Ejaculateur précoce ?
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2011 dans la catégorie Plus on est
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Ejaculateur précoce ?
En faisant mes courses ce matin, une voisine relativement lointaine est dans le même magasin. Nous
ne nous connaissons que de vue, même si nous échangeons des bonjours avec sourires. Elle s’extasie
sur le landau d’un bébé. Je l’accuse de vouloir l’enlever. Elle en sourit: nous sortons ensemble en
bavardant. Je ne sais trop pourquoi, aujourd’hui nous sommes devenus très proches d’un seul coup. Je
peux la détailler de très près. Elle commence à me plaire physiquement.
J’ai envie d’elle, de ses seins qui semblent fait pour mes mains et du reste de son corps. Elle bute
sur la bordure de trottoir, je la retiens par un bras que je ne lâche pas, même quand elle est
relevée. Elle me regarde en me remerciant, sans rien dire sur mon bras. Nous arrivons devant chez
elle: nous aurions du nous réparer. Elle me fait entrer chez elle.
Elle est libre jusqu’eau soir quand son mari rentrera du travail.
Assis ensemble sur le divan nous parlons de nos vie: la sienne est comme le de la plus part des
femmes, aimées de leur époux. Sauf que.
- J’ai un petit problème: nous faisons l’amour et je n’en suis pas satisfaite
- Pourquoi ?
- Il est un éjaculateur précoce; je ne peux jamais prendre mon plaisir complètement.
- Je suppose que vous compensez
- Non justement je ne peux pas.
- C’est pourtant simple.
- Pour vous les hommes sans doute, mais pour moi, une femme ? Je suis une femme élevée dans
certaines valeurs je ne peux pas, moralement me satisfaire seule.
- Vous restez insatisfaite continuellement.
- C’est idiot, je n’arrive pas à me donner du plaisir.
- Si ça vous arrange, je peux vous secourir, même si ce n’est pas plus moral que ce que vous refusez
de faire.
- Pour moi, je préfère tromper mon mari. Après tout je ne serai pas la première.
Quant termes choisis cette demande de la baiser est faite. Bien sur que je qui d’accord pour lui
faire l’amour. Je me demande même si la fable du pari est crédible, comme son histoire de ne pas
pouvoir se masturber sous prétexte de moralité.
En tout cas, elle se blottit contre moi, recherche mes lèvres. Je l’embrasse sans hésiter. Après
tout c’est elle qui me l’a demandé. Ma langue pénètre sa bouche. La sienne fait plus que subir, elle
commence à venir dans ma bouche sans complexe. Avant que je puisse lui caresser les seins, sa main
est sur ma braguette à la recherche, déjà, de ma queue. Je me laisse faire: une main de femme à cet
endroit, je la respecte toujours. Quand elle sort ma bite, elle me branle un peu, juste ce qu’il
faut pour que je bande bien.
Elle se penche pour me prendre dans la bouche. Ni sa langue ni ses lèvres se gênent pour me faire un
bien fou. C’est une championne de la fellation. Elle tient ma bite vers la base avec une main qui
l’entoure et sa bouche avale le reste.
Je ne peux rien lui faire. Nous sommes habillés, moi un peu négligé avec ma bite dehors. Je ne vois
d’elle que son dos habillé.
Enfin, ou dommage, elle arrête pour revenir m’embrasser.
Je dois avoir une certaine allure avec ma pine dehors, bien raide. Je peux quand même lui passer une
main sur son t-shirt pour aller chiper un sein.
Enfin je peux la toucher. Je fais plus que la toucher, je commence à la déshabiller. Elle se lève
même quand je retire son jean et sa culotte. Je caresse tout ce qui est à ma portée. Je passe mes
mains entre ses jambes. Bien sur je monte vers sa chatte. Elle est trempée totalement. Je vais la
caresser là où ça lui fera du bien; le clitoris, l’orifice de la vulve et l’anus. Elle ne refuse
rien. Au contraire, elle m’entraine dans des endroits inédits pour moi, entre autre son périnée où
je ne vais jamais. Sous des airs de sainte nitouche, elle en connait un tas de bricole. Elle
confirme sans le dire que son mari n’est pas ce qu’elle dit. Elle avait simplement envie de tirer un
coup.
Je la fais jouir comme de bien entendu.
Je suis nu à mon tour: elle prend à nouveau ma queue dans la bouche. Nous faisons un 69 quand elle
vient sur moi. Elle fait preuve d’une grande maîtrise. Elle lèche ma pine sur toute sa longueur,
sans même me toucher le gland. Je lui suce le clitoris. Elle en jouit, elle me demande d’aller sur
son anus. J’entre ma langue dans son cul. Elle jouit encore.
J’ai beau lui demander de me faire jouir, elle refuse,
- Pas encore, attends un peu.
- Je t’ai faites jouir je ne sais pas combien de fois et tu refuse un orgasme.
- Attend 5 minutes, pas plus.
Elle reprend ses caresses autour de ma queue sans aboutir. Les fameuse 5 minutes doivent être
passées quand le mari entre sans bruit.
