Education et soumission (Part I)
Récit érotique écrit par Moricio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Education et soumission (Part I)
Elle portait pour l'occasion une belle robe bleue lui arrivant aux genoux. Il faisait chaud en cette journée d'été et elle se dit que cette tenue serait parfaite pour l'occasion, sans pour autant être provocante. Elle avait une longue chevelure brune tombant sur ses épaules jusqu'à la chute de ses reins. Puis de temps à autre une douce brise d'été venait lui caresser le visage, laissant ses cheveux aux vents. Elle était belle dans cette rue, une jeune fille mignonne, innocente, qui plait aux hommes tout en restant réservée.
Elle arrivait bientôt à destination, l'adresse que lui avait donné l'homme semble proche. Elle ne sait toujours pas ce qui la pousse à avancer dans cette direction, mais c'est plus fort qu'elle, elle doit le faire. Portée par un mélange de curiosité, de peur, mais aussi d'envie, elle avance et sens une boule dans son ventre grandir à mesure qu'elle s'approche de sa destination. Des questions se bousculent dans sa tête, elle ne sait rien de lui, et lui non plus ne sait rien d'elle, il n'a rien voulu savoir, il voulait juste connaître ses "désirs". Elle lui disait des choses banales pourtant au travers de leurs discussions sur internet. Ils parlaient de leurs expériences, de leurs envies, elle se dit d'ailleurs à cet instant que c'est surtout elle qui se dévoilait. Elle s'étonne d'elle-même, elle si réservée d'habitude, de s'être dévoilée de la sorte à un inconnu.
La peur grandit en elle, elle sent ses jambes chancelantes, tremblantes presque. Mais elle arrive devant l'immeuble, trop tard se dit-elle, elle ne peut plus faire machine arrière. Bien sur que si elle peut faire demi-tour, mais il y a quelque chose en elle qui dépasse cette peur, une curiosité qu'elle ne peut déchiffrer. Elle se rappel de ses discussions avec cet homme qui lui inspire... le respect. Oui lorsqu'il écrivait elle se sentait presque envoutée par ses mots. Elle répondait à toutes ses demandes sans se poser de questions, elle se sentait presque rassurée lorsqu'elle lui dévoilait ses désirs, comme si ce qu'elle cachait au fond d'elle était trop lourd à porter et qu'elle devait se laisser aller. Elle lui avait donné une photo d'elle habillée en robe, presque comme aujourd'hui, c'est alors qu'il lui à donné ce rendez-vous. Il a juste précisé qu'elle ne devait pas prendre l'ascenseur et monter au 4ème étage par les escaliers, et qu'une fois devant la porte de l'inconnu elle ouvrirait l'enveloppe qui se trouvait sous le paillasson et suivrait les instructions qui s'y trouvent à l'intérieur.
Elle prend son courage à deux mains et s'apprête à entrer dans l'immeuble. Elle regarde l'heure pour se rassurer, trois minutes à l'avance. Elle se sent soulagée, lui qui avait bien précisé d'être à l'heure. Elle lève sa main à moitié tremblante puis d'un geste elle appuie sur la seule sonnette qui ne porte pas de nom, comme lui avait indiqué l'homme. Sans un mot la porte s'ouvre et elle se trouve au pied des escaliers. Elle commence sa montée la peur au ventre, mais elle se dit qu'elle doit le faire. Elle doit suivre ses instructions, elle doit lui plaire. C'est d'ailleurs tout proche de la porte de l'homme qu'elle se demande si elle va lui plaire, sa seule intention au fond c'est de ne pas le décevoir. Lui qui lui avait promis qu'elle découvrirait qui elle est au fond d'elle. Elle se sentait comprise et rassurée avec un homme pour une fois. Elle voulait aller plus loin et voir ce qui se cachait derrière cette porte.
