Emilie
Récit érotique écrit par Docilite [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Emilie
Nous nous sommes rencontrés sur un site de rencontre en ligne fétichiste il y a moins d’un mois et après quelques messages seulement, elle m’a donné RDV dans un bar pour un verre.
DATE INotre première rencontre a été unique en son genre; Je n avais jamais rencontré de femme sur ce site auparavant et je m’étais présenté au rendez-vous le ventre noué. Elle se présentait sur son profil comme une femme dominante mais je n’avais vu aucune photo d’elle. Dès la première impression, je comprends vite qu’elle n’avait pas menti. Je l’attendais devant le bar, confus, incertain, n’ayant pas la moindre idée de comment je pourrais la reconnaître mais après, 5 minutes d’attente, elle s’avance a moi, la silhouette sure. Elle est légèrement plus grande que moi, plus forte également. Elle porte un pantalon et un haut noir, avec des talons de taille moyenne qui renforcent la différence de taille entre nous 2. Elle me toise et J’éprouve instantanément un intense sentiment de soumission. Nous ne nous sommes pas encore adressés la parole mais je lui appartiens déjà. Notre première rencontre se passe très bien; La conversation est fluide, ponctuée de rires; Elle mène les débats mais je pense déceler dans son regard et ses sourires une faiblesse naissante pour moi. Mon accent la charme également, sans pour autant la troubler. Elle me lance une ou 2 piques de temps a autre, remet en cause ma virilité ou assure qu’elle a plus de force que moi. Je sens alors que tout se tend dans mon pantalon. Je suis a l’étroit, dur, tres dur. Elle ne peut pas le voir mais s’en doute probablement. Puis, après quelques minutes hébétées, je reprends mes esprits. La soirée approche de sa fin et nous nous sommes rapprochés. Nous échangeons un baiser. Je souhaite qu’il dure une éternité . Il ne dure qu’une poignée de secondes. Je n’en ai pas eu assez; Je prends l’initiative, me penche pour l’embrasser de retour. Elle tourne la tete, saisit son verre et sirote son gin en m’ignorant complètement. Ce sera tout pour ce soir, elle l’a décidé ainsi. Elle me salue a peine et quitte le bar furtivement. Je suis confus, excité, abasourdi, perdu. Je ne sais pas si elle attend de moi que je la recontacte ou si elle n’est plus intéressée. Ce baiser n’était peut-être pas de son gout? Jamais auparavant une première rencontre ne m’avait laissé dans un pareil état.
J’attends le lendemain matin pour lui envoyer un message. Je ne veux pas lui paraitre complètement acquis, comme une proie trop facile, un jouet dont elle peut déjà se débarrasser mais j’ai eu un mal fou a me retenir. Elle me répond presque immédiatement; Elle a également passé un bon moment mais sa réponse est beaucoup plus laconique. Après quelques messages, elle définit le lieu du second RDV, quelques jours plus tard.
DATE II3 jours après, je suis au bar indiqué. Je l’attends au comptoir, assis sur une chaise haute, avec une pinte de bière, décidé a lui apporter un peu plus de résistance. Le temps passe; ma bière est quasi-finie. Je commence a douter quand elle arrive enfin. Elle porte un pantalon moulant et des talons aiguilles, plus longs que lors de notre premier RDV. Elle a donc délibérément choisi d’ignorer le fait qu’elle est un peu plus grande que moi. Elle aurait pu choisir des chaussures plates et rééquilibrer le rapport de taille mais il n’en est rien. Elle a même fait le choix inverse. Je suis assis mais conscient qu’une fois debout, la différence de taille me tournera au ridicule de retour. Elle s’asseoit a côté de moi, je me tourne vers elle et elle pose immédiatement son pied sur le rebord de mon tabouret, entre mes 2 jambes avec affirmation. Mes jambes sont ouvertes, je me sens faible; Ses talons sont superbes; Ils m’intriguent. Je veux les regarder, mais je suis pétrifié. J ai peur qu’elle fasse une remarque, se moque de moi. Des son entrée, elle a ruiné ma stratégie de résistance. Je me force a ne pas la déshabiller des yeux. Son pantalon est sexy, ses jambes m’obnubilent, ses talons me fascinent… Elle me demande ce que je bois, et commande une bière et un Martini. Je ne la savais pas amatrice de Martini. Le serveur nous emmène les verres, me tend la bière. Elle l’interrompt et précise que la biere est pour elle; le Martini pour moi. Le serveur hausse les sourcils et sourit. Je suis bouche-bée. Je ne pense pas avoir jamais bu de Martini. Je dis rien et la regarde avec incompréhension. Elle me jette un sourire satisfait et me lance ‘tu boiras ce que je décide’. Je lui demande pourquoi un martini. Elle me répond que c est la première chose qui lui est venue a la tete et que je ne méritais pas une boisson d’hommes tant que je ne lui avais pas prouvé que je le valais. Je lui dis que j ai hate de pouvoir lui prouver ca. Elle sourit et saisit sa pinte. A chaque fois que je saisis mon verre, elle rit, manifestement contente de son humiliation.
