Emma (première partie : La Descente) - histoire érotique

Emma (première partie : La Descente)

Elle sort de l'autobus devant l'immeuble à logements dont je suis propriétaire et
gestionnaire. Je la vois à tous les jours comme ça, au retour de ses classes. La tête
toujours baissée, signe de sa timidité, elle doit passer devant mon appartement au
rez-de chaussé pour prendre l'escalier qui mène à son petit un et demi. Ça fait 2
semaines qu'elle y a aménagée seule et n'a reçue personne depuis ce temps.

Elle n'a pas les allures d'un top modèle, surtout qu'elle ne s'aide pas, ni pour ses
vêtements ni pour son maquillage. Mais moi, je la trouve jolie. Elle a un style qui me
plait. Peut-être c'est son attitude effacée qui démontre sa gène ou sa soumission qui
m'attire vers elle, je ne sais pas. Mais ce que je sais, c'est que je veux la séduire.
Un question de temps je me dis.

Elle est toute menue, 1,55m 45 kg. Les cheveux longs châtains qui arrivent à sa taille
et les yeux pers. Elle semble avoir un beau corps, bien proportionné, mais elle le
cache avec son accoutrement toujours trop grand pour elle, comme si elle voulait le
camoufler à tout prix. Sa peau est pâle, elle ne doit pas s'aventurer beaucoup au
soleil. J'ai su que son nom était Emma Letang et qu'elle avait 18 ans lorsqu'elle a
appliqué pour louer le logement. Elle était toute timide ce jour là, seule dans mon
appartement à me demander la permission d'aménager le petit logement au deuxième.
C'était difficile pour elle de répondre à mes questions surtout ceux de nature
personnel. Le peu que j'ai appris, c'est qu'elle est toujours aux études et qu'elle
demeurait seule avec son beau-père suite à la mort de sa mère il y a deux ans.

Le lendemain, peu après son départ pour ses cours, un homme frappa sans succès, à sa
porte. Voyant que personne ne répondait, il descendit et en voyant 'Gardien
d'immeuble' écrit sur le panneau près de ma porte, sonna chez nous. « Je peux vous
aider? » que je lui demande. « Bonjour Monsieur, voici une boite avec des effets
personnels qu'Emma Letang a oublié lorsqu'elle a emménager ici. Je dois quitter pour
un certain temps, seriez-vous assez gentil pour lui donner? » « Pas de problème,
laissez-là moi, je lui donnerai. Vous êtes Monsieur...? » « Gilles Piché, son beau-
père » « Parfait, je lui donnerai Monsieur Piché » « Merci et bonjour » « Bonjour »
Il quitta.

Étant donné mon attrait pour Emma, j'étais curieux de savoir le contenu de cette
boite. Scellée avec un ruban adhésif, elle serait difficile à ouvrir sans laisser des
traces. J'ai fouillé dans mes tiroirs pour trouver un ruban du même type que je
pourrai substitué à l'original. J'ai pu maintenant ouvrir la boite que je refermerai
sans trop de suspicions. Elle contenait divers choses, telles du linge et des biblos
mais un objet m'a fait sursauté aussitôt vu. Son journal intime! En fait, il y en
avait quatre tomes et par les dates inscrites, je pouvais déduire que les entrées ont
débutées lorsqu'elle avait 12 ans et la dernière entrée date d'il y a 3 mois à raison
d'environ une entrée par jour.

Quelle découverte! Je saurai tout sur elle, ses joies, ses tristesses, ses espoirs,
ses craintes, ce qu'elle aime et ce qu'elle déteste, ses défauts et ses qualités.
Toutes ses mémoires d'adolescente me seront dévoilées. Je saurai comment elle pense!
Et surtout, je pourrai deviner ces réactions en même temps qu'elle. Avec cet outil, je
pourrai la manipuler et la reformer à mon goût. Je ne pouvais pas demander mieux comme
cadeau. Je me suis empressé de scanner les quelques 800 pages que j'ai sauvé dans un
fichier de mon ordi.

Étant à l'aise financièrement, je peux me permettre de rester à la maison. J'ai donc
commencé à lire son journal le jour même. Je dirais plutôt analyser son journal. Je
prenais beaucoup de notes. Ce sera du travail de longue haleine pour ressortir et
classer toutes les informations qui me seront pertinentes. Mais je n'ai que ça, du
temps. Quand j'aurai fini, je connaîtrai Emma autant qu'elle se connait.

