Elodie au magasin
Récit érotique écrit par Violette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Elodie au magasin
Ils remontèrent ensuite au niveau du magasin. Le patron les félicita .il avait vu
toute la scène sur son écran de surveillance. Il félicita Jean
-c’est un très bon début
-merci, cela m’a beaucoup plu répliqua Jean
Le vendeur
-on peut faire beaucoup plus ici vous savez
Jean
-j’ai vu des choses qui m’ont donné des idées
Le vendeur
-la porte vous est grande ouverte si vous désirez faire des expériences
Jean
-encore merci, je pense que je la ramènerai quand elle aura fait un peu de progrès
Le vendeur
-à votre service
Ils quittèrent le sex-shop pour rentrer au bureau.
Dés leur entrée Jean dit à Elodie
-enlève ton pantalon et penche-toi sur le bureau.
Elle s’exécuta. Jean ouvrit la boite de godes et sorti le tube de gel. On va essayer
ce nouveau matériel.
-oui maitre
-Ecarte bien tes fesses
Elodie, pliée sur le meuble, écarte largement ses fesses à l’aide de ses mains. Jean
lui enduisit la rosette de gel et lui massa le trou. Il fit pénétrer du gel. Le doigt
glissait tout seul. Sous cette caresse, Elodie se détendait et commençait à prendre du
plaisir. Elle laissait entendre de petits gémissements pendant que Jean faisait aller
et venir son doigt. Il enduisit de gel deux doigts qu’il vint presser sur la rosette.
Doucement les doigts pénétrèrent. Elodie s’accrochait au bureau. Elle ressentait de
plus en plus de plaisir. Il prit alors le petit gode et lui glissât dans l’anus. Il le
lâcha mais le gode ressortait aussitôt. Il fut surpris avec quelle aisance elle avait
pris ce gode.
- ça te plait salope !
- -oh oui maitre c’est délicieux
Jean poussa le gode à fond et dit
-serres tes fesses maintenant pour tenir le gode
Mais ca glissait tant qu’il ressorti tout de même
Jean dit
-celui là est trop petit pour toi, je vais prendre le deuxième
-oui maitre, comme il vous plaira
Il se saisit du gode, posa quelques gouttes de gel sut la pointe. Il le présenta
devant le fion et le rentra d’une seule poussée. Elodie émit un petit cri.
-tais toi salope et serres les fesses
Les sphincters se resserrèrent et cette fois le gode resta planté. Jean ne pu se
retenir, il lui claqua généreusement les fesses.
- pour t’apprendre à te taire, tu dois supporter en silence
Elodie gémissait, abandonnée sur le bureau, appréciant les bienfaits du gode. Les
fesses brulantes et le cul ouvert lui irradiaient le ventre.
-maintenant redresses toi et remet ton string
Elodie se remit debout replaça sa culotte.
- tu ne remets pas ton pantalon mais enfile ça dit Jean en lui tendant sa mini
jupe
- Elodie se vêtit
- Très bien, tu restes comme ça jusqu’à ce soir, et gares à toi si tu perds le
god
- Oui maitre je vais faire attention.
Elle alla s’asseoir à sa place
-écartes bien les fesses avant de t’asseoir que le gode soit bien profond, ordonna
Jean
-et gardes les jambes bien ouvertes, je t’interdis de les fermer quelques soient les
circonstances
-bien maitre dit Elodie très obéissante.
De sa place, Jean pouvait voire les jambes d’Elodie le haut des bas tendus par le
porte- jarretelle, ainsi que le string.
Ils reprirent leur travail, bien qu’il soit difficile de travailler dans ces
conditions. De plus de temps en temps jean faisait lever Elodie. Elle devait faire
plusieurs fois le tour du bureau et retourner s’asseoir de façon à faire bouger le
gode.
La fin de la journée s’annonçait, Jean fit venir Elodie et lui retira son gode.
