En attendant Sophie
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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En attendant Sophie
Erwann et Félix s’installèrent dans le bureau, que nous avions vidé pour en faire ne chambre, certes plus petite que les autres, mais tout aussi confortable, et puis de toute façon chez nous personne n’avait de chambre attitrée, tout le monde pouvant se retrouver dans n’importe quel lit, avec n’importe qui.
Ce qui aurait dû être l’appartement d’Émilie accueillait désormais 6 personnes, aux appétits sexuels tout aussi grands. Ce qui, en dépit de tout ce que l’on pouvait penser, ne rendait pas la cohabitation facile. Certes, il aurait été facile de transformer l’appartement en baisodrome, et de laisser chacun vivre librement sa sexualité, avec qui il voulait, quand il le voulait, mais très vite, la situation aurait pu devenir invivable, ingérable.
Nina, pourtant une des plus actives, dut la première à mettre le sujet sur le tapis. Elle nous réunit dans le salon et aborda la question alors qu’une seule semaine venait se s’écouler depuis l’arrivée des nouveaux occupants.
Elle commença avec Émilie et Erwann. Si elle se réjouissait de leur nouvelle relation plus du tout fraternelle, elle semblait ne pas trop aimer les trouver sur le canapé en plein milieu de l’après-midi quand elle rentrait de la fac. Félix et moi en prîmes autant. Elle vanta les prouesses de Félix et la taille de son membre, mais elle me reprochait ne pas être discret quand je l’avais en moi et que je hurlais de plaisir.
— Je ne suis pas la dernière pour ce qui est du sexe, et je ne dis pas que je n’aimerais pas qu’on se refasse une belle petite partouze dans le salon, les uns dans les autres, sur les autres, sous les autres, mais merde, est-ce que vous êtes obligés de vous balader à poil du soir au matin. Félix tu as une belle et grosse bite, et j’adorerais y gouter, mais si tu pouvais la ranger quand je prends mon petit déjeuner.
Nina nous fit bien rire avec sa leçon de bonne tenue, surtout quand elle me prit par la main et m’attira dans sa chambre en lançant un tonitruant : « Maintenant je vais me faite enculer. »
Notre cohabitation trouva donc ses marques, laissant à chacun la place dont il avait besoin pour vivre sa vie, sexuelle ou non.
Pendant les semaines qui suivirent, je revis Sophie de façon régulière. Si je savais l’essentiel de son histoire, ces rencontres, ces rendez-vous, nous permirent de nous connaitre un peu mieux. Nous avions tous les deux convenu d’attendre avant de coucher ensemble. Un mois. Ce qui nous parut à tous les deux très longs. Nous ne cachions pas notre désir qui grandissait l’un pour l’autre.
Émilie, qui n’ignorait rien de Sophie, de nos rendez-vous, avait elle aussi hâte de la rencontrer. Elle se souvenait très bien de ce fantasme qu’elle avait partagé avec moi. Sophie, qui m’avait promis de rencontrer Émilie et les autres, voulait pour le moment rester simplement avec moi.
— C’est marrant que ta copine ait ce fantasme, dit-elle, ce n’est pas la première femme à l’avoir, mais en général leur mec n’est pas bi, et déjà bien à l’aise avec les hommes. Enfin, le jour venu je serais ravi de la satisfaire.
Nous étions dans le bar qui avait abrité notre première rencontre. Si l’hiver n’était pas terminé, le froid se faisait moins piquant et Sophie avait troqué le pull à col roulé qui semblait son uniforme, pour un récolté qui me laissait entrevoir sa poitrine. Elle buvait un chocolat chaud qui lui avait laissé une moustache de lait au-dessus de la bouche. Je m’avançais pour l’essuyer quand elle se pencha vers moi et m’embrassa. Je fus surpris de son initiative. Je me reculais. Elle souriait. Alors je me penchais de nouveau vers elle et cette fois-ci l’embrassait à pleine bouche. Nos langues se rencontrant pour la première fois semblaient aimantées, nous ne pouvions plus nous détacher l’un de l’autre. Si ce baiser avait duré plus longtemps, mon érection aurait fait sauter les boutons de ma braguette. En sortant, Sophie me prit par le bras et me dit qu’elle aussi avait le plus grand mal à dissimuler la bosse au niveau de son entrejambe.
— Comme ça tu n’as plus de doute sur ce que j’avance.
Je la raccompagnais jusque chez elle, et bien que nous en ayons tous les deux très envie, et qu’elle me le demande, je ne montais pas dans son appartement. Nous échangeâmes un dernier baiser sur le trottoir et je la regardais s’éloigner.
