Eglantine la gourmande
Récit érotique écrit par Hotscanwetpussy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eglantine la gourmande
Églantine prend une flûte de champagne sur le plateau du jeune serveur. Elle le frôle avec une fausse insouciance et lui sourit avec ostentation, allumant ainsi tous les signaux du désir. Le gosse est presque désemparé par cette drague inattendue et très sensuelle. Cette prétendue candeur avec laquelle elle se frotte à lui est d’une terrible perversité. Elle le ... Il voudrait la … Lui dire quelque chose … Enfin il ne sait plus trop où il en est. Il jette des petits regards sur ce corps fuselé.
« Quelle bombasse cette fille, se dit-il en la regardant en biais.
Jamais une nana aussi mignonne et aussi bien gaulée ne lui a fait un tel numéro ! A l’école hôtelière il n’y avait pratiquement que des mecs, un pour cinquante filles et encore pas toujours les plus belles. Par contre les filles de l’agence de tourisme, du bâtiment d’en face, enfin les stagiaires plus exactement, là y avait du sacrément beau matos …
Elle lui presse maintenant le bras gauchement. Cette fille a la main très fine et si chaude que ça le trouble. Impatiente, elle finit par lui prendre directement la main avec une maladresse dont il ne sait si elle est feinte ou réelle. Il faut dire qu’Églantine est déjà un peu éméchée et plus tout à fait maîtresse de ses gestes. D’où ses doutes. Elle s’empare de la coupe de champagne et parvient difficilement jusqu’au buffet sans perdre l’équilibre et sans répandre le précieux liquide sur le sol. Églantine le colle d’un peu trop près. Le serveur sent contre son torse juvénile la fermeté de ses seins juvéniles. Il les sent qui pointent à travers le tissu volage. Et cette sensation est très excitante. Il aimerait les toucher, agacer et pincer leurs pics arrogants. Hum, quelle vicieuse extra ! Il la mate l’air de rien, comme pour vérifier ses sensations A moins qu’il ne veuille juste les décupler. La poitrine saillante de la jolie garce est bien tendue sous le tissu. Il a envie de la lécher. Comme Églantine le colle, il sent ses seins frémir et durcir aussi, comme deux petits obus insistants, aux désirs autonomes. Excitée de sa propre audace la jeune nympho touche discrètement sa victime par intermittences. Sans doute pour qu’il apprécie le volume de ses jeunes seins, la volupté de son buste. Elle sait que ses courbes sont parfaites et il se dit qu’elle en tire un réel plaisir. Le jeune homme s’empourpre légèrement sous la caresse légère et simultanée de cette main délicate et de la jeune poitrine ferme qui profite du tumulte et de l’assistance entassée près du buffet pour le coller de très près. Il finit par se prêter au petit jeu en se collant aussi davantage à cette poitrine bien garnie qu’il aimerait tant dénuder et caresser. Heureusement sa veste blanche est suffisamment ample pour dissimuler à l’assistance une érection de moins en moins naissante. Emoustillé par ce contact inattendu si voluptueux, son sexe durcit. Quand la petite garce lui lance un x-ième regard coquin très entendu, il réalise qu’elle a éprouvé avec délice la dureté insolente du tissu, son gonflement inopiné ... Elle sait qu’elle le fait bander et elle aime sentir les assauts de cette jeune trique qui la réclame en silence. Le regard du serveur scintille, ses yeux ont un éclat brillant désormais. Ils crient en silence son envie de la baiser sur le champ. Églantine raffole de l’allumer si bien. Elle mouille autant qu’il salive. Le jeune homme demeure professionnel mais s’attarde davantage que nécessaire sur cette poitrine insolente dont il prendrait volontiers le contrôle à pleines mains s’il osait, si les circonstances le lui permettaient. Il faut dire que la demoiselle a plus que du charme : des seins révoltants des yeux si envoûtants, des courbes à faire éjaculer la sainteté et une odeur, de rose, et d’ambre, un parfum très délicat qu’il ne connaissait pas et dont il se souviendra longtemps …
« Excusez-moi, je suis si maladroite », lui lance-t-elle avec un sourire appuyé et le petit air désolé mais craquant de qui aimerait bien se faire pardonner … Mais comment ? Comment obtenir ses excuses discrètes dans une soirée aussi animée. Il sait que c’est impossible et devra attendre une autre occasion qui risque de ne pas se présenter de sitôt.
