En vacances avec ma cousine - histoire érotique

En vacances avec ma cousine
Mois de Mai. Je décide d'aller sur la côté mèditerranéenne dans la région de Cannes pour mes vacances. Au passage je m'arrête quelques jours chez mon oncle et ma tante à Hyères. Leur fils ainé a quitté le domicile familial et leur fille Sophie est encore à la maison. Elle termine ses études dans le tourisme. Cela fait plusieurs années que je ne l'ai avait pas vu. Sophie a bien grandi et est devenue une jeune femme ravissante avec sa chevelure blonde claire, son visage fin et ses yeux couleur noisette.
Je suis arrivé il y maintenant 3 jours, il fait soleil, chaud. Les parents partent très tôt le matin pour se rendre à leur travail et ne rentrent que le soir. Je reste avec Sophie à la maison qui étudie ses cours pour des examens dans quelques semaines. Ma tante m'a dit que je peux faire comme si j'étais chez moi, utiliser la cuisine quand je veux mais prévenir Sophie quand je quitte ou rentre à la maison. Ce matin-là, Sophie tarde à se lever. Il est 8h45 et toujours pas de bruit ni d'apparition de sa part. Je ne suis pas inquiet mais je veux sortir et je dois la prévenir, peut-être dort-elle encore ? C'est vrai que la nuit dernière je me suis levé pour aller aux toilettes et j'ai vu de la lumière sous sa porte, que faisait-elle ?
- " Sophie...." dis-je doucement derrière sa porte...pas de réponse, " Sophie je vais sortir ". Toujours le silence, pas de réponse. J'appuie alors sur la poignée et pousse la porte qui s'ouvre. Je passe la tête dans l'espace et ce que je vois me laisse sans voix. Sophie, ma cousine Sophie qui paraît si timide et réservée, est assise sur un fauteuil, face à un bureau, complètement nue, les jambes écartées relevées sur les accoudoirs. Je referme doucement la porte sans faire de bruit. J'ai eu le temps d'apercevoir sur le bureau un écran d'ordinateur allumé montrant une autre femme nue. Après la surprise vient la réflexion, mais aussi l'excitation. Et si je retournais voir ? Trop tard, je l'entends fermer la fenêtre. Je descends rapidement les escaliers et sort sur la terrasse. Quelques minutes plus tard, je vois Sophie vêtue d'un peignoir me rejoindre. Ses cheveux blonds coupés courts lui donne encore un air d'adolescente.
- " Que vas-tu faire ? " me demande-t-elle en soufflant sur son café.
- " Je vais faire un peu de vélo, aller au marché pour acheter de quoi préparer le repas de midi " répondis-je.
- " Kool ! " dit-elle en croisant les jambes. Les pans du peignoir sont tombés dévoilant très haut ses cuisses. " Et bien moi je vais retourner dans mes cours " ajoute-elle en posant sa tête sur mon épaule. Elle termine son café et va s'allonger sur un transat dans le jardin.
- " C'est comme ça que tu révises ? " demandais-je en riant.
- " oui bien sûre...le réconfort après......et avant l'effort " répond-elle en jetant son peignoir. Je peux enfin voir son corps. Ses fesses couvertes d'une culotte rouge sont rondes et bombées. Le soutien-gorge assorti renferme de gros seins avec des tétons qui pointent sous le tissu. Je n'arrive pas à détourner mon regard de son physique excitant.
- " Tu as besoin de quelque chose ? " me demande-t-elle.
- " Euh..non merci, je vais y aller. A plus ".
Je trouve la maison vide à mon retour, personne sur la terrasse, pas un bruit.
- " Je suis de retour ! " dis-je en bas des escaliers. Un bruit sourd résonne du plafond, comme si quelque chose vient de tomber.
Je prépare le repas simple et rapide. Pendant que ça cuit, je m'installe sur le transat pour profiter des rayons du soleil. Le chant des cigales est présent à cette heure chaude du début d'après-midi.
- " Tu as trouvé ce que tu voulais ? " me demande Sophie appuyée contre le montant de la porte.
Elle a changé son peignoir contre un short échancré sur les cuisses et un haut court à bretelles. Elle est très sexy vêtue ainsi et même bandante.
- " Oui et si tu es prête on peut passer à table ".
Le repas se passe en discutant, en riant. On aborde beaucoup de sujet quand elle me pose la question :
- " Est-ce que tu vis seul ? ".
- " Oui " dis-je après avoir vidé mon verre.
- " Ah...et ça ne te manque pas ? " ajoute-t-elle.
- " Qu'est-ce qui ne me manque pas ? ".
Elle s'écarte un peu de la table pour y poser les pieds. Une main posée sur son ventre et l'autre jouant avec une bretelle de son haut elle dit :
- " Et bien la présence d'une femme, le partage, l'amour et...."
Elle ne continue pas sa phrase, tourne la tête dans ma direction.
- " Et quoi ? ".
- " Allez tu sais de quoi je veux parler....le sexe bien sûre ".
Je me lève, débarrasse la table et commence la vaisselle. J'ai les mains dans l'eau savonneuse quand je sens Sophie se coller à mon dos.
