Elle, lui, le gode
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Elle, lui, le gode
A la fin du séminaire de formation, je retourne dans ma chambre pour la dernière nuit. Sophie, la voisine de stage vient me voir juste avant la tombée de la nuit. Je suis un peu surprise, enchantée de sa visite. Dès le début, je l'ai trouvé belle, sexy, même si je suis une pauvre attardée hétéro. J'allais même contenter mes désirs quand, sur le point de me mettre toute nue. Si elle était venu un peu plus tard, j'aurais été totalement nue.
Elle regarde doucement, ses yeux lancent des regards envieux. Je crains la suite. Pourtant quand ses lèvres sont sur le miennes j'ouvre la bouche pour accueillir sa langue. Une main vient sur mes seins. Je les sens gonfler un peu, puis une décharge dans le bas ventre montre que j'ai envie qu'elle aille plus loin. Je ne fais pas un mouvement vers elle ; qu'elle me caresse longuement. J'ai envie d'elle sans le dire.
Sophie écarte mes jambes pour passer une main. La laisser faire signifie que je suis ouverte à une suite encore inconnue pour moi.
Mon mari me baise tous les jours, il sait me faire jouir avec sa bouche, sa queue et ses doigts. Comment Sophie va-t-elle me faire jouir, en me branlant je pense. Mes idées tournent vite : je la vois déjà ses mains sur la chatte caresser le bouton. J'en mouille d'avance
Elle le sens bien quand enfin ses doigts caressent doucement, presque aussi bien que moi. Je me donne totalement à ce nouveau plaisir d'une femme qui me masturbe.
Les jambes ouvertes, les mains sur sa tête comme je le fais quand lui me suce. Je n'ai pas à la guider, d'instinct elle sait où poser sa langue. Je me crispe à peine quand je sens l'orgasme arriver. J'attends qu'elle me laisse un peu, non elle continue. Sa langue est juste à l'entrée du vagin. Elle s'enfonce un peu pour l'oublier pour aller plus loin. Enfin elle se pose sur l'anus. Si elle savait combien j'ai envie d'une sodomie !
Elle entre à peine sa langue que je pars encore dans un bel orgasme. Je ne fais rien quand elle se met sur moi, qu'elle présente son sexe à ma bouche. J'ai son odeur intime sur ma narines, son clitoris juste à quelques centimètres de ma bouche et ma langue. Pendant qu'elle me lèche encore, cette fois en y ajoutant des doigts, je m'aventure vers sa moule. J'ai envie de lui bouffer tout son sexe. Ma langue et mes lèvres sont à sa disposition. Il est doux son bouton. Je met aussi un doigt dans l'anus qui s'ouvre. Je la fais enfin jouir en la pistonnant. Je vois un sexe de femme qui jouit. Rien que de penser que j'en fais autant, je sens une autre jouissance arriver.
Notre première et dernière nuit se termine encore avec sa bouche sur ma chatte. Je le masturbe comme si c'était moi. Un dernier baiser, nous nous séparons, elle avec regret, moi avec l'envie de me faire mettre par mon époux.
En revenant en voiture, je suis obligée de m'arrêter dans une station service pour un besoin pressant. Aux toilettes je peux enlever mon string. Le cul nu je me branle. Je commence par le plus urgent, le clitoris. J'ai les jambes bien ouvertes sur la cuvette. Mon dos appuyé sur la cloison, je peux caresser lentement, longuement le grain de riz que je sens bien sous mes deux doigts. Je respire un peu fort. N'importe qui pourrait entendre. Et alors, je ne connais personne. Mon orgasme est fort. Je continue la caresse avant de changer d'endroit. Ma main passe bien en bas, sur l'anus. Que j'aime me branler cet endroit secret. En caressant le tour je me sens revivre de plaisir. J'en jouis encore. Je suis une salope d'aimer ainsi le cul. Je reste ainsi un instant avant d'entrer deux doigts dans l'anus. Je m'ouvre à ma caresse.
Je pense à la prochaine pénétration que fera mon époux, portant il ne veut pas m'enculer. Mes doigts remplacent sa pine. Je m'encule comme le ferai une chienne en chaleur. Enfin mon orgasme me suffit.
Tout le long du parcours j'ai la tête pleine de désir. En traversant une petit ville je vois une vitrine d'un sexe shop. Je pile pour acheter un gode que je choisis soigneusement sous les yeux du vendeur excité de me voir ainsi. Tant pis pour lui, je pars avec mon achat, en sortant un petit chemin dans la nature fait mon bonheur.
J'ouvre un peu les jambes, après avoir retirer le string, le gode trouve vite sa place, après que je l'ai sucé pour le mouiller un peu. J'écarte les lèvres avec les doigts gauches. La tête penchée en arrière je me baise lentement. Je bénis l'inventeur lointain de cet objet. Le plaisir monte de plus en plus, j'arrête souvent : finalement l'accélère la cadence. Ma main droite doit battre des records de vitesse. Je préfère le gode pour jouir, en le sentant dans le ventre pendant que je pars encore une fois. Une dernière fois je le mets dans l'anus qui attend son tour.