La soirée se poursuit, et devient de plus en plus chaude. Les verres s’accumulent, les baisers aussi. Je finis par lui avouer que ses jambes et ses talons me rendent fous. Elle rougit et ne peut cacher son plaisir. Elle passe la main sur mon pantalon, je suis prêt a exploser. Le bar ferme, nous nous retrouvons dehors, j’insiste pour qu’elle vienne finir la soirée chez moi, une fois, deux fois, trois fois. Elle refuse. J’insiste de retour. Elle refuse encore et tjrs. Puis, elle me regarde fixement et me montre des yeux ses bottes a talons avec insistance. Sans rien dire. Elle veut que je lui embrasse les pieds. Il est 1h du matin et le centre ville est quasi déserté. Si un baiser en signe de soumission peut la convaincre de passer une nuit dans mon lit, je suis prêt a m’y soumettre. Je me mets a 4 pattes, embrasse sa botte gauche puis droite. Elle leve son pied gauche, enfonce son talon dans mon dos pour me forcer a etre a plat ventre, et donne un autre baiser sur sa botte droite. Son talon gauche est tjrs fermement sur mon dos. Elle me dit qu’elle a passé une superbe soirée, qu’elle est tres tres humide et qu elle a hate a notre prochain rdv, tourne ses talons puis me laisse en plan, a plat. Je suis une fois de plus KO. Je pensais pouvoir finalement profiter de son corps mais je devrai encore patienter. Néanmoins, je me sens bien, frustré mais incroyablement charmé. Je rentre a la maison, laisse aller mon imagination pour evacuer ma frustration a plusieurs reprises dans la soirée, dans la nuit et les jours qui suivent…DATE IIINotre 3eme RDV fut très similaire au second RDV. Elle porte cette fois-ci une jupe, ni trop courte, ni trop longue et les memes bottes a talons qui m’ont rendu fou les jours precedents. Nous allons au restaurant, aucun de nous ne boit cette fois-ci mais l’alchimie est toujours la. Elle choisit mon menu, végétarien, et prend un steak pour elle. Je m’y attendais presque. Elle commande un dessert mais ne me laisse pas en avoir un. ‘Tu auras ton dessert plus tard’. Elle me fait du pied constamment pendant le repas; Je suis très très excite. J’ai peur qu’elle me frustre de retour d’une manière différente. Nous finissons le repas, elle paie l’addition malgré mes protestations et me propose d’aller dans sa chambre d’hotel. Elle me considère vraiment comme sa petite pute mais je ne peux refuser la proposition.
A peine entré dans la chambre, nous nous embrassons avec frénésie, d’un mur a l’autre de la chambre. Elle est surexcitée, me plaque contre le mur. J’en fais de meme. Elle s’allonge sur le lit, relève sa jupe et laisse entrevoir un string trempé.Je me mets a genoux sur le bord du lit, glisse ma tete entre ses jambes et lui lèche le clitoris. Son corps se cambre instantanément, en transe… Elle gémit, son excitation est au plus haut, elle jouit en moins d’une minute, 30 secondes peut-etre, son corps raide, sa main droite m’agrippant les cheveux et me plaquant la tete contre sa chatte, sa respiration forte, puis juste après le coit, retire ma tete en repoussant mes cheveux. Sa sensibilité est maximale. Je suis tellement heureux qu’elle ait joui si intensément. Elle n’a toujours pas touché mon pénis, ni meme considerer le toucher. Rien. Elle me fait retirer son string seulement maintenant; Il glisse le long de ses jambes sensibles, sur ses bottes en cuir, puis tombe sur la moquette de la chambre. ‘Ramasse-le !’. Je le ramasse, le lui donne. ‘Ouvre la bouche !’. Je ne bouge pas, je suis a genoux en face d’elle. ‘OUVRE LA BOUCHE !’