Arrivée devant le pallier, elle soulève le paillasson et découvre cette enveloppe dans laquelle se trouve un foulard noir et une lettre. Sur la lettre y est écrit :
Met toi toute nue et cache ta vue avec ce foulard puis frappe 4 fois à la porte
Elle ne se sent pas bien, cela lui semble insurmontable. Se mettre nue devant la porte d'un inconnu, tout le monde pourrait la voir. Elle ne peut pas, elle ne comprend pas comment elle a put déjà arriver jusqu'ici. Non cette fois-ci s'en est trop. Mais elle pense à ce qui se cache derrière cette porte, cet homme si mystérieux mais si rassurant. Puis en s'imaginant dans cette situation, une douce chaleur commence à envahir son bas ventre, elle ne comprend pas ce qui se passe. Elle hésite, mais le temps presse, l'homme lui avait bien précisé d'être à l'heure à ce rendez-vous, elle ne voudrait pas le faire attendre trop longtemps. Ça a toujours été son problème de prendre des décisions, elle ne sait pas ce qu'elle doit faire au moment de choisir, l'hésitation prenant toujours le dessus. Mais cette fois-ci elle ne veut pas reculer, elle veut aller au bout.
Après avoir vérifié que personne ne se trouve dans les alentours et portée par une douce chaleur provenant de son intimité, elle se laisse emportée par son excitation. Elle est surprise de savoir à quel point cela l'excite de s'imaginer nue, à la merci de n'importe qui, dans ces escaliers. A moitié honteuse mais gagnée par son excitation, elle commence à se dévêtir. Elle enlève rapidement sa robe, en vérifiant constamment si quelqu'un s'approche d'elle. Elle est maintenant en culotte et en soutient gorge. Son excitation ne fait que croître et c'est à moitié tremblante mais aussi humide qu'elle enlève ses dessous. La voila maintenant nue, prête à être offerte à un inconnu. Elle commence à avoir subitement chaud, ses tétons durcissent d'eux-mêmes, et son intimité s'humidifie. Puis après avoir bandé ses yeux, elle soulève son petit poing tremblant de peur et d'excitation pour le cogner fébrilement à quatre reprises sur la porte.
Des bruits de pas se font entendre derrière la porte avant que celle-ci ne s'ouvre. L'homme la contemple quelques instants, comme ça, il regarde une ravissante jeune demoiselle nue, les yeux bandés, devant son pallier. C'est vrai qu'elle est ravissante, un visage d'ange et une taille presque pulpeuse mais bien dessinée. Ses mains cachent toutefois son sexe et ses seins. L'homme savait qu'elle serait intimidée au début, mais il savait également qu'elle se retrouverait dans cette posture. Il l'avait analysée au travers de leurs discussions et il savait qu'elle avait du potentiel. Il avait tout calculé, il savait ce qu'il devait faire pour qu'elle se laisse aller, et qu'elle découvre sa véritable nature. Seul lui savait de quoi elle était capable, elle n'en savait rien, bien qu'elle se doutait qu'au fond d'elle se cachait quelque chose mais qu'elle n'osait pas se l'avouer. Elle avait besoin de lui pour ça, pour pouvoir enfin se dévoiler, être elle-même et épanouie. Elle a toujours été une fille respectable et respectée, gentille et serviable, une fille modèle qui a toujours su résister à la tentation. Elle a eut certes quelques petits copains, mais elle avait toujours peur de se dévoiler à un homme. Mais cette fois-ci c'était différent, cet homme qui savait lui parler, elle lui faisait confiance.
Sans un mot l'homme l'attire à l'intérieur de l'appartement et pris ses vêtements pour les poser à même le sol. Le temps lui semblait interminable devant cet homme, mais elle trouva cela aussi très excitant s'étonna t-elle. Elle se sentait à la fois soulagée qu'il vienne enfin la délivrer de son exhibition, mais également tendue, cet homme tournait maintenant autour d'elle, elle sentait son regard posé sur son corps. Elle ne connaissait rien de lui, elle n'a jamais vu son visage, et n'a jamais entendue sa voix. Elle était en proie à un inconnu, et comme si cela ne suffisait pas il prit ses mains, dévoilant les parties les plus intimes de son anatomie, puis lia ses poignets derrière son dos à l'aide d'une cordelette. Elle était maintenant totalement offerte à lui, t-elle un colis venu de nul part, cette femme se retrouvait désormais les seins et le sexe à la vu d'un inconnu, dévoilant ses ravissantes formes. Bizarrement cela la détendit, car elle sentait monter son excitation en se dévoilant totalement de la sorte, elle d'habitude si pudique. On la forçait à être comme ça maintenant, elle ne pouvait pas faire autrement, et ça la soulagea.
