Elle prête ma queue à sa copine.
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2008 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Elle prête ma queue à sa copine.
Marc et Sophie sont des amis de longue date. Nous nous voyons souvent et avons plusieurs activités en commun, nous parlons quelquefois sexe mais jamais nous n’avons franchi la barrière.
Et puis un jour … Marc eu cet accident horrible. Hospitalisation, rééducation,…
Marc est resté paraplégique.
Nous les avons aidés et soutenus dans cette épreuve, ce qui nous a encore rapproché.
Un jour Marie me dit : « Sophie m’a dit que Marc était devenu impuissant. Ca doit être terrible. Je ne sais pas comment je ferais si ça t’arrivait. J’ai trop besoin de ta queue ! »
Et moi, en pensant être malin je rajoute : « Je peux lui prêter ma queue si tu veux ! »
Réponse outrée de Marie : « Ta queue m’appartient et je suis trop jalouse pour la partager, jamais je ne supporterai qu’une autre femme te fasse jouir ! » .
Ce jour-là nous en sommes resté là.
Quelque temps plus tard , alors que je prenais une bière avec Marc, il s’épancha et me parla de ses problèmes d’impuissance : « Tu comprends, moi c’est pas grave, de toute façon je n’ai plus de besoin, mais pour Sophie c’est terrible. Je la fais jouir avec ma langue et mes doigts (et là je pense que je suis devenu expert ! ) mais je sens qu’une queue lui manque. J’ai peur qu’un jour elle me trompe car elle aime trop la vie (et le vit). L’idéal ça serait que je lui trouve quelqu’un et que ça reste uniquement sexuel… ». Je ne savais pas quoi lui répondre.
Je rapportai notre conversation à Marie qui resta songeuse…
Un mois plus tard, Marc et Sophie nous invitèrent pour un apéritif.
Avant de nous rendre chez eux, Marie s’est approchée de moi, m’a descendu le pantalon et m’a taillé une pipe dont elle a le secret jusqu’à éjaculation. Je fus agréablement surpris mais je lui fis remarquer qu’elle n’aurait pas le temps de se satisfaire. En effet quand elle me vide rapidement les couilles je sais que c’est parcequ’elle veut longuement profiter de ma queue. Elle a depuis longtemps remarqué que les couilles vidées, je peux bander fort longtemps sans jouir. Et elle sait en profiter! Et dans ce cas, c’est elle qui mène la danse.
Elle me répondit : « C’est pour mieux être en manque, j’attendrai notre retour et là j’en profiterai ».
Agréable fin de soirée en perspective.
Nous nous rendîmes donc chez nos copains. Marie et moi nous installames dans le canapé en face d’eux. Sophie était vêtue de façon plûtot sexy et se trémoussai dans son fauteuil. De plus, ses rires étaient nerveux.
Après quelques verres, Sophie et Marie s’absentèrent dans la cuisine un moment. Quand elle revinrent Sophie prit la parole après avoir ingurgité un autre verre : « Nous avons des choses importantes à vous dire. Si un de vous deux n’est pas d’accord, il le dit, on oublie tout et surtout on reste copains. Ok ? »
Moi interloqué : « ok »
Marc : « ok, promis »
Sophie reprit la parole : « Depuis ton accident, je vois bien que Sophie est en manque. Nous en avons longuement discuté et avons décidé de réagir. Donc, si vous êtes d’accord, j’ai décidé de prêter la queue de mon mari à ma meilleure copine mais uniquement la queue car je suis très jalouse. J’ai expliqué les règles du jeu à Sophie : Elle peut utiliser la queue de mon homme uniquement dans son sexe et se faire du bien avec aussi longtemps qu’elle le souhaite. Mais comme je suis jalouse, je ne veux pas que mon mari en profite trop. Il se mettra donc sur le dos sans bouger et laissera Sophie se débrouiller toute seule. De plus Sophie m’a dit que Marc avait un bon coup de langue, peut-être vais-je en profiter, on verra… A tout moment, un de nous quatre peut interrompre la partie. Pour nous le plus important est que l’amitié reste intacte. Nous nous eclipsons quelques minutes le temps que vous en parliez »
Et elle quittèrent la pièce les joues en feu.