Mon mari enfin m'embrasse. Nos langues se connaissent tellement que nous n'y prêtons plus gare. Par contre nos mains qui connaissent bien le corps de l'autre ne sont pas avares de caresses. Si j'aime caresser son dos, je ne sais pourquoi, j'aime surtout sentir sa queue grossir dans ma main.
Avant qu'il ne proteste j'ai sa bite dans la bouche. Je suis gourmande de son jus. Mes lèvres entourent tout ce bout de chair, ma langue est enroulée autour de son gland. J'entends les petits gémissements en haut dans sa bouche. Enfin il jaillit en longs jets prolongés dans ma bouche. En le nettoyant bien avec la langue je le fais encore bander. J'aime bien le sentir gonfler dans la bouche au début et juste devant mes yeux ensuite.
Nous sommes corps à corps, moi bien serrée contre lui en sentant sa queue contre le ventre. Elle est grosse, assez pour contenter mon con. Je le fais coucher sur le dos : nous aimons quand je prends de genre d'initiatives. Avant le me mettre sur sa queue, je me caresse devant lui pour prendre un plaisir d'avance. Je sens ma chatte se fermer puis s'ouvrir en cadence pendant mon orgasme.
J'ai envie de lui en moi. Je fais coulisser son sexe dans le mien. Il accompagne les mouvements. Un orgasme plus loin je me décide à changer d'endroit, même s'il ne le désire pas. Je me relève juste pour qu'il ait sa queue sur le cul. Je sens ce soulagement particulier quand il m'encule enfin. Il reste étonné de ce que je lui fait faire. Son regard devient vitreux au moment de son orgasme quand il me donne encore son sperme. Je sens que c'est gagné, il ne va pas s'arrêter à ce coup d'essai. Mon cul est trop ouvert et demandeur d'autres baises qu'il ne peut plus refuser.
La preuve immédiate quand de lui même il me masturbe, bien en plus, le petit trou. Il ne bande presque plus quand je le prend en bouche. Mes lèvres ont vite fait de le faire durcir. Pour le faire jouir, j'arrête la fellation pour la masturbation : j'ai envie qu'il jute sur moi. Quand son sperme arrive, qu'il ne bande plus, je saisis le gode presque neuf pour me le prendre entre les cuisses, devant lui, devant son visage. Le but recherche arrive quand il bande encore.
Cette fois je garde le faux sexe dans la chatte, je lui donne encore l'anus. La surprise arrive quand il saisit le gode pour le manœuvrer. D'où l'orgasme de l'année quand je jouis en dévastant tout mon corps.
Elle regarde doucement, ses yeux lancent des regards envieux. Je crains la suite. Pourtant quand ses lèvres sont sur le miennes j'ouvre la bouche pour accueillir sa langue. Une main vient sur mes seins. Je les sens gonfler un peu, puis une décharge dans le bas ventre montre que j'ai envie qu'elle aille plus loin. Je ne fais pas un mouvement vers elle ; qu'elle me caresse longuement. J'ai envie d'elle sans le dire.
Sophie écarte mes jambes pour passer une main. La laisser faire signifie que je suis ouverte à une suite encore inconnue pour moi.
Mon mari me baise tous les jours, il sait me faire jouir avec sa bouche, sa queue et ses doigts. Comment Sophie va-t-elle me faire jouir, en me branlant je pense. Mes idées tournent vite : je la vois déjà ses mains sur la chatte caresser le bouton. J'en mouille d'avance
Elle le sens bien quand enfin ses doigts caressent doucement, presque aussi bien que moi. Je me donne totalement à ce nouveau plaisir d'une femme qui me masturbe.
Les jambes ouvertes, les mains sur sa tête comme je le fais quand lui me suce. Je n'ai pas à la guider, d'instinct elle sait où poser sa langue. Je me crispe à peine quand je sens l'orgasme arriver. J'attends qu'elle me laisse un peu, non elle continue. Sa langue est juste à l'entrée du vagin. Elle s'enfonce un peu pour l'oublier pour aller plus loin. Enfin elle se pose sur l'anus. Si elle savait combien j'ai envie d'une sodomie !
Elle entre à peine sa langue que je pars encore dans un bel orgasme. Je ne fais rien quand elle se met sur moi, qu'elle présente son sexe à ma bouche. J'ai son odeur intime sur ma narines, son clitoris juste à quelques centimètres de ma bouche et ma langue. Pendant qu'elle me lèche encore, cette fois en y ajoutant des doigts, je m'aventure vers sa moule. J'ai envie de lui bouffer tout son sexe. Ma langue et mes lèvres sont à sa disposition. Il est doux son bouton. Je met aussi un doigt dans l'anus qui s'ouvre. Je la fais enfin jouir en la pistonnant. Je vois un sexe de femme qui jouit. Rien que de penser que j'en fais autant, je sens une autre jouissance arriver.