Puis rompant le silence il lui dit à l'oreille d'une voix grave : "Tu es ponctuelle, c'est une bonne chose. Pour l'instant tu ne m'as pas déçu. Mais il y a une dernière chose que tu devras faire pour moi. Tu vas de nouveau te retrouver sur le pallier, je t'enlèverais tes liens et ton foulard, puis sans te retourner tu devras aller demander du sel chez le voisin d'en face. Ensuite tu reviendras devant ma porte, tu prendras la foulard qui se trouve sous mon paillasson et tu te banderas à nouveau les yeux avant de cogner quatre fois à la porte".
Elle n'en revenait pas d'entendre de tels propos. Quelle idée d'aller demander du sel à son voisin sans être vêtue, c'est absurde. Elle imaginait l'humiliation que cela allait être, et se dit que c'était au-dessus de ses forces. Mais ces mots retentissaient dans sa tête, et comme pour la sortir de ses pensées l'homme lui dit : "Alors ?". C'est alors que confuse et hésitante elle acquiesça d'un timide mouvement de tête. L'homme répéta d'une voix pressante : "Je n'ai rien entendu". "Oui, c'est d'accord" lui répondit-elle d'une voix presque éteinte par la peur que lui procure cette situation. C'est alors qu'il l'accompagna devant le pallier de sa porte, lui défit ses liens, lui ôta son foulard et le plaça sous le paillasson. La porte se refermât aussitôt derrière elle, et elle était maintenant là, nue, complètement perdue. Cette situation lui offrit à nouveau de curieuses sensation dans son bas ventre, l'idée même de pouvoir être vu de la sorte l'excitait anormalement, mais l'apeurait d'autant plus.
Elle se dépêcha alors d'aller à la porte d'en face. Elle se disait qu'elle ne pouvait pas rester comme ça plus longtemps et qu'elle devait rentrer au plus vite chez l'homme, à l'abri, après avoir accompli sa mission, dusses t-elle se faire humilier de la sorte. Mieux valait une humiliation rapide, que de devoir rentrer chez elle dans cette "tenue". Elle ne comprit toujours pas ce qui la poussa à accepter cette requête, mais elle se dit qu'elle devait le faire, elle ne pouvait pas faire autrement, comme si elle devait accepter le moindre de ses désirs. Face au pallier du voisin, elle cogna timidement à la porte. Elle avait la tête baissée, honteuse d'elle, cachant son sexe et ses seins du mieux qu'elle put avec ses mains. Son cœur battait à 100 à l'heure, elle n'en revenait pas de se retrouver dans cette situation, d'avoir acceptée d'être si soumise à un inconnu. Puis au bout de quelques instants, elle s'aperçut que personne ne se trouvait derrière la porte. La peur l'envahit aussitôt car elle se dit qu'elle allait désobéir à cet homme si elle ne revenait pas avec le sel. Elle n'osait pas revenir en arrière, et cogna de nouveau à la porte pour être sûr que personne ne se trouve derrière. Elle était restée un long moment devant ce pallier, prête à tout pour récupérer l'objet tant convoitée, alors qu'elle se trouvait toujours à la merci des passant, mais elle s'étonna d'elle même après qu'elle oublia un court instant cette possibilité.
C'est alors que résignée, elle retourna sur le pallier d'en face, pris le foulard sous le paillasson et se banda les yeux, avant de cogner quatre fois à la porte. Sa main était toujours tremblante, cette fois-ci non pas de peur d'être vu totalement nue, mais de décevoir cet inconnu qui la fascinait et à qui elle obéissait aveuglément. L'homme lui ouvrit et la tira à l'intérieure avant de lui dire : "Très bien, j'ai vu ce que je voulais voir. Mon voisin est absent cette semaine, mais je voulais voir jusqu'où tu serais allée. Tu ne m'as pas déçu, habille toi, et repose le foulard sous le paillasson lorsque tu seras sortie. Je te contacterais bientôt."
