EMILE et BEA 2. Promenons-nous dans les bois
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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EMILE et BEA 2. Promenons-nous dans les bois
Nota : La rencontre scripturale entre Emile et Bea continue vers de nouvelles situations imaginaires. Leurs alias y découvrent de nouveaux plaisirs jusqu’ici interdits.
Il va se passer plusieurs jours avant qu’Emile n’ose aller à nouveau à la rencontre de Bea. Il craint d’être importun, mais surtout de ne pas retrouver cette charmante émotion qu’il a partagée avec elle par cet après-midi d’orage. Une belle et chaude journée d’été lui rend impérieuse l’envie de se promener à nouveau au bord de cette accueillante rivière. Soudain, l’image de Bea joliment dénudée s’impose à lui. Le voici reparti, léger et court vêtu, plein de désir. Le parcours lui paraît interminable. Il quitte à pied le bourg où un bus brinqueballant et brulant l’a laissé sur une petite place inondée de lumière. Il cherche la fraîcheur, rase les maisons et le très imposant mur du cimetière, s’engage sur la petite route ombragée qui longe le ruisseau. Son esprit est empli d’elle. Il revoit son corps nu ou les rondeurs se disputent avec les lignes élancées de ses membres et la douceur de son visage. Il sent la finesse du grain de sa peau sous son doigt. Il veut garder à tout prix ces sensations qu’il sait fugaces. Plus il avance, plus il est rempli d’elle comme si son cerveau ne fonctionnait qu’en mode monomaniaque autour de cette aspiration à la rencontre.
Lorsqu’il atteint la proximité de la maison, son cœur bat à tout rompre. Personne sous la véranda, ni sur la terrasse, encore moins dans les bains de soleil qui bordent la pelouse. Il met un long moment, ébloui par l’astre solaire, à apercevoir Bea, le long de la piscine, bras tendus penchée en avant, occupée à en ôter feuilles et branchages au moyen d’une longue épuisette. Ravi de la trouver, il la regarde intensément. Elle est pieds-nus et vêtue d’une minirobe de couleur claire. Cette dernière suit le mouvement et, à chaque geste, dévoile ses fesses nues et son sexe soigneusement épilé dépourvus de tout ornement. Emile est fasciné et reste immobile, silencieux, séduit. Lorsqu’elle se redresse, sa robe reprend sa place. Parfois, une fine bretelle tombe sur son bras et découvre son sein jusqu’à la limite du téton. Que rêver de mieux pour l’indiscret qui s’invite au spectacle. Il contemple et contemple encore jusqu’à ce que, son ouvrage fait, elle se décide à ranger son outil et à faire mine de rentrer. Il manifeste alors sa présence en avançant à travers la pelouse. Une chaste bise plus tard les voici installés à deviser dans les fauteuils du salon de jardin. La minirobe se fige en haut des cuisses fuselées de Bea, à l’extrême limite de la décence tandis qu’une de ses bretelles prend des libertés. Emile n’en peut plus et propose courtoisement une petite balade jusqu’à une petite plage de la rivière toute proche accessible par le large chemin qui prolonge la petite route. Bea se saisit d’une paire de tennis mais ne change rien à son habillement.
Ils marchent un long moment côte à côte, sans doute aussi émus l’un que l’autre. Bea sent le désir de son partenaire et est portée par sa capacité à le captiver totalement. C’est la première fois depuis longtemps qu’elle ressent de façon aussi évidente son pouvoir de séduction. Elle ose enfin s’exhiber et y trouve du plaisir. Elle en sait gré à Emile de l’avoir provoquée tout en espérant ainsi obtenir bien plus que sa seule attention. Elle imagine sans déplaisir le regard sur son corps à demi dévoilé de quelques embusqués et souhaite les voir émerger des taillis tout proches. Lorsqu’Emile la saisit par la taille et dévoile à nouveau ses fesses et son bas ventre, lorsque son bras se colle à son corps et que choit sa bretelle en dévoilant son sein, elle exulte. Il lui faut désormais aller au-delà et montrer, là où c’est interdit, la totalité de ce qu’elle exhibe à la plage. Il lui faut vivre en pleine nature un intense moment de sexe sans tabou comme ceux qui hantent ses nuits trop souvent solitaires. Elle avance, sens en alerte, attentive au moindre bruissement dans les taillis tous proches. La fraicheur des frondaisons lui rend supportable la caresse qu’Emile ne cesse de prodiguer sur ses seins, son dos, reins et ses fesses. Lorsque le chemin se transforme en étroit sentier bordé d’une dense végétation, elle se lamente qu’il ne puisse désormais la toucher. Excitée en diable, désireuse de lui faire partager ce plaisir sensuel, elle arrache sa robe et se donne à voir totalement nue.
