EMILE et BEA 1. Une improbable rencontre
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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EMILE et BEA 1. Une improbable rencontre
Nota : Ce texte est le fruit d’une rencontre scripturale entre Emile (auteur déjà publié) et Bea (lectrice pleine d’envies) qui ont su mettre en commun leurs imaginaires. Les protagonistes de l’histoire, bien que leurs homonymes, sont des personnages de fiction dotés d’une identité et d’une personnalité propres.
Le ciel est noir. Les gigantesques peupliers de la ripisylve commencent à s’agiter de façon impressionnante. La rivière a pris les couleurs de la voute céleste et déroule son inquiétant ruban au bord de la petite route déserte. C’est l’été et la chaleur orageuse est à son zénith. Emile se félicite de son habillement minimaliste : Short, T-Shirt, mini chaussettes à même la peau. De taille moyenne, d’une rondeur rassurante, il a retrouvé depuis quelques années de l’estime pour ce corps considérablement alourdi par l’arrêt du tabac. Son visage lisse et avenant, ses cheveux souples et argentés, lui ont permis de garder de lui une image positive. Il se plaît le plus dévêtu possible selon les circonstances. Il randonne léger. Son petit sac à dos et ses chaussures de randonnée le font déjà suffisamment transpirer. Après les rafales sous grain, arrivent les premières gouttes, brutales, violentes. Aux bouquets de feuilles arrachées succède un vol de branches mortes. Emile enfile sa cape de pluie tout en restant vigilant aux projections des arbres. Un éclair illumine, en surplomb du chemin, une grande maison récente sur deux niveaux précédée d’une grande terrasse bordant une piscine. Reliée à la maison par une élégante véranda, elle est peuplée d’un nombreux mobilier de jardin que le vent violent soulève et renverse à son gré.
Au centre de la terrasse, une forme féminine de taille moyenne mène le combat pour essayer de mettre à l’abri les quelques éléments de mobilier les plus fragiles. Pour lutter contre les éléments, elle est contrainte d’avancer courbée les jambes écartées et fléchies pour s’ancrer au sol. Elle fait un dernier va et vient de la terrasse à la véranda puis se redresse donnant à voir sa plastique agréable. Emile oublie la nécessaire vigilance et l’observe au mépris de sa propre sécurité. Elle a un physique aux belles proportions et aux courbes régulières. Sa poitrine fièrement dressée, sa taille fine, ses fesses aux courbes voluptueuses, ses cuisses fuselées, son visage tout en douceur fascinent. Perchée sur d’élégants escarpins, sa très courte jupe laisse voir ses longues jambes fuselées, joliment dessinées et des mollets au galbe gracieux. Un bustier au décolleté plongeant met en valeur des seins de belle proportion, sans soutien apparent, et pour autant d’une fermeté qui appelle la caresse. Emile est fasciné par l’apparition et ne prête plus aucune attention aux éléments. C’est à ce moment qu’une branche, arrachée par la tempête, heurte violemment son front. Il tombe à la renverse et se retrouve sonné, assis dans une flaque, incapable de comprendre ce qui lui arrive.