Ces quelques mots brefs furent les derniers qu'elle entendue de l'homme pour aujourd'hui. Après avoir enfilée ses dessous devant cet inconnu, puis sa robe, elle sortit de l'appartement, la porte se refermant derrière elle. Elle enleva le foulard qui lui cachait la vue puis le déposa soigneusement sous le paillasson. Elle prit l'ascenseur cette fois-ci puis elle se trouva enfin dehors, le soleil frappant son visage radieux, tandis qu'une douce brise d'été vint caresser ses cheveux. Elle se sentait bien, soulagée et presque comblée. Comme si elle venait de se libérer d'un poids. Elle se sentait libérée et se rappela ce qu'elle venait de vivre en moins de dix minutes. Ces souvenirs l'excitaient et elle sentait sa culotte mouillée par toutes ces expériences. Elle ne pouvait plus attendre un seul instant de plus, tout se bousculait dans sa tête, elle s'imaginait dans des situations plus excitantes les unes que les autres. Elle n'en revenait pas d'avoir des pensées aussi vicieuses, mais son excitation était t-elle qu'elle ne put attendre de se caresser chez elle. Elle se trouva dans un coin tranquille, dans ce quartier qu'elle connaissait a peine, puis se caressa énergiquement le clitoris après avoir passé sa main dans sa culotte. Son sexe était vraiment trempé, bien plus que d'habitude, témoin de son incroyable excitation. Elle ne pouvait plus attendre un seul instant, elle devait jouir. Ses doigts s'insinuaient maintenant dans son antre, ils glissaient. Elle en fit d'abord coulisser deux d'un coup, puis trois qu'elle mit le plus profondément possible. Elle était en proie à une rage amoureuse comme jamais elle n'en avait eut. Elle était avide de luxure comme une vraie débauchée, se masturbant comme une affamée, peu importe l'endroit. Son orgasme ne fut que plus ravageur lorsqu'elle se dit à quel point elle pouvait être une vraie vicieuse, avide de plaisirs et de perversion. Ses jambes ne tenaient plus sur eux-mêmes, et elle s'écroula. Elle était sur le dos, sa jupe relevée au-dessus de son sexe, les jambes écartées et la main dans sa chatte. Elle ne se reconnaissait plus, mais elle était heureuse.
Elle arrivait bientôt à destination, l'adresse que lui avait donné l'homme semble proche. Elle ne sait toujours pas ce qui la pousse à avancer dans cette direction, mais c'est plus fort qu'elle, elle doit le faire. Portée par un mélange de curiosité, de peur, mais aussi d'envie, elle avance et sens une boule dans son ventre grandir à mesure qu'elle s'approche de sa destination. Des questions se bousculent dans sa tête, elle ne sait rien de lui, et lui non plus ne sait rien d'elle, il n'a rien voulu savoir, il voulait juste connaître ses "désirs". Elle lui disait des choses banales pourtant au travers de leurs discussions sur internet. Ils parlaient de leurs expériences, de leurs envies, elle se dit d'ailleurs à cet instant que c'est surtout elle qui se dévoilait. Elle s'étonne d'elle-même, elle si réservée d'habitude, de s'être dévoilée de la sorte à un inconnu.
La peur grandit en elle, elle sent ses jambes chancelantes, tremblantes presque. Mais elle arrive devant l'immeuble, trop tard se dit-elle, elle ne peut plus faire machine arrière. Bien sur que si elle peut faire demi-tour, mais il y a quelque chose en elle qui dépasse cette peur, une curiosité qu'elle ne peut déchiffrer. Elle se rappel de ses discussions avec cet homme qui lui inspire... le respect. Oui lorsqu'il écrivait elle se sentait presque envoutée par ses mots. Elle répondait à toutes ses demandes sans se poser de questions, elle se sentait presque rassurée lorsqu'elle lui dévoilait ses désirs, comme si ce qu'elle cachait au fond d'elle était trop lourd à porter et qu'elle devait se laisser aller. Elle lui avait donné une photo d'elle habillée en robe, presque comme aujourd'hui, c'est alors qu'il lui à donné ce rendez-vous. Il a juste précisé qu'elle ne devait pas prendre l'ascenseur et monter au 4ème étage par les escaliers, et qu'une fois devant la porte de l'inconnu elle ouvrirait l'enveloppe qui se trouvait sous le paillasson et suivrait les instructions qui s'y trouvent à l'intérieur.
