Elle m'offre son corps
Récit érotique écrit par Maitresteeve [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2010 dans la catégorie Plus on est
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Elle m'offre son corps
Chapitre 1, le premier soir
Je suis confortablement installé au fond d’un fauteuil club. Je suis face à la cheminée, les braises crépitent doucement en cette fin du mois de mars. Il règne une chaleur douce.
Je t’observe, assise sur une chaise avec accoudoir style Louis Philippe. Tes yeux sont bandés d’une étole en soie blanche.
Je me remémore, tes paroles il y a de ça 6 mois.
« Pour tes 40 ans mon amour, je vais t’offrir le plus beau des cadeaux. Je vais t’offrir mon corps.
Tout un Week-end, durant lequel tu pourras faire de moi ce que tu veux et……avec qui tu veux. C’est bien ce que tu me réclames depuis des années n’est ce pas ?
2 jours pas un de plus et ce sera à 3 conditions :
- Premièrement, je ne veux rien voir de ce que tu me feras.
- Deuxièmement tu es le seul à pouvoir m’embrasser sur la bouche
- troisièmement, il faudra que tu sois toujours là, et si je dis le mot « danger », je veux que tout s’arrête »
6 mois, cela peut paraître interminable, mais c’est à la fois très court pour préparer les moindres détails de ce week-end que je voulais parfait.
tu es habillée d’une robe thaï de soie noire et brodée d’or. Premier de mes fantasmes. J’adore ce style de robe, très près du corps épousant parfaitement les formes, mettant en valeur la poitrine.
La robe t’arrive au dessus des genoux, échancrée jusqu’en haut de la cuisse. tu portes des bas dim up à couture couleur chair, dont on devine le liseré en haut de l’échancrure. Le vêtement est fermé sur toute sa hauteur grâce à des boutons pressions sur le côté droit. Des escarpins noirs, talons hauts, complètent la scène.
Mon épouse est grande, élancée et très fine. Poitrine ferme et fièrement dressée. Sa peau blanche est parfaite dans cette tenue, style geisha. Seule le blond roux de sa chevelure me ramène en occident.
Tu te pinces la lèvre inférieure. Ton corps est tendu à l’extrême. Tu frémies malgré la chaleur, signe d’une angoisse que tu ne peux dissimuler. Je sais d’avance que la partie n’est pas gagnée. Que tu peux décider à tout moment d’arrêter le cour de cette soirée. Dans le même temps, tu m’as offert le plus beau des cadeaux, et me décevoir, serait le signe d’un échec à ses yeux.
tu sens une présence, tout près de toi. Tu tournes la tête de droite à gauche, tous les sens en éveil, à la recherche d’un moindre bruit, du moindre mouvement.
Un ongle frôle l’avant bras. Sursaut. Ta respiration s’accélère.
« Où es tu mon amour…. ? »
« Je suis là, face à toi. Laisse toi aller. Ecoute ton corps »
Un doigt glisse sur le nylon de tes bas. Il part du talon, pour remonter le long du mollet, et fini sa course sur l’intérieur de la cuisse gauche. Même mouvement sur la jambe droite. Le geste est lent mais précis.
Les caresses continuent ainsi sur l’ensemble des parties dénudées de ton corps; parfois appuyées, souvent légères et superficielles, mais de plus en plus rapides, sans mouvement brusque.
Les muscles se relâchent. Les genoux se desserrent, puis les cuisses s’entrouvrent. Tension extrême dans la pièce. Le silence est pesant. J’allume la chaine Hifi, best of de Joe Cocker, musique de circonstance.
2 mains se posent sur tes genoux et glissent vers l’intérieur. Caresses subtiles entre le haut des bas et l’élastique du string. La couleur de ta lingerie m’apparaît enfin, satin noir, épousant à la perfection ton sexe.
Le souffle est court, proche de l’asphyxie, mais tes jambes s’écartent imperceptiblement. Une phalange glisse sur le fin tissu et parcours ta vulve sur toute sa longueur. Ce traitement fini par avoir raison de toi. Des traces d’humidité apparaissent enfin. Mon regard remonte pour finalement constater que les pointes de tes seins transpercent la robe.