Notre première et dernière nuit se termine encore avec sa bouche sur ma chatte. Je le masturbe comme si c'était moi. Un dernier baiser, nous nous séparons, elle avec regret, moi avec l'envie de me faire mettre par mon époux.
En revenant en voiture, je suis obligée de m'arrêter dans une station service pour un besoin pressant. Aux toilettes je peux enlever mon string. Le cul nu je me branle. Je commence par le plus urgent, le clitoris. J'ai les jambes bien ouvertes sur la cuvette. Mon dos appuyé sur la cloison, je peux caresser lentement, longuement le grain de riz que je sens bien sous mes deux doigts. Je respire un peu fort. N'importe qui pourrait entendre. Et alors, je ne connais personne. Mon orgasme est fort. Je continue la caresse avant de changer d'endroit. Ma main passe bien en bas, sur l'anus. Que j'aime me branler cet endroit secret. En caressant le tour je me sens revivre de plaisir. J'en jouis encore. Je suis une salope d'aimer ainsi le cul. Je reste ainsi un instant avant d'entrer deux doigts dans l'anus. Je m'ouvre à ma caresse.
Je pense à la prochaine pénétration que fera mon époux, portant il ne veut pas m'enculer. Mes doigts remplacent sa pine. Je m'encule comme le ferai une chienne en chaleur. Enfin mon orgasme me suffit.
Tout le long du parcours j'ai la tête pleine de désir. En traversant une petit ville je vois une vitrine d'un sexe shop. Je pile pour acheter un gode que je choisis soigneusement sous les yeux du vendeur excité de me voir ainsi. Tant pis pour lui, je pars avec mon achat, en sortant un petit chemin dans la nature fait mon bonheur.
J'ouvre un peu les jambes, après avoir retirer le string, le gode trouve vite sa place, après que je l'ai sucé pour le mouiller un peu. J'écarte les lèvres avec les doigts gauches. La tête penchée en arrière je me baise lentement. Je bénis l'inventeur lointain de cet objet. Le plaisir monte de plus en plus, j'arrête souvent : finalement l'accélère la cadence. Ma main droite doit battre des records de vitesse. Je préfère le gode pour jouir, en le sentant dans le ventre pendant que je pars encore une fois. Une dernière fois je le mets dans l'anus qui attend son tour.
Mon mari enfin m'embrasse. Nos langues se connaissent tellement que nous n'y prêtons plus gare. Par contre nos mains qui connaissent bien le corps de l'autre ne sont pas avares de caresses. Si j'aime caresser son dos, je ne sais pourquoi, j'aime surtout sentir sa queue grossir dans ma main.
Avant qu'il ne proteste j'ai sa bite dans la bouche. Je suis gourmande de son jus. Mes lèvres entourent tout ce bout de chair, ma langue est enroulée autour de son gland. J'entends les petits gémissements en haut dans sa bouche. Enfin il jaillit en longs jets prolongés dans ma bouche. En le nettoyant bien avec la langue je le fais encore bander. J'aime bien le sentir gonfler dans la bouche au début et juste devant mes yeux ensuite.
Nous sommes corps à corps, moi bien serrée contre lui en sentant sa queue contre le ventre. Elle est grosse, assez pour contenter mon con. Je le fais coucher sur le dos : nous aimons quand je prends de genre d'initiatives. Avant le me mettre sur sa queue, je me caresse devant lui pour prendre un plaisir d'avance. Je sens ma chatte se fermer puis s'ouvrir en cadence pendant mon orgasme.
J'ai envie de lui en moi. Je fais coulisser son sexe dans le mien. Il accompagne les mouvements. Un orgasme plus loin je me décide à changer d'endroit, même s'il ne le désire pas. Je me relève juste pour qu'il ait sa queue sur le cul. Je sens ce soulagement particulier quand il m'encule enfin. Il reste étonné de ce que je lui fait faire. Son regard devient vitreux au moment de son orgasme quand il me donne encore son sperme. Je sens que c'est gagné, il ne va pas s'arrêter à ce coup d'essai. Mon cul est trop ouvert et demandeur d'autres baises qu'il ne peut plus refuser.
La preuve immédiate quand de lui même il me masturbe, bien en plus, le petit trou. Il ne bande presque plus quand je le prend en bouche. Mes lèvres ont vite fait de le faire durcir. Pour le faire jouir, j'arrête la fellation pour la masturbation : j'ai envie qu'il jute sur moi. Quand son sperme arrive, qu'il ne bande plus, je saisis le gode presque neuf pour me le prendre entre les cuisses, devant lui, devant son visage. Le but recherche arrive quand il bande encore.
Cette fois je garde le faux sexe dans la chatte, je lui donne encore l'anus. La surprise arrive quand il saisit le gode pour le manœuvrer. D'où l'orgasme de l'année quand je jouis en dévastant tout mon corps.
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