Elle prend son courage à deux mains et s'apprête à entrer dans l'immeuble. Elle regarde l'heure pour se rassurer, trois minutes à l'avance. Elle se sent soulagée, lui qui avait bien précisé d'être à l'heure. Elle lève sa main à moitié tremblante puis d'un geste elle appuie sur la seule sonnette qui ne porte pas de nom, comme lui avait indiqué l'homme. Sans un mot la porte s'ouvre et elle se trouve au pied des escaliers. Elle commence sa montée la peur au ventre, mais elle se dit qu'elle doit le faire. Elle doit suivre ses instructions, elle doit lui plaire. C'est d'ailleurs tout proche de la porte de l'homme qu'elle se demande si elle va lui plaire, sa seule intention au fond c'est de ne pas le décevoir. Lui qui lui avait promis qu'elle découvrirait qui elle est au fond d'elle. Elle se sentait comprise et rassurée avec un homme pour une fois. Elle voulait aller plus loin et voir ce qui se cachait derrière cette porte.
Arrivée devant le pallier, elle soulève le paillasson et découvre cette enveloppe dans laquelle se trouve un foulard noir et une lettre. Sur la lettre y est écrit :
Met toi toute nue et cache ta vue avec ce foulard puis frappe 4 fois à la porte
Elle ne se sent pas bien, cela lui semble insurmontable. Se mettre nue devant la porte d'un inconnu, tout le monde pourrait la voir. Elle ne peut pas, elle ne comprend pas comment elle a put déjà arriver jusqu'ici. Non cette fois-ci s'en est trop. Mais elle pense à ce qui se cache derrière cette porte, cet homme si mystérieux mais si rassurant. Puis en s'imaginant dans cette situation, une douce chaleur commence à envahir son bas ventre, elle ne comprend pas ce qui se passe. Elle hésite, mais le temps presse, l'homme lui avait bien précisé d'être à l'heure à ce rendez-vous, elle ne voudrait pas le faire attendre trop longtemps. Ça a toujours été son problème de prendre des décisions, elle ne sait pas ce qu'elle doit faire au moment de choisir, l'hésitation prenant toujours le dessus. Mais cette fois-ci elle ne veut pas reculer, elle veut aller au bout.
Après avoir vérifié que personne ne se trouve dans les alentours et portée par une douce chaleur provenant de son intimité, elle se laisse emportée par son excitation. Elle est surprise de savoir à quel point cela l'excite de s'imaginer nue, à la merci de n'importe qui, dans ces escaliers. A moitié honteuse mais gagnée par son excitation, elle commence à se dévêtir. Elle enlève rapidement sa robe, en vérifiant constamment si quelqu'un s'approche d'elle. Elle est maintenant en culotte et en soutient gorge. Son excitation ne fait que croître et c'est à moitié tremblante mais aussi humide qu'elle enlève ses dessous. La voila maintenant nue, prête à être offerte à un inconnu. Elle commence à avoir subitement chaud, ses tétons durcissent d'eux-mêmes, et son intimité s'humidifie. Puis après avoir bandé ses yeux, elle soulève son petit poing tremblant de peur et d'excitation pour le cogner fébrilement à quatre reprises sur la porte.
Des bruits de pas se font entendre derrière la porte avant que celle-ci ne s'ouvre. L'homme la contemple quelques instants, comme ça, il regarde une ravissante jeune demoiselle nue, les yeux bandés, devant son pallier. C'est vrai qu'elle est ravissante, un visage d'ange et une taille presque pulpeuse mais bien dessinée. Ses mains cachent toutefois son sexe et ses seins. L'homme savait qu'elle serait intimidée au début, mais il savait également qu'elle se retrouverait dans cette posture. Il l'avait analysée au travers de leurs discussions et il savait qu'elle avait du potentiel. Il avait tout calculé, il savait ce qu'il devait faire pour qu'elle se laisse aller, et qu'elle découvre sa véritable nature. Seul lui savait de quoi elle était capable, elle n'en savait rien, bien qu'elle se doutait qu'au fond d'elle se cachait quelque chose mais qu'elle n'osait pas se l'avouer. Elle avait besoin de lui pour ça, pour pouvoir enfin se dévoiler, être elle-même et épanouie. Elle a toujours été une fille respectable et respectée, gentille et serviable, une fille modèle qui a toujours su résister à la tentation. Elle a eut certes quelques petits copains, mais elle avait toujours peur de se dévoiler à un homme. Mais cette fois-ci c'était différent, cet homme qui savait lui parler, elle lui faisait confiance.