Tu te laisses finalement glisser sur le siège, tes fesses posées sur le rebord de l’assise, la tête bascule en arrière. Première longue expiration de la soirée.
« Oh mon Dieu, qu’est ce que je suis en train de faire…. ». Le doute m’envahie à nouveau.
« Dit-moi que tu m’aimes mon amour ».
« Je t’aime, tu es sublime »
Tu écartes alors en grand tes cuisses. On te les saisi et les pose sur les accoudoirs. Les 2 pressions du bas de ta robe sautent d’elle-même, puis les 2 du haut, aidés de doigts agiles. Un troisième bouton pour enfin voir ta poitrine ferme et tendue, jaillir du bustier.
J’ai du mal à contenir mon excitation devant ce magnifique tableau. Je glisse une main dans mon boxer et me masturbe doucement.
Des lèvres se posent enfin sur l’intérieur de tes cuisses. L’index passe sous l’élastique du string, écarte le fin tissu, et glisse sur le clitoris luisant. Les grandes lèvres roulent entre les doigts. Un râle profond sort de ta bouche. « Encore »
Puis c’est au tour de la langue de faire son œuvre. J’avais pris soin de fournir en détail les caresses qui te faisaient fondre, ainsi que tes zones les plus érogènes.
Premier mouvement du bassin, respiration qui s’accélère.
« Oh c’est bon, j’adore…..continuez….. »
Le majeur, teste la souplesse de l’anus. Il rentre. Il ressort. Entre à nouveau et s’enfonce sans résistance. De l’autre main, caresse de tes seins, pincement de tétons.
A ce rythme je vais jouir dans mon pantalon et ma femme ne tiendra pas longtemps. Je me lève, je passe derrière elle, et lui glisse à l’oreille :
«Tu me fais confiance ? Veux-tu continuer ? Est-ce que tu en veux plus ? »
Les yeux toujours bandés, tu lèves ton bras gauche, me cherche, passe ta main derrière ma nuque, m’attire à toi et m’embrasses fougueusement. Mon regard croise un autre regard, coquin, malicieux. Et la langue plonge à nouveau dans ton intimité.
« Vas-y continue, fais de moi ce que tu veux »
Je saisi ton poignet droit, le lève, et je pose ta main sur un membre de chair bandé au maximum.
Hésitation, aucun mouvement. Ce sexe n’est pas le mien.
Un bruit de succion m’indique que l’on s’affaire toujours sur ton sexe. Un deuxième doigt perfore l’anus. Mouvement de bassin, suivi d’un léger va et vient de tes doigts sur le sexe tendu.
Deuxième va et vient, et libération du geste. La masturbation est maintenant franche.
Le corps s’approche de toi. Le sexe est maintenant à 10 cm de ton visage.
Tu ouvres la bouche. Le temps s’arrête, nouvelle hésitation. Tu tires sur le sexe, tends la langue et te mets à en lécher l’extrémité. Puis tu l’avales, le gobes, l’aspires.
Je reste en arrière, observateur et voyeur de cette scène.
Jeu à quatre mains sur ton corps. On défait les dernières attaches de ta robe. On arrache ton string. Chaque parcelle est explorée, caressée, léchée.
Un préservatif est posé sur le sexe, tu le sais maintenant moins long que le mien mais plus épais.
Je te tiens les mains. On se présente à l’entrée de ta petite chatte. Pénétration lente mais continue. Tu m’écrases presque les doigts. « Oh c’est bon »
Les poils pubiens sont collés à ton clitoris, signe que ce sexe est planté au plus profond de ton corps.
Mouvement d’arrière en avant.
Tu ouvres la bouche.
« Apporte moi ton sexe mon amour, je veux te sucer »
Je me déshabille complètement, te présente mon pénis. Tu le saisis à pleine main et l’avale entièrement. Tu le dévores. Tu me fais la plus belle des fellations. Profonde, langue très active.