-maintenant, tu peux te changer et rentrer chez toi
-bien maitre
-demain je te rentrerai le plus gros, on n’a pas de temps à perdre
- si vous le souhaitez maitre
- et toujours en tenue sexy, bien sur
-Bien entendu maitre
Le lendemain, Jean avait plusieurs idées en tête. Il n’avait pas arrêté de penser à
Elodie, il était déjà excité.
Elodie se présenta devant son bureau. Jean en la regardant lui dit
-alors bien dormi
-oh oui maitre j’étais heureuse
-ce n’est que le début
-je sais maitre, et je suis toujours prête à vous satisfaire
-très bien alors, enlèves ce pantalon et couche toi sur le bureau.
Elodie s’exécuta
Jean vint derrière elle, lui enfonça l’embout du tube de gel et pressa fortement. Le
cul d’Elodie était inondé de gel. Il saisit le troisième gode et commença à le
rentrer. Il sentait de la résistance .Par des va et viens, il assouplissait le cul
d’Elodie qui s’ouvrait de plus en plus. Puis il donna un coup qui propulsa tout le
gode dans le fondement d’Elodie. Elle eut un sursaut. Jean lui claqua immédiatement
les fesses
-je t’avais dit de ne pas bouger, va me chercher la cravache
Elle ouvrit un placard et revint offrir la cravache à son maitre
- remets-toi sur le bureau
Jean lui appliqua une vingtaine de coups, les fesses étaient bien striées. Elodie
avait les larmes aux yeux, le cul ouvert et brulant mais elle était heureuse d’avoir
enfin trouvé son éducateur.
Jean :
-c’est bien, mets toi a genoux et suces moi
Elodie ouvrit le pantalon de son maitre, sortit la bite et se précipita dessus .elle
l’engloutit au plus profond de sa gorge et la pompa avec ardeur. Jean lui mit les
mains derrière la tête et lui baisa la bouche. Il déchargea tout son jus qu’Elodie
s’empressa d’avaler. Puis elle pressa la queue et la lécha pour ne pas en perdre une
goutte
Jean :
-rhabilles toi et au boulot, on doit sortir cet après midi
En fin de matinée Jean, Jean s’aperçut qu’il n’arriverait pas à terminer son boulot.
Il se décida donc à téléphoner au magasin de vêtements
-bonjour madame, je suis jean, le maitre d’Elodie
-bonjour je me souviens bien de vous
-est ce que je peux vous envoyer Elodie
-bien sur, ce serait pour quoi ?
-pour une paire d’escarpins à talons hauts
- pas de problèmes nous faisons cet article
-mais, voila, pourriez vous lui apprendre à marcher avec ces chaussures ?
- oh, mais ca va nous prendre du temps tout ça ; je veux bien mais j’en fais ce que je
veux
- d’accord je vous la prête, vous pouvez être sévère.
- envoyer la moi pour midi
- très bien elle sera là
Jean fit venir Elodie et la plaquant sur le bureau lui retira le gode et lui dit
- rhabilles toi, tu vas aller au magasin, la patronne t’attend pour midi. elle
sait ce qu’il te faut
- très bien maitre
Un peu avant midi, Elodie poussait la porte du magasin.
- bonjour madame
- bonjour Elodie, je vous attendais, mais appelez moi Claudine
- Bonjour Claudine
- nous allons commencer tout de suite car il y a du travail
- comme il vous plaira Claudine
- jean vous a prévenu que vous deviez m’obéir
- Oui, il m’a dit que je vous étais prêtée
- Bien, nous devons déjà trouver des escarpins à hauts talons. quelle est votre
pointure ?
- je fais du 40
Claudine choisit plusieurs boites dans le rayon et revint vers Elodie
- je vais vous enlever le pantalon, ce sera mieux pour les essayages
Elodie commença à le dégrafer
- non s’écria Claudine, c’est moi qui le fait, vous ne bougez pas
- à vos ordres Claudine répondit Elodie
Claudine s‘ agenouilla et ouvrit le pantalon puis le descendit doucement. Elodie se
retrouva en string et porte jarretelles au milieu du magasin. Elle était un peu
angoissée tout de même à l’idée qu’une cliente pénètre dans le magasin et se retrouve
face à lui.