Quelques secondes passent puis une voix mélodieuse toute proche s’enquiert : « Ça va ? Vous avez mal ? ». Puis la jolie poitrine s’offre à la contemplation en gros plan alors qu’une main fine et douce élimine l’eau mêlée de sang de devant ses yeux. Le visage doux apparait surmonté d’une courte coiffure châtain et argent dans laquelle l’orage sculpte de petits ruisseaux sauvages. « Venez ! » dit-elle. Elle aide Emile à se relever et le soutient jusqu’à l’entrée de la véranda toujours entrouverte. Elle lui ôte sa cape de pluie et ressort la mettre à égoutter sous un appentis. Elle sèche son visage puis désinfecte la petite plaie au milieu du front créée par le choc. Pas plus de trois bandes de stéri-strip seront nécessaires pour la suturer. « Bienvenue chez moi ! Je m’appelle Bea. » dit la jolie naïade dont les vêtements détrempés épousent un peu trop les courbes. Emile est sans voix et ne cesse de la déshabiller du regard. « Je vois que ça va mieux ! » dit Bea en riant « Je propose que nous mettions nos vêtements à égoutter sous la véranda avant d’entrer dans la maison. »
Elle se livre alors à un strip-tease laborieux tant sa vêture a du mal à glisser sur sa peau. La voici nue armée d’une serviette qui s’agite sur ses cheveux et son corps puis pénètre soigneusement son intimité humide de pluie. Emile est ému de cette jolie apparition. Il réalise alors qu’ils sont tous deux visibles depuis la route et en savoure d’autant plus l’audace. Rougissante, elle s’éclipse et revient armée de deux draps de bain immaculés. Elle s’approche alors et lui sèche les cheveux avec l’un d’eux comme on le ferait à un enfant. Attentive à sa blessure, elle ôte son T-shirt avec délicatesse et lui sèche son torse soigneusement épilé, humide de transpiration. « Dommage ! » dit-elle « J’aurais préféré une opulente toison ! ». Emile a le cœur qui bat la chamade et reste sans voix. Bea continue son exploration jusqu’à la nudité complète de son interlocuteur. « Emile ! » murmure-t-il, ridiculement nu, en tendant la main. Celle-ci reste suspendue dans le vide. Bea sourit et dépose un chaste baiser sur sa joue. Elle le couvre de l’une des étoffes et s’enroule avec dignité dans la deuxième, tels des sénateurs romains. Ils s’assoient dans les confortables fauteuils de la véranda et restent ainsi, muets, encore impressionnés par cette découverte intime de l’autre si promptement dictée par les éléments.
Nos deux protagonistes se sentent entravés dans leur toge au tissu épais qui ralentit tout geste. Emile n’ose bouger par peur du ridicule et se contorsionne à minima. Il a la tête remplie des beautés intimes de son interlocutrice et s’applique à en conserver l’image mentale. Bea, plus à l’aise avec ce tissus noué au-dessus de sa remarquable poitrine, bouge avec davantage d’aisance. Le silence devient pesant. Elle propose de servir boissons chaudes ou froides qui sont les breuvages adaptés à ce moment de l’après-midi. Il la suit des yeux puis se lève pour l’accompagner jusqu’à la cuisine. Sa démarche est pataude entravée par la serviette et, il faut bien le dire, par un début d’érection vite calmée. L’une opte pour un thé, l’autre pour un café. Deux verres d’orangeade viennent étancher leur soif. Dehors le tonnerre gronde, les éclairs illuminent la vallée, la pluie redouble d’intensité et son vacarme envahit l’espace clos. Nouveau moment de silence à peine interrompu par la dégustation des breuvages.
Ils décident de retourner sous la véranda pour profiter du spectacle. Ils restent là presqu’une heure, installés côte à côte, conscients de vivre un moment exceptionnel. Le spectacle est aussi inquiétant que féérique. Éclairs et tonnerre se rapprochent. La lumière allumée dans le salon tout proche disparaît brutalement puis revient. Bea frémit, Emile lui saisit la main d’un geste protecteur. Lorsque les éléments se calment, sans doute guidés par cette intimité circonstancielle, ils partagent quelques éléments de leur histoire récente. Emile parle de son intense isolement lié à la maladie de ses proches et à la perpétuelle dramatisation des réunions de famille qu’il fuit désormais. Il dit son impression d’être instrumentalisé pour maintenir un lien qui ne demande qu’à se distendre. Bea, mère au foyer, confesse qu’elle a perdu ses repères lors du départ de ses enfants pour vivre leur vie d’adultes. Elle se sent peu utile. Son conjoint, largement à l’âge de la retraite, continue à faire tourner son imprimerie pour garder la vie sociale qui va avec. Il est souvent absent pour d’interminables démarches commerciales lointaines. Ces échanges créent une nouvelle chaleur humaine qui se traduit par une plus grande mobilité des corps. Les serviettes se distendent et livrent quelques petits bouts de peau à l’instant encore cachés. Le vide commun de leurs vies familiales les rapproche. Leur intimité à demi dévoilée devient naturelle. Un sein se montre jusqu’à sa pointe tandis qu’en face un genou puis une cuisse se découvrent. Ils s’animent, parlent de leurs convictions humanistes en évitant soigneusement tout sujet qui pourrait fâcher. A l’évidence, ils ont envie de se plaire.