. J’ouvre la bouche et elle place son string imbibé dans la bouche. Elle m’ordonne de me déshabiller, de me remettre a genoux en face d’elle et de me branler. Je me sens honteux, utilisé mais mon penis est en erection. Je me masturbe a genoux devant elle, sur ses bottes, son string dans la bouche. Elle me caresse 1 ou 2 fois les testicules avec sa botte droite et je jouis aussi vite qu’elle, en moins d’une minute. Toute cette frustration accumulée n’a pas amélioré mes performances. Elle regarde ses bottes souillées et m’ordonne de les nettoyer. Je lui demande si elle veut que je le fasse avec ma langue. Elle me regarde avec dégout, me traite de ‘lopette prête a lecher son propre sperme’. Je ne sais décidément jamais a quoi m’attendre; elle me prend en permanence a contre-pied. Je file dans la salle de bains, revient avec des mouchoirs pour nettoyer ses bottes. je suis content de ne pas avoir a les lecher puisque mon excitation est retombée. Elle joue avec son telephone, ne me regarde meme pas les nettoyer. Je prends mon temps et nettoie mon propre sperme pour éviter toute remarque…Une fois fini, elle me regarde avec son sourire coquin, me donne un baiser torride et me dit … ‘Et ton dessert? Tu ne l’as jamais eu?’. Elle se retourne sur le lit, sur le ventre, écarte ses jambes, et se retourne vers moi avec son sourire. Son anus s’offre a moi. Je me remets a genoux, écarte ses fesses avec mes 2 mains puis glisse ma langue. Je ne l’ai jamais fait avant pour aucune femme mais je m’execute. Ma langue tourne autour du trou, danse, virevolte. Elle pousse de petits gémissements de plaisir, ses fesses se trémoussent par moment. A d’autres moments, elle saisit juste mes cheveux pour plaquer ma tete contre son anus, me dit de glisser ma langue aussi profond que je le puisse. Je me surprends a y prendre du plaisir. Mon penis est de retour dur. Elle a glissé sa main sur sa chatte et se caresse pendant que je la lèche. Elle jouit une deuxième fois, me dit de venir a cote d’elle dans le lit, et me complimente. ‘Ta langue fait des miracles. Je n’ai pas joui comme ca depuis très longtemps ». Elle évite de m’embrasser. Je lui dis que je vais prendre une douche; Je me sens souillé; Elle a joui 2 fois de rang sur moi… Elle me dit que j’en ai pas besoin, que ce ne sont que ses odeurs et que je devrais m’y habituer. Je comprends que ce n’est pas un conseil mais un ordre. Elle me prend la main et s’endort instantanément; Mes yeux sont grand ouverts et mon penis en erection.
A suivre…
DATE INotre première rencontre a été unique en son genre; Je n avais jamais rencontré de femme sur ce site auparavant et je m’étais présenté au rendez-vous le ventre noué. Elle se présentait sur son profil comme une femme dominante mais je n’avais vu aucune photo d’elle. Dès la première impression, je comprends vite qu’elle n’avait pas menti. Je l’attendais devant le bar, confus, incertain, n’ayant pas la moindre idée de comment je pourrais la reconnaître mais après, 5 minutes d’attente, elle s’avance a moi, la silhouette sure. Elle est légèrement plus grande que moi, plus forte également. Elle porte un pantalon et un haut noir, avec des talons de taille moyenne qui renforcent la différence de taille entre nous 2. Elle me toise et J’éprouve instantanément un intense sentiment de soumission. Nous ne nous sommes pas encore adressés la parole mais je lui appartiens déjà. Notre première rencontre se passe très bien; La conversation est fluide, ponctuée de rires; Elle mène les débats mais je pense déceler dans son regard et ses sourires une faiblesse naissante pour moi. Mon accent la charme également, sans pour autant la troubler. Elle me lance une ou 2 piques de temps a autre, remet en cause ma virilité ou assure qu’elle a plus de force que moi. Je sens alors que tout se tend dans mon pantalon. Je suis a l’étroit, dur, tres dur. Elle ne peut pas le voir mais s’en doute probablement. Puis, après quelques minutes hébétées, je reprends mes esprits. La soirée approche de sa fin et nous nous sommes rapprochés. Nous échangeons un baiser. Je souhaite qu’il dure une éternité . Il ne dure qu’une poignée de secondes. Je n’en ai pas eu assez; Je prends l’initiative, me penche pour l’embrasser de retour. Elle tourne la tete, saisit son verre et sirote son gin en m’ignorant complètement. Ce sera tout pour ce soir, elle l’a décidé ainsi. Elle me salue a peine et quitte le bar furtivement. Je suis confus, excité, abasourdi, perdu. Je ne sais pas si elle attend de moi que je la recontacte ou si elle n’est plus intéressée. Ce baiser n’était peut-être pas de son gout? Jamais auparavant une première rencontre ne m’avait laissé dans un pareil état.
