En cellule
Récit érotique écrit par Valentin8250 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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En cellule
Voici un petit récit qui, vous le comprendrez, ne recherche pas la vraisemblance, seulement l’expression de fantasmes excitants…
Nous sommes en 1923, après un vol, j’avais été condamné à un an de prison. A cette époque, les pratiques judiciaires étaient bien différentes de celles d’aujourd’hui.
J’avais été jeté en cellule, que je partageais avec un autre détenu. Un gars un peu fruste, manifestement pas touché par la grâce de l’intelligence, mais vraiment costaud…
En m’installant, je regarde le type, lui dis bonjour. Il ne me répond pas ;
« Il a l’air un peu simple » me dis-je…
Mais il a les bras épais comme mes cuisses, et un tour de taille deux fois comme le mien…
Il se dirige vers moi, toujours sans un mot, il m’agresse, me tord le bras, et me dit :
- Suce-moi !
Je m’apprête à hurler au secours, quand, au travers de la lucarne de surveillance, je vois un gardien en train de regarder la scène ; je suis interloqué !!
Je comprends alors qu’il est inutile d’appeler au secours.
- Je tente quand même :
- Au secours, aidez-moi !! Il est en train de me violer !!
Je me débats ; il me tord encore, et m’agenouille devant lui ; il a déjà sorti son sexe raide ; je regarde le surveillant, qui ne bronche pas ; j’ai son gland devant la bouche, mon codétenu me force et, vaincu, je capitule et accepte de satisfaire son désir ; à peine ai-je ouvert la bouche, qu’il pousse sa queue entre mes lèvres ; son gland m’investit et va fouiller entre mon palais et ma langue. Je suis obligé de commencer à le satisfaire. J’accepte ses va-et-vient le long de sa queue raide. J’ai compris que mon codétenu me domine, je sens toute la puissance de sa bite dure et raide entre mes lèvres ; le surveillant me regarde. Mais je le laisse quand même me baiser la bouche, en rougissant jusqu’aux oreilles.
Pour qu’il lâche mon bras qui me fait mal, je veux l’amadouer un peu : je commence, en signe de soumission, à faire coulisser moi-même mes lèvres le long de sa tige. J’essaie de lui faire du bien avec ma langue aussi, je le suce de mon mieux. Soudain, il éjacule, ses jets de sperme inondent abondamment ma bouche. C’est seulement satisfait qu’il me relâche.
Plus tard dans la journée, nostalgique de la liberté du dehors, je regarde à travers les barreaux… Soudain, je suis plaqué contre le mur. Il me tient fermement, je ne peux m’échapper, il se place derrière moi ; je me dis, fataliste :
« Ca y est, il va me baiser.. ! »
Je suis bloqué par la force de mon codétenu.
- Baisse ton pantalon ! me dit-il en grognant.
J’obéis, et je suis obligé de laisser mon cul nu offert et sans défense. Je vois alors le sexe qui va me violer : il est encore plus gros et dressé que quand je l’ai sucé ! C’est un vrai monstre en rut ! Je me dis qu’il doit me désirer sexuellement très fort ! … Irrépressiblement, je veux sentir la dureté de cette bite, je passe ma main dessus, mes doigts touchent un barreau d’acier raide et dur… Je l’entends souffler comme un buffle, de la bave coule même sur mon épaule, et je sens son gland contre mon petit œillet… Il ouvre ma rondelle, se fraie un passage dans mon cul. Mon codétenu m’a défloré, puis me lime le cul, jusqu’à sa jouissance…
Quelques jours plus tard, au travers de conversations des surveillants que j’ai entendues, je compris qu’en réalité, mon codétenu était un pervers sexuel notoire, toujours en manque sexuel, il posait beaucoup de problèmes à la prison, aussi, pour le calmer, et afin d’avoir la paix, ils m’ont jeté en pâture à lui. En fait, je suis là pour le satisfaire sexuellement… Et je vais découvrir que c’est un obsédé, avec d’énormes besoins sexuels, que je vais satisfaire entièrement.
Le soir, à la fin du repas, il m’appelle en émettant des grognements.
Je ne peux qu’obéir, je m’approche, je sais qu’il peut être violent, et afin de ne pas l’énerver, je baisse mon pantalon en me penchant sur la table, et lui présente docilement mon cul.
Je lui dis :
- c’est bien comme ça ?
Mon codétenu est visiblement satisfait de mon attitude, car pour toute réponse, il m’enfile, et me tringle bien.
Je compris vite que me faire baiser était un rituel de fin de repas auquel je devais me soumettre tous les midis.
Maintenant, afin de pleinement le satisfaire, je devance sa demande, et je surveille son repas, lorsqu’il est en train de finir son plat, je me présente à lui, bien docilement. J’ai même pu constater, que pendant le durée des repas, je vois progressivement sa queue, maintenant habituée à avoir son petit plaisir, se durcir d’envie par anticipation de ce qu’elle va avoir.