Le soir arriva et je me suis présenté chez elle pour lui apporter la boite. « Bonsoir
Emma, ton beau-père m'a laissé cette boite pour toi aujourd'hui. Tu l'aurais oubliée
durant ton déménagement » Habillée en robe de chambre avec pantoufles au pied, elle
n'osait pas me regarder dans les yeux. Elle semblait nerveuse aussitôt que j'ai fait
référence à son beau-père. « Merci Monsieur, vous êtes gentil de me l'apporter » «
Est-ce que tu est bien installée dans ton logement? Est-ce que tout est à ton goût? »
« Oui Monsieur, tout est parfait merci » Pendant qu'elle me parlait et du fait que ses
yeux étaient rivés au sol, j'ai pu l'examiner de près. Sa peau est parfaite et sans
défaut. Ses cheveux d'un lustre délicat sont souples et droits. Elle a de petits pieds
et de petites mains. Par contre sa poitrine semble généreuse , surtout sur un corps
comme le sien. Quel beau jouet qu'elle me fera.

« C'est bien. Si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout ne te gènes pas, ça me fera
plaisir de t'accommoder » « Non, rien présentement Monsieur, merci pour l'offre » «
Alors bonsoir Emma » « Bonsoir Monsieur » Aussitôt revenu chez moi, je me suis remis
au boulot. Ma rencontre avec Emma m'a confirmé l'importance de sortir les informations
critiques de son journal si je voulais éventuellement la contrôler .

J'ai fini par passer à travers son journal au bout de quelques jours et les
trouvailles furent aussi intéressantes que je le prédis. J'ai su entre autre qu'elle
ne savait pas qui était son père biologique et qu'elle n'avait pas de famille. Que son
beau-père lui a fait des avances sexuelles à quelques reprises avant et surtout après
le décès de sa mère, mais qu'elle était toujours vierge. Qu'elle est une étudiante qui
a de la difficulté dans plusieurs matières. Qu'elle pouvait se permettre de faire ses
études, tout en payant pour un logement grâce à une bourse que sa grand-mère
maternelle lui a léguée dans son testament. Une bourse qui est conditionnelle à sa
réussite scolaire. Qu'elle n'a jamais eu de petits amis sérieux, ni de vraies amies.

Mais la meilleure information que j'ai trouvé est qu'il y a 6 mois, elle était
impliquée dans un vol à main armée. Un vol qui n'a jamais été élucidé par les
autorités. Si je crois ce qu'elle a écrit, elle aurait été impliquée, sans le vouloir,
par des 'copines' de classe qui l'auraient forcée à faire le guet devant le magasin,
pendant qu'elles le volaient. Elles ont été surprises par un gardien qui était à
l'intérieur et qu'elles croyaient parti manger. Elles l'ont blessé avec un couteau
avant de s'enfuir avec leur butin. Le lendemain, les filles ont abordé Emma en lui
disant : «Si tu en parles à qui que soit ou si tu nous dénonces à la police, on te
traquera et on te le fera payer. T'as compris?!!! » Emma savait très bien que ces
filles faisaient partie d'un gang de rue très connu de la ville répond : « Je ne dirai
rien, promis »

Avec cette révélation et ayant des amis à la police, je me suis informé pour savoir
comment le dossier de ce vol avait progressé. On m'a dit qu'une des filles a été
interrogée, puis arrêtée. Ce que j'ai appris aussi c'est que les filles du gang de rue
croient qu'on les à dénoncées. Mais la vérité est que le gardien a tout simplement
identifié l'adolescente en question.

Je savais maintenant comment approcher Emma. J'ai décidé que ça se fera le vendredi
soir prochain, chez elle. Elle qui n'a jamais de visite le vendredi soir et sa routine
qui ne change jamais : Repas, suivit d'un bain et qui finit par une soirée devant la
télé. Je suis arrivé vers 21:00, caméra vidéo en main, lorsqu'elle sortait de son
bain. Je sonne à la porte. Elle porte encore la même robe de chambre que la dernière
fois. Elle semble avoir peu de linge de rechange. Ça ne doit pas être facile de vivre
avec un tel revenu. C'est là que je serai le plus utile. Avec moi, elle quadruplera
son revenu. Elle devra travailler pour, c'est certain, mais elle trouvera ça
plaisant... peut-être... C'est sur que ça sera très plaisant pour moi en tout cas
(sourire en coin).