Lorsque l’orage cesse, nous sommes aux dernières lueurs du jour à cause d’une couverture nuageuse encore sombre. Un frêle rayon de soleil illumine un bref espace dans le lointain. Emile annonce qu’il doit retourner vers son domicile ou il est attendu. Bea lui propose de remettre un peu d’ordre dans sa toilette et l’accompagne à l’étage vers la salle de bains. Celle-ci jouxte deux chambres aux portes ouvertes dont l’une apparemment inhabitée. Ils ôtent leurs draps de bain et, au moment de s’habiller à nouveau, sont soudain attirés irrésistiblement l’un vers l’autre. Les deux corps nus s’unissent, s’embrassent et se caressent. L’émotion les saisit, violente et incroyablement tendre. Les zones explorées deviennent plus intimes et leur respiration devient oppressée. Cuisse contre cuisse, sexe contre sexe, sein contre sein, mains glissant du dos à la courbe des reins puis aux fesses, ils en sont aux délices de la découverte. Ils restent toutefois conscients qu’il n’est plus temps d’aller plus avant et se séparent à regret. Leurs doigts restent encore quelques secondes aimantés par le corps de l’autre. Emile se contorsionne pour enfiler ses habits encore à moitié humides. Bea le contemple sans pudeur excessive et murmure : « Tu reviendras ? ». Elle n’est pas encore complétement vêtue lorsque, sa cape de pluie récupérée, il disparait par le jardin dans la nuit tombante en murmurant « A bientôt ! ».
Le ciel est noir. Les gigantesques peupliers de la ripisylve commencent à s’agiter de façon impressionnante. La rivière a pris les couleurs de la voute céleste et déroule son inquiétant ruban au bord de la petite route déserte. C’est l’été et la chaleur orageuse est à son zénith. Emile se félicite de son habillement minimaliste : Short, T-Shirt, mini chaussettes à même la peau. De taille moyenne, d’une rondeur rassurante, il a retrouvé depuis quelques années de l’estime pour ce corps considérablement alourdi par l’arrêt du tabac. Son visage lisse et avenant, ses cheveux souples et argentés, lui ont permis de garder de lui une image positive. Il se plaît le plus dévêtu possible selon les circonstances. Il randonne léger. Son petit sac à dos et ses chaussures de randonnée le font déjà suffisamment transpirer. Après les rafales sous grain, arrivent les premières gouttes, brutales, violentes. Aux bouquets de feuilles arrachées succède un vol de branches mortes. Emile enfile sa cape de pluie tout en restant vigilant aux projections des arbres. Un éclair illumine, en surplomb du chemin, une grande maison récente sur deux niveaux précédée d’une grande terrasse bordant une piscine. Reliée à la maison par une élégante véranda, elle est peuplée d’un nombreux mobilier de jardin que le vent violent soulève et renverse à son gré.
