Elle espéra ardemment qu'il avait dit la vérité en disant qu'il ne voulait « s'amuser » que cette année et qu'il la laisserait tranquille après. Elle prit une profonde inspiration. Il n'y avait aucun moyen de s'en sortir alors autant faire plaisir à MAURICE. Peut-être que plus tard elle pourrait lui parler à nouveau.
- Tu ne sais pas que tu es supposée me saluer?
Elle leva les yeux de surprise et vit le jeune garçon à quelques mètres d'elle. Elle avait été si plongée dans ses pensées qu'elle ne l'avait pas vu remonter le chemin. Rapidement elle vérifia les environs. Il n'y avait personne à proximité.
- Je suis désolé M. MAURICE, je ne vous ai pas vu venir. Bon après-midi M. MAURICE.
Le jeune homme sourit.
- Donc tu n'es pas trop stupide pour apprendre hein? Ok, parlons un peu. Mais avant, voyons tes gros nichons. Montre-les!
Anne était sur le point d'objecter, mais elle se souvint de sa décision d'essayer de plaire à MAURICE. Elle ouvrit son chemisier et souleva ses seins. Elle pensa que dans cette position, elle ressemblait à une vulgaire salope affichant ses atouts.
- C'est beaucoup mieux. Il est bon qu'on te rappelle ce que tu es salope. Maintenant dis-moi, es-tu gouine?
Anna sentit la colère monter. Silencieusement elle se gronda.
- Non M. MAURICE. Répondit-elle doucement.
- Alors tu baises avec les hommes aussi.?
- Je suis hétérosexuelle M. MAURICE.
- Ce qui veut dire que tu baises les hommes. Réponds salope!
- Oui M. MAURICE. Se força-t-elle à dire.
- Combien en as-tu baisé?
- Ce n'est pas vos affaires. Siffla-t-elle.
- Eh bien...
Il sourit puis attendit.
- C'est tout ce que tu veux dire avant que je ne retourne à mon ordinateur?
Anne était furieuse, furieuse contre MAURICE pour son arrogance et furieuse contre elle-même qui avait perdu son sang-froid. Elle se força à redevenir calme. Puis elle se mit doucement à genoux.
- S'il vous plaît, punissez-moi pour mon insolence M. MAURICE.
Elle se mordit les lèvres en attendant les gifles sur sa poitrine qui pendait de manière obscène.
- Tu demanderas ta punition la prochaine fois que nous serons à la maison salope. Mais rappelle-toi que je t'ai dit que tu ne t'en sortirais pas aussi facilement la prochaine fois. Maintenant j'attends une réponse.
- Cinq. Murmura Anne.
- Tu es une petite pute n'est-ce pas? Quels trous ont-ils utilisés.
Calme-toi se répéta Anne, calme-toi et ne lui donne pas une raison de se mettre en colère.
- Mon vagin et... ma bouche.
MAURICE éclata de rire.
- Vagin? Les hommes ne baisent pas un vagin, ils baisent des chattes. Alors recommence!
Anne déglutit.
- Mon... ma chatte et ma bouche.
- C'est quand la dernière fois qu'un mec à fourré sa queue en toi?
- Il y a deux mois M. MAURICE.
Est-ce que ça ne finirait jamais? C'était si humiliant de devoir raconter à ce jeune étudiant tous ces détails intimes. Mais elle n'osa pas mentir.
- Deux mois tu dis? Je suppose que tu te touches tous les jours.
Anne rougit furieusement. Mais heureusement, comme il ne lui avait rien demandé, elle ne se sentit pas obligée de répondre.
- Ou plutôt, à quelle fréquence joues-tu avec ta chatte?
Elle aurait dû comprendre. Pendant un moment, elle envisagea de lui dire d'aller au diable et tant pis pour les conséquences. Mais elle ne put se résoudre à le faire.
- Tous les jours M. MAURICE.
Il hocha la tête.
- C'est bien ce que je pensais. Une chienne aussi chaude que toi en a besoin régulièrement. Mais désormais, il n'y aura plus de plaisir personnel salope. Et ne crois pas que je ne le saurais pas. Peut-être qu'une webcam est installée dans ta maison. Si tu as besoin tu me demandes la permission. Est-ce clair?
Ça ne pouvait pas être vrai. Une webcam?
- Oui M. MAURICE. Dit-elle.
- Bon, on se voit dans notre classe après le dernier cours.