J’attends le lendemain matin pour lui envoyer un message. Je ne veux pas lui paraitre complètement acquis, comme une proie trop facile, un jouet dont elle peut déjà se débarrasser mais j’ai eu un mal fou a me retenir. Elle me répond presque immédiatement; Elle a également passé un bon moment mais sa réponse est beaucoup plus laconique. Après quelques messages, elle définit le lieu du second RDV, quelques jours plus tard.
DATE II3 jours après, je suis au bar indiqué. Je l’attends au comptoir, assis sur une chaise haute, avec une pinte de bière, décidé a lui apporter un peu plus de résistance. Le temps passe; ma bière est quasi-finie. Je commence a douter quand elle arrive enfin. Elle porte un pantalon moulant et des talons aiguilles, plus longs que lors de notre premier RDV. Elle a donc délibérément choisi d’ignorer le fait qu’elle est un peu plus grande que moi. Elle aurait pu choisir des chaussures plates et rééquilibrer le rapport de taille mais il n’en est rien. Elle a même fait le choix inverse. Je suis assis mais conscient qu’une fois debout, la différence de taille me tournera au ridicule de retour. Elle s’asseoit a côté de moi, je me tourne vers elle et elle pose immédiatement son pied sur le rebord de mon tabouret, entre mes 2 jambes avec affirmation. Mes jambes sont ouvertes, je me sens faible; Ses talons sont superbes; Ils m’intriguent. Je veux les regarder, mais je suis pétrifié. J ai peur qu’elle fasse une remarque, se moque de moi. Des son entrée, elle a ruiné ma stratégie de résistance. Je me force a ne pas la déshabiller des yeux. Son pantalon est sexy, ses jambes m’obnubilent, ses talons me fascinent… Elle me demande ce que je bois, et commande une bière et un Martini. Je ne la savais pas amatrice de Martini. Le serveur nous emmène les verres, me tend la bière. Elle l’interrompt et précise que la biere est pour elle; le Martini pour moi. Le serveur hausse les sourcils et sourit. Je suis bouche-bée. Je ne pense pas avoir jamais bu de Martini. Je dis rien et la regarde avec incompréhension. Elle me jette un sourire satisfait et me lance ‘tu boiras ce que je décide’. Je lui demande pourquoi un martini. Elle me répond que c est la première chose qui lui est venue a la tete et que je ne méritais pas une boisson d’hommes tant que je ne lui avais pas prouvé que je le valais. Je lui dis que j ai hate de pouvoir lui prouver ca. Elle sourit et saisit sa pinte. A chaque fois que je saisis mon verre, elle rit, manifestement contente de son humiliation.
La soirée se poursuit, et devient de plus en plus chaude. Les verres s’accumulent, les baisers aussi. Je finis par lui avouer que ses jambes et ses talons me rendent fous. Elle rougit et ne peut cacher son plaisir. Elle passe la main sur mon pantalon, je suis prêt a exploser. Le bar ferme, nous nous retrouvons dehors, j’insiste pour qu’elle vienne finir la soirée chez moi, une fois, deux fois, trois fois. Elle refuse. J’insiste de retour. Elle refuse encore et tjrs. Puis, elle me regarde fixement et me montre des yeux ses bottes a talons avec insistance. Sans rien dire. Elle veut que je lui embrasse les pieds. Il est 1h du matin et le centre ville est quasi déserté. Si un baiser en signe de soumission peut la convaincre de passer une nuit dans mon lit, je suis prêt a m’y soumettre. Je me mets a 4 pattes, embrasse sa botte gauche puis droite. Elle leve son pied gauche, enfonce son talon dans mon dos pour me forcer a etre a plat ventre, et donne un autre baiser sur sa botte droite. Son talon gauche est tjrs fermement sur mon dos. Elle me dit qu’elle a passé une superbe soirée, qu’elle est tres tres humide et qu elle a hate a notre prochain rdv, tourne ses talons puis me laisse en plan, a plat. Je suis une fois de plus KO. Je pensais pouvoir finalement profiter de son corps mais je devrai encore patienter. Néanmoins, je me sens bien, frustré mais incroyablement charmé. Je rentre a la maison, laisse aller mon imagination pour evacuer ma frustration a plusieurs reprises dans la soirée, dans la nuit et les jours qui suivent…DATE IIINotre 3eme RDV fut très similaire au second RDV. Elle porte cette fois-ci une jupe, ni trop courte, ni trop longue et les memes bottes a talons qui m’ont rendu fou les jours precedents. Nous allons au restaurant, aucun de nous ne boit cette fois-ci mais l’alchimie est toujours la. Elle choisit mon menu, végétarien, et prend un steak pour elle. Je m’y attendais presque. Elle commande un dessert mais ne me laisse pas en avoir un. ‘Tu auras ton dessert plus tard’. Elle me fait du pied constamment pendant le repas; Je suis très très excite. J’ai peur qu’elle me frustre de retour d’une manière différente. Nous finissons le repas, elle paie l’addition malgré mes protestations et me propose d’aller dans sa chambre d’hotel. Elle me considère vraiment comme sa petite pute mais je ne peux refuser la proposition.