Au centre de la terrasse, une forme féminine de taille moyenne mène le combat pour essayer de mettre à l’abri les quelques éléments de mobilier les plus fragiles. Pour lutter contre les éléments, elle est contrainte d’avancer courbée les jambes écartées et fléchies pour s’ancrer au sol. Elle fait un dernier va et vient de la terrasse à la véranda puis se redresse donnant à voir sa plastique agréable. Emile oublie la nécessaire vigilance et l’observe au mépris de sa propre sécurité. Elle a un physique aux belles proportions et aux courbes régulières. Sa poitrine fièrement dressée, sa taille fine, ses fesses aux courbes voluptueuses, ses cuisses fuselées, son visage tout en douceur fascinent. Perchée sur d’élégants escarpins, sa très courte jupe laisse voir ses longues jambes fuselées, joliment dessinées et des mollets au galbe gracieux. Un bustier au décolleté plongeant met en valeur des seins de belle proportion, sans soutien apparent, et pour autant d’une fermeté qui appelle la caresse. Emile est fasciné par l’apparition et ne prête plus aucune attention aux éléments. C’est à ce moment qu’une branche, arrachée par la tempête, heurte violemment son front. Il tombe à la renverse et se retrouve sonné, assis dans une flaque, incapable de comprendre ce qui lui arrive.
Quelques secondes passent puis une voix mélodieuse toute proche s’enquiert : « Ça va ? Vous avez mal ? ». Puis la jolie poitrine s’offre à la contemplation en gros plan alors qu’une main fine et douce élimine l’eau mêlée de sang de devant ses yeux. Le visage doux apparait surmonté d’une courte coiffure châtain et argent dans laquelle l’orage sculpte de petits ruisseaux sauvages. « Venez ! » dit-elle. Elle aide Emile à se relever et le soutient jusqu’à l’entrée de la véranda toujours entrouverte. Elle lui ôte sa cape de pluie et ressort la mettre à égoutter sous un appentis. Elle sèche son visage puis désinfecte la petite plaie au milieu du front créée par le choc. Pas plus de trois bandes de stéri-strip seront nécessaires pour la suturer. « Bienvenue chez moi ! Je m’appelle Bea. » dit la jolie naïade dont les vêtements détrempés épousent un peu trop les courbes. Emile est sans voix et ne cesse de la déshabiller du regard. « Je vois que ça va mieux ! » dit Bea en riant « Je propose que nous mettions nos vêtements à égoutter sous la véranda avant d’entrer dans la maison. »
Elle se livre alors à un strip-tease laborieux tant sa vêture a du mal à glisser sur sa peau. La voici nue armée d’une serviette qui s’agite sur ses cheveux et son corps puis pénètre soigneusement son intimité humide de pluie. Emile est ému de cette jolie apparition. Il réalise alors qu’ils sont tous deux visibles depuis la route et en savoure d’autant plus l’audace. Rougissante, elle s’éclipse et revient armée de deux draps de bain immaculés. Elle s’approche alors et lui sèche les cheveux avec l’un d’eux comme on le ferait à un enfant. Attentive à sa blessure, elle ôte son T-shirt avec délicatesse et lui sèche son torse soigneusement épilé, humide de transpiration. « Dommage ! » dit-elle « J’aurais préféré une opulente toison ! ». Emile a le cœur qui bat la chamade et reste sans voix. Bea continue son exploration jusqu’à la nudité complète de son interlocuteur. « Emile ! » murmure-t-il, ridiculement nu, en tendant la main. Celle-ci reste suspendue dans le vide. Bea sourit et dépose un chaste baiser sur sa joue. Elle le couvre de l’une des étoffes et s’enroule avec dignité dans la deuxième, tels des sénateurs romains. Ils s’assoient dans les confortables fauteuils de la véranda et restent ainsi, muets, encore impressionnés par cette découverte intime de l’autre si promptement dictée par les éléments.