Il s'éloigna sans rien dire de plus. Un moment après elle repartit pour l'école. Mais ce n'est qu'après avoir parcouru 100 mètres qu'elle réalisa que son chemisier était toujours ouvert sur sa poitrine pendante.
L'après-midi se passa aussi mal que la matinée et Anne se demanda comme les élèves pouvaient ne pas se rendre compte à quel point elle était distraite. Heureusement il n'y avait que deux cours, et à la fin du deuxième, elle se dirigea vers sa salle de classe principale, le cœur battant à tout rompre. MAURICE était déjà là, assis de travers sur sa chaise au premier rang. Anne ferma la porte doucement. Le garçon lança :
- On dirait que tu peux suivre des ordres simples après tout, salope! Maintenant passons aux choses sérieuses. Je veux de belles photos de toi sans les autres salopes. Ouvre ton chemisier et montre-moi tes gros nichons.
Se mordant les lèvres, Anne obéit.
- Non, non salope! Montre-moi à quel point tu aimes me les montrer. Quand je te donne un ordre, j'attends de toi que tu obéisses avec un sourire. N'oublie pas à quel point il est important pour toi de me satisfaire.
Anne le maudit silencieusement. Mais se rappelant sa résolution de lui plaire, elle se força à sourire. MAURICE souleva son portable et prit une première photo. Anne grimaça quand elle entendit le léger déclic de l'obturateur.
- Maintenant assieds-toi et voyons ces deux grosses mamelles.
Il n'arrêta pas de lui donner des instructions. Anne s'efforça de ne pas penser à ce qu'elle était obligée de faire et juste d'obéir. Elle se força aussi à garder le sourire, même quand elle fut assise sur son bureau en petite culotte.
- Maintenant salope, laisse-moi voir la partie la plus importante de ton corps.
Anne leva les yeux, confuse.
- Ta chatte, idiote! Après tout, c'est juste ce que tu es une stupide chatte de professeur. Tire la culotte sur le côté et prenons une bonne photo de toi en train de montrer ta chatte.
Anne se força à obéir et elle entendit une nouvelle fois le déclencheur cliquer.
- Je pense que je vais nommer cette photo « regarde ce que je suis ». C'est approprié non? Maintenant enlève ta culotte.
Il la fit poser nue devant puis sur le bureau.
- et maintenant comme plat de résistance, une belle photo de ta chatte humide. Montre!
Malgré sa détermination, Anne hésita, mais se força à écarter les jambes. C'était si humiliant, c'était comme si elle l'invitait à regarder ou même, à toucher sa chatte. Le jeune homme s'approcha et secoua la tête :
- Maintenant salope qu'est-ce que je vais faire avec une chatte sèche? Une chatte de salope doit être humide et brillante.
Anne le regarda d'un air suppliant.
- Mais... je suis désolé M. MAURICE, mais je ne suis pas excitée.
Il répondit sèchement :
- Et alors? Tu sais très bien comme te faire mouiller. Joue avec ta chatte!
Anne écarquilla les yeux.
- Devant vous?
MAURICE secoua la tête et prit un air fatigué.
- Tu n'as toujours pas compris? A partir de maintenant et pour le reste de l'année, il n'y aura pas d'autres moyens. Si tu veux être excitée, tu dois me demander et je peux te laisser jouer avec ta chatte. Ou je ne voudrais pas, ça dépendra de mon humeur. Le fait est que si tu joues avec ton corps, ça sera devant moi. Maintenant, vas-y!
Lentement, la main d'Anne se fraya un chemin entre ses jambes. Elle essaya de ne pas penser au garçon qui regardait, ni à la caméra qui attendait pour prendre des photos. Mais il lui fut impossible d'oublier la situation dans laquelle elle était. Très lentement, sa main avança vers sa chatte. Mais quand son doigt toucha son clitoris, une décharge électrique traversa son corps. Elle frissonna. Elle réalisa qu'elle n'avait pas eu d'orgasmes depuis plusieurs jours, trop prise dans son problème pour penser au sexe. Du coup, ça alla vite. Elle se toucha à peine quelques secondes avant de sentir l'humidité envahir sa chatte. Son corps entier était en feu. Elle essaya de ne pas le montrer et elle ralentit le mouvement de ses doigts pour montrer qu'elle ne faisait qu'obéir aux ordres. Mais elle ne pouvait cacher la moiteur de son sexe.