Je ne veux pas jouir maintenant, je me retire, tu continues à me masturber, tout en ondulant du bassin, profitant au maximum de la pénétration.
On bouge autour de toi, quelqu’un se penche à ton oreille. Une voix suave, mais surtout une voix féminine, te murmure :
« Tu préfères que ton mari te prenne par devant….ou par derrière »
Tu n’entends pas la question. Tu n’oses imaginer l’impossible. Tu le savais depuis le début mais tu refusais cette réalité. Une femme a posé ses mains sur ton corps, sa langue sur ton sexe….et surtout … et surtout… tu as aimé ça.
Ton esprit est en feu, et ta chatte aussi car ce sexe continue à te pilonner. A cet instant tu peux tout arrêter, toi qui as toujours dit haut et fort que les relations lesbiennes te refroidissaient.
Nouvelles caresses sur tes seins, on titille ton clitoris, pénétration plus profonde.
« Par devant ou par derrière….. ton mari»
Silence… « enchain my heart » en fond musical.
Dernier rempart à tous tes freins, ton corps n’écoute plus ton esprit, libération…
« Par derrière, qu’il me prenne par derrière, je veux sentir son sexe dans mon petit cul. »
Je te fais mettre debout et t’accompagne jusqu’au canapé. Débout, tu es magnifique. Toison dorée finement taillée en rectangle entre les cuisses. Cambrure qui surmonte tes fesses rebondies et fermes. Poitrine assez haute, petites auréoles et pointes dardées.
L’homme s’allonge sur le canapé, son sexe est fermement dressé par sa compagne. Je t’aide à l’enjamber, et je présente ton sexe au bâton de chair gorgé de sang.
La femme caresse délicatement ton clitoris, tu tends le bassin, fléchies les genoux et te laisses pénétrer.
Je me positionne derrière toi. Je te caresse la poitrine d’une main et flatte ton anus de l’autre.
Ce sera également ta première double pénétration en réelle, l’ayant déjà pratiqué avec un gode.
La vision est surréaliste. Une verge est fichée dans ton vagin, tes petites lèvres humides en font le contour. Mon gland est collé à ton entrée étroite. Tu te penches en avant.
« Vas y prend moi ».
Je m’enfonce alors. C’est étroit, l’autre sexe réduisant le passage. Etrange sensation. Une fois bien calée au fond de tes intestins, ton autre partenaire commence un va et vient lent et méticuleux. Au moment où il entre plus profondément, je recule et ainsi de suite.
C’est délicieux à mon niveau, et les râles qui sortent de ta bouche m’indiquent que tu es dans le même état que moi.
Des mains féminines caressent à nouveau ton corps, pincent tes seins, cherchent ton clitoris. Tu ne résistes plus, tu profites au maximum.
Les mouvements s’accélèrent, les gestes s’emballent, il n’y a plus aucune retenue dans ce quatuor infernal. Tu te cambres, tes muscles se tendent et la jouissance s’empare de tout ton corps, tu cries ton plaisir.
Je ne tarde pas à m’épandre au fond de ton anus. Ton autre partenaire se retire, te retourne et t’allonge. Il retire son préservatif, se masturbe et fini par éjaculer sur ton bas ventre et tes seins.
Sa partenaire s’approche, elle lèche la moindre trace de semence qui couvre ton corps. Tu remontes ton bassin, appréciant le geste.
Tu t’écroules enfin sur le canapé, muscles relâchés, tu es épuisée.
Je te porte jusqu’à notre lit. Je t’embrasse.
Tu m’avais promis 2 jours, et le week-end ne fait que commencer.
Nous sommes rejoints par nos invités. Nous nous allongeons, tu t’endors aussitôt, blottie nue contre mon corps.
Je retire le foulard posé sur tes yeux. Ton visage est serein.
. L’autre couple nous fait face. Une main caresse délicatement tes fesses, une bouche gobe ton téton. Ce n’est pas la mienne.
Nous nous endormons….demain est un autre jour.
Je suis confortablement installé au fond d’un fauteuil club. Je suis face à la cheminée, les braises crépitent doucement en cette fin du mois de mars. Il règne une chaleur douce.