Je rentrais chez moi. Erwann et Nina préparaient le diner dans la cuisine pendant que Félix regardait la télé dans le salon. Je m’installais à côté de lui, prit sa main, la posait sur mon entrejambe pour lui faire constater mon excitation. Il me regarda, et sans dire un mot me suivit dans ma chambre. En moins de deux nous fûmes nus.
— Suce-moi, lui dis-je.
— À vos ordres.
Il prit ma bite en bouche, l’avala tout entière et me suça goulument. J’appuyais sur son crâne, pour qu’il accélère, je voulais jouir au plus vite.
— Suce, avale, plus vite, vas-y.
Je lui criais des ordres, je le pressais contre ma bite jusqu’à exploser dans sa bouche relâchant cette tension qui m’habitait depuis que j’avais embrassé Sophie. Félix se redressa, mon foutre lui coulant sur le menton. Je l’embrassais, et léchais mon sperme sur son visage.
— Tu es déchainé ce soir, me dit-il. C’est ta nouvelle copine qui t’excite comme ça ?
— Elle m’excite plus que tu ne peux l’imaginer. Tu veux que je te suce, ou m’enculer& ?
— Avec joie.
Je pris Félix entre mes lèvres. J’avais appris à sucer sa grosse queue sans m’étouffer, mais je préférais quand il m’enculait. S’il me faisait toujours un peu mal au début, mon cul s’était bien adapté à son engin, et j’en redemandais.
— N’oublie pas mes couilles. Et mon cul, j’adore quand tu le titilles du bout de ta langue.
J’obéissais, et fis glisser ma langue sur ses boules bien rasée, et entre ses fesses tout aussi lisses pour venir chatouiller sa rondelle, sans cesser de le branler. Quand il fut bien chaud, il me fit assoir sur sa queue qui glissa dans mon cul sans problème. Je m’enculais sur sa belle queue, faisant tout le travail laissant Félix profiter du plaisir que je lui procurais. Pendant que sa bite me défonçait le cul je pensais à Sophie, à nos baisers, à sa poitrine dont j’avais eu un léger aperçu, à sa bite qui déformait sa culotte, et à tout ce que nous pourrions faire quand enfin nous nous retrouverions chez elle.
Je jouis, un jet de foutre s’échappa de ma bite et s’écrasa sur le parquet de la chambre. Je me relevais et laissais Félix se finir sur moi. Je recueillis son foutre sur ma langue et le partageais avec lui dans un baiser gluant.
Ce qui aurait dû être l’appartement d’Émilie accueillait désormais 6 personnes, aux appétits sexuels tout aussi grands. Ce qui, en dépit de tout ce que l’on pouvait penser, ne rendait pas la cohabitation facile. Certes, il aurait été facile de transformer l’appartement en baisodrome, et de laisser chacun vivre librement sa sexualité, avec qui il voulait, quand il le voulait, mais très vite, la situation aurait pu devenir invivable, ingérable.
Nina, pourtant une des plus actives, dut la première à mettre le sujet sur le tapis. Elle nous réunit dans le salon et aborda la question alors qu’une seule semaine venait se s’écouler depuis l’arrivée des nouveaux occupants.
Elle commença avec Émilie et Erwann. Si elle se réjouissait de leur nouvelle relation plus du tout fraternelle, elle semblait ne pas trop aimer les trouver sur le canapé en plein milieu de l’après-midi quand elle rentrait de la fac. Félix et moi en prîmes autant. Elle vanta les prouesses de Félix et la taille de son membre, mais elle me reprochait ne pas être discret quand je l’avais en moi et que je hurlais de plaisir.
— Je ne suis pas la dernière pour ce qui est du sexe, et je ne dis pas que je n’aimerais pas qu’on se refasse une belle petite partouze dans le salon, les uns dans les autres, sur les autres, sous les autres, mais merde, est-ce que vous êtes obligés de vous balader à poil du soir au matin. Félix tu as une belle et grosse bite, et j’adorerais y gouter, mais si tu pouvais la ranger quand je prends mon petit déjeuner.
Nina nous fit bien rire avec sa leçon de bonne tenue, surtout quand elle me prit par la main et m’attira dans sa chambre en lançant un tonitruant : « Maintenant je vais me faite enculer. »
Notre cohabitation trouva donc ses marques, laissant à chacun la place dont il avait besoin pour vivre sa vie, sexuelle ou non.