Son corps entier trahit son émotion et bouge en une élégante chorégraphie au déhanchement suggestif. Emile ne boude pas son bonheur. Il chemine derrière elle, la tête emplie d’envies de la caresser partout, de pénétrer la profondeur de ses abysses. Il rêve de l’exhiber au peuple de la forêt, de la lui donner toute. Il aspire à la voir se repaître de ses désirs et oser toutes ses envies. Ils cheminent ainsi un long moment, corps distincts, esprits associés. Lorsqu’ils atteignent enfin une petite plage sablonneuse bordée d’une élégante pelouse rase, ils se laissent enfin tous deux tomber dans l’herbe. Béa arrache à son partenaire sa frêle vêture et s’installe à quatre pattes, jambes largement écartées, comme pour lui proposer de fusionner. Emile la contemple et imagine un autre scénario. Il plonge les mains dans l’eau fraîche de la rivière et asperge son corps nu. Il s’humidifie à nouveau puis approche sa main trempée du sillon de son cul qu’il besogne jusqu’à son sexe. Sa bouche approche de la rosette offerte, sa langue pointue entre et dilate doucement le fondement de Bea. Ensuite, une tête se glisse à son entrejambe et s’agite entre les grandes lèvres lapant au passage son clitoris. Elle s’engage au-delà des petites lèvres avec vigueur. Deux belles mamelles pendantes tressautent à chaque mouvement en rythme en décrivant chacune d’originales arabesques. Une contorsion plus loin, les voici en 69, chaque bouche lapant avec délicatesse le sexe de l’autre. Bea avale avec délectation la courte et trapue queue d’Emile, agite autour d’elle avec fougue ses lèvres pulpeuses. Emile besogne son clitoris et pénètre son vagin d’une langue gavée de salive. Ses deux mains écartèlent avec force ses fesses rondes au point d’en révéler d’autres avens. Ils ne tardent pas à exulter tour à tour et les deux corps se séparent ravis.
Ils se ruent tous deux dans la rivière pour nettoyer leur peau souillée et s’installent confortablement. Après quelques minutes de repos, Bea, encore inassouvie, reprend sa position animale exhibant son postérieur à son partenaire qui ne demande pas mieux. L’index gauche humide d’Emile ne peut se retenir de s’insérer profondément dans son cul et le pouce correspondant dans son sexe qui ruisselle de cyprine. Son majeur droit lui excite le clitoris en de petits mouvements rapides. Bea recommence à vibrer sous la caresse. Ses bras fléchissent, sa tête et ses épaules touchent le sol. Elle reste ainsi, fesses en l’air, cuisses écartelées, secouée de spasmes et ravie de l’assaut qu’elle appelait de ses vœux. Emile finit par la prendre en levrette, ravi que les fesses de sa partenaire s’emboitent aussi exactement au creux de son bas ventre. Il s’agite doucement en elle avec délicatesse, puis la bouscule de plus en plus fermement lorsque leur excitation progresse. Elle aime cette position de soumission et se laisse emporter par son plaisir. Elle psalmodie de petits cris qui, mélangés aux ahanements de son partenaire, finiront par appeler tous ceux qui sont en manque d’amour à la curée. Que penser d’ailleurs de ces bruits de feuilles froissées dans les fourrés tout proches ?