Nos deux protagonistes se sentent entravés dans leur toge au tissu épais qui ralentit tout geste. Emile n’ose bouger par peur du ridicule et se contorsionne à minima. Il a la tête remplie des beautés intimes de son interlocutrice et s’applique à en conserver l’image mentale. Bea, plus à l’aise avec ce tissus noué au-dessus de sa remarquable poitrine, bouge avec davantage d’aisance. Le silence devient pesant. Elle propose de servir boissons chaudes ou froides qui sont les breuvages adaptés à ce moment de l’après-midi. Il la suit des yeux puis se lève pour l’accompagner jusqu’à la cuisine. Sa démarche est pataude entravée par la serviette et, il faut bien le dire, par un début d’érection vite calmée. L’une opte pour un thé, l’autre pour un café. Deux verres d’orangeade viennent étancher leur soif. Dehors le tonnerre gronde, les éclairs illuminent la vallée, la pluie redouble d’intensité et son vacarme envahit l’espace clos. Nouveau moment de silence à peine interrompu par la dégustation des breuvages.
Ils décident de retourner sous la véranda pour profiter du spectacle. Ils restent là presqu’une heure, installés côte à côte, conscients de vivre un moment exceptionnel. Le spectacle est aussi inquiétant que féérique. Éclairs et tonnerre se rapprochent. La lumière allumée dans le salon tout proche disparaît brutalement puis revient. Bea frémit, Emile lui saisit la main d’un geste protecteur. Lorsque les éléments se calment, sans doute guidés par cette intimité circonstancielle, ils partagent quelques éléments de leur histoire récente. Emile parle de son intense isolement lié à la maladie de ses proches et à la perpétuelle dramatisation des réunions de famille qu’il fuit désormais. Il dit son impression d’être instrumentalisé pour maintenir un lien qui ne demande qu’à se distendre. Bea, mère au foyer, confesse qu’elle a perdu ses repères lors du départ de ses enfants pour vivre leur vie d’adultes. Elle se sent peu utile. Son conjoint, largement à l’âge de la retraite, continue à faire tourner son imprimerie pour garder la vie sociale qui va avec. Il est souvent absent pour d’interminables démarches commerciales lointaines. Ces échanges créent une nouvelle chaleur humaine qui se traduit par une plus grande mobilité des corps. Les serviettes se distendent et livrent quelques petits bouts de peau à l’instant encore cachés. Le vide commun de leurs vies familiales les rapproche. Leur intimité à demi dévoilée devient naturelle. Un sein se montre jusqu’à sa pointe tandis qu’en face un genou puis une cuisse se découvrent. Ils s’animent, parlent de leurs convictions humanistes en évitant soigneusement tout sujet qui pourrait fâcher. A l’évidence, ils ont envie de se plaire.
Lorsque l’orage cesse, nous sommes aux dernières lueurs du jour à cause d’une couverture nuageuse encore sombre. Un frêle rayon de soleil illumine un bref espace dans le lointain. Emile annonce qu’il doit retourner vers son domicile ou il est attendu. Bea lui propose de remettre un peu d’ordre dans sa toilette et l’accompagne à l’étage vers la salle de bains. Celle-ci jouxte deux chambres aux portes ouvertes dont l’une apparemment inhabitée. Ils ôtent leurs draps de bain et, au moment de s’habiller à nouveau, sont soudain attirés irrésistiblement l’un vers l’autre. Les deux corps nus s’unissent, s’embrassent et se caressent. L’émotion les saisit, violente et incroyablement tendre. Les zones explorées deviennent plus intimes et leur respiration devient oppressée. Cuisse contre cuisse, sexe contre sexe, sein contre sein, mains glissant du dos à la courbe des reins puis aux fesses, ils en sont aux délices de la découverte. Ils restent toutefois conscients qu’il n’est plus temps d’aller plus avant et se séparent à regret. Leurs doigts restent encore quelques secondes aimantés par le corps de l’autre. Emile se contorsionne pour enfiler ses habits encore à moitié humides. Bea le contemple sans pudeur excessive et murmure : « Tu reviendras ? ». Elle n’est pas encore complétement vêtue lorsque, sa cape de pluie récupérée, il disparait par le jardin dans la nuit tombante en murmurant « A bientôt ! ».
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