Je m’habitue ainsi à être la petite friandise qu’il consommera comme dessert à chaque fin de repas.
Le matin au réveil, il me force à venir m’occuper de son érection matinale.
J’arrive, et prend son sexe dressé dans ma bouche pour le faire jouir.
J’essaie d’être bon, je lui lèche bien son gland pour lui faire du bien. Je le suce de mon mieux. A chaque fois il m’inonde toute la bouche de son sperme.
L’administration de la prison est très contente de la tournure des évènements : elle n’a plus de problèmes avec le pervers sexuel. Je satisfais totalement toutes ses envies.
Maintenant, notre niveau d’intimité a encore évolué : outre le rituel de fin de repas, je devine les moments de ses envies, en observant son sexe, dès que je le vois se raidir, je vais m’offrir à lui…
Mon principal souci, maintenant, c’est de bien le satisfaire sexuellement, et recevoir son sperme quand il se vide les bourses.
Une autre nuit, j’étais réveillé. Dans la pénombre, je vois que mon codétenu a une belle érection, ses ronflements sonores m’indiquent qu’il dort pourtant profondément. Mais son sexe est là, raide, et je dois m’en occuper. Je commence à le sucer. Il continue à dormir… Je caresse sa grosse tige en coulissant mes lèvres, et soudain, je sens de puissants jets de sperme buter au fond de ma gorge. Tout en continuant à ronfler, mon codétenu jouit pleinement, il a seulement esquissé un vague sourire de satisfaction, et, entre ses ronflements, a émis un petit râle de plaisir à chaque éjaculation… « Ah…ah…Ah… »
Mais le plus étonnant, c’est qu’après sa jouissance, je vis son sexe toujours bien dressé !
J’attends un peu, mais il reste ainsi, aussi je le reprends dans ma bouche pour le sucer à nouveau. Il jouit alors une deuxième fois, aussi abondamment, et la bite reste encore raide après, la bouche encore pleine de son sperme, je conserve son sexe et continue donc à le sucer, et il éjacule une troisième fois, toujours en ronflant, et accompagnant chaque éjaculation de râles de satisfaction, son sexe ne se dégonfle qu’alors…
Bien que j’aie eu une certaine intimité avec mon codétenu, je n’ai jamais connu son nom… Tout comme il n’a jamais cherché à connaitre le mien.
Nous sommes en 1923, après un vol, j’avais été condamné à un an de prison. A cette époque, les pratiques judiciaires étaient bien différentes de celles d’aujourd’hui.
J’avais été jeté en cellule, que je partageais avec un autre détenu. Un gars un peu fruste, manifestement pas touché par la grâce de l’intelligence, mais vraiment costaud…
En m’installant, je regarde le type, lui dis bonjour. Il ne me répond pas ;
« Il a l’air un peu simple » me dis-je…
Mais il a les bras épais comme mes cuisses, et un tour de taille deux fois comme le mien…
Il se dirige vers moi, toujours sans un mot, il m’agresse, me tord le bras, et me dit :
- Suce-moi !
Je m’apprête à hurler au secours, quand, au travers de la lucarne de surveillance, je vois un gardien en train de regarder la scène ; je suis interloqué !!
Je comprends alors qu’il est inutile d’appeler au secours.
- Je tente quand même :
- Au secours, aidez-moi !! Il est en train de me violer !!
Je me débats ; il me tord encore, et m’agenouille devant lui ; il a déjà sorti son sexe raide ; je regarde le surveillant, qui ne bronche pas ; j’ai son gland devant la bouche, mon codétenu me force et, vaincu, je capitule et accepte de satisfaire son désir ; à peine ai-je ouvert la bouche, qu’il pousse sa queue entre mes lèvres ; son gland m’investit et va fouiller entre mon palais et ma langue. Je suis obligé de commencer à le satisfaire. J’accepte ses va-et-vient le long de sa queue raide. J’ai compris que mon codétenu me domine, je sens toute la puissance de sa bite dure et raide entre mes lèvres ; le surveillant me regarde. Mais je le laisse quand même me baiser la bouche, en rougissant jusqu’aux oreilles.
Pour qu’il lâche mon bras qui me fait mal, je veux l’amadouer un peu : je commence, en signe de soumission, à faire coulisser moi-même mes lèvres le long de sa tige. J’essaie de lui faire du bien avec ma langue aussi, je le suce de mon mieux. Soudain, il éjacule, ses jets de sperme inondent abondamment ma bouche. C’est seulement satisfait qu’il me relâche.