« Bonsoir Emma, tu vas bien? » « Oui je vais bien, merci. Et vous allez bien Monsieur?
» Qu'elle me demandait en apercevant que je filmais la scène. « Tout est parfait Emma,
merci. Je ne peux être plus heureux que je le suis présentement. En fin de compte, je
suis venu te demander si tout va bien? » Je lui dis avec mon plus beau sourire. Elle
sourit à son tour, les yeux toujours au sol et curieuse de savoir pourquoi je la
filmais. Elle répond « Tout va bien Monsieur merci, je n'ai pas besoin de rien. Mais
pourquoi vous me filmez? » J'ai ignoré sa question. J'ai plutôt reformulé ma question
« Tu m'as peut-être pas bien compris Emma, je t'ai demandé si TOUT va bien dans ta
vie? Est-ce que t'as des problèmes, dont tu aurais besoin d'aide? » Encore avec un
beau sourire. Elle semblait confuse de ma question au début, mais a finalement réalisé
que la question touchait peut-être un sujet tabou. Elle devint toute nerveuse et dit «
Non Monsieur, tout va bien » « C'est bizarre que tu me dises ça, car j'ai croisé un
copain qui est flic. Il m'a parlé d'un vol à main armée dans un magasin qui a mal
tourné. Il semble qu'une fille au nom de Lizette Proulx... Au fait, tu la connais? » «
Non Monsieur » Qu'elle me dit, nerveuse. « Eh bien, il semblerait qu'elle a dénoncé
quelques-unes des filles qui étaient présentes au vol incluant une certaine Emma avec
une description très similaire à toi. Je n'ai rien dit à mon copain... sois en
rassurée, mais j'ai fait des recherches concernant cette Lizette Proulx et j'ai appris
que vous étiez dans la même classe??? » Ce dernier point, je l'ai dit avec autorité et
sans sourire cette fois.

« Donc tu m'a menti! Tu la connais et tu savais tout sur ce vol. Et moi qui avait
confiance en toi. Je devrais immédiatement te jeter dehors de cet appartement et te
dénoncer à la police avant que tu me voles aussi » Selon son journal, je savais
qu'elle détestait la confrontation. Elle se soumettait toujours pour éviter d'être en
conflit avec son accusateur. Elle s'est assise sur le divan et pleura. « S'il vous
plait Monsieur, je vous en supplie, je ne peux pas aller en prison. Je perdrai le
droit à ma bourse d'études. Et... on me trouvera et me battra car on est sûr que c'est
moi qui les ai dénoncé » « Oui c'est bien beau ton plaidoyer, mais ça me donne quoi
ça? Qu'est-ce que t'as à m'offrir... pour mon silence » Que je lui dis en m'assoyant à
ses cotés... la caméra toujours dans sa direction, j'ai mis mon bras autour de son
cou. « Je pourrais vous aider avec l'immeuble Monsieur » « Tu veux rire de moi salope?
Ton offre, même si elle a du potentiel, vaut si peu, qu'elle ne m'empêcherai même pas
de parler de ce fameux vol à ton beau-père » Que je lui dis avec le plus grand
sérieux. Ma remarque sur son beau-père l'a vraiment déstabilisée. J'ai continué : «
Non Non , Ça va prendre beaucoup plus que ça » Avec ce dernier commentaire, j'ai
glissé ma main sur sa poitrine. Elle a sursauté mais n'a pas fait de gestes pour
s'éloigner de moi. « Que voulez-vous de moi » qu'elle me demande. Mai elle devine déjà
la réponse : « Je veux que tu participes à mes aventures sexuelles et ce, pour les
prochains trois mois. Ce que je te dis... TU FAIS! Tu veux ta liberté... tu m'obéis
pendant trois mois... sinon ...c'est la prison!!! Compris??? COMPRIS??? » Elle a
finalement pu absorber tout ce qui venait de lui arriver et a répondu « Oui j'ai
compris Monsieur »

« Bon on va voir si tu vas m'écouter ou non... Lève-toi et enlève cette laideur de
robe de chambre. Je veux voir ce que tu me caches depuis des semaines. » « Je vous en
supplie Monsieur, il y a pas d'autres moyens? Je ne porte rien sous ma robe de chambre
» Soudain, je me lève et je lui dis « Eh bien, je vois bien que ça ne fonctionnera
pas... Tu as eu ta chance salope.... j'ai un téléphone à faire» Je me préparais à
partir lorsqu'elle me supplia de rester. «Non Non Monsieur, regardez, je suis en train
d'enlever ma robe de chambre. » J'ai aussitôt braqué ma caméra sur elle en train de se
dévêtir. Je commençais à durcir. « Avant que tu te déshabilles, je veux que tu avoues
ta présence au magasin au moment du vol et que tu étais consciente de ce qui ce
passait.... dis-le MAINTENANT SALOPE! » Elle avoua tout... ce que j'ai capté sur
vidéo... Elle est vraiment sous mon contrôle maintenant (grand sourire en coin).