Nous étions estomaqués et un peu gênés.
Marc me regarda et dit en me proposant un autre verre : « Eh bé ! les copines quand elles prennent les choses en main… »
Je commençai à comprendre le pourquoi de la pipe impromptue.
Marc me dit : « Après tout, pourquoi pas, je préfère la voir profiter de ta queue que de savoir qu’elle me trompe. Et en plus, je pense que je ne resterais pas indifférent à sa jouissance, c’est quelque chose que j’apprécie de voir le plaisir monter sur son visage. Je comprends pourquoi elle a insisté pour que je la lèche avant que vous n’arriviez. C’était pour se mettre en forme. Donc pour moi c’est ok.»
« ok pour moi aussi, après tout si je prends mon pied il n’y a pas de raison que Marie n’en profite pas ! Et je lui expliquai que Marie m’avait un peu préparé physiquement. »
Nous rappelames donc nos femmes qui entrèrent dans la pièce en se demandant si elles n’avaient pas gaffé.
« ok, on est d’accord » dis-je.
La gêne s’installa car la théorie c’est bien joli mais la pratique…Nous décidâmes donc de déguster un autre verre histoire de détendre l’atmosphère.
Et bien sûr, encore une fois ce fut nos femmes qui prirent les choses en main !
Sophie s’approcha de son mari et lui dit : « Merci de si bien me comprendre, je t’aime » Et elle l’embrassa fougueusement.
Pendant ce temps Marie s’approcha de moi et m’ota uniquement le pantalon et le slip et m’allongea sur le divan en me disant : « Pour ce dont elle a besoin, il n’est pas nécessaire d’enlever le reste ! »
Là-dessus, elle me suça jusqu’à ce que ma bite soit au top niveau et dit à sa copine : « Allez, viens en profiter, tu verras, je lui ai déjà vidé les couilles tout à l’heure donc tu vas pouvoir t’amuser pendant pas mal de temps. »
Sophie s’approcha de moi et se positionna au dessus de ma queue sans se déshabiller. Quand je lui dit qu’elle serait plus à l’aise toute nue, elle me dit qu’elle préférait rester habillée mais qu’elle avait quand même oté sa culotte. Elle semblait avoir honte mais avait tellement envie d’une bite qu’elle descendit sur ma bite très doucement. Elle était trempée et n’eut aucun mal à s’empaler.
« Ouuuh, que ça fait du bien » dit-elle.
Nous étions 3 spectateurs très intéressés par la suite des évènements mais elle nous dit de ne pas trop la regarder et proposa à sa copine de profiter de la langue de son homme. A mon étonnement Marie ne se fit pas prier. Marc s’allongea sur l’autre canapé et Marie vint positionner sa chatte au dessus de sa langue.
Pendant ce temps Sophie se mit à monter et descendre très lentement sur mon mandrin. Elle avait fermé les yeux et était tout à la recherche de son plaisir.
De voir ces deux femmes profiter de la vie me fit bander encore un peu plus.
« C’est moi ou ta femme qui te fait cet effet ? » me demanda Sophie.
Je lui répondis que j’aimais regarder les femmes s’occuper toutes seules de leur plaisir et qu’il me semblait qu’elle avait l‘ air de SE faire du bien. Elle ne me répondit pas mais continua ses va-et-vient sur ma queue. Son plaisir montait et visiblement elle cherchait à en profiter au maximum. Il est vrai que depuis le temps qu’elle n’avait pas été remplie…
Je jetais un coup d’œil sur ma femme et je vis que chez elle aussi le plaisir était au rendez-vous. Cette constatation, au lieu de me rendre jaloux, me plut énormément.
Je me rendis compte que son plaisir était plus important que le mien. La voir profiter de la vie m’a toujours plu.
Sophie montait et descendait toujours aussi lentement et semblait m’utiliser comme un gode !
Elle finit par jouir en poussant de petits cris et se réfugia dans les bras de son mari mi-honteuse, mi satisfaite. Marc l’ embrassa et la complimenta.
