Elle épisode 1
Récit érotique écrit par Lui [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle épisode 1
Le lourd paquebot se décolle lentement du quai, accompagné par les adieux des badauds massés sur le quai et les cris des goélands qui tournent au dessus des eaux du vieux-port. La manoeuvre de sortie est commencée, sous les yeux de la vedette-pilote, chargée de guider l’énorme navire vers la haute mer.
Je regarde la terre s’éloigner sans regret. Je ne laisse rien derrière moi. L’ensemble de mes possessions est là, dans ce gros sac à dos posé à côté de moi, sur la coursive du pont supérieur. Les yeux dans le vague, je profite sur mon visage du vent marin qui se lève, joue à faire s’envoler les chapeaux et se soulever les jupes de quelques voyageuses hilares.
Mon esprit est ailleurs. Et quels que soient les chemins pris par mes pensées, je reviens toujours à Elle. Ses yeux rieurs se dessinent au dessus des vagues, sa silhouette apparaît au détour d’un groupe de nuages, pour finir par s’évaporer dans l’azur au gré du vent... Elle était à quelques mètres de moi, ce matin, dans l’interminable file d’attente pour l’embarquement. A ses pieds, un petit baluchon, certainement quelques affaires de toilette et papiers importants. Un contraste saisissant au milieu de tous ces touristes poussant d’impressionnants chariots chargés de lourdes valises, de sacs de toutes dimensions, de caisses d’animaux ou de cages à oiseaux... Et au milieu de tout ce monde, Elle, avec son petit sac. Dès que je l’ai vue, j’ai ressenti une onde me parcourir lentement de la tête aux pieds, j’ai dégluti avec difficulté et essuyé la sueur qui coulait sur mes tempes. La chaleur moite de ce hall d’embarquement n’était pourtant pas la principale cause de l’état bizarre dans lequel je me trouvais. Elle se tenait de profil et je la détaillais discrètement. Des cheveux auburn qu’Elle avait noués en une queue de cheval désordonnée s’échappaient quelques mèches épaisses qui tombaient en désordre sur les côtés de son visage. La ligne de son profil dessinait un ensemble doux et harmonieux, un visage presque adolescent, mais qui dégageait pourtant la réelle sensualité de celles qui ont définitivement quitté le monde de l’enfance.
Elle était vêtue d’une large chemise de toile blanche. Un modèle pour homme qu’elle n’avait que partiellement boutonnée, et dont l’ouverture laissait deviner une poitrine ferme et généreuse, moulée dans un petit haut noir. Elle portait enfin un large short beige, qui laissait admirer de belles jambes fines et musclées, dorées par le soleil. A ses pieds, Elle avait déposé ses fines sandales de cuir, pour chercher à profiter un peu de la fraîcheur du dallage. Le hall d’embarquement s’estompait, tout devenait flou et cotonneux autour d’Elle, sublime apparition d’une netteté irréelle. Le sang battait mes tempes, la sueur coulait dans mon dos, je sentais ma respiration se saccader. Tous les symptômes d’une épouvantable chaleur, en fin de compte. Elle m’a vu, enfin. Elle m’a envoyé un petit regard entendu, un air de connivence sur la chaleur qui nous rendait tous moites. Elle n’avait pourtant pas l’air d’en souffrir exagérément. Ses jambes étaient luisantes de moiteur, et la sueur qui coulait sur son visage y accrochait les reflets de la lumière extérieure. Mais son attitude n’était pas celle de tous ces touristes assommés de chaleur, Elle était droite, l’oeil vif, la poitrine fière et conquérante.
Nous étions seuls au monde, au milieu de la foule en attente d’embarquement, nous faisant maintenant, fortuitement, presque face. Elle me lançait de temps à autres un regard, que je faisais semblant de ne pas remarquer. Une tension sensuelle m’avait envahi, une envie s’insinuait en moi, me prenant sourdement le bas ventre. Clairement, mon sexe commençait doucement à se gonfler, cherchant avec peine à changer de position dans des sous-vêtements un peu trop étroits à son goût. Elle m’a regardé alors plus directement, et peut-être pour ajouter encore un peu à mon trouble, s’est lentement passé la langue sur la lèvre, y essuyant quelques gouttes de sueur. Me faisais-je des idées, ou cette fille me faisait un coup de charme ? J’en étais là de mes interrogations quand Elle a levé le doute en passant sa main sur son sexe, une caresse discrète et furtive, ses yeux dans mes yeux. Son regard clair m’a transpercé comme une volée de flèches. Mon sexe engoncé s’est subitement détendu, d’un coup vif, trouvant une position nettement plus à son goût. Je me suis cambré un instant et j’ai senti mon gland se découvrir et glisser sur le tissu de mon boxer.
