Elle n’aurait pas dû….

- Par l'auteur HDS Gekko18 -
Récit érotique écrit par Gekko18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Elle n’aurait pas dû…. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Elle n’aurait pas dû….
Qu'il faisait beau, en ce jour d'automne. Les arbres arboraient des couleurs chatoyantes et une brise légère faisait tomber les dernières feuilles pendues aux branches.
Nous roulions tous les 2 vers le centre de la France après ce magnifique périple.
Le soleil caressait ta peau à travers la vitre de la voiture.
Nous étions bien.
Tout à coup, une vibration se fait entendre.
Tu cherches ton téléphone croyant que c'est ta fille qui veut te joindre.
Mais c'est le mien. Immédiatement ton sang se glace et tu imagines déjà un message de mon Ex.
Ton esprit s'embrase et imagine déjà que notre histoire continu malgré tout et qu'elle tente encore et toujours de m'extraire de ton Coeur.
Je me saisis de mon portable et découvre que c'est effectivement le cas.
Je ne peux cacher mon trouble et tu le lis dans mes yeux.
Ton visage se crispe et tes yeux deviennent assassins.
Ta colère monte, et les mots fusent.
Mon absence de réaction t'en courage de plus belle et tu continus ton acharnement.
Soudain, je donne un coup de volant et m'engouffre sur un chemin forestier.
Le mauvais état de la route fait bourlinguer le véhicule et nous sommes tous 2 secoués.
Coupant court à notre dispute, tu m'interroges sur mon changement de direction.
Sans un mot, je coupe le contact et descends de la voiture.
Je rejoins le coté passager, ouvre ta portière et te demande de descendre.
Croyant que nous allons continuer nos explications, tu obtempères.
Tout à coup, je me saisis de tes poignets et te les mets dans le dos.
L'effet de surprise fait, que j'ai le temps de trouver la bonne position pour pouvoir les prendre d'une main. De l'autre, je défais ma ceinture, le geste tant de fois répété est exécuté à la perfection et sans la moindre difficulté.
Tu commences a comprendre la situation et tu te débats énergiquement.
Tu bouges dans tous les sens mais j'arrive à te contenir.
La lutte dure plusieurs minutes, tu as chaud, tu cries mais j'arrive à lier tes mains avec ma ceinture.
Tu m'ordonnes de te détacher et là, je te regarde droit dans les yeux et te fixe quelques secondes.
Mon regard est noir, plein de rage.
Je fronce instinctivement les sourcils ce qui a pour effet, d'intensifier encore plus la noirceur de mes yeux.
Tu as compris.

"J'ouvre la bouche et commence enfin à parler.
"Je suis excédé par ton comportement."
"Je t'avais prévenu que je ne voulais plus voir cette réaction "
"Comme manifestement tu peines à comprendre, je vais faire en sorte que tu t'en souvienne"

Plus n'a plus la force de réagir, le combat t'a épuisé.
Je saisis une corde dans le coffre et je t'emmène avec moi le long du chemin.
Tu marches légèrement devant moi car je te maintient les poignets.
Après 5 bonnes minutes de marche, j'aperçois une clairière.
De nombreuses billes de bois jonchent le sol défoncé par les engins de chantier.
Un peu plus loin, se trouve un affût de chasseur. Il n'est pas bien haut mais je devine immédiatement son intérêt.
Je me dirige sur lui mais tu peines à marcher, je m'agace.
Je t'attaque solide autour face à moi.
Tu me demande une nouvelle fois de te détacher en me traitant de tous les noms.
Une violente claque sur ta fesse gauche te fais taire.
Tu comprends alors que je ne plaisantes pas et que je ne t'obéirais pas.
Ton visage change et ton regard devient plus docile, peu importante j'irais jusqu'au bout.

Tu es habillée avec une petite robe à motifs rouge.
Elle a de petits boutons sur le devant, qui lui donne l'avantage de moduler la profondeur de ton décolleté à souhait.

Je t'explique que je suis las de subir ta réaction et toujours pour la même raison et que je me dois de te donner une leçon.
Mes mots sont crus et durs car ma colère est profonde.
Je soulève ta robe, arrache ta culotte et commence à t'administrer une fessée à même la peau.
J'alterne le coté, pour soulager ma main mais aussi pour voir tes 2 fesses rougir sous mes coups.
Je ne les retiens pas et la douleur se fait sentir.
Tu gesticules pour pouvoir échapper à mes coups, en vain.
Je commence à défaire un a uns, les boutons de ta robe mettant ta poitrine à nue.
Tu t'inquiètes, nous sommes sur un chemin et la route est proche, nous entendons le passage des nombreuses voitures.
Tu m'interpelles sur le fait que n'importe qui, pourrait nous surprendre.