Je t’observe, assise sur une chaise avec accoudoir style Louis Philippe. Tes yeux sont bandés d’une étole en soie blanche.
Je me remémore, tes paroles il y a de ça 6 mois.
« Pour tes 40 ans mon amour, je vais t’offrir le plus beau des cadeaux. Je vais t’offrir mon corps.
Tout un Week-end, durant lequel tu pourras faire de moi ce que tu veux et……avec qui tu veux. C’est bien ce que tu me réclames depuis des années n’est ce pas ?
2 jours pas un de plus et ce sera à 3 conditions :
- Premièrement, je ne veux rien voir de ce que tu me feras.
- Deuxièmement tu es le seul à pouvoir m’embrasser sur la bouche
- troisièmement, il faudra que tu sois toujours là, et si je dis le mot « danger », je veux que tout s’arrête »
6 mois, cela peut paraître interminable, mais c’est à la fois très court pour préparer les moindres détails de ce week-end que je voulais parfait.
tu es habillée d’une robe thaï de soie noire et brodée d’or. Premier de mes fantasmes. J’adore ce style de robe, très près du corps épousant parfaitement les formes, mettant en valeur la poitrine.
La robe t’arrive au dessus des genoux, échancrée jusqu’en haut de la cuisse. tu portes des bas dim up à couture couleur chair, dont on devine le liseré en haut de l’échancrure. Le vêtement est fermé sur toute sa hauteur grâce à des boutons pressions sur le côté droit. Des escarpins noirs, talons hauts, complètent la scène.
Mon épouse est grande, élancée et très fine. Poitrine ferme et fièrement dressée. Sa peau blanche est parfaite dans cette tenue, style geisha. Seule le blond roux de sa chevelure me ramène en occident.
Tu te pinces la lèvre inférieure. Ton corps est tendu à l’extrême. Tu frémies malgré la chaleur, signe d’une angoisse que tu ne peux dissimuler. Je sais d’avance que la partie n’est pas gagnée. Que tu peux décider à tout moment d’arrêter le cour de cette soirée. Dans le même temps, tu m’as offert le plus beau des cadeaux, et me décevoir, serait le signe d’un échec à ses yeux.
tu sens une présence, tout près de toi. Tu tournes la tête de droite à gauche, tous les sens en éveil, à la recherche d’un moindre bruit, du moindre mouvement.
Un ongle frôle l’avant bras. Sursaut. Ta respiration s’accélère.
« Où es tu mon amour…. ? »
« Je suis là, face à toi. Laisse toi aller. Ecoute ton corps »
Un doigt glisse sur le nylon de tes bas. Il part du talon, pour remonter le long du mollet, et fini sa course sur l’intérieur de la cuisse gauche. Même mouvement sur la jambe droite. Le geste est lent mais précis.
Les caresses continuent ainsi sur l’ensemble des parties dénudées de ton corps; parfois appuyées, souvent légères et superficielles, mais de plus en plus rapides, sans mouvement brusque.
Les muscles se relâchent. Les genoux se desserrent, puis les cuisses s’entrouvrent. Tension extrême dans la pièce. Le silence est pesant. J’allume la chaine Hifi, best of de Joe Cocker, musique de circonstance.
2 mains se posent sur tes genoux et glissent vers l’intérieur. Caresses subtiles entre le haut des bas et l’élastique du string. La couleur de ta lingerie m’apparaît enfin, satin noir, épousant à la perfection ton sexe.
Le souffle est court, proche de l’asphyxie, mais tes jambes s’écartent imperceptiblement. Une phalange glisse sur le fin tissu et parcours ta vulve sur toute sa longueur. Ce traitement fini par avoir raison de toi. Des traces d’humidité apparaissent enfin. Mon regard remonte pour finalement constater que les pointes de tes seins transpercent la robe.
Tu te laisses finalement glisser sur le siège, tes fesses posées sur le rebord de l’assise, la tête bascule en arrière. Première longue expiration de la soirée.