« Je vous en prie, ce n’est rien », marmonne-t-il frustré, tout en courbettes alors qu’il rêverait de la défoncer à sec dans les chiottes les plus proches.
A son crédit reconnaissons que plus d’un aurait déchargé dans ses braies suite à une telle entrée en matière. Lui est resté stoïque dans son rôle sans trop réaliser -au départ- que c’est surtout la certitude de sa frustration sans parade qui excite la petite allumeuse. Maintenant il en a pris clairement conscience. Il se verrait bien arrêter son service, poser ses canapés et l’allonger de gré ou de force sur un grand sofa pour disposer d’elle à sa guise, lui mettre sous les yeux l’évidence solide de son désir pénétrant. Un supérieur quelconque le hèle avec un mépris autoritaire très humiliant. Il finit par s’effacer avec regret, discrètement et douloureusement professionnel.
Pour Églantine, le jeune serveur n’était qu’une mise en bouche, une plaisanterie amusante. Émoustille de puceau avant le plat de résistance. Elle joue à suçoter sa coupe de champagne qui pétille. Elle y porte ses lèvres gourmandes par petites touches, laisse traîner la pointe de sa langue sur le bord en l’incurvant de manière très salope et suggestive, Elle attrape au passage quelques regards fiévreux de mâle attirés par son manège et s’en réjouit intérieurement.
A ses yeux, le champagne demeure ce symbole biaisé de soumission aux puissants. Une soumission hypocrite dissimulée derrière leur offre faussement généreuse et détachée. Le champagne, ce pouvoir facile, qui coule à flots entre les mains des blaireaux pleins aux as mais médiocrement pourvus question virilité. Le champagne, ce sont les coupes soit disant généreusement offertes, destinées aux jolies jeunes femmes de circonstance et de passage, qui égaient une soirée. Ce sont les bulles qui enivrent, atomisent la volonté, engourdissent le cerveau et réveillent les chattes paresseuses dans leur string serré. Ces moments délicieux où s’installe une légère ivresse, précédent le cérémonial du négoce, exprimé à demis mots pour une baise monnayée. Mon argent pour ton corps. Une flûte qui grise, offerte aux très jeunes putes de luxe avant d’obtenir avec quelques grosses coupures leur médiocre capitulation pour sortir une queue et la branler, pour ouvrir la bouche et gober un sexe érigé, pour offrir son cul soumis à des membres affamés de viande fraîche, pour écarter les cuisses et se faire enfin dilater une rondelle impatiente. Églantine aime fantasmer sur la soumission minable de la suceuse qui se résigne et s’abaisse, la mise à genoux imposée qui précède et prépare la pipe. Elle a même vu un mec s’asperger le gland luisant de quelques gouttes de champagne pour exciter sa petite pipeuse, une blonde, cheveux courts, coiffée à la garçonne et tenue de l’astiquer pour finaliser sa servitude. Elle aime imaginer cette main ferme qui se posera avec fermeté sur sa nuque, la conduira à se baisser soumise, à engloutir le pont de chair bien charpenté. Elle aime cette queue raide qui lui envahit la bouche et fait taire toute envie et toute possibilité de protester. Elle aime cette invite silencieuse à courber l’échine. Parfois elle invente quelques mots sales pour lui demander de s’exécuter.
« Maintenant, sors ma queue, petite ! Masturbe-toi le clito en me suçant et montre-moi bien. Je veux voir comment tu aimes te doigter », lui dit un pervers déluré sans aucune honte.
Elle se dit qu’elle s’extasierait devant le sexe des mâles en érection. Peu importe leur gabarit ou leur forme s’il y a du répondant. Grosses, raides ou encore souples, mais longues épaisses, remuantes. Ce qui plaît par avance à Églantine c’est l’idée de jouer la jeune vierge curieuse et admirative, devant les signaux du calibre dégainé. Elle minauderait un peu avant de prendre enfin en bouche le sexe en le tétant et le tâtant précautionneusement, pour le contraindre à durcir sans faiblesse. Elle ferait sa mijaurée, comme pour s’assurer de son bon droit et de son bon goût, de sa conformité aux exigences du moment. L’homme piétinerait sur place. Il serait impatient de voyager avant de se vider intégralement dans sa jeune bouche gourmande et pour l’exciter davantage elle lui murmurerait quelque chose de fou et d’une audace extrême :
« On a tout le temps, tu sais j’en ai déjà l’eau à la bouche. » Puis elle le regarderait dans les yeux et ajouterait :
« Ne te vide pas trop vite, j’ai tellement envie de te pomper. Laisse-moi bien profiter de ta grosse bite. Elle est si dure. Je vais bien te sucer. » Et joignant le geste à la parole elle engloutirait le dard érigé jusqu’à la garde et le limerait à s’étouffer.