A peine entré dans la chambre, nous nous embrassons avec frénésie, d’un mur a l’autre de la chambre. Elle est surexcitée, me plaque contre le mur. J’en fais de meme. Elle s’allonge sur le lit, relève sa jupe et laisse entrevoir un string trempé.Je me mets a genoux sur le bord du lit, glisse ma tete entre ses jambes et lui lèche le clitoris. Son corps se cambre instantanément, en transe… Elle gémit, son excitation est au plus haut, elle jouit en moins d’une minute, 30 secondes peut-etre, son corps raide, sa main droite m’agrippant les cheveux et me plaquant la tete contre sa chatte, sa respiration forte, puis juste après le coit, retire ma tete en repoussant mes cheveux. Sa sensibilité est maximale. Je suis tellement heureux qu’elle ait joui si intensément. Elle n’a toujours pas touché mon pénis, ni meme considerer le toucher. Rien. Elle me fait retirer son string seulement maintenant; Il glisse le long de ses jambes sensibles, sur ses bottes en cuir, puis tombe sur la moquette de la chambre. ‘Ramasse-le !’. Je le ramasse, le lui donne. ‘Ouvre la bouche !’. Je ne bouge pas, je suis a genoux en face d’elle. ‘OUVRE LA BOUCHE !’. J’ouvre la bouche et elle place son string imbibé dans la bouche. Elle m’ordonne de me déshabiller, de me remettre a genoux en face d’elle et de me branler. Je me sens honteux, utilisé mais mon penis est en erection. Je me masturbe a genoux devant elle, sur ses bottes, son string dans la bouche. Elle me caresse 1 ou 2 fois les testicules avec sa botte droite et je jouis aussi vite qu’elle, en moins d’une minute. Toute cette frustration accumulée n’a pas amélioré mes performances. Elle regarde ses bottes souillées et m’ordonne de les nettoyer. Je lui demande si elle veut que je le fasse avec ma langue. Elle me regarde avec dégout, me traite de ‘lopette prête a lecher son propre sperme’. Je ne sais décidément jamais a quoi m’attendre; elle me prend en permanence a contre-pied. Je file dans la salle de bains, revient avec des mouchoirs pour nettoyer ses bottes. je suis content de ne pas avoir a les lecher puisque mon excitation est retombée. Elle joue avec son telephone, ne me regarde meme pas les nettoyer. Je prends mon temps et nettoie mon propre sperme pour éviter toute remarque…Une fois fini, elle me regarde avec son sourire coquin, me donne un baiser torride et me dit … ‘Et ton dessert? Tu ne l’as jamais eu?’. Elle se retourne sur le lit, sur le ventre, écarte ses jambes, et se retourne vers moi avec son sourire. Son anus s’offre a moi. Je me remets a genoux, écarte ses fesses avec mes 2 mains puis glisse ma langue. Je ne l’ai jamais fait avant pour aucune femme mais je m’execute. Ma langue tourne autour du trou, danse, virevolte. Elle pousse de petits gémissements de plaisir, ses fesses se trémoussent par moment. A d’autres moments, elle saisit juste mes cheveux pour plaquer ma tete contre son anus, me dit de glisser ma langue aussi profond que je le puisse. Je me surprends a y prendre du plaisir. Mon penis est de retour dur. Elle a glissé sa main sur sa chatte et se caresse pendant que je la lèche. Elle jouit une deuxième fois, me dit de venir a cote d’elle dans le lit, et me complimente. ‘Ta langue fait des miracles. Je n’ai pas joui comme ca depuis très longtemps ». Elle évite de m’embrasser. Je lui dis que je vais prendre une douche; Je me sens souillé; Elle a joui 2 fois de rang sur moi… Elle me dit que j’en ai pas besoin, que ce ne sont que ses odeurs et que je devrais m’y habituer. Je comprends que ce n’est pas un conseil mais un ordre. Elle me prend la main et s’endort instantanément; Mes yeux sont grand ouverts et mon penis en erection.
A suivre…
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