« Oh mon Dieu, qu’est ce que je suis en train de faire…. ». Le doute m’envahie à nouveau.
« Dit-moi que tu m’aimes mon amour ».
« Je t’aime, tu es sublime »
Tu écartes alors en grand tes cuisses. On te les saisi et les pose sur les accoudoirs. Les 2 pressions du bas de ta robe sautent d’elle-même, puis les 2 du haut, aidés de doigts agiles. Un troisième bouton pour enfin voir ta poitrine ferme et tendue, jaillir du bustier.
J’ai du mal à contenir mon excitation devant ce magnifique tableau. Je glisse une main dans mon boxer et me masturbe doucement.
Des lèvres se posent enfin sur l’intérieur de tes cuisses. L’index passe sous l’élastique du string, écarte le fin tissu, et glisse sur le clitoris luisant. Les grandes lèvres roulent entre les doigts. Un râle profond sort de ta bouche. « Encore »
Puis c’est au tour de la langue de faire son œuvre. J’avais pris soin de fournir en détail les caresses qui te faisaient fondre, ainsi que tes zones les plus érogènes.
Premier mouvement du bassin, respiration qui s’accélère.
« Oh c’est bon, j’adore…..continuez….. »
Le majeur, teste la souplesse de l’anus. Il rentre. Il ressort. Entre à nouveau et s’enfonce sans résistance. De l’autre main, caresse de tes seins, pincement de tétons.
A ce rythme je vais jouir dans mon pantalon et ma femme ne tiendra pas longtemps. Je me lève, je passe derrière elle, et lui glisse à l’oreille :
«Tu me fais confiance ? Veux-tu continuer ? Est-ce que tu en veux plus ? »
Les yeux toujours bandés, tu lèves ton bras gauche, me cherche, passe ta main derrière ma nuque, m’attire à toi et m’embrasses fougueusement. Mon regard croise un autre regard, coquin, malicieux. Et la langue plonge à nouveau dans ton intimité.
« Vas-y continue, fais de moi ce que tu veux »
Je saisi ton poignet droit, le lève, et je pose ta main sur un membre de chair bandé au maximum.
Hésitation, aucun mouvement. Ce sexe n’est pas le mien.
Un bruit de succion m’indique que l’on s’affaire toujours sur ton sexe. Un deuxième doigt perfore l’anus. Mouvement de bassin, suivi d’un léger va et vient de tes doigts sur le sexe tendu.
Deuxième va et vient, et libération du geste. La masturbation est maintenant franche.
Le corps s’approche de toi. Le sexe est maintenant à 10 cm de ton visage.
Tu ouvres la bouche. Le temps s’arrête, nouvelle hésitation. Tu tires sur le sexe, tends la langue et te mets à en lécher l’extrémité. Puis tu l’avales, le gobes, l’aspires.
Je reste en arrière, observateur et voyeur de cette scène.
Jeu à quatre mains sur ton corps. On défait les dernières attaches de ta robe. On arrache ton string. Chaque parcelle est explorée, caressée, léchée.
Un préservatif est posé sur le sexe, tu le sais maintenant moins long que le mien mais plus épais.
Je te tiens les mains. On se présente à l’entrée de ta petite chatte. Pénétration lente mais continue. Tu m’écrases presque les doigts. « Oh c’est bon »
Les poils pubiens sont collés à ton clitoris, signe que ce sexe est planté au plus profond de ton corps.
Mouvement d’arrière en avant.
Tu ouvres la bouche.
« Apporte moi ton sexe mon amour, je veux te sucer »
Je me déshabille complètement, te présente mon pénis. Tu le saisis à pleine main et l’avale entièrement. Tu le dévores. Tu me fais la plus belle des fellations. Profonde, langue très active.
Je ne veux pas jouir maintenant, je me retire, tu continues à me masturber, tout en ondulant du bassin, profitant au maximum de la pénétration.