Surtout elle ne savait pas quel comportement elle devrait adopter
Claudine lui caressa le sexe au dessus du string
-tu as un beau sexe, je vais te faire bander
Claudine baissa le string à mi jambe, lui empoigna la bite d’une main et les couilles
de l’autre
Sous cette double caresse Elodie commença à bander
-hum !! , dit Claudine, c’est une belle queue, le gland bien décalotté comme j’aime
Elle la prit en bouche et se mit à la téter .ce qui amena Elodie au mieux de sa forme
-maintenant que tu bandes bien, je veux que tu restes en forme le temps de l’essayage
et elle lui enleva le string. Elle lui enfila une paire d’escarpins. Elodie avait du
mal à trouver l’équilibre sur ses talons .Claudine lui attrapa le sexe et le branla
doucement pour qu’il reste bien raide, ce qui ne facilitait pas les choses .puis elle
le tira par la queue en lui disant « avance » ; Elodie commença à faire ses premiers
pas avec quelques difficultés puis s’habituant elle marcha mieux .Claudine lui lâcha
le sexe et lui ordonna
-marche dans le magasin, va jusqu'à la porte et fait des aller retour
Elodie s’exerça mais au moment ou elle se trouvait devant la porte un homme se
présenta et entra dans le magasin
Surpris il regarda Claudine et lui dit
- vous faites ce genre d’article aussi
- oh c’est juste pour rendre service à un ami, je l’habille et l’entraine un peu
- enfin je venais chercher les vêtements pour ma femme qui devait être prêt
aujourd’hui
- oui, c’est là, je vous les emballe tout de suite
L’homme s’approcha du comptoir mais ne quittait pas Elodie des yeux
Claudine s’approcha de l’homme et lui chuchota quelques instants à l’oreille
L’homme acquiesça avec un grand sourire.
Alors Claudine fit agenouiller Elodie derrière un rayon, l’homme s’approcha sans rien
dire, ouvrit son pantalon et prenant la tête d’Elodie lui tendit sa bite encore molle
et l’obligeât à avaler le sexe présenté qui n’était pas très grand mais très épais
Claudine s’approchant dit
- allez Elodie mets les mains dans le dos et fais jouir monsieur
Elodie aspirait le gland et l’amenai aussi loin que possible dans sa bouche .la tige
s’allongeait et durcissait alors que le gland gonflait encore.
Claudine dit à l’homme
-vous pouvez lui bourrer la bouche et jouir dedans
Tenant toujours la tête d’Elodie l’homme lui enfonçait sa queue au plus profond de la
gorge.
Faisant des aller retour de plus en plus rapide et d’un coup il se bloqua, enfoncé
au maximum et inonda la bouche d’Elodie, lâchant son jus par saccades. Elodie
suffoquait, la gorge bloquée par le gland, la bouche inondée de sperme. L’homme se
retira légèrement, ce qui permit à Elodie de respirer et d’avaler tout ce jus .puis
elle nettoya consciencieusement cette queue avec sa langue, l’aspirant et la pressant
pour en sortir les dernières gouttes.
L’homme quitta alors le magasin en disant
-vraiment bien je repasserai si cela ne vous dérange pas
- bien sur quand vous voudrez répondit Claudine
Puis s’adressant à Elodie elle lui dit
Je vais te prêter une jupe et tu rentreras comme ça chez ton maitre
Elodie rougit de peur de honte et de plaisir et se rhabilla
Claudine la regardant lui dit
-il te manque quelque chose, ne bouges pas
Elle revint avec une perruque aux cheveux mi longs et la mis en place sur Elodie
-Voila c’est beaucoup mieux comme cela
Et c’est en bas, mini jupe et perché sur ses hauts talons qu’Elodie regagna le bureau.