Je comprends qu’elle veuille baiser en trio, elle aurai mieux fait de m’en avertir. Son mari est
vite nus. Il embrase sa femme tendrement sur la bouche:
- Tu as réussit à avoir un autre homme ?
- Tu vois, et en plus il est bien monté. Nous allons nous régaler.
Je commence à comprendre, depuis le début elle joue un comédie parfaitement bien orchestrée.
La mari me demande de venir sur sa femme quand il sera couché sur le dos et qu’il la baisera. Je
l’enculerai. Une double pénétration, rien de meilleur pour madame, pour moi, je ne sais pas.
En tout cas le mari est couché, il bande dur et haut. Elle se pose sur lui assise, cherche un
instant la bonne position pour se faire mettre devant. En guise d’éjaculateur précoce, son mari me
semble bien tenir le coup. Elle s’allonge sur lui, l’embrasse sur la bouche, écarte encore un peu
ses fesses et me demande de venir sur elle, sans plus de détail.
J’arrive sur un petit trou bien ouvert. Elle doit se faire enculer pratiquement tout les jours. Je
prend un grand plaisir quand je suis en elle, surtouts quand je croise la bite de son mari. Je ne
pensais jamais prendre mon plaisir avec une bite étrangère, et pourtant je crois que c’est justement
le sel de la double pénétration pour les hommes. Je sens le moment où elle jouit, et bizarre la
jouissance de la bite du mari. Je ne peux me retenir: j’éjacule à mon tour.
Je sors du cul en même temps qu’elle se dégage de la bite de son époux. Elle va s’assoir sur la
bouche du mari qui reçoit son sperme et une bonne partie du mien. Elle en veut plus: je dois lui
donner ma queue, même débandée: elle veut lécher tout le sperme que j’y ai encore.
Le plus fort est qu’elle arrive à me faire bander encore; Cette fois je me sers de sa bouche comme
de son sexe: je la baise. Je vais tout au fond de sa bouche, je continue malgré la nausée vite
oublié que je donne. J’ai encore une bonne réserve ce semence.
- Suce moi, salope pendant que ton mari te suce. N’oublie pas de la sucer aussi devant moi.
Je jouis dans sa gorge, enfin je crois. Elle avale tout, se retourne pour sucer son mari.
Je m’en vais un peu furieux de la fable et pourtant dès le lendemain nous nous parlons normalement:
en passant devant chez elle, elle m’invite à entrer cette fois!
- Tu entres, si tu veux, on pourrai baiser un peu tous les deux, cette fois mon mari n’y sera pas.
C’est-ce que nous avons fait.
ne nous connaissons que de vue, même si nous échangeons des bonjours avec sourires. Elle s’extasie
sur le landau d’un bébé. Je l’accuse de vouloir l’enlever. Elle en sourit: nous sortons ensemble en
bavardant. Je ne sais trop pourquoi, aujourd’hui nous sommes devenus très proches d’un seul coup. Je
peux la détailler de très près. Elle commence à me plaire physiquement.
J’ai envie d’elle, de ses seins qui semblent fait pour mes mains et du reste de son corps. Elle bute
sur la bordure de trottoir, je la retiens par un bras que je ne lâche pas, même quand elle est
relevée. Elle me regarde en me remerciant, sans rien dire sur mon bras. Nous arrivons devant chez
elle: nous aurions du nous réparer. Elle me fait entrer chez elle.
Elle est libre jusqu’eau soir quand son mari rentrera du travail.
Assis ensemble sur le divan nous parlons de nos vie: la sienne est comme le de la plus part des
femmes, aimées de leur époux. Sauf que.
- J’ai un petit problème: nous faisons l’amour et je n’en suis pas satisfaite
- Pourquoi ?
- Il est un éjaculateur précoce; je ne peux jamais prendre mon plaisir complètement.
- Je suppose que vous compensez
- Non justement je ne peux pas.
- C’est pourtant simple.
- Pour vous les hommes sans doute, mais pour moi, une femme ? Je suis une femme élevée dans
certaines valeurs je ne peux pas, moralement me satisfaire seule.
- Vous restez insatisfaite continuellement.
- C’est idiot, je n’arrive pas à me donner du plaisir.
- Si ça vous arrange, je peux vous secourir, même si ce n’est pas plus moral que ce que vous refusez
de faire.
- Pour moi, je préfère tromper mon mari. Après tout je ne serai pas la première.
Quant termes choisis cette demande de la baiser est faite. Bien sur que je qui d’accord pour lui
faire l’amour. Je me demande même si la fable du pari est crédible, comme son histoire de ne pas
pouvoir se masturber sous prétexte de moralité.
En tout cas, elle se blottit contre moi, recherche mes lèvres. Je l’embrasse sans hésiter. Après
tout c’est elle qui me l’a demandé. Ma langue pénètre sa bouche. La sienne fait plus que subir, elle
commence à venir dans ma bouche sans complexe. Avant que je puisse lui caresser les seins, sa main
est sur ma braguette à la recherche, déjà, de ma queue. Je me laisse faire: une main de femme à cet
endroit, je la respecte toujours. Quand elle sort ma bite, elle me branle un peu, juste ce qu’il
faut pour que je bande bien.