L’idée de ces prémisses l’excite. C’est comme une sorte de préparation à l’exécution capitale du vidage de burnes.
« Mets-toi à hauteur d’une bonne faciale, s’il m’en prend l’envie, petite vicieuse. J’ai payé pour ça. » Elle imagine son poignet délicat de gamine sommé de déboucler la boucle d’un gros ceinturon de cow-boy, sa main légère qui s’exécute et ouvre non sans difficulté le bouton de la braguette tendue comme un arc. Le mec guide son poignet déjà vaincu vers l’interdit et la regarde en jouissant de son triomphe. Il ne la quitte pas des yeux et regarde avec délectation cette menotte qui se glisse enfin dans son slip tendu et bien garni. Elle touche son braquemart qui se trémousse d’aise à l’intérieur de sa Gange de coton. Elle le flatte et le soupèse avec gourmandise Dans des courts pornos sur le net, elle a observé le regard admiratif de tant de petites salopes qui s’humectent les lèvres avec sensualité et une impatience jouée en débusquant le mandrin en érection du maître de cérémonie. Il y a du jeu et du simulacre c’est sûr mais pas que ça. Elle le sent. Elle le voit quand le regard de la fille pétille devant une belle queue en se disant qu’elle lui donnera du plaisir. Elle est parfois jalouse quand le sexe du mec bande bien, l’excite et la fait mouiller aussi à son tour. Elle aimerait que ce regard de salope soit le sien. Elle aimerait que cette queue soit pour elle. Elle imagine alors qu’elle surgirait et dégagerait la fille en touche d’une seule main, d’une chiquenaude puissante et sans réplique. Elle murmurerait alors au mâle en attente :
« Changement de personnel. Les traînées et petites pétasses se cassent : Oui je vais m’occuper moi-même de ton plaisir et je vais sucer ta grosse queue jusqu’à l’extase et je m’en réjouis d’avance. Je me délecte à l’idée de t’entendre gémir. Moi je ne recrache pas le jus. Je pomperai tout ton sperme, jusqu’à la dernière giclée et avec lui j’avalerai aussi tes scrupules de pervers effarouché. »
« Quelle bombasse cette fille, se dit-il en la regardant en biais.
Jamais une nana aussi mignonne et aussi bien gaulée ne lui a fait un tel numéro ! A l’école hôtelière il n’y avait pratiquement que des mecs, un pour cinquante filles et encore pas toujours les plus belles. Par contre les filles de l’agence de tourisme, du bâtiment d’en face, enfin les stagiaires plus exactement, là y avait du sacrément beau matos …
Elle lui presse maintenant le bras gauchement. Cette fille a la main très fine et si chaude que ça le trouble. Impatiente, elle finit par lui prendre directement la main avec une maladresse dont il ne sait si elle est feinte ou réelle. Il faut dire qu’Églantine est déjà un peu éméchée et plus tout à fait maîtresse de ses gestes. D’où ses doutes. Elle s’empare de la coupe de champagne et parvient difficilement jusqu’au buffet sans perdre l’équilibre et sans répandre le précieux liquide sur le sol. Églantine le colle d’un peu trop près. Le serveur sent contre son torse juvénile la fermeté de ses seins juvéniles. Il les sent qui pointent à travers le tissu volage. Et cette sensation est très excitante. Il aimerait les toucher, agacer et pincer leurs pics arrogants. Hum, quelle vicieuse extra ! Il la mate l’air de rien, comme pour vérifier ses sensations A moins qu’il ne veuille juste les décupler. La poitrine saillante de la jolie garce est bien tendue sous le tissu. Il a envie de la lécher. Comme Églantine le colle, il sent ses seins frémir et durcir aussi, comme deux petits obus insistants, aux désirs autonomes. Excitée de sa propre audace la jeune nympho touche discrètement sa victime par intermittences. Sans doute pour qu’il apprécie le volume de ses jeunes seins, la volupté de son buste. Elle sait que ses courbes sont parfaites et il se dit qu’elle en tire un réel plaisir. Le jeune homme s’empourpre légèrement sous la caresse légère et simultanée de cette main délicate et de la jeune poitrine ferme qui profite du tumulte et de l’assistance entassée près du buffet pour le coller de très près. Il finit par se prêter au petit jeu en se collant aussi davantage à cette poitrine bien garnie qu’il aimerait tant dénuder et caresser. Heureusement sa veste blanche est suffisamment ample pour dissimuler à l’assistance une érection de moins en moins naissante. Emoustillé par ce contact inattendu si voluptueux, son sexe durcit. Quand la petite garce lui lance un x-ième regard coquin très entendu, il réalise qu’elle a