toute la scène sur son écran de surveillance. Il félicita Jean
-c’est un très bon début
-merci, cela m’a beaucoup plu répliqua Jean
Le vendeur
-on peut faire beaucoup plus ici vous savez
Jean
-j’ai vu des choses qui m’ont donné des idées
Le vendeur
-la porte vous est grande ouverte si vous désirez faire des expériences
Jean
-encore merci, je pense que je la ramènerai quand elle aura fait un peu de progrès
Le vendeur
-à votre service
Ils quittèrent le sex-shop pour rentrer au bureau.
Dés leur entrée Jean dit à Elodie
-enlève ton pantalon et penche-toi sur le bureau.
Elle s’exécuta. Jean ouvrit la boite de godes et sorti le tube de gel. On va essayer
ce nouveau matériel.
-oui maitre
-Ecarte bien tes fesses
Elodie, pliée sur le meuble, écarte largement ses fesses à l’aide de ses mains. Jean
lui enduisit la rosette de gel et lui massa le trou. Il fit pénétrer du gel. Le doigt
glissait tout seul. Sous cette caresse, Elodie se détendait et commençait à prendre du
plaisir. Elle laissait entendre de petits gémissements pendant que Jean faisait aller
et venir son doigt. Il enduisit de gel deux doigts qu’il vint presser sur la rosette.
Doucement les doigts pénétrèrent. Elodie s’accrochait au bureau. Elle ressentait de
plus en plus de plaisir. Il prit alors le petit gode et lui glissât dans l’anus. Il le
lâcha mais le gode ressortait aussitôt. Il fut surpris avec quelle aisance elle avait
pris ce gode.
- ça te plait salope !
- -oh oui maitre c’est délicieux
Jean poussa le gode à fond et dit
-serres tes fesses maintenant pour tenir le gode
Mais ca glissait tant qu’il ressorti tout de même
Jean dit
-celui là est trop petit pour toi, je vais prendre le deuxième
-oui maitre, comme il vous plaira
Il se saisit du gode, posa quelques gouttes de gel sut la pointe. Il le présenta
devant le fion et le rentra d’une seule poussée. Elodie émit un petit cri.
-tais toi salope et serres les fesses
Les sphincters se resserrèrent et cette fois le gode resta planté. Jean ne pu se
retenir, il lui claqua généreusement les fesses.
- pour t’apprendre à te taire, tu dois supporter en silence
Elodie gémissait, abandonnée sur le bureau, appréciant les bienfaits du gode. Les
fesses brulantes et le cul ouvert lui irradiaient le ventre.
-maintenant redresses toi et remet ton string
Elodie se remit debout replaça sa culotte.
- tu ne remets pas ton pantalon mais enfile ça dit Jean en lui tendant sa mini
jupe
- Elodie se vêtit
- Très bien, tu restes comme ça jusqu’à ce soir, et gares à toi si tu perds le
god
- Oui maitre je vais faire attention.
Elle alla s’asseoir à sa place
-écartes bien les fesses avant de t’asseoir que le gode soit bien profond, ordonna
Jean
-et gardes les jambes bien ouvertes, je t’interdis de les fermer quelques soient les
circonstances
-bien maitre dit Elodie très obéissante.
De sa place, Jean pouvait voire les jambes d’Elodie le haut des bas tendus par le
porte- jarretelle, ainsi que le string.
Ils reprirent leur travail, bien qu’il soit difficile de travailler dans ces
conditions. De plus de temps en temps jean faisait lever Elodie. Elle devait faire
plusieurs fois le tour du bureau et retourner s’asseoir de façon à faire bouger le
gode.
La fin de la journée s’annonçait, Jean fit venir Elodie et lui retira son gode.