Sens aux aguets, elle est partagée entre le plaisir absolu de s’exhiber ainsi et de se donner tant à son partenaire qu’à cette magnifique nature qui l’environne. Elle se sent animale jusqu’au fond de ses organes béants, elle exulte de cette sensualité trop longtemps retenue, l’entrejambe et la bouche trempés de désir, sexe et cul dilatés. Lorsque les feuillages s’écartent et laissent paraître un colosse forestier à l’abondant poil noir de jais, quasi nu, uniquement vêtu d’un short minimaliste et de chaussures de sécurité, elle se replie sur elle-même et une crainte primitive accélère brutalement son rythme cardiaque. Elle est totalement séduite et le ressent en même temps comme une menace. Il lui paraît immense, beau comme un dieu et pourtant inquiétant. Emile ressent son désir, la rassure de mille caresses et l’oblige à cambrer son dos et à ériger à nouveau ses fesses écartées. Il lui maintient les mains et les épaules au sol. Il la soutient par les hanches, sexe et cul scandaleusement tendus vers l’inconnu. Le nouveau venu déboucle sa ceinture et laisse tomber son short dévoilant une fort belle queue en érection qui émerge de sa luxuriante toison. Bea ne peut se retenir de creuser encore son bas ventre et ses fesses, d’ouvrir les ultimes profondeurs de son être dans un réflexe bestial…
Il va se passer plusieurs jours avant qu’Emile n’ose aller à nouveau à la rencontre de Bea. Il craint d’être importun, mais surtout de ne pas retrouver cette charmante émotion qu’il a partagée avec elle par cet après-midi d’orage. Une belle et chaude journée d’été lui rend impérieuse l’envie de se promener à nouveau au bord de cette accueillante rivière. Soudain, l’image de Bea joliment dénudée s’impose à lui. Le voici reparti, léger et court vêtu, plein de désir. Le parcours lui paraît interminable. Il quitte à pied le bourg où un bus brinqueballant et brulant l’a laissé sur une petite place inondée de lumière. Il cherche la fraîcheur, rase les maisons et le très imposant mur du cimetière, s’engage sur la petite route ombragée qui longe le ruisseau. Son esprit est empli d’elle. Il revoit son corps nu ou les rondeurs se disputent avec les lignes élancées de ses membres et la douceur de son visage. Il sent la finesse du grain de sa peau sous son doigt. Il veut garder à tout prix ces sensations qu’il sait fugaces. Plus il avance, plus il est rempli d’elle comme si son cerveau ne fonctionnait qu’en mode monomaniaque autour de cette aspiration à la rencontre.
Lorsqu’il atteint la proximité de la maison, son cœur bat à tout rompre. Personne sous la véranda, ni sur la terrasse, encore moins dans les bains de soleil qui bordent la pelouse. Il met un long moment, ébloui par l’astre solaire, à apercevoir Bea, le long de la piscine, bras tendus penchée en avant, occupée à en ôter feuilles et branchages au moyen d’une longue épuisette. Ravi de la trouver, il la regarde intensément. Elle est pieds-nus et vêtue d’une minirobe de couleur claire. Cette dernière suit le mouvement et, à chaque geste, dévoile ses fesses nues et son sexe soigneusement épilé dépourvus de tout ornement. Emile est fasciné et reste immobile, silencieux, séduit. Lorsqu’elle se redresse, sa robe reprend sa place. Parfois, une fine bretelle tombe sur son bras et découvre son sein jusqu’à la limite du téton. Que rêver de mieux pour l’indiscret qui s’invite au spectacle. Il contemple et contemple encore jusqu’à ce que, son ouvrage fait, elle se décide à ranger son outil et à faire mine de rentrer. Il manifeste alors sa présence en avançant à travers la pelouse. Une chaste bise plus tard les voici installés à deviser dans les fauteuils du salon de jardin. La minirobe se fige en haut des cuisses fuselées de Bea, à l’extrême limite de la décence tandis qu’une de ses bretelles prend des libertés. Emile n’en peut plus et propose courtoisement une petite balade jusqu’à une petite plage de la rivière toute proche accessible par le large chemin qui prolonge la petite route. Bea se saisit d’une paire de tennis mais ne change rien à son habillement.
Ils marchent un long moment côte à côte, sans doute aussi émus l’un que l’autre. Bea sent le désir de son partenaire et est portée par sa capacité à le captiver totalement. C’est la première fois depuis longtemps qu’elle ressent de façon aussi évidente son pouvoir de séduction. Elle ose enfin s’exhiber et y trouve du plaisir. Elle en sait gré à Emile de l’avoir provoquée tout en espérant ainsi obtenir bien plus que sa seule attention. Elle imagine sans déplaisir le regard sur son corps à demi dévoilé de quelques embusqués et souhaite les voir émerger des taillis tout proches. Lorsqu’Emile la saisit par la taille et dévoile à nouveau ses fesses et son bas ventre, lorsque son bras se colle à son corps et que choit sa bretelle en dévoilant son sein, elle exulte. Il lui faut désormais aller au-delà et montrer, là où c’est interdit, la totalité de ce qu’elle exhibe à la plage. Il lui faut vivre en pleine nature un intense moment de sexe sans tabou comme ceux qui hantent ses nuits trop souvent solitaires. Elle avance, sens en alerte, attentive au moindre bruissement dans les taillis tous proches. La fraicheur des frondaisons lui rend supportable la caresse qu’Emile ne cesse de prodiguer sur ses seins, son dos, reins et ses fesses. Lorsque le chemin se transforme en étroit sentier bordé d’une dense végétation, elle se lamente qu’il ne puisse désormais la toucher. Excitée en diable, désireuse de lui faire partager ce plaisir sensuel, elle arrache sa robe et se donne à voir totalement nue.