éprouvé avec délice la dureté insolente du tissu, son gonflement inopiné ... Elle sait qu’elle le fait bander et elle aime sentir les assauts de cette jeune trique qui la réclame en silence. Le regard du serveur scintille, ses yeux ont un éclat brillant désormais. Ils crient en silence son envie de la baiser sur le champ. Églantine raffole de l’allumer si bien. Elle mouille autant qu’il salive. Le jeune homme demeure professionnel mais s’attarde davantage que nécessaire sur cette poitrine insolente dont il prendrait volontiers le contrôle à pleines mains s’il osait, si les circonstances le lui permettaient. Il faut dire que la demoiselle a plus que du charme : des seins révoltants des yeux si envoûtants, des courbes à faire éjaculer la sainteté et une odeur, de rose, et d’ambre, un parfum très délicat qu’il ne connaissait pas et dont il se souviendra longtemps …
« Excusez-moi, je suis si maladroite », lui lance-t-elle avec un sourire appuyé et le petit air désolé mais craquant de qui aimerait bien se faire pardonner … Mais comment ? Comment obtenir ses excuses discrètes dans une soirée aussi animée. Il sait que c’est impossible et devra attendre une autre occasion qui risque de ne pas se présenter de sitôt.
« Je vous en prie, ce n’est rien », marmonne-t-il frustré, tout en courbettes alors qu’il rêverait de la défoncer à sec dans les chiottes les plus proches.
A son crédit reconnaissons que plus d’un aurait déchargé dans ses braies suite à une telle entrée en matière. Lui est resté stoïque dans son rôle sans trop réaliser -au départ- que c’est surtout la certitude de sa frustration sans parade qui excite la petite allumeuse. Maintenant il en a pris clairement conscience. Il se verrait bien arrêter son service, poser ses canapés et l’allonger de gré ou de force sur un grand sofa pour disposer d’elle à sa guise, lui mettre sous les yeux l’évidence solide de son désir pénétrant. Un supérieur quelconque le hèle avec un mépris autoritaire très humiliant. Il finit par s’effacer avec regret, discrètement et douloureusement professionnel.
Pour Églantine, le jeune serveur n’était qu’une mise en bouche, une plaisanterie amusante. Émoustille de puceau avant le plat de résistance. Elle joue à suçoter sa coupe de champagne qui pétille. Elle y porte ses lèvres gourmandes par petites touches, laisse traîner la pointe de sa langue sur le bord en l’incurvant de manière très salope et suggestive, Elle attrape au passage quelques regards fiévreux de mâle attirés par son manège et s’en réjouit intérieurement.
A ses yeux, le champagne demeure ce symbole biaisé de soumission aux puissants. Une soumission hypocrite dissimulée derrière leur offre faussement généreuse et détachée. Le champagne, ce pouvoir facile, qui coule à flots entre les mains des blaireaux pleins aux as mais médiocrement pourvus question virilité. Le champagne, ce sont les coupes soit disant généreusement offertes, destinées aux jolies jeunes femmes de circonstance et de passage, qui égaient une soirée. Ce sont les bulles qui enivrent, atomisent la volonté, engourdissent le cerveau et réveillent les chattes paresseuses dans leur string serré. Ces moments délicieux où s’installe une légère ivresse, précédent le cérémonial du négoce, exprimé à demis mots pour une baise monnayée. Mon argent pour ton corps. Une flûte qui grise, offerte aux très jeunes putes de luxe avant d’obtenir avec quelques grosses coupures leur médiocre capitulation pour sortir une queue et la branler, pour ouvrir la bouche et gober un sexe érigé, pour offrir son cul soumis à des membres affamés de viande fraîche, pour écarter les cuisses et se faire enfin dilater une rondelle impatiente. Églantine aime fantasmer sur la soumission minable de la suceuse qui se résigne et s’abaisse, la mise à genoux imposée qui précède et prépare la pipe. Elle a même vu un mec s’asperger le gland luisant de quelques gouttes de champagne pour exciter sa petite pipeuse, une blonde, cheveux courts, coiffée à la garçonne et tenue de l’astiquer pour finaliser sa servitude. Elle aime imaginer cette main ferme qui se posera avec fermeté sur sa nuque, la conduira à se baisser soumise, à engloutir le pont de chair bien charpenté. Elle aime cette queue raide qui lui envahit la bouche et fait taire toute envie et toute possibilité de protester. Elle aime cette invite silencieuse à courber l’échine. Parfois elle invente quelques mots sales pour lui demander de s’exécuter.