-maintenant, tu peux te changer et rentrer chez toi
-bien maitre
-demain je te rentrerai le plus gros, on n’a pas de temps à perdre
- si vous le souhaitez maitre
- et toujours en tenue sexy, bien sur
-Bien entendu maitre
Le lendemain, Jean avait plusieurs idées en tête. Il n’avait pas arrêté de penser à
Elodie, il était déjà excité.
Elodie se présenta devant son bureau. Jean en la regardant lui dit
-alors bien dormi
-oh oui maitre j’étais heureuse
-ce n’est que le début
-je sais maitre, et je suis toujours prête à vous satisfaire
-très bien alors, enlèves ce pantalon et couche toi sur le bureau.
Elodie s’exécuta
Jean vint derrière elle, lui enfonça l’embout du tube de gel et pressa fortement. Le
cul d’Elodie était inondé de gel. Il saisit le troisième gode et commença à le
rentrer. Il sentait de la résistance .Par des va et viens, il assouplissait le cul
d’Elodie qui s’ouvrait de plus en plus. Puis il donna un coup qui propulsa tout le
gode dans le fondement d’Elodie. Elle eut un sursaut. Jean lui claqua immédiatement
les fesses
-je t’avais dit de ne pas bouger, va me chercher la cravache
Elle ouvrit un placard et revint offrir la cravache à son maitre
- remets-toi sur le bureau
Jean lui appliqua une vingtaine de coups, les fesses étaient bien striées. Elodie
avait les larmes aux yeux, le cul ouvert et brulant mais elle était heureuse d’avoir
enfin trouvé son éducateur.
Jean :
-c’est bien, mets toi a genoux et suces moi
Elodie ouvrit le pantalon de son maitre, sortit la bite et se précipita dessus .elle
l’engloutit au plus profond de sa gorge et la pompa avec ardeur. Jean lui mit les
mains derrière la tête et lui baisa la bouche. Il déchargea tout son jus qu’Elodie
s’empressa d’avaler. Puis elle pressa la queue et la lécha pour ne pas en perdre une
goutte
Jean :
-rhabilles toi et au boulot, on doit sortir cet après midi
En fin de matinée Jean, Jean s’aperçut qu’il n’arriverait pas à terminer son boulot.
Il se décida donc à téléphoner au magasin de vêtements
-bonjour madame, je suis jean, le maitre d’Elodie
-bonjour je me souviens bien de vous
-est ce que je peux vous envoyer Elodie
-bien sur, ce serait pour quoi ?
-pour une paire d’escarpins à talons hauts
- pas de problèmes nous faisons cet article
-mais, voila, pourriez vous lui apprendre à marcher avec ces chaussures ?
- oh, mais ca va nous prendre du temps tout ça ; je veux bien mais j’en fais ce que je
veux
- d’accord je vous la prête, vous pouvez être sévère.
- envoyer la moi pour midi
- très bien elle sera là
Jean fit venir Elodie et la plaquant sur le bureau lui retira le gode et lui dit
- rhabilles toi, tu vas aller au magasin, la patronne t’attend pour midi. elle
sait ce qu’il te faut
- très bien maitre
Un peu avant midi, Elodie poussait la porte du magasin.
- bonjour madame
- bonjour Elodie, je vous attendais, mais appelez moi Claudine
- Bonjour Claudine
- nous allons commencer tout de suite car il y a du travail
- comme il vous plaira Claudine
- jean vous a prévenu que vous deviez m’obéir
- Oui, il m’a dit que je vous étais prêtée
- Bien, nous devons déjà trouver des escarpins à hauts talons. quelle est votre
pointure ?
- je fais du 40
Claudine choisit plusieurs boites dans le rayon et revint vers Elodie
- je vais vous enlever le pantalon, ce sera mieux pour les essayages
Elodie commença à le dégrafer
- non s’écria Claudine, c’est moi qui le fait, vous ne bougez pas
- à vos ordres Claudine répondit Elodie
Claudine s‘ agenouilla et ouvrit le pantalon puis le descendit doucement. Elodie se
retrouva en string et porte jarretelles au milieu du magasin. Elle était un peu
angoissée tout de même à l’idée qu’une cliente pénètre dans le magasin et se retrouve
face à lui.