Quelques minutes plus tard, alors que je commençai à débander, Sophie remercia Marie de lui avoir « prêté » son mari et lui dit : « Je suis un peu frustrée car je ne l’ai pas fait jouir. »
Marie lui répondit : « Ce n’est pas mon mari que je te prête, c’est sa queue ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir mais je t’ai dit que tu pouvais en profiter jusqu’à plus soif».
Mais auparavant, je vais le remettre en forme.
Elle vint donc vers moi et me lécha la queue jusqu’à ce que je reprenne forme.
Marc et Sophie admiraient le spectacle.
Sophie semblait dévorer des yeux ma queue.
Une fois ma queue en état et bien luisante, Marie dit à Sophie : « Allez, fais toi du bien à nouveau, profite-en ! »
Marc demanda à sa femme de se déshabiller car il voulait profiter du spectacle.
Il lui dit : « j’aimerais te voir à poil pour profiter un max de ta jouissance, tu sais bien que j’aime te mater quand tu jouis, alors fais-moi ce plaisir et après tout tu peux aussi en faire profiter Paul ! ».
Marie rajouta : « Marc a raison, offre-lui ta jouissance. »
Sophie hésita un moment mais son envie de se faire du bien étant trop forte, elle se déshabilla et nous dit : « ok, je vous laisse me mater mais j’ai l’intention de bien ME baiser et de profiter à fond de ce «gode» ! Si Marie est toujours d’accord, je voudrais mener le jeu afin d’en profiter à fond.»
Marie lui répondit qu’elle était toujours d’accord pour qu’elle profite du «gode» mais uniquement du «gode».
La-dessus Sophie me demanda de m’allonger sur la moquette et de placer un coussin sous mes fesses. Cette position faisait ressortir ma queue tel un étendard.
Sophie se mit à califourchon sur moi en me tournant le dos, puis elle frotta son clito contre mon gland pendant quelques instants et descendit lentement par des petits mouvements de va-et-vient sur mon chibre.
Le spectacle était chaud, TRES CHAUD… J’avais de plus en plus de mal à résister à la tentation de lui donner quelques coups de queue. Pour calmer mon envie de la caresser, je décidais de mettre mes mains derrière ma tête.
Par moments, elle s’enfonçait entièrement le «gode» vivant dans le vagin et roulait des hanches, puis reprenait ses mouvements de haut en bas. A d’autres moments, elle se dressait fièrement au dessus de ma queue puis se penchai en avant. Je pus constater qu ‘elle connaissait très bien son vagin et qu‘elle savait LE faire jouir.
Elle me demanda ensuite de m’asseoir au bord du canapé et de bien écarter les jambes. Elle se mit entre mes jambes le dos tourné et les bras en appui sur la table basse puis s’empala de nouveau sur ma bite. Elle se laissait glisser sur ma bite en pliant les jambes et remontait en les dépliant. Parfois elle se dressait sur ses mains tout en continuant ses mouvements puis elle s’accoudait pour que ma bite masse tous les recoins de son vagin.
Pendant ce temps Marc se rapprocha d’elle et se mit à la caresser en la complimentant de nouveau, en lui disant qu’il la trouvait très belle, qu’il était fier d’avoir une femme qui savait SE faire jouir et montrer sa jouissance.
Je ne voyais pas la tête de Sophie, mais je l’entendis jouir plusieurs fois et je profitai de la superbe vue sur ses fesses.
Après que Sophie eu son content de jouissance, Marie, que ce spectacle avait émoustillé, lui dit qu’elle aimerait bien elle aussi profiter du « gode » et SE faire jouir. Sophie lui laissa la place et se réfugia amoureusement dans les bras de son mari.
Marie se déshabilla rapidement et m’enfourcha tournée vers moi en me disant qu’elle commençait à être sérieusement chaude ! Effectivement, elle dégoulinait et s’empala sans attendre sur son « gode ». Elle entama quelques va-et-vient et me pris les mains qu’elle appliqua sur ses seins.