On bouge autour de toi, quelqu’un se penche à ton oreille. Une voix suave, mais surtout une voix féminine, te murmure :
« Tu préfères que ton mari te prenne par devant….ou par derrière »
Tu n’entends pas la question. Tu n’oses imaginer l’impossible. Tu le savais depuis le début mais tu refusais cette réalité. Une femme a posé ses mains sur ton corps, sa langue sur ton sexe….et surtout … et surtout… tu as aimé ça.
Ton esprit est en feu, et ta chatte aussi car ce sexe continue à te pilonner. A cet instant tu peux tout arrêter, toi qui as toujours dit haut et fort que les relations lesbiennes te refroidissaient.
Nouvelles caresses sur tes seins, on titille ton clitoris, pénétration plus profonde.
« Par devant ou par derrière….. ton mari»
Silence… « enchain my heart » en fond musical.
Dernier rempart à tous tes freins, ton corps n’écoute plus ton esprit, libération…
« Par derrière, qu’il me prenne par derrière, je veux sentir son sexe dans mon petit cul. »
Je te fais mettre debout et t’accompagne jusqu’au canapé. Débout, tu es magnifique. Toison dorée finement taillée en rectangle entre les cuisses. Cambrure qui surmonte tes fesses rebondies et fermes. Poitrine assez haute, petites auréoles et pointes dardées.
L’homme s’allonge sur le canapé, son sexe est fermement dressé par sa compagne. Je t’aide à l’enjamber, et je présente ton sexe au bâton de chair gorgé de sang.
La femme caresse délicatement ton clitoris, tu tends le bassin, fléchies les genoux et te laisses pénétrer.
Je me positionne derrière toi. Je te caresse la poitrine d’une main et flatte ton anus de l’autre.
Ce sera également ta première double pénétration en réelle, l’ayant déjà pratiqué avec un gode.
La vision est surréaliste. Une verge est fichée dans ton vagin, tes petites lèvres humides en font le contour. Mon gland est collé à ton entrée étroite. Tu te penches en avant.
« Vas y prend moi ».
Je m’enfonce alors. C’est étroit, l’autre sexe réduisant le passage. Etrange sensation. Une fois bien calée au fond de tes intestins, ton autre partenaire commence un va et vient lent et méticuleux. Au moment où il entre plus profondément, je recule et ainsi de suite.
C’est délicieux à mon niveau, et les râles qui sortent de ta bouche m’indiquent que tu es dans le même état que moi.
Des mains féminines caressent à nouveau ton corps, pincent tes seins, cherchent ton clitoris. Tu ne résistes plus, tu profites au maximum.
Les mouvements s’accélèrent, les gestes s’emballent, il n’y a plus aucune retenue dans ce quatuor infernal. Tu te cambres, tes muscles se tendent et la jouissance s’empare de tout ton corps, tu cries ton plaisir.
Je ne tarde pas à m’épandre au fond de ton anus. Ton autre partenaire se retire, te retourne et t’allonge. Il retire son préservatif, se masturbe et fini par éjaculer sur ton bas ventre et tes seins.
Sa partenaire s’approche, elle lèche la moindre trace de semence qui couvre ton corps. Tu remontes ton bassin, appréciant le geste.
Tu t’écroules enfin sur le canapé, muscles relâchés, tu es épuisée.
Je te porte jusqu’à notre lit. Je t’embrasse.
Tu m’avais promis 2 jours, et le week-end ne fait que commencer.
Nous sommes rejoints par nos invités. Nous nous allongeons, tu t’endors aussitôt, blottie nue contre mon corps.
Je retire le foulard posé sur tes yeux. Ton visage est serein.
. L’autre couple nous fait face. Une main caresse délicatement tes fesses, une bouche gobe ton téton. Ce n’est pas la mienne.
Nous nous endormons….demain est un autre jour.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour, superbe histoire bien raconté qui m'a fait bander et plus encore. J'ai hâte de
lire la suite en espérant ne pas la louper, il y a tellement d'histoire à lire sur le
site hds. Je m'imagine que c'est du vécu, trop bon.
Pierre
lire la suite en espérant ne pas la louper, il y a tellement d'histoire à lire sur le
site hds. Je m'imagine que c'est du vécu, trop bon.
Pierre