Surtout elle ne savait pas quel comportement elle devrait adopter
Claudine lui caressa le sexe au dessus du string
-tu as un beau sexe, je vais te faire bander
Claudine baissa le string à mi jambe, lui empoigna la bite d’une main et les couilles
de l’autre
Sous cette double caresse Elodie commença à bander
-hum !! , dit Claudine, c’est une belle queue, le gland bien décalotté comme j’aime
Elle la prit en bouche et se mit à la téter .ce qui amena Elodie au mieux de sa forme
-maintenant que tu bandes bien, je veux que tu restes en forme le temps de l’essayage
et elle lui enleva le string. Elle lui enfila une paire d’escarpins. Elodie avait du
mal à trouver l’équilibre sur ses talons .Claudine lui attrapa le sexe et le branla
doucement pour qu’il reste bien raide, ce qui ne facilitait pas les choses .puis elle
le tira par la queue en lui disant « avance » ; Elodie commença à faire ses premiers
pas avec quelques difficultés puis s’habituant elle marcha mieux .Claudine lui lâcha
le sexe et lui ordonna
-marche dans le magasin, va jusqu'à la porte et fait des aller retour
Elodie s’exerça mais au moment ou elle se trouvait devant la porte un homme se
présenta et entra dans le magasin
Surpris il regarda Claudine et lui dit
- vous faites ce genre d’article aussi
- oh c’est juste pour rendre service à un ami, je l’habille et l’entraine un peu
- enfin je venais chercher les vêtements pour ma femme qui devait être prêt
aujourd’hui
- oui, c’est là, je vous les emballe tout de suite
L’homme s’approcha du comptoir mais ne quittait pas Elodie des yeux
Claudine s’approcha de l’homme et lui chuchota quelques instants à l’oreille
L’homme acquiesça avec un grand sourire.
Alors Claudine fit agenouiller Elodie derrière un rayon, l’homme s’approcha sans rien
dire, ouvrit son pantalon et prenant la tête d’Elodie lui tendit sa bite encore molle
et l’obligeât à avaler le sexe présenté qui n’était pas très grand mais très épais
Claudine s’approchant dit
- allez Elodie mets les mains dans le dos et fais jouir monsieur
Elodie aspirait le gland et l’amenai aussi loin que possible dans sa bouche .la tige
s’allongeait et durcissait alors que le gland gonflait encore.
Claudine dit à l’homme
-vous pouvez lui bourrer la bouche et jouir dedans
Tenant toujours la tête d’Elodie l’homme lui enfonçait sa queue au plus profond de la
gorge.
Faisant des aller retour de plus en plus rapide et d’un coup il se bloqua, enfoncé
au maximum et inonda la bouche d’Elodie, lâchant son jus par saccades. Elodie
suffoquait, la gorge bloquée par le gland, la bouche inondée de sperme. L’homme se
retira légèrement, ce qui permit à Elodie de respirer et d’avaler tout ce jus .puis
elle nettoya consciencieusement cette queue avec sa langue, l’aspirant et la pressant
pour en sortir les dernières gouttes.
L’homme quitta alors le magasin en disant
-vraiment bien je repasserai si cela ne vous dérange pas
- bien sur quand vous voudrez répondit Claudine
Puis s’adressant à Elodie elle lui dit
Je vais te prêter une jupe et tu rentreras comme ça chez ton maitre
Elodie rougit de peur de honte et de plaisir et se rhabilla
Claudine la regardant lui dit
-il te manque quelque chose, ne bouges pas
Elle revint avec une perruque aux cheveux mi longs et la mis en place sur Elodie
-Voila c’est beaucoup mieux comme cela
Et c’est en bas, mini jupe et perché sur ses hauts talons qu’Elodie regagna le bureau.
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