Elle laissa finalement tomber sa robe de chambre. « Quel beau corps que tu as salope.
Pourquoi le caches-tu avec ces guenilles que tu portes? » Elle ne répondit pas mais
ses yeux se fermaient à chaque fois que je l'appelais 'salope'. « C'est quoi tes
mensurations? » Elle répondit : «86 – 55 – 82 Monsieur » avec hésitation tout en
cachant les parties les plus secrètes avec ses mains. « Je veux tes bras à tes cotés,
tout de suite » Elle m'écouta. « 86 quoi??? » « 86 C Monsieur »

« Oui vraiment, tu as un beau corps. J'aime la forme de tes seins et tes mamelles me
rappellent des mûres mais d'un rose bonbon. Mmmmm j'en ai l'eau à la bouche. Tourne
lentement sur toi-même. Quel beau cul. Et quelles jambes. Tout est parfait. Il n'y a
que ce poil pubien que je n'aime pas. Ça cache tout et je déteste le goût du poil dans
ma bouche. On devra corriger ça. Soit qu'on te le fasse disparaître ou on peut en
laisser un peu comme décoration. Je n'ai pas décidé encore. Chose certaine, prépare-
toi à des changements majeurs sur ton corps. Tu visiteras prochainement des salons de
beauté, boutiques de linge et autres endroits. Quand j'aurai fini avec toi, tous les
hommes voudront te sauter . Alors, pour l'instant, viens t’asseoir sur mes genoux,
j'ai des questions à te poser.» Je laissai la caméra sur le divan.

Elle s'avança lentement et s'est assise sur moi. J'ai entouré sa taille de mon bras
gauche et ma main droite glissa entre ses cuisses. « Fais attention salope, je suis un
bon juge de caractère. Je saurai si tu mens. Bon, première question : Est-tu vierge? »
Des questions pour voir sa réaction et savoir si elle est capable de mentir car je
connaissais déjà les réponses. « Oui Monsieur » Qu'elle me dit avec hésitation. « On
n'a jamais pénétré cette jolie chatte? » Que je lui dit en la frottant tout doucement.
Elle a sursauté quand je lui ai touché, mais n'a rien dit. « Mais tu es déjà sortie
avec un garçon? » Elle avait fait la rencontre, peu sérieuse, d'un garçon qui
demeurait à quelques pas de chez son beau-père. Il lui aurait demandé de sortir avec
elle à quelques occasions, soit au cinéma ou au restaurant et une fois chez lui. Il
était aussi timide qu'elle. « Oui Monsieur » « Et il a surement eu du plaisir avec
toi. Vous avez fait quoi? » « Il m'a embrassée Monsieur et... c'est amusé avec mes
seins » Qu'elle m'a dit, rouge de gène. « C'est tout??? Tu ne l'as jamais sucé ou même
joué avec sa bite? » « Il aura bien aimé ça Monsieur, mais je n'ai pas voulu » « Et
pourquoi tu ne voulais lui faire plaisir? » « Parce qu'il aurait voulu passer à
l'étape suivant... et... je ne pouvais pas » « 'Voulais pas' tu veux dire... Eh bien
dommage pour lui, salope. » J'avais un sentiment qu'elle serait frigide avec les
hommes après les avances de son beau-père et son entourage. « Pas pour rien que tu es
seule présentement. Tu dois au moins te masturber de temps à autre » D'après son
journal, je sais qu'elle s'amuse quand elle est seule. Surtout le soir dans son lit.
Je sais aussi que son fantasme favori est de se faire prendre par un homme qui la
domine. Ce qui lui évite de faire les premiers pas. « Non Monsieur, je ne me masturbe
pas » En disant ça, elle est devenue encore plus rouge et sa tête se rabaissa vers le
sol. « Tu me mens salope. Je sais que tu te branles. J'entends ton lit craquer le
soir. » C'était complètement faux, mais ne je voulais pas qu'elle se doute de la
source de mes informations. Après quelques secondes, elle a dit : « Désolée
Monsieur... C'est que j'étais gênée de vous l'avouer » « Bon, c'est mieux de toujours
me dire la vérité... mais tu seras punie pour m'avoir menti. D'ailleurs je vais
instaurer un système de punitions basé sur des règlements que tu devras suivre. Je
t'apporterai la liste à suivre demain. Si tu déroges à un de ces règlements, je le
noterai et à la fin de chaque semaine, je jugerai de la punition que tu recevras basée
sur les fautes que tu auras commises durant la semaine. Et en passant, me mentir est
une faute très grave! »

