Elle est bonne ma belle mère - histoire érotique

Ma belle mère m’excite je ne le nie pas. Cette belle bourgeoise de 65 ans paraissait
coincée mais les derniers événements m’ont prouvé le contraire. Elle aime le sexe,
c’est confirmé. Ma relation avec sa fille est au beau fixe, nous baisons dès que nous
pouvons, ce qui me va très bien. Mais je suis toujours à l’affut d’une visite chez mes
beaux parents. C’était un week end de 3 jours du mois de mai, mes beaux parents nous
ont invités à venir passer le week end dans leur belle maison à la campagne. J’avais
beaucoup de boulot mais on a tout de même accepté, j’ai apporté mon ordi pour
travailler. Il faisait chaud, Françoise portait une robe légère avec un beau
décolleté, ils nous ont proposé de déjeuner dehors. J’ai aidé ma belle mère en cuisine
pendant que ma copine et son père mettait la table dans le jardin. On discutait sa
robe m’excitait terriblement, je ne pouvais pas m’empêcher de mater sa poitrine moulée
par un soutien gorge noir en dentelle. De plus lors d’un moment ou elle était a contre
jour, j’ai vu ses jambes et son entre jambe comme si elle ne portait rien, j’ai même
supposé qu’elle n’avait pas de culotte. Après le repas, ils nous ont dit qu’il y avait
une brocante à coté de chez eux et que ce serait sympa d’y aller. J’ai dit que je
préférais rester bosser avec une belle dose d’arrière pensée. Une fois seul dans la
maison je suis allé fouiller dans sa commode pour voir si elle avait acheté des
nouveaux dessous. Elle a une sacrée collection toujours aussi bien rangée, mais aucune
nouveauté. J’ai reçu un sms de Françoise qui disait « amuse toi bien », je n’ai
compris ce message que lorsque je suis allé dans la buanderie. J’ai ouvert le panier
de linge sale et là surprise il était vide excepté 3 culottes et un soutien gorge.
J’ai tout pris et je suis allé dans ma chambre, j’ai senti ses culottes. L’odeur de sa
chatte était forte ça m’a rendu dingue je bandais grave, j’ai sorti ma queue toute
dure, j’ai enroulé son soutien gorge autour et je me suis branlé. Ses culottes étaient
pleine de traces, elle avait du se masturber avec. En les léchant le gout m’a fait
penser à son minou et très vite j’ai joui abondement sur son soutien gorge, c’était
trop bon. J’ai tout remis en place en prenant soin de laisser le soutien gorge plein
de sperme sur le dessus. Ils sont rentrés en fin de journée, ma belle mère m’a lancé
de nombreux regards jusqu’au diner. On a diné et on a bien bu, tout le monde rigolait,
l’alcool faisait son effet. Son décolleté me chauffait surtout qu’elle faisait tout
pour m’en faire profiter. On a débarrassé et à un moment dans la cuisine elle m’a
demandé si son cadeau m’avait plu. J’ai souri j’ai touché ses fesses, elle n’avait
effectivement pas de culotte sous sa robe et j’ai dit j’ai adoré. On s’est installé au
salon pour boire un café avec digestif. J’étais face à Françoise, elle jouait avec sa
robe, je pouvais voir ses cuisses et je n’ai pas manqué le moment ou elle a défait un
bouton de sa robe. Maintenant ses petits seins bien tenus par son soutien gorge
étaient bien visibles. Ma copine et son père ont dit qu’ils allaient se coucher pour
être en forme pour monter à cheval le lendemain matin. J’ai proposé à ma belle mère de
boire un dernier verre avant de dormir. Elle a accepté. J’avais une vision magnifique
sur ses cuisses et ça me faisait bander, on a discuté un moment et j’ai pas pu
m’empêcher de lui dire que je m’étais masturber en léchant ses culottes qu’elle
m’avait offertes. Elle a rigolé et m’a dit bravo j’adore que tu me dises ça c’était
fait pour. Elle s’est levée et m’a dit allez au lit maintenant, je suis allé me
coucher.
Le lendemain matin, Françoise est entrée dans ma chambre en disant, debout il est 9 h.