"Te surprendre, veux-tu dire ?"
"Moi, je suis encore entièrement habillé, alors que toi, ta situation est sans équivoque"

J'esquisse un sourire et défais entièrement ta robe.
Tu te retrouves toutes nue, attachée solidement et sans espoir de te libérer toute seule.
Je sonde ton intimité et découvre malgré tout, une forte humidité.
La situation est loin de te déplaire.
C'est déjà une victoire pour moi.
Mais je suis là pour t'affliger une correction.
Je cherche autour de moi quelque chose qui pourrait rendre ton supplice moins agréable pour tes fesses.
Je trouve exactement ce que je cherche. Une belle branche de noisetier bien droite et d'un diamètre parfait, alliant solidité et flexibilité.
Je la coupe de l'arbre et donne un coup dans le vide.
Le bruit te glace le sang.
Tu me supplies d'être indulgent et que tu me promets que tu me réagira plus de la sorte.
Mais le rapport de force tourné à mon avantage me rend sourd à tes revendications.
Tu es à ma merci et soumis à mes caprices.
Je me sens puissant et je compte bien profiter de ton corps a ma guise.
Les coups comme à tomber sur tes cuisses. Tu gémis.
J'y vais de plus en plus fort et des marques commencent à apparaître sur le haut de tes jambes.
Alors je me concentre sur tes seins, les soupèsent a l'aide de ma baguette qui se plie sous leur poids.
Un coup, puis un second et une troisième t'arrache un cri de douleur.
Je calme le jeu en jouant avec tes tétons qui sont devenus dur avec les circonstances.
Je décide de te laisser une moment de répit.
Tu me supplie encore une nouvelle fois de te détacher et me demande de te prendre maintenant et ici même.

"Je te prendrais lorsque je le déciderai "
"Tu n'as pas encore compris que je fais ce que je veux et quand je le veux!"
"Tu es ma chose, j'abuse de toi lorsque l'envie m'en prends"

Je décide de m'éloigner un peu pour retourner aller chercher quelque chose dans la voiture.
Tu paniques, et tu me dis de ne pas te laisser là comme ça.
Tu prends peur et commences a crier mon nom.

"Je serai toi, je ne dirais pas un mot au risque d'attirer les badauds de passage."

Tu sais que j'ai raison mais la panique s'empare de toi.
Tu te débats mais, tu es solidement attaché.
Tu n'as pas d'autre choix qu'attendre mon retour.

Les minutes passent, le silence de la forêt trahit la circulation dense de ce retour de week-end.
Une brise parcourt ton corps nue et un frisson t'envahit. Tu as la chair de poule et tes tétons commencent à durcir. Ton cerveau travaille à vive allure et des milliers de questions traversent ton esprit.
La peur d'être surprise ainsi se mêle à l'excitation et a l'abandon de l'instant présent.
Tu entends soudain au loin, le bruit d'un moteur de voiture. Tu paniques à l'idée que le conducteur puisse te découvrir ainsi. La géométrie du lieu t'empêche d'apercevoir le véhicule qui s'approche de plus en plus.
Tu veux m'appeler mais ta voix reste muette, une sensation étrange envahit ton ventre.
Tu l'as déjà vécu dans ton enfance lorsqu'adolescente tu t'étais fait surprendre en faute par un adulte.
Tu es apeurée, en panique.
Tout à coup le moteur s'arrête et la portière s'ouvre et se referme. Quelqu'un marche, c'est certain.
De ta place, tu ne distingue rien. Tu entends des pas, des cailloux sous les chaussures et des feuilles mortes se froisser. L'individu s'arrête et tu entends qu'il ouvre son téléphone. M'a t'il vue ? Tu n'entends rien d'autre. Les pas reprennent mais hors du chemin, le bruit est différent. Une chose est sûre, ça vient dans ta direction. Tu aperçois tout à coup des branches qui s'écarte et le téléphone jaillit. Il est en position horizontal e et là tu comprends que tu es filmé. Tu cries et tu essaye de te cacher. Tu es en colère contre moi de t'avoir livré en pâture au premier inconnu qui passe et déjà tu imagines la scène que tu le feras a mon retour.
C'est à ce moment, que je sors des arbres avec mon téléphone en train d'immortaliser la scène qui s'offre à moi. Tu es toujours en colère mais soulignée que ne soit QUE moi.
Je savoure mon emprise sur toi comme une seconde victoire.
Je fais de toi ce que je veux tel un objet de décoration.
Pour me faire pardonner et parce que je suis très fière de ma soumise, je m'approche de toi et toujours en filmant la scène, je passe ma main entre tes cuisses.
Je caresse ton sexe, écarté légèrement les lèvres et joue avec ton clitoris.
Tu marmonnes quelque choses mais je ne prête aucune attention, je reste concentrer sur ma vengeance.
Le jeu commence a te plaire car l'humidité de ton entre jambe te trahît. Je t'ordonne d'écarter un peu plus les cuisses.
Tu es maintenant d'une indécence totale, offerte et parfaitement soumise.
Il est certain qu'une bosse s'est formée dans mon pantalon depuis un moment.
J'arrête mon téléphone et le range dans ma poche. Je te détache et te fait mettre à genou.
Je t'ordonne d'ouvrir mon pantalon, tu t'exécutes, heureuse que ton supplice soit enfin terminé.
Mon sexe est tendu et jaillit du,pantalon comme un diable de sa boîte.
Je bande comme jamais, je suis excité au plus au point mais je reste concentré et mon visage ne laisse rien paraître.
Je t'ordonne de me lécher le sexe, ce que tu fais avec application en passant ta petite langue le long de ma verge. Tu montes et tu redescends jusqu'aux bourses. Tu les aspires et les prends en bouche. La forêt résonne maintenant de bruit de suçons.
Tu gobes mon sexe et prends mes bourses dans tes mains. Ton traitement est agréable et tu le sais. Ma respiration devient plus soutenu et haletante. Je prends tes cheveux et je fais des grands mouvements avec ta tête pour tu ailles profondément dans ta gorge. Tu penses que je ne serais pas long à venir avec ce traitement et que je vais remplir ta bouche de ma semence. Tu as gagné....enfin tu le crois.
Dans un contrôle absolu et calculé, je t'écarter de mon sexe et te relève :