Pendant que je lui parlais, je lui frottais toujours délicatement les lèvres de sa
chatte. Je sentais une chaleur de plus en plus intense qui s'y dégageait. « Alors,
dis-moi à quoi tu fantasmes, pendant que tu frottes ta chatte » C'était le moment de
vérité. Elle devra l'avouer ou je la confronterai avec son journal... ce que je ne
voulais pas pour l'instant. « Je pense à un homme qui m'apprend comment donner et
comment recevoir des plaisirs sexuels » « Ça tombe bien Emma, je veux et je serai
cette homme. Qu'en penses-tu salope? » «Pourquoi vous me traiter de salope Monsieur,
je n'aime pas ça! » Qu'elle me dit, tentant une fausse bravade. « Je m'en fout si
t'aimes ça ou pas... c'est moi qui mène ici et je t'appellerai comme je le voudrai.
T'as compris... SALOPE?!? » « Oui Monsieur » « Et dorénavant tu t'adresseras à moi par
Maître, car à partir de maintenant, c'est moi qui déciderai comment ta vie va se
dérouler et ce, pendant les trois prochains mois » « Oui... Maître » qu'elle me dit
avec résignation. « C'est bien que tu m'écoutes... salope... car tu connais les
conséquences. Alors, pour ta première soirée, on va prendre ça tout doucement. Étends-
toi sur le divan et branle-toi jusqu'à ce que tu viennes. Mais... tu devras me
demander la permission avant de venir sinon, ce sera considéré comme une désobéissance
et une effraction sera notée dans ton carnet de punitions. Bon, commence tout de
suite! »

Je me levai et lui donnai tout l'espace pour qu'elle puisse s'installer sur le divan.
Aussitôt qu'elle s'étendit, je repris ma caméra et la braquai sur elle pendant qu'elle
se mettait à sa tâche. Je voyais que c'était pénible pour elle. Elle avait une énorme
difficulté à se concentrer. Après un certain temps, elle ferma les yeux et accentua le
mouvement de sa main. Quelques minutes plus tard son corps frissonna et elle gémit,
signe de sa jouissance. « C'est bien salope, tu es venue et j'ai tout capté sur vidéo.
C'était vraiment beau de te voir. Par contre, aurais-tu oublié quelque chose? » Elle
revint à la réalité lorsqu'elle réalisa ce qu'elle a oublié. « Je m'excuse Maître,
j'ai oublié de vous demander la permission pour venir « Eh bien oui salope, troisième
faute ce soir. Après tes deux mensonges, voici que tu m'as désobéis. Tu veux vraiment
l'avoir cette punition. Eh salope?! Aussi, lorsque je te donne un ordre, comme celui
de te masturber, tu dois me remercier aussitôt que tu accomplis ta tâche » « Merci
Maître, de m'avoir fait me masturber et venir » « C'est mieux »

« Eh bien, tel que promis, je te laisse pour ce soir, le temps que tu absorbes tout ce
qui vient de t'arriver. Je serai ici demain matin vers 8:00. Prépares-moi un petit
déjeuner. Ensuite je passerai à travers ton linge pour en faire le tri. Je présume
qu'il ne te restera plus grand chose. Ensuite, on ira faire un tour au salon de
beauté. Après, on ira magasiner pour du linge qui rehaussera ton corps et pour finir,
eh bien... ça sera une surprise »

« Mais prend note d'une chose : toutes les informations sur ton passé sont scellées
dans une enveloppe chez mon notaire et seront envoyées à la police et à ton beau-père
si quelque chose devait m'arriver. Alors souhaite que je reste en santé. Et si tu
décides de te sauver, j'irai te dénoncer à ton lycée et tu n'auras plus accès à
l'argent de ta bourse. »

« Et sur ce, fais de beaux rêves salope et à demain »