Ils viennent de partir au cheval et si tu veux petit dej c’est maintenant. Elle
portait une tunique en coton très moulante. Elle n’avait pas de soutien gorge et ses
tétons pointaient à travers le tissu. Elle a ouvert la fenêtre et les volets. Quand
elle s’est penchée en avant pour les bloquer, sa tunique est remontée le long de ses
jambes. Je voyais toutes ses cuisses et presque ses fesses. j’ai remarqué qu’elle
n’avait pas de culotte. Son cul était moulé par le coton, et la raie de ses fesses
était très visible. Elle était super excitante dans cette position. Elle s’est
retournée et m’a dit allez debout. Elle est sortie, son cul bougeait à chaque pas,
elle m’excitait. Le petit dej était dressé dans le jardin. J’ai essayé d’ouvrir le
parasol sans y parvenir. Elle m’a dit laisse moi faire il y a une technique. Je me
suis assis et j’ai profité du spectacle. Ses mouvements m’ont offert une magnifique
vision sur ses cuisses et sur son cul. On a mangé tranquillement c’était très sympa.
J’étais chaud et je me suis lancé. J’ai dit elle est mignonne votre tunique en plus
elle vous va bien. Vous avez le chic pour toujours vous mettre en valeur même au petit
déjeuner. Elle s’est levée en s’ajustant et a dit tu es gentil mais elle est toute
simple, c’est surement parce que je suis toute nue en dessous que tu penses ça. C’est
vrai que le coton si près du corps ne cache pas grand chose. Je suis contente que tu
apprécies. J’ai ajouté j’adore voir vos tétons pointer et je suis content d’apprendre
que vous n’avez pas de culotte. J’ai posé ma main sur sa cuisse douce et je suis
remonté entre ses jambes. J’ai senti sa toison sous mes doigts. Elle m’a repoussé,
arrête voyons on peut nous voir, ce n’est pas le bon endroit pour faire des folies, je
vais allé m’habiller. J’ai tout débarrassé seul. Françoise m’avait excité à souhait.
Je suis allé discrètement vers sa chambre, j’ai entendu le bruit de la douche. Je me
suis glissé dans sa chambre, la porte de la salle de bain était entre ouverte. Je l’ai
vu toute nue de dos sous la douche en train de se laver. Elle ne m’a pas entendu
m’approcher. En se rinçant elle s’est caressée les seins et les fesses délicatement.
Ca m’a fait bander de voir ma belle mère se toucher devant moi à son insu. Elle a
arrêté l’eau, s’est assise sur le bord de la baignoire, elle a glissé sa main entre
ses cuisses écartées. Elle se masturbait en poussant de vrais gémissements de plaisir.
J’ai sorti ma bite et je me suis branlé c’était divin. Elle a joui assez vite, alors
je me suis sauvé illico.
Je suis allé prendre une douche pour me calmer. Ca n’a pas vraiment fonctionner, ce
que je venais de voir m’avait trop chauffer. J’ai fini par sortir de ma chambre et
j’ai retrouvé Françoise qui s’affairait déjà en cuisine. Elle portait une robe blanche
avec des boutons sur le devant, j’adore, ses dessous blancs se voyaient très peu mais
suffisamment pour la rendre désirable. Elle m’a annoncé que les cavaliers avaient
téléphoné pour dire qu’ils rentraient dans 2 heures et qu’elle voulait bien un coup de
main pour le repas. Elle nettoyait une salade dans l’évier, je voyais ses fesses
bouger, ça m’a chauffé. Je me suis collé à elle et j’ai passé mes mains sur sa
poitrine. Je sentais ses seins dans mes mains. Elle m’a dit qu’est ce que tu fais,
c’est pas comme ça qu’on va préparer le déjeuner, calme toi. J’ai dit j’ai trop envie
de vous toucher, de vous donner du plaisir. J’ai défait les boutons de sa robe, je
pelotais les seins de ma belle mère moulés dans un soutien gorge blanc magnifique.
Elle se laissait faire en poussant des petits gémissements. Elle m’a dit c’est pas
bien de faire ça ici mais je t’avoue que j’aime ça. J’ai sorti ses seins de son
soutien gorge, ses tétons étaient tout durs. Je sentais son cul se coller à mon sexe
qui durcissait, je la pelotais sans retenue, je prenais ses tétons entre mes doigts,
elle adorait ça. J’ai glissé mes mains sous sa robe et j’ai caressé ses fesses, à un
moment elle m’a dit touche moi le minou, je veux sentir des doigts à l’intérieur de
moi. Elle s’est retournée, elle a arrachée sa robe, défait doucement son soutien gorge
et s’est caressée les seins. Elle était en culotte les seins à l’air. Elle s’est
allongée sur la table de la cuisine en écartant les jambes. Vas y lèche moi. Ce que je
fis. C’est trop bon, tu me fais du bien, j’adore ça, approche ta belle bite de ma
bouche, j’ai envie de sucer ta queue pendant que tu me lèches. On s’est dévoré pendant
un bon moment, puis je l’ai baissée à même la table pour un maximum de plaisir
partagé.