Un énorme brouhaha m’a ramené à la réalité, les gens se mettaient en mouvement, on avait dû ouvrir des barrières tout devant. Je me suis fait un peu bousculer, me suis baissé pour ramasser mon sac. En me redressant je l’ai cherchée du regard, par dessus la foule. Elle avait disparu...
A suivre
Je regarde la terre s’éloigner sans regret. Je ne laisse rien derrière moi. L’ensemble de mes possessions est là, dans ce gros sac à dos posé à côté de moi, sur la coursive du pont supérieur. Les yeux dans le vague, je profite sur mon visage du vent marin qui se lève, joue à faire s’envoler les chapeaux et se soulever les jupes de quelques voyageuses hilares.
Mon esprit est ailleurs. Et quels que soient les chemins pris par mes pensées, je reviens toujours à Elle. Ses yeux rieurs se dessinent au dessus des vagues, sa silhouette apparaît au détour d’un groupe de nuages, pour finir par s’évaporer dans l’azur au gré du vent... Elle était à quelques mètres de moi, ce matin, dans l’interminable file d’attente pour l’embarquement. A ses pieds, un petit baluchon, certainement quelques affaires de toilette et papiers importants. Un contraste saisissant au milieu de tous ces touristes poussant d’impressionnants chariots chargés de lourdes valises, de sacs de toutes dimensions, de caisses d’animaux ou de cages à oiseaux... Et au milieu de tout ce monde, Elle, avec son petit sac. Dès que je l’ai vue, j’ai ressenti une onde me parcourir lentement de la tête aux pieds, j’ai dégluti avec difficulté et essuyé la sueur qui coulait sur mes tempes. La chaleur moite de ce hall d’embarquement n’était pourtant pas la principale cause de l’état bizarre dans lequel je me trouvais. Elle se tenait de profil et je la détaillais discrètement. Des cheveux auburn qu’Elle avait noués en une queue de cheval désordonnée s’échappaient quelques mèches épaisses qui tombaient en désordre sur les côtés de son visage. La ligne de son profil dessinait un ensemble doux et harmonieux, un visage presque adolescent, mais qui dégageait pourtant la réelle sensualité de celles qui ont définitivement quitté le monde de l’enfance.
Elle était vêtue d’une large chemise de toile blanche. Un modèle pour homme qu’elle n’avait que partiellement boutonnée, et dont l’ouverture laissait deviner une poitrine ferme et généreuse, moulée dans un petit haut noir. Elle portait enfin un large short beige, qui laissait admirer de belles jambes fines et musclées, dorées par le soleil. A ses pieds, Elle avait déposé ses fines sandales de cuir, pour chercher à profiter un peu de la fraîcheur du dallage. Le hall d’embarquement s’estompait, tout devenait flou et cotonneux autour d’Elle, sublime apparition d’une netteté irréelle. Le sang battait mes tempes, la sueur coulait dans mon dos, je sentais ma respiration se saccader. Tous les symptômes d’une épouvantable chaleur, en fin de compte. Elle m’a vu, enfin. Elle m’a envoyé un petit regard entendu, un air de connivence sur la chaleur qui nous rendait tous moites. Elle n’avait pourtant pas l’air d’en souffrir exagérément. Ses jambes étaient luisantes de moiteur, et la sueur qui coulait sur son visage y accrochait les reflets de la lumière extérieure. Mais son attitude n’était pas celle de tous ces touristes assommés de chaleur, Elle était droite, l’oeil vif, la poitrine fière et conquérante.
Nous étions seuls au monde, au milieu de la foule en attente d’embarquement, nous faisant maintenant, fortuitement, presque face. Elle me lançait de temps à autres un regard, que je faisais semblant de ne pas remarquer. Une tension sensuelle m’avait envahi, une envie s’insinuait en moi, me prenant sourdement le bas ventre. Clairement, mon sexe commençait doucement à se gonfler, cherchant avec peine à changer de position dans des sous-vêtements un peu trop étroits à son goût. Elle m’a regardé alors plus directement, et peut-être pour ajouter encore un peu à mon trouble, s’est lentement passé la langue sur la lèvre, y essuyant quelques gouttes de sueur. Me faisais-je des idées, ou cette fille me faisait un coup de charme ? J’en étais là de mes interrogations quand Elle a levé le doute en passant sa main sur son sexe, une caresse discrète et furtive, ses yeux dans mes yeux. Son regard clair m’a transpercé comme une volée de flèches. Mon sexe engoncé s’est subitement détendu, d’un coup vif, trouvant une position nettement plus à son goût. Je me suis cambré un instant et j’ai senti mon gland se découvrir et glisser sur le tissu de mon boxer.
Un énorme brouhaha m’a ramené à la réalité, les gens se mettaient en mouvement, on avait dû ouvrir des barrières tout devant. Je me suis fait un peu bousculer, me suis baissé pour ramasser mon sac. En me redressant je l’ai cherchée du regard, par dessus la foule. Elle avait disparu...
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