Sans un mot l'homme l'attire à l'intérieur de l'appartement et pris ses vêtements pour les poser à même le sol. Le temps lui semblait interminable devant cet homme, mais elle trouva cela aussi très excitant s'étonna t-elle. Elle se sentait à la fois soulagée qu'il vienne enfin la délivrer de son exhibition, mais également tendue, cet homme tournait maintenant autour d'elle, elle sentait son regard posé sur son corps. Elle ne connaissait rien de lui, elle n'a jamais vu son visage, et n'a jamais entendue sa voix. Elle était en proie à un inconnu, et comme si cela ne suffisait pas il prit ses mains, dévoilant les parties les plus intimes de son anatomie, puis lia ses poignets derrière son dos à l'aide d'une cordelette. Elle était maintenant totalement offerte à lui, t-elle un colis venu de nul part, cette femme se retrouvait désormais les seins et le sexe à la vu d'un inconnu, dévoilant ses ravissantes formes. Bizarrement cela la détendit, car elle sentait monter son excitation en se dévoilant totalement de la sorte, elle d'habitude si pudique. On la forçait à être comme ça maintenant, elle ne pouvait pas faire autrement, et ça la soulagea.
Puis rompant le silence il lui dit à l'oreille d'une voix grave : "Tu es ponctuelle, c'est une bonne chose. Pour l'instant tu ne m'as pas déçu. Mais il y a une dernière chose que tu devras faire pour moi. Tu vas de nouveau te retrouver sur le pallier, je t'enlèverais tes liens et ton foulard, puis sans te retourner tu devras aller demander du sel chez le voisin d'en face. Ensuite tu reviendras devant ma porte, tu prendras la foulard qui se trouve sous mon paillasson et tu te banderas à nouveau les yeux avant de cogner quatre fois à la porte".
Elle n'en revenait pas d'entendre de tels propos. Quelle idée d'aller demander du sel à son voisin sans être vêtue, c'est absurde. Elle imaginait l'humiliation que cela allait être, et se dit que c'était au-dessus de ses forces. Mais ces mots retentissaient dans sa tête, et comme pour la sortir de ses pensées l'homme lui dit : "Alors ?". C'est alors que confuse et hésitante elle acquiesça d'un timide mouvement de tête. L'homme répéta d'une voix pressante : "Je n'ai rien entendu". "Oui, c'est d'accord" lui répondit-elle d'une voix presque éteinte par la peur que lui procure cette situation. C'est alors qu'il l'accompagna devant le pallier de sa porte, lui défit ses liens, lui ôta son foulard et le plaça sous le paillasson. La porte se refermât aussitôt derrière elle, et elle était maintenant là, nue, complètement perdue. Cette situation lui offrit à nouveau de curieuses sensation dans son bas ventre, l'idée même de pouvoir être vu de la sorte l'excitait anormalement, mais l'apeurait d'autant plus.
Elle se dépêcha alors d'aller à la porte d'en face. Elle se disait qu'elle ne pouvait pas rester comme ça plus longtemps et qu'elle devait rentrer au plus vite chez l'homme, à l'abri, après avoir accompli sa mission, dusses t-elle se faire humilier de la sorte. Mieux valait une humiliation rapide, que de devoir rentrer chez elle dans cette "tenue". Elle ne comprit toujours pas ce qui la poussa à accepter cette requête, mais elle se dit qu'elle devait le faire, elle ne pouvait pas faire autrement, comme si elle devait accepter le moindre de ses désirs. Face au pallier du voisin, elle cogna timidement à la porte. Elle avait la tête baissée, honteuse d'elle, cachant son sexe et ses seins du mieux qu'elle put avec ses mains. Son cœur battait à 100 à l'heure, elle n'en revenait pas de se retrouver dans cette situation, d'avoir acceptée d'être si soumise à un inconnu. Puis au bout de quelques instants, elle s'aperçut que personne ne se trouvait derrière la porte. La peur l'envahit aussitôt car elle se dit qu'elle allait désobéir à cet homme si elle ne revenait pas avec le sel. Elle n'osait pas revenir en arrière, et cogna de nouveau à la porte pour être sûr que personne ne se trouve derrière. Elle était restée un long moment devant ce pallier, prête à tout pour récupérer l'objet tant convoitée, alors qu'elle se trouvait toujours à la merci des passant, mais elle s'étonna d'elle même après qu'elle oublia un court instant cette possibilité.