Je les enlevai en lui disant qu’elle aussi devait SE baiser toute seule et que je voulais uniquement profiter de la vue. Elle me répondit qu’elle ne savait pas si elle y arriverait toute seule.
Marc l’encouragea en lui disant que beaucoup d’hommes aiment voir leur femme se masturber et que là ça ressemblait beaucoup à de la masturbation. Je confirmai ses dires et lui demandait qu’elle m’offre sa jouissance comme Sophie avait offert la sienne à son mari.
Marie reprit donc ses va-et-vient et me regarda droit dans les yeux. Après quelques minutes à ce rythme, elle jouit une première fois.
Je lui dis que je ne tiendrai plus longtemps et que j’allais bientôt jouir.
Elle s’activa violemment sur ma queue et je lachais toute ma semence en elle dans un râle libérateur.
Depuis ce jour, nous organisons des « soirée gode » régulièrement quand ça démange trop fort Sophie. Nous avons interrompu nos séances uniquement quand ils ont voulu avoir un enfant. Dès que Sophie a été enceinte sa libido s’est developpée et nos séances « gode » ont été encore plus chaude !
Cette relation nous satisfait tous les 4 depuis de nombreuses années et nous pensons que la meilleure façon pour que nos relations amicales ne se déteriorent pas c’est justement de considérer que c’est uniquement sexuel d’une part et que le plaisir de Sophie est le plus important. Marie considère pour sa part que le « prêter ma queue n’est pas tromper » à condition que je ne me serve pas des autres parties de mon corps et que je ne baise pas Sophie. En contre-partie du plaisir visuel (…et plus) que ça m’apporte et pour permettre à Sophie de ne pas culpabiliser elle s’autorise une partie de lèche. Marc est satisfait de voir que sa femme a une vie sexuelle très satisfaisante. De plus le spectacle de sa femme SE baisant le comble visuellement. Marie profite aussi de la situation en se faisant habilement lècher par Marc. Quant à moi, je crois que j’aurais tort de me plaindre. Le spectacle de ma femme jouissant sous les coups de langue de Marc et de Sophie se branlant sur son « gode » c’est TORRIDE !!!
Et puis un jour … Marc eu cet accident horrible. Hospitalisation, rééducation,…
Marc est resté paraplégique.
Nous les avons aidés et soutenus dans cette épreuve, ce qui nous a encore rapproché.
Un jour Marie me dit : « Sophie m’a dit que Marc était devenu impuissant. Ca doit être terrible. Je ne sais pas comment je ferais si ça t’arrivait. J’ai trop besoin de ta queue ! »
Et moi, en pensant être malin je rajoute : « Je peux lui prêter ma queue si tu veux ! »
Réponse outrée de Marie : « Ta queue m’appartient et je suis trop jalouse pour la partager, jamais je ne supporterai qu’une autre femme te fasse jouir ! » .
Ce jour-là nous en sommes resté là.
Quelque temps plus tard , alors que je prenais une bière avec Marc, il s’épancha et me parla de ses problèmes d’impuissance : « Tu comprends, moi c’est pas grave, de toute façon je n’ai plus de besoin, mais pour Sophie c’est terrible. Je la fais jouir avec ma langue et mes doigts (et là je pense que je suis devenu expert ! ) mais je sens qu’une queue lui manque. J’ai peur qu’un jour elle me trompe car elle aime trop la vie (et le vit). L’idéal ça serait que je lui trouve quelqu’un et que ça reste uniquement sexuel… ». Je ne savais pas quoi lui répondre.
Je rapportai notre conversation à Marie qui resta songeuse…
Un mois plus tard, Marc et Sophie nous invitèrent pour un apéritif.
Avant de nous rendre chez eux, Marie s’est approchée de moi, m’a descendu le pantalon et m’a taillé une pipe dont elle a le secret jusqu’à éjaculation. Je fus agréablement surpris mais je lui fis remarquer qu’elle n’aurait pas le temps de se satisfaire. En effet quand elle me vide rapidement les couilles je sais que c’est parcequ’elle veut longuement profiter de ma queue. Elle a depuis longtemps remarqué que les couilles vidées, je peux bander fort longtemps sans jouir. Et elle sait en profiter! Et dans ce cas, c’est elle qui mène la danse.