- Tu es chaude petite chienne n'est-ce pas? A peine as-tu commencé à te toucher que tu es prête à tomber sur le bureau.
L'appareil cliqua une nouvelle fois.
- Bon ça suffit, arrête ça. Tu auras de mes nouvelles.
Il sortit sans un autre mot et laissa la porte ouverte. A la hâte, Anne enfila ses vêtements et le suivit. Dans le couloir elle rencontra le concierge. Ils se saluèrent et marchèrent côte à côte pendant un moment. Elle, l'entendit respirer profondément et avoir un sourire vicieux sur le visage. Ce n'est qu'après son retour dans son chalet, qu'elle réalisa que ses doigts sentaient intensément sa chatte brûlante.
8 -- le châtiment.
Quelqu'un ouvrit la porte sans frapper. Anne se retourna avec colère et était sur le point de lâcher un sermon sur la politesse quand elle vit qui c'était. MAURICE commença à sourire.
- J'espère que tu n'étais pas sur le point de me dire de frapper, salope? Après tout c'est ta chambre, mais comme tu m'appartiens c'est ma chambre n'est-ce pas?
Il attendit. Anne prit de profondes inspirations. « Ne fais rien pour le contrarier, amadoue-le » se dit-elle silencieusement.
- Non M. MAURICE. Bien sûr, vous pouvez venir ici quand vous voulez.
- Oui c'est vrai. Et tu te lèves et tu montres du respect quand ton seigneur et maître entre.
Jurant silencieusement, Anne se leva de son bureau et lui fit face.
- C'est beaucoup mieux. Tu n'as pas oublié quelque chose?
Il s'assit sur le lit et se penche confortablement pour la regarder. Anne se creusa la tête. Est-ce qu'il s'attend à ce qu'elle s'agenouille à nouveau? Il ne lui a jamais dit ça. MAURICE secoue la tête.
- Deux jours à peine que tu as si bien posé pour les photos et tu as déjà oublié les bases. Mais je suppose que ça se produit quand une salope n'arrive pas à se doigter la chatte. Elle oublie tout sauf le besoin de se masturber.
Anna avait du mal à cacher sa fureur. Et le pire était qu'il avait partiellement raison. Elle n'avait pas osé jouer avec elle-même. Elle était restée sans orgasmes depuis longtemps, mais le fait de savoir qu'elle ne devait pas en avoir lui donnait envie de se toucher.
- Tu ne t'es pas cachée dans les toilettes pour jouer avec ta chatte, salope?
- Non M. MAURICE.
- Bon ça explique tout alors n'est-ce pas? Mais tu dois quand même te rappeler tes devoirs. Ils disent que l'exercice réduit le désir sexuel. Peut-être qu'un peu de gymnastique peut t'aider. Commence à sauter sur place.
Anne se sentit stupide de sauter de haut en bas dans le petit espace laissé entre le bureau et le lit.
- Non, non ça ne va pas. Montre-moi tes nichons!
Elle s'était attendue à moitié à ce qu'il lui fasse faire plus tôt. Alors elle ouvrit le devant de son gilet sans rien dire. Il la regarda et réfléchit un moment.
- A la réflexion, pourquoi ne te déshabilles-tu pas complètement?
Anne se mordit les lèvres. Maintenant il voudrait la baiser. Mais elle se déshabilla quand même. Avait-elle le choix?
- Faisons ces exercices maintenant! Sois attentive, à chaque fois que je tape du doigt, tu sautes.
« Il était vraiment doué pour commander » pensa Anne. Elle se jura de ne lui donner aucune raison de se fâcher contre elle. Il posa sa main près d'elle et attendit. Lorsque son doigt se leva, elle sauta et sentit ses gros seins rebondir contre son corps. Il la fit attendre puis leva le doigt, elle sauta. Une attente plus longue, puis trois sauts en succession rapide. Il continua encore et encore. Il ne la laissa jamais entrer dans un rythme. Il la garda attentive, prête à sauter. « Comme un chien entraîné à obéir aux ordres son maître » pensa-t-elle. Ses jambes lui faisaient mal et la sueur coulait le long de son corps. Mais elle ne lui donnerait pas l'occasion de la punir. La punir! C'était ça! Elle était censée lui demander une punition. C'est ce qu'elle avait oublié. Elle était sur le point de lui dire, quand elle se souvint qu'elle était censée s'agenouiller pour ça. Elle se demanda si elle devait tout simplement arrêter de sauter et s'agenouiller, quand il s'arrêta et la regarda. Rapidement elle se laissa tomber à genoux.