Son corps entier trahit son émotion et bouge en une élégante chorégraphie au déhanchement suggestif. Emile ne boude pas son bonheur. Il chemine derrière elle, la tête emplie d’envies de la caresser partout, de pénétrer la profondeur de ses abysses. Il rêve de l’exhiber au peuple de la forêt, de la lui donner toute. Il aspire à la voir se repaître de ses désirs et oser toutes ses envies. Ils cheminent ainsi un long moment, corps distincts, esprits associés. Lorsqu’ils atteignent enfin une petite plage sablonneuse bordée d’une élégante pelouse rase, ils se laissent enfin tous deux tomber dans l’herbe. Béa arrache à son partenaire sa frêle vêture et s’installe à quatre pattes, jambes largement écartées, comme pour lui proposer de fusionner. Emile la contemple et imagine un autre scénario. Il plonge les mains dans l’eau fraîche de la rivière et asperge son corps nu. Il s’humidifie à nouveau puis approche sa main trempée du sillon de son cul qu’il besogne jusqu’à son sexe. Sa bouche approche de la rosette offerte, sa langue pointue entre et dilate doucement le fondement de Bea. Ensuite, une tête se glisse à son entrejambe et s’agite entre les grandes lèvres lapant au passage son clitoris. Elle s’engage au-delà des petites lèvres avec vigueur. Deux belles mamelles pendantes tressautent à chaque mouvement en rythme en décrivant chacune d’originales arabesques. Une contorsion plus loin, les voici en 69, chaque bouche lapant avec délicatesse le sexe de l’autre. Bea avale avec délectation la courte et trapue queue d’Emile, agite autour d’elle avec fougue ses lèvres pulpeuses. Emile besogne son clitoris et pénètre son vagin d’une langue gavée de salive. Ses deux mains écartèlent avec force ses fesses rondes au point d’en révéler d’autres avens. Ils ne tardent pas à exulter tour à tour et les deux corps se séparent ravis.
Ils se ruent tous deux dans la rivière pour nettoyer leur peau souillée et s’installent confortablement. Après quelques minutes de repos, Bea, encore inassouvie, reprend sa position animale exhibant son postérieur à son partenaire qui ne demande pas mieux. L’index gauche humide d’Emile ne peut se retenir de s’insérer profondément dans son cul et le pouce correspondant dans son sexe qui ruisselle de cyprine. Son majeur droit lui excite le clitoris en de petits mouvements rapides. Bea recommence à vibrer sous la caresse. Ses bras fléchissent, sa tête et ses épaules touchent le sol. Elle reste ainsi, fesses en l’air, cuisses écartelées, secouée de spasmes et ravie de l’assaut qu’elle appelait de ses vœux. Emile finit par la prendre en levrette, ravi que les fesses de sa partenaire s’emboitent aussi exactement au creux de son bas ventre. Il s’agite doucement en elle avec délicatesse, puis la bouscule de plus en plus fermement lorsque leur excitation progresse. Elle aime cette position de soumission et se laisse emporter par son plaisir. Elle psalmodie de petits cris qui, mélangés aux ahanements de son partenaire, finiront par appeler tous ceux qui sont en manque d’amour à la curée. Que penser d’ailleurs de ces bruits de feuilles froissées dans les fourrés tout proches ?
Sens aux aguets, elle est partagée entre le plaisir absolu de s’exhiber ainsi et de se donner tant à son partenaire qu’à cette magnifique nature qui l’environne. Elle se sent animale jusqu’au fond de ses organes béants, elle exulte de cette sensualité trop longtemps retenue, l’entrejambe et la bouche trempés de désir, sexe et cul dilatés. Lorsque les feuillages s’écartent et laissent paraître un colosse forestier à l’abondant poil noir de jais, quasi nu, uniquement vêtu d’un short minimaliste et de chaussures de sécurité, elle se replie sur elle-même et une crainte primitive accélère brutalement son rythme cardiaque. Elle est totalement séduite et le ressent en même temps comme une menace. Il lui paraît immense, beau comme un dieu et pourtant inquiétant. Emile ressent son désir, la rassure de mille caresses et l’oblige à cambrer son dos et à ériger à nouveau ses fesses écartées. Il lui maintient les mains et les épaules au sol. Il la soutient par les hanches, sexe et cul scandaleusement tendus vers l’inconnu. Le nouveau venu déboucle sa ceinture et laisse tomber son short dévoilant une fort belle queue en érection qui émerge de sa luxuriante toison. Bea ne peut se retenir de creuser encore son bas ventre et ses fesses, d’ouvrir les ultimes profondeurs de son être dans un réflexe bestial…
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