Elle me répondit : « C’est pour mieux être en manque, j’attendrai notre retour et là j’en profiterai ».
Agréable fin de soirée en perspective.
Nous nous rendîmes donc chez nos copains. Marie et moi nous installames dans le canapé en face d’eux. Sophie était vêtue de façon plûtot sexy et se trémoussai dans son fauteuil. De plus, ses rires étaient nerveux.
Après quelques verres, Sophie et Marie s’absentèrent dans la cuisine un moment. Quand elle revinrent Sophie prit la parole après avoir ingurgité un autre verre : « Nous avons des choses importantes à vous dire. Si un de vous deux n’est pas d’accord, il le dit, on oublie tout et surtout on reste copains. Ok ? »
Moi interloqué : « ok »
Marc : « ok, promis »
Sophie reprit la parole : « Depuis ton accident, je vois bien que Sophie est en manque. Nous en avons longuement discuté et avons décidé de réagir. Donc, si vous êtes d’accord, j’ai décidé de prêter la queue de mon mari à ma meilleure copine mais uniquement la queue car je suis très jalouse. J’ai expliqué les règles du jeu à Sophie : Elle peut utiliser la queue de mon homme uniquement dans son sexe et se faire du bien avec aussi longtemps qu’elle le souhaite. Mais comme je suis jalouse, je ne veux pas que mon mari en profite trop. Il se mettra donc sur le dos sans bouger et laissera Sophie se débrouiller toute seule. De plus Sophie m’a dit que Marc avait un bon coup de langue, peut-être vais-je en profiter, on verra… A tout moment, un de nous quatre peut interrompre la partie. Pour nous le plus important est que l’amitié reste intacte. Nous nous eclipsons quelques minutes le temps que vous en parliez »
Et elle quittèrent la pièce les joues en feu.
Nous étions estomaqués et un peu gênés.
Marc me regarda et dit en me proposant un autre verre : « Eh bé ! les copines quand elles prennent les choses en main… »
Je commençai à comprendre le pourquoi de la pipe impromptue.
Marc me dit : « Après tout, pourquoi pas, je préfère la voir profiter de ta queue que de savoir qu’elle me trompe. Et en plus, je pense que je ne resterais pas indifférent à sa jouissance, c’est quelque chose que j’apprécie de voir le plaisir monter sur son visage. Je comprends pourquoi elle a insisté pour que je la lèche avant que vous n’arriviez. C’était pour se mettre en forme. Donc pour moi c’est ok.»
« ok pour moi aussi, après tout si je prends mon pied il n’y a pas de raison que Marie n’en profite pas ! Et je lui expliquai que Marie m’avait un peu préparé physiquement. »
Nous rappelames donc nos femmes qui entrèrent dans la pièce en se demandant si elles n’avaient pas gaffé.
« ok, on est d’accord » dis-je.
La gêne s’installa car la théorie c’est bien joli mais la pratique…Nous décidâmes donc de déguster un autre verre histoire de détendre l’atmosphère.
Et bien sûr, encore une fois ce fut nos femmes qui prirent les choses en main !
Sophie s’approcha de son mari et lui dit : « Merci de si bien me comprendre, je t’aime » Et elle l’embrassa fougueusement.
Pendant ce temps Marie s’approcha de moi et m’ota uniquement le pantalon et le slip et m’allongea sur le divan en me disant : « Pour ce dont elle a besoin, il n’est pas nécessaire d’enlever le reste ! »
Là-dessus, elle me suça jusqu’à ce que ma bite soit au top niveau et dit à sa copine : « Allez, viens en profiter, tu verras, je lui ai déjà vidé les couilles tout à l’heure donc tu vas pouvoir t’amuser pendant pas mal de temps. »
Sophie s’approcha de moi et se positionna au dessus de ma queue sans se déshabiller. Quand je lui dit qu’elle serait plus à l’aise toute nue, elle me dit qu’elle préférait rester habillée mais qu’elle avait quand même oté sa culotte. Elle semblait avoir honte mais avait tellement envie d’une bite qu’elle descendit sur ma bite très doucement. Elle était trempée et n’eut aucun mal à s’empaler.