« Maintenant, sors ma queue, petite ! Masturbe-toi le clito en me suçant et montre-moi bien. Je veux voir comment tu aimes te doigter », lui dit un pervers déluré sans aucune honte.
Elle se dit qu’elle s’extasierait devant le sexe des mâles en érection. Peu importe leur gabarit ou leur forme s’il y a du répondant. Grosses, raides ou encore souples, mais longues épaisses, remuantes. Ce qui plaît par avance à Églantine c’est l’idée de jouer la jeune vierge curieuse et admirative, devant les signaux du calibre dégainé. Elle minauderait un peu avant de prendre enfin en bouche le sexe en le tétant et le tâtant précautionneusement, pour le contraindre à durcir sans faiblesse. Elle ferait sa mijaurée, comme pour s’assurer de son bon droit et de son bon goût, de sa conformité aux exigences du moment. L’homme piétinerait sur place. Il serait impatient de voyager avant de se vider intégralement dans sa jeune bouche gourmande et pour l’exciter davantage elle lui murmurerait quelque chose de fou et d’une audace extrême :
« On a tout le temps, tu sais j’en ai déjà l’eau à la bouche. » Puis elle le regarderait dans les yeux et ajouterait :
« Ne te vide pas trop vite, j’ai tellement envie de te pomper. Laisse-moi bien profiter de ta grosse bite. Elle est si dure. Je vais bien te sucer. » Et joignant le geste à la parole elle engloutirait le dard érigé jusqu’à la garde et le limerait à s’étouffer.
L’idée de ces prémisses l’excite. C’est comme une sorte de préparation à l’exécution capitale du vidage de burnes.
« Mets-toi à hauteur d’une bonne faciale, s’il m’en prend l’envie, petite vicieuse. J’ai payé pour ça. » Elle imagine son poignet délicat de gamine sommé de déboucler la boucle d’un gros ceinturon de cow-boy, sa main légère qui s’exécute et ouvre non sans difficulté le bouton de la braguette tendue comme un arc. Le mec guide son poignet déjà vaincu vers l’interdit et la regarde en jouissant de son triomphe. Il ne la quitte pas des yeux et regarde avec délectation cette menotte qui se glisse enfin dans son slip tendu et bien garni. Elle touche son braquemart qui se trémousse d’aise à l’intérieur de sa Gange de coton. Elle le flatte et le soupèse avec gourmandise Dans des courts pornos sur le net, elle a observé le regard admiratif de tant de petites salopes qui s’humectent les lèvres avec sensualité et une impatience jouée en débusquant le mandrin en érection du maître de cérémonie. Il y a du jeu et du simulacre c’est sûr mais pas que ça. Elle le sent. Elle le voit quand le regard de la fille pétille devant une belle queue en se disant qu’elle lui donnera du plaisir. Elle est parfois jalouse quand le sexe du mec bande bien, l’excite et la fait mouiller aussi à son tour. Elle aimerait que ce regard de salope soit le sien. Elle aimerait que cette queue soit pour elle. Elle imagine alors qu’elle surgirait et dégagerait la fille en touche d’une seule main, d’une chiquenaude puissante et sans réplique. Elle murmurerait alors au mâle en attente :
« Changement de personnel. Les traînées et petites pétasses se cassent : Oui je vais m’occuper moi-même de ton plaisir et je vais sucer ta grosse queue jusqu’à l’extase et je m’en réjouis d’avance. Je me délecte à l’idée de t’entendre gémir. Moi je ne recrache pas le jus. Je pomperai tout ton sperme, jusqu’à la dernière giclée et avec lui j’avalerai aussi tes scrupules de pervers effarouché. »
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