Pendant les semaines qui suivirent, je revis Sophie de façon régulière. Si je savais l’essentiel de son histoire, ces rencontres, ces rendez-vous, nous permirent de nous connaitre un peu mieux. Nous avions tous les deux convenu d’attendre avant de coucher ensemble. Un mois. Ce qui nous parut à tous les deux très longs. Nous ne cachions pas notre désir qui grandissait l’un pour l’autre.
Émilie, qui n’ignorait rien de Sophie, de nos rendez-vous, avait elle aussi hâte de la rencontrer. Elle se souvenait très bien de ce fantasme qu’elle avait partagé avec moi. Sophie, qui m’avait promis de rencontrer Émilie et les autres, voulait pour le moment rester simplement avec moi.
— C’est marrant que ta copine ait ce fantasme, dit-elle, ce n’est pas la première femme à l’avoir, mais en général leur mec n’est pas bi, et déjà bien à l’aise avec les hommes. Enfin, le jour venu je serais ravi de la satisfaire.
Nous étions dans le bar qui avait abrité notre première rencontre. Si l’hiver n’était pas terminé, le froid se faisait moins piquant et Sophie avait troqué le pull à col roulé qui semblait son uniforme, pour un récolté qui me laissait entrevoir sa poitrine. Elle buvait un chocolat chaud qui lui avait laissé une moustache de lait au-dessus de la bouche. Je m’avançais pour l’essuyer quand elle se pencha vers moi et m’embrassa. Je fus surpris de son initiative. Je me reculais. Elle souriait. Alors je me penchais de nouveau vers elle et cette fois-ci l’embrassait à pleine bouche. Nos langues se rencontrant pour la première fois semblaient aimantées, nous ne pouvions plus nous détacher l’un de l’autre. Si ce baiser avait duré plus longtemps, mon érection aurait fait sauter les boutons de ma braguette. En sortant, Sophie me prit par le bras et me dit qu’elle aussi avait le plus grand mal à dissimuler la bosse au niveau de son entrejambe.
— Comme ça tu n’as plus de doute sur ce que j’avance.
Je la raccompagnais jusque chez elle, et bien que nous en ayons tous les deux très envie, et qu’elle me le demande, je ne montais pas dans son appartement. Nous échangeâmes un dernier baiser sur le trottoir et je la regardais s’éloigner.
Je rentrais chez moi. Erwann et Nina préparaient le diner dans la cuisine pendant que Félix regardait la télé dans le salon. Je m’installais à côté de lui, prit sa main, la posait sur mon entrejambe pour lui faire constater mon excitation. Il me regarda, et sans dire un mot me suivit dans ma chambre. En moins de deux nous fûmes nus.
— Suce-moi, lui dis-je.
— À vos ordres.
Il prit ma bite en bouche, l’avala tout entière et me suça goulument. J’appuyais sur son crâne, pour qu’il accélère, je voulais jouir au plus vite.
— Suce, avale, plus vite, vas-y.
Je lui criais des ordres, je le pressais contre ma bite jusqu’à exploser dans sa bouche relâchant cette tension qui m’habitait depuis que j’avais embrassé Sophie. Félix se redressa, mon foutre lui coulant sur le menton. Je l’embrassais, et léchais mon sperme sur son visage.
— Tu es déchainé ce soir, me dit-il. C’est ta nouvelle copine qui t’excite comme ça ?
— Elle m’excite plus que tu ne peux l’imaginer. Tu veux que je te suce, ou m’enculer& ?
— Avec joie.
Je pris Félix entre mes lèvres. J’avais appris à sucer sa grosse queue sans m’étouffer, mais je préférais quand il m’enculait. S’il me faisait toujours un peu mal au début, mon cul s’était bien adapté à son engin, et j’en redemandais.
— N’oublie pas mes couilles. Et mon cul, j’adore quand tu le titilles du bout de ta langue.
J’obéissais, et fis glisser ma langue sur ses boules bien rasée, et entre ses fesses tout aussi lisses pour venir chatouiller sa rondelle, sans cesser de le branler. Quand il fut bien chaud, il me fit assoir sur sa queue qui glissa dans mon cul sans problème. Je m’enculais sur sa belle queue, faisant tout le travail laissant Félix profiter du plaisir que je lui procurais. Pendant que sa bite me défonçait le cul je pensais à Sophie, à nos baisers, à sa poitrine dont j’avais eu un léger aperçu, à sa bite qui déformait sa culotte, et à tout ce que nous pourrions faire quand enfin nous nous retrouverions chez elle.
Je jouis, un jet de foutre s’échappa de ma bite et s’écrasa sur le parquet de la chambre. Je me relevais et laissais Félix se finir sur moi. Je recueillis son foutre sur ma langue et le partageais avec lui dans un baiser gluant.
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