- S'il vous plaît M. MAURICE, punissez-moi pour ma désobéissance.
Le visage du jeune garçon se fendit d'un sourire.
- Ahhhh ça a fonctionné. Faites faire quelques exercices à une chienne en chaleur et elle oublie sa chatte pendant un moment. Elle peut réellement réfléchir. Oui, tu étais censée demander une punition méritée. Maintenant que tu l'as fait, je vais t'accorder ton souhait.
De l'intérieur de sa veste, il sortit une large sangle en cuir. Anne eut le souffle coupé. Elle s'était attendue à quelques gifles de plus sur ses seins, et même si c'était douloureux, elle se dit que ça allait l'être beaucoup plus. L'étudiant vit sa réaction et sourit.
- Oui salope, le temps de quelques caresses sur tes gros nichons est révolu. Tu devrais avoir maintenant appris à obéir. Si tu ne le fais pas, tu dois payer. Après tout tu m'as supplié de te punir, souviens-toi. Tu veux éviter la sangle?
Il s'assit sur e lit et regarda la porte d'un air méchant.
- Je pars tout de suite si tu le dis.
« Et tu mettras certaines images sur le net » pensa Anne.
- Non M. MAURICE, restez s'il vous plaît et punissez-moi. Dit-elle toujours agenouillée sur le sol devant lui.
- Eh bien, si tu supplies si gentiment, lève-toi et mets tes mains derrière toi.
Quand elle eut obéi, il la regarda et savoura l'occasion de donner une fessée à sa professeure. Il se leva.
- Penche-toi sur le bureau!
Frissonnante, Anne obéit et le regarda approcher.
- la tête en bas, le cul en l'air! Commanda-t-il.
La pire chose était qu'elle ne savait pas combien de coups il lui donnerait. Les coups de sangle lui faisaient de plus en plus mal. Mais si elle avait su, elle aurait pu attendre avec impatience la fin. Pour le moment, elle devait souffrir et espérer, tandis que ses fesses tournaient lentement en une couleur feu. Quand finalement il lâcha la sangle et s'assit à nouveau sur le lit, elle poussa un soupir de soulagement.
- Maintenant la partie amusante! Entendit Anne derrière elle.
- Viens ici et couche-toi sur mes genoux.
NON pas ça, ne pas être fessée comme un enfant gâté. Mais elle obéit silencieusement. Elle frissonna quand elle sentit la main du garçon courir sur son cul nu, puis elle gémit quand il commença à la fesser. Il la frappa lentement, mais pas trop fort. Son cul enflammé lui faisait toujours mal à chaque contact. Quand il s'arrêta et passa juste sa main sur ses fesses nues, elle se sentit soudainement frissonner, mais pas de douleur ou de peur, mais avec des picotements dans sa chatte. Quelle sorte de pervers était-elle pour être excitée par une fessée? Mais elle se dit que c'était juste une réaction naturelle à un contact près de ses zones intimes après quelques jours de chasteté. Elle se calma. Puis elle sentit quelque chose se presser contre ses cuisses. MAURICE avait une érection! Elle déglutit et repoussa avec colère l'image de sa queue remplissant son sexe humide.
- Lève-toi et couche-toi sur le lit, le cul en l'air!
Il se leva aussi et la regarda. Il sourit quand il vit son cul rouge ouvertement exposé.
- Très joli ma salope. Tu as remarqué que de fessée ton gros cul m'a fait bander comme un âne. Et ce serait vraiment dommage de gâcher l'occasion n'est-ce pas?
Il allait la baiser. Elle mordit la literie pour s'empêcher de crier. Mais elle l'entendit s'éloigner du lit.
- Alors, dans la prochaine heure, tu ne feras pas le tout des chambres des filles. Je pense que je vais laisser Belinda profiter de ma bite aujourd'hui. Elle a une belle chatte bien étroite. Et c'est une vraie tigresse, elle ne se fait pas baiser assez souvent.
Quand la porte se referma sur lui, Anne martela la literie avec son poing. Et cela pour deux raisons, la première étant l'humiliation d'avoir été fessée par son élève, la deuxième étant la frustration d'être laissée excitée et insatisfaite alors qu'une des filles recevait la grosse bite bien dure de MAURICE.
A suivre...
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