Plus tard dans la journée, nostalgique de la liberté du dehors, je regarde à travers les barreaux… Soudain, je suis plaqué contre le mur. Il me tient fermement, je ne peux m’échapper, il se place derrière moi ; je me dis, fataliste :
« Ca y est, il va me baiser.. ! »
Je suis bloqué par la force de mon codétenu.
- Baisse ton pantalon ! me dit-il en grognant.
J’obéis, et je suis obligé de laisser mon cul nu offert et sans défense. Je vois alors le sexe qui va me violer : il est encore plus gros et dressé que quand je l’ai sucé ! C’est un vrai monstre en rut ! Je me dis qu’il doit me désirer sexuellement très fort ! … Irrépressiblement, je veux sentir la dureté de cette bite, je passe ma main dessus, mes doigts touchent un barreau d’acier raide et dur… Je l’entends souffler comme un buffle, de la bave coule même sur mon épaule, et je sens son gland contre mon petit œillet… Il ouvre ma rondelle, se fraie un passage dans mon cul. Mon codétenu m’a défloré, puis me lime le cul, jusqu’à sa jouissance…
Quelques jours plus tard, au travers de conversations des surveillants que j’ai entendues, je compris qu’en réalité, mon codétenu était un pervers sexuel notoire, toujours en manque sexuel, il posait beaucoup de problèmes à la prison, aussi, pour le calmer, et afin d’avoir la paix, ils m’ont jeté en pâture à lui. En fait, je suis là pour le satisfaire sexuellement… Et je vais découvrir que c’est un obsédé, avec d’énormes besoins sexuels, que je vais satisfaire entièrement.
Le soir, à la fin du repas, il m’appelle en émettant des grognements.
Je ne peux qu’obéir, je m’approche, je sais qu’il peut être violent, et afin de ne pas l’énerver, je baisse mon pantalon en me penchant sur la table, et lui présente docilement mon cul.
Je lui dis :
- c’est bien comme ça ?
Mon codétenu est visiblement satisfait de mon attitude, car pour toute réponse, il m’enfile, et me tringle bien.
Je compris vite que me faire baiser était un rituel de fin de repas auquel je devais me soumettre tous les midis.
Maintenant, afin de pleinement le satisfaire, je devance sa demande, et je surveille son repas, lorsqu’il est en train de finir son plat, je me présente à lui, bien docilement. J’ai même pu constater, que pendant le durée des repas, je vois progressivement sa queue, maintenant habituée à avoir son petit plaisir, se durcir d’envie par anticipation de ce qu’elle va avoir.
Je m’habitue ainsi à être la petite friandise qu’il consommera comme dessert à chaque fin de repas.
Le matin au réveil, il me force à venir m’occuper de son érection matinale.
J’arrive, et prend son sexe dressé dans ma bouche pour le faire jouir.
J’essaie d’être bon, je lui lèche bien son gland pour lui faire du bien. Je le suce de mon mieux. A chaque fois il m’inonde toute la bouche de son sperme.
L’administration de la prison est très contente de la tournure des évènements : elle n’a plus de problèmes avec le pervers sexuel. Je satisfais totalement toutes ses envies.
Maintenant, notre niveau d’intimité a encore évolué : outre le rituel de fin de repas, je devine les moments de ses envies, en observant son sexe, dès que je le vois se raidir, je vais m’offrir à lui…
Mon principal souci, maintenant, c’est de bien le satisfaire sexuellement, et recevoir son sperme quand il se vide les bourses.
Une autre nuit, j’étais réveillé. Dans la pénombre, je vois que mon codétenu a une belle érection, ses ronflements sonores m’indiquent qu’il dort pourtant profondément. Mais son sexe est là, raide, et je dois m’en occuper. Je commence à le sucer. Il continue à dormir… Je caresse sa grosse tige en coulissant mes lèvres, et soudain, je sens de puissants jets de sperme buter au fond de ma gorge. Tout en continuant à ronfler, mon codétenu jouit pleinement, il a seulement esquissé un vague sourire de satisfaction, et, entre ses ronflements, a émis un petit râle de plaisir à chaque éjaculation… « Ah…ah…Ah… »
Mais le plus étonnant, c’est qu’après sa jouissance, je vis son sexe toujours bien dressé !
J’attends un peu, mais il reste ainsi, aussi je le reprends dans ma bouche pour le sucer à nouveau. Il jouit alors une deuxième fois, aussi abondamment, et la bite reste encore raide après, la bouche encore pleine de son sperme, je conserve son sexe et continue donc à le sucer, et il éjacule une troisième fois, toujours en ronflant, et accompagnant chaque éjaculation de râles de satisfaction, son sexe ne se dégonfle qu’alors…
Bien que j’aie eu une certaine intimité avec mon codétenu, je n’ai jamais connu son nom… Tout comme il n’a jamais cherché à connaitre le mien.
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