Elle se penche pour me prendre dans la bouche. Ni sa langue ni ses lèvres se gênent pour me faire un
bien fou. C’est une championne de la fellation. Elle tient ma bite vers la base avec une main qui
l’entoure et sa bouche avale le reste.
Je ne peux rien lui faire. Nous sommes habillés, moi un peu négligé avec ma bite dehors. Je ne vois
d’elle que son dos habillé.
Enfin, ou dommage, elle arrête pour revenir m’embrasser.
Je dois avoir une certaine allure avec ma pine dehors, bien raide. Je peux quand même lui passer une
main sur son t-shirt pour aller chiper un sein.
Enfin je peux la toucher. Je fais plus que la toucher, je commence à la déshabiller. Elle se lève
même quand je retire son jean et sa culotte. Je caresse tout ce qui est à ma portée. Je passe mes
mains entre ses jambes. Bien sur je monte vers sa chatte. Elle est trempée totalement. Je vais la
caresser là où ça lui fera du bien; le clitoris, l’orifice de la vulve et l’anus. Elle ne refuse
rien. Au contraire, elle m’entraine dans des endroits inédits pour moi, entre autre son périnée où
je ne vais jamais. Sous des airs de sainte nitouche, elle en connait un tas de bricole. Elle
confirme sans le dire que son mari n’est pas ce qu’elle dit. Elle avait simplement envie de tirer un
coup.
Je la fais jouir comme de bien entendu.
Je suis nu à mon tour: elle prend à nouveau ma queue dans la bouche. Nous faisons un 69 quand elle
vient sur moi. Elle fait preuve d’une grande maîtrise. Elle lèche ma pine sur toute sa longueur,
sans même me toucher le gland. Je lui suce le clitoris. Elle en jouit, elle me demande d’aller sur
son anus. J’entre ma langue dans son cul. Elle jouit encore.
J’ai beau lui demander de me faire jouir, elle refuse,
- Pas encore, attends un peu.
- Je t’ai faites jouir je ne sais pas combien de fois et tu refuse un orgasme.
- Attend 5 minutes, pas plus.
Elle reprend ses caresses autour de ma queue sans aboutir. Les fameuse 5 minutes doivent être
passées quand le mari entre sans bruit.
Je comprends qu’elle veuille baiser en trio, elle aurai mieux fait de m’en avertir. Son mari est
vite nus. Il embrase sa femme tendrement sur la bouche:
- Tu as réussit à avoir un autre homme ?
- Tu vois, et en plus il est bien monté. Nous allons nous régaler.
Je commence à comprendre, depuis le début elle joue un comédie parfaitement bien orchestrée.
La mari me demande de venir sur sa femme quand il sera couché sur le dos et qu’il la baisera. Je
l’enculerai. Une double pénétration, rien de meilleur pour madame, pour moi, je ne sais pas.
En tout cas le mari est couché, il bande dur et haut. Elle se pose sur lui assise, cherche un
instant la bonne position pour se faire mettre devant. En guise d’éjaculateur précoce, son mari me
semble bien tenir le coup. Elle s’allonge sur lui, l’embrasse sur la bouche, écarte encore un peu
ses fesses et me demande de venir sur elle, sans plus de détail.
J’arrive sur un petit trou bien ouvert. Elle doit se faire enculer pratiquement tout les jours. Je
prend un grand plaisir quand je suis en elle, surtouts quand je croise la bite de son mari. Je ne
pensais jamais prendre mon plaisir avec une bite étrangère, et pourtant je crois que c’est justement
le sel de la double pénétration pour les hommes. Je sens le moment où elle jouit, et bizarre la
jouissance de la bite du mari. Je ne peux me retenir: j’éjacule à mon tour.
Je sors du cul en même temps qu’elle se dégage de la bite de son époux. Elle va s’assoir sur la
bouche du mari qui reçoit son sperme et une bonne partie du mien. Elle en veut plus: je dois lui
donner ma queue, même débandée: elle veut lécher tout le sperme que j’y ai encore.
Le plus fort est qu’elle arrive à me faire bander encore; Cette fois je me sers de sa bouche comme
de son sexe: je la baise. Je vais tout au fond de sa bouche, je continue malgré la nausée vite
oublié que je donne. J’ai encore une bonne réserve ce semence.
- Suce moi, salope pendant que ton mari te suce. N’oublie pas de la sucer aussi devant moi.
Je jouis dans sa gorge, enfin je crois. Elle avale tout, se retourne pour sucer son mari.
Je m’en vais un peu furieux de la fable et pourtant dès le lendemain nous nous parlons normalement:
en passant devant chez elle, elle m’invite à entrer cette fois!
- Tu entres, si tu veux, on pourrai baiser un peu tous les deux, cette fois mon mari n’y sera pas.
C’est-ce que nous avons fait.
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Tout à fait avec les allures maison de Fabriss. Seuke une belle cochonne est capable de créer une telle situation et de la raconter avec verve. H