C'est alors que résignée, elle retourna sur le pallier d'en face, pris le foulard sous le paillasson et se banda les yeux, avant de cogner quatre fois à la porte. Sa main était toujours tremblante, cette fois-ci non pas de peur d'être vu totalement nue, mais de décevoir cet inconnu qui la fascinait et à qui elle obéissait aveuglément. L'homme lui ouvrit et la tira à l'intérieure avant de lui dire : "Très bien, j'ai vu ce que je voulais voir. Mon voisin est absent cette semaine, mais je voulais voir jusqu'où tu serais allée. Tu ne m'as pas déçu, habille toi, et repose le foulard sous le paillasson lorsque tu seras sortie. Je te contacterais bientôt."
Ces quelques mots brefs furent les derniers qu'elle entendue de l'homme pour aujourd'hui. Après avoir enfilée ses dessous devant cet inconnu, puis sa robe, elle sortit de l'appartement, la porte se refermant derrière elle. Elle enleva le foulard qui lui cachait la vue puis le déposa soigneusement sous le paillasson. Elle prit l'ascenseur cette fois-ci puis elle se trouva enfin dehors, le soleil frappant son visage radieux, tandis qu'une douce brise d'été vint caresser ses cheveux. Elle se sentait bien, soulagée et presque comblée. Comme si elle venait de se libérer d'un poids. Elle se sentait libérée et se rappela ce qu'elle venait de vivre en moins de dix minutes. Ces souvenirs l'excitaient et elle sentait sa culotte mouillée par toutes ces expériences. Elle ne pouvait plus attendre un seul instant de plus, tout se bousculait dans sa tête, elle s'imaginait dans des situations plus excitantes les unes que les autres. Elle n'en revenait pas d'avoir des pensées aussi vicieuses, mais son excitation était t-elle qu'elle ne put attendre de se caresser chez elle. Elle se trouva dans un coin tranquille, dans ce quartier qu'elle connaissait a peine, puis se caressa énergiquement le clitoris après avoir passé sa main dans sa culotte. Son sexe était vraiment trempé, bien plus que d'habitude, témoin de son incroyable excitation. Elle ne pouvait plus attendre un seul instant, elle devait jouir. Ses doigts s'insinuaient maintenant dans son antre, ils glissaient. Elle en fit d'abord coulisser deux d'un coup, puis trois qu'elle mit le plus profondément possible. Elle était en proie à une rage amoureuse comme jamais elle n'en avait eut. Elle était avide de luxure comme une vraie débauchée, se masturbant comme une affamée, peu importe l'endroit. Son orgasme ne fut que plus ravageur lorsqu'elle se dit à quel point elle pouvait être une vraie vicieuse, avide de plaisirs et de perversion. Ses jambes ne tenaient plus sur eux-mêmes, et elle s'écroula. Elle était sur le dos, sa jupe relevée au-dessus de son sexe, les jambes écartées et la main dans sa chatte. Elle ne se reconnaissait plus, mais elle était heureuse.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
et la part II ?
C'EST UNE HOREUR DE VOULOIR DEFORMER LA THEORIE DE KANT SUR L'OBEISSANCE, SOUMISSION ET EDUCATION. L'AUTEUR DE CETTE HISTOIRE ET UN PERVERS DE 1ERE DEGREE...
ce mec = symbole d'une vie à vau de vie et deprave. Je le conais via msn.
Très très bien et original ! Bravo !
UNE SUITE?????
cool
Très bon début, bravo.