« Ouuuh, que ça fait du bien » dit-elle.
Nous étions 3 spectateurs très intéressés par la suite des évènements mais elle nous dit de ne pas trop la regarder et proposa à sa copine de profiter de la langue de son homme. A mon étonnement Marie ne se fit pas prier. Marc s’allongea sur l’autre canapé et Marie vint positionner sa chatte au dessus de sa langue.
Pendant ce temps Sophie se mit à monter et descendre très lentement sur mon mandrin. Elle avait fermé les yeux et était tout à la recherche de son plaisir.
De voir ces deux femmes profiter de la vie me fit bander encore un peu plus.
« C’est moi ou ta femme qui te fait cet effet ? » me demanda Sophie.
Je lui répondis que j’aimais regarder les femmes s’occuper toutes seules de leur plaisir et qu’il me semblait qu’elle avait l‘ air de SE faire du bien. Elle ne me répondit pas mais continua ses va-et-vient sur ma queue. Son plaisir montait et visiblement elle cherchait à en profiter au maximum. Il est vrai que depuis le temps qu’elle n’avait pas été remplie…
Je jetais un coup d’œil sur ma femme et je vis que chez elle aussi le plaisir était au rendez-vous. Cette constatation, au lieu de me rendre jaloux, me plut énormément.
Je me rendis compte que son plaisir était plus important que le mien. La voir profiter de la vie m’a toujours plu.
Sophie montait et descendait toujours aussi lentement et semblait m’utiliser comme un gode !
Elle finit par jouir en poussant de petits cris et se réfugia dans les bras de son mari mi-honteuse, mi satisfaite. Marc l’ embrassa et la complimenta.
Quelques minutes plus tard, alors que je commençai à débander, Sophie remercia Marie de lui avoir « prêté » son mari et lui dit : « Je suis un peu frustrée car je ne l’ai pas fait jouir. »
Marie lui répondit : « Ce n’est pas mon mari que je te prête, c’est sa queue ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir mais je t’ai dit que tu pouvais en profiter jusqu’à plus soif».
Mais auparavant, je vais le remettre en forme.
Elle vint donc vers moi et me lécha la queue jusqu’à ce que je reprenne forme.
Marc et Sophie admiraient le spectacle.
Sophie semblait dévorer des yeux ma queue.
Une fois ma queue en état et bien luisante, Marie dit à Sophie : « Allez, fais toi du bien à nouveau, profite-en ! »
Marc demanda à sa femme de se déshabiller car il voulait profiter du spectacle.
Il lui dit : « j’aimerais te voir à poil pour profiter un max de ta jouissance, tu sais bien que j’aime te mater quand tu jouis, alors fais-moi ce plaisir et après tout tu peux aussi en faire profiter Paul ! ».
Marie rajouta : « Marc a raison, offre-lui ta jouissance. »
Sophie hésita un moment mais son envie de se faire du bien étant trop forte, elle se déshabilla et nous dit : « ok, je vous laisse me mater mais j’ai l’intention de bien ME baiser et de profiter à fond de ce «gode» ! Si Marie est toujours d’accord, je voudrais mener le jeu afin d’en profiter à fond.»
Marie lui répondit qu’elle était toujours d’accord pour qu’elle profite du «gode» mais uniquement du «gode».
La-dessus Sophie me demanda de m’allonger sur la moquette et de placer un coussin sous mes fesses. Cette position faisait ressortir ma queue tel un étendard.
Sophie se mit à califourchon sur moi en me tournant le dos, puis elle frotta son clito contre mon gland pendant quelques instants et descendit lentement par des petits mouvements de va-et-vient sur mon chibre.
Le spectacle était chaud, TRES CHAUD… J’avais de plus en plus de mal à résister à la tentation de lui donner quelques coups de queue. Pour calmer mon envie de la caresser, je décidais de mettre mes mains derrière ma tête.