"Tu ne crois pas que tu vas t'en tirer de la sorte ? "
"Crois tu vraiment qu'une pipe suffirait à apaiser ma colère ?"
"Tu n'es qu'une petite soumise bien naïve "

Je t'attrape par les bras et t'allonge violemment sur les troncs d'arbres présents à proximité.
Je t'installe au bord de l'un d'entre eux les 2 cuisses de part et d'autre du tronc.

"Tu n'es qu'une enfant capricieuse qui pète un câble a chaque fois qu'elle est contrariée. Je vais enfin t'apprendre les bonnes manières à adopter devant un vrai mâle ! "

Je te maintient d'une main pendant que l'autre s'applique à te réchauffer les fesses.
Une fois le cul,bien rouge je passe un doigt entre ton sexe et j'en profite pour pénétrer ton anus.
Je n'y rencontre aucune résistance, tu es épuisée par la lutte et assommée par le contre coup.
Je décide alors d'y appliqué deux doigts préalablement lubrifiés de salive.
A ma grand satisfaction, ils y rentrent aisément. Cela m'encourage à y rentrer un troisième sans difficulté.
Je suis pleinement satisfait.

"C'est bien, ma petite soumise a enfin décidé de devenir raisonnable."
"Tu as compris que tu n'avais pas d'autre choix que d'offrir ton cul à ton mâle "
" Félicitations, tu es une bonne petite soumise très obéissante. "

Par un mouvement de bassin, tu me présentes tes fesses comme une offrande.
Je prends cela comme un cadeau divins et présente mon sexe à l'entrée. Aucune résistance n'est à déplorer, sûrement dû au traitement qu'a subit ton postérieur. Petit à petit, je pénètre tes chairs. Tu grimaces et gémis faiblement. Je continu ma progression jusqu'à atteindre le fond de ton gouffre. Je stoppe quelques secondes pour que ton cul mémorise la grosseur de ma queue.
Je reprends mes mouvements en alternant le rythme. Je vais de plus en plus vite. Tes gémissements font maintenant place à des cris. Le plaisir monte, je sens ton sexe mouiller de plus en plus.
Tu es là au milieu de nulle part dans une forêt en train de te faire prendre les fesses par ton mâle et l'idée t'excite, simultanément à ton corps qui subit les assauts. Nous sommes loin de nos jeux innocents de chambre d'hôtel. Je suis littéralement en train de te baiser le cul avec violence. Tu cries ton plaisir au rythme de mes coups de reins. Tu jouis une première fois mais je,n'arrête pas ton supplice pour autant.
La scène me transporte et ma queue est tellement tendue qu'elle en est presque douloureuse.
Une dizaine de minutes passe. C'est bon, chaud et serré. Ton cul est un véritable écrin de volupté pour ma queue. C'est le bonheur à l'état pur.
Et dans un râle animal, je m'épands en toi. J'ai l'impression de ne plus pouvoir m'arrêter.
L'orgasme est si puissant, qu'il déclenche également le tien d'une extrême violence. Un véritable geyser jaillit de ton sexe pour atterra mes pieds.

J'ai chaud, je suis épuisé et pleinement satisfait. Je m'aperçois que tu as les mêmes symptômes.
Je t'embrasse et te dit que je t'aime.

Il fait nuit, nous sommes restés 2 bonnes heures.
Nous rejoignons la voiture serrés l'un contre l'autre.
Nous sommes unis et repus.
Mon téléphone vibre de nouveau dans ma poche ..........

Fin.

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