Par moments, elle s’enfonçait entièrement le «gode» vivant dans le vagin et roulait des hanches, puis reprenait ses mouvements de haut en bas. A d’autres moments, elle se dressait fièrement au dessus de ma queue puis se penchai en avant. Je pus constater qu ‘elle connaissait très bien son vagin et qu‘elle savait LE faire jouir.
Elle me demanda ensuite de m’asseoir au bord du canapé et de bien écarter les jambes. Elle se mit entre mes jambes le dos tourné et les bras en appui sur la table basse puis s’empala de nouveau sur ma bite. Elle se laissait glisser sur ma bite en pliant les jambes et remontait en les dépliant. Parfois elle se dressait sur ses mains tout en continuant ses mouvements puis elle s’accoudait pour que ma bite masse tous les recoins de son vagin.
Pendant ce temps Marc se rapprocha d’elle et se mit à la caresser en la complimentant de nouveau, en lui disant qu’il la trouvait très belle, qu’il était fier d’avoir une femme qui savait SE faire jouir et montrer sa jouissance.
Je ne voyais pas la tête de Sophie, mais je l’entendis jouir plusieurs fois et je profitai de la superbe vue sur ses fesses.
Après que Sophie eu son content de jouissance, Marie, que ce spectacle avait émoustillé, lui dit qu’elle aimerait bien elle aussi profiter du « gode » et SE faire jouir. Sophie lui laissa la place et se réfugia amoureusement dans les bras de son mari.
Marie se déshabilla rapidement et m’enfourcha tournée vers moi en me disant qu’elle commençait à être sérieusement chaude ! Effectivement, elle dégoulinait et s’empala sans attendre sur son « gode ». Elle entama quelques va-et-vient et me pris les mains qu’elle appliqua sur ses seins.
Je les enlevai en lui disant qu’elle aussi devait SE baiser toute seule et que je voulais uniquement profiter de la vue. Elle me répondit qu’elle ne savait pas si elle y arriverait toute seule.
Marc l’encouragea en lui disant que beaucoup d’hommes aiment voir leur femme se masturber et que là ça ressemblait beaucoup à de la masturbation. Je confirmai ses dires et lui demandait qu’elle m’offre sa jouissance comme Sophie avait offert la sienne à son mari.
Marie reprit donc ses va-et-vient et me regarda droit dans les yeux. Après quelques minutes à ce rythme, elle jouit une première fois.
Je lui dis que je ne tiendrai plus longtemps et que j’allais bientôt jouir.
Elle s’activa violemment sur ma queue et je lachais toute ma semence en elle dans un râle libérateur.
Depuis ce jour, nous organisons des « soirée gode » régulièrement quand ça démange trop fort Sophie. Nous avons interrompu nos séances uniquement quand ils ont voulu avoir un enfant. Dès que Sophie a été enceinte sa libido s’est developpée et nos séances « gode » ont été encore plus chaude !
Cette relation nous satisfait tous les 4 depuis de nombreuses années et nous pensons que la meilleure façon pour que nos relations amicales ne se déteriorent pas c’est justement de considérer que c’est uniquement sexuel d’une part et que le plaisir de Sophie est le plus important. Marie considère pour sa part que le « prêter ma queue n’est pas tromper » à condition que je ne me serve pas des autres parties de mon corps et que je ne baise pas Sophie. En contre-partie du plaisir visuel (…et plus) que ça m’apporte et pour permettre à Sophie de ne pas culpabiliser elle s’autorise une partie de lèche. Marc est satisfait de voir que sa femme a une vie sexuelle très satisfaisante. De plus le spectacle de sa femme SE baisant le comble visuellement. Marie profite aussi de la situation en se faisant habilement lècher par Marc. Quant à moi, je crois que j’aurais tort de me plaindre. Le spectacle de ma femme jouissant sous les coups de langue de Marc et de Sophie se branlant sur son « gode » c’est TORRIDE !!!
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sympa! une méthode comme une autre de rendre service.