- " Tu sais...il n'y a pas de mal à se faire du bien tout seul…et c'est même meilleur ".
Elle pose une main sur mon épaule, m'embrasse du bout des lèvres dans le cou, l'autre main passe sur mon ventre qu'elle caresse. A cet instant j'aurais dû lui dire d'arrêter, mais le plaisir, le désir, l'envie est trop grande. J'ai l'image de son corps allongé sur le transat. Je la laisse continuer.
- " Mais quand une personne peut et veut le faire à ta place......."
Sa main déboutonne mon pantalon et le tire vers le bas. Ses baisers dans le cou sont plus forts et prononcés.
" ......alors laisse-toi faire et prend du plaisir avec cette personne ".
On se retrouve face à face, elle ne porte qu'un mini string ficelle. Sa poitrine nue laisse apparaître des petits tétons. Sa main glisse dans mon caleçon, caresse ma bite qui durcit rapidement. Cette caresse est douce et agréable.
- " Huummm c'est bon " dis-je en fermant les yeux.
- " Oui je sais et ce n'est pas finit ".
Elle baisse le caleçon et sa langue vient lécher le gland. Dans un moment de panique et de lucidité, je me dégage et remonte mon pantalon. Elle est surprise par ma réaction, semble perdue et honteuse de se retrouver dans cette situation. Je vois de la tristesse dans son regard. Je m'approche d'elle et la prends dans mes bras.
- " Je ne te plaît pas ! " dit-elle le front posé contre mon torse.
Je lui relève la tête et prends son menton entre mon pouce et l'index. Sans réfléchir je pose mes lèvres sur les siennes et je la serre dans mes bras. Elle fait pareils. On s'embrasse maintenant à pleine bouche, nos langues jouent ensembles. Mes doigts parcourent son corps, pressent sa poitrine gonflée, pincent et tirent les tétons. Elle gémit et souffle doucement. Sa respiration s'accélère quand je glisse une main dans son slip. Je sens son sexe nu sans poil, les lèvres humides s'ouvrent sous mes doigts.
- " Oooohh que c'est boooonn " dit-elle en se tenant face à l'évier.
Je me colle à son dos. Je plonge les mains dans l'eau pour mouiller sa poitrine. Le savon rend la caresse plus facile et glissante. Je m'amuse avec ses tétons. Elle frotte son cul contre mon sexe tendu dans mon pantalon. D'un geste rapide elle libère ma bite pour la coller entre ses cuisses serrées. Je fais un va et vient entre ses cuisses contre son slip maintenant mouillé. Je la masturbe avec ma bite et elle me branle entre ses cuisses.
- " Huumm oui c'est ça, vas-y....plus vite je veux jouir ! " ajoute-t-elle en se penchant en avant.
J'attrape ses hanches et je me frotte plus vite et plus fort. Elle glisse une main dans son slip pour se caresse, se branler le cilto. Elle serre si fort les cuisses que je ne tarde pas à exploser et cracher sur son slip et ses cuisses. Elle ne tarde pas à jouir en attrapant un sein qu'elle presse fortement tout en se retenant au bord de l'évier.
- " Merci cousin " me dit-elle en posant un baiser sur la joue avant de monter dans sa chambre. Je m'assois sur une chaise avec le pantalon encore sur les chevilles, pensant à ce qui vient de se passer. Je passe le reste de la journée à la plage, à me baigner, lire ou encore faire une petite sieste. Quand je rentre, ma tante et mon oncle sont occupés dans la cuisine.
- " Comment vas-tu ? " me demande ma tante " Qu'as-tu fait de ta journée ? "
- " Oh tu sais rien de spécial, promenade, le marché, la plage. J'ai fait le touriste ".
- " Bien " réponds mon oncle qui décide de servir l'apéro.
Nous passons à table, le repas est bon, on discute. Ma tante de demande des nouvelles de la famille.
- " Nous avons un service à te demander " dit mon oncle.
- " Vas-y je t'écoute ".
- " Et bien voilà, Sophie a un rendez-vous pour du travail dans deux jours mais c'est assez loin d'ici. Pourrais-tu la conduire ? ".
- " Si c'est pour vous dépanner, pas de problème " dis-je.
- " Alors c'est ok, maintenant on va se coucher " ajoute ma tante.
Il fait encore chaud et le ciel étoilé est magnifique. Je les laisse rentrer et je reste encore un moment. Je suis allongé torse nu sur le transat depuis dix minutes quand je vois une silhouette s'avancer vers moi. Je reconnais la démarche et le physique de Sophie.
- " Il fait trop chaud dans la maison et je n'arrive pas à dormir " me dit-elle tout bas en se couchant à côté de moi. Elle porte une nuisette transparente sans soutien-gorge et un short " fais-moi un peu de place ".
La place est réduite, elle est à moitié couché sur moi, une jambe pliée sur les miennes, une main sur mon torse.
- " Merci de me conduire pour mon rendez-vous ".
- " De rien, je n'ai rien à faire alors si je peux rendre service " dis-je en caressant du bout des doigts ses fesses.
Je repense à ce que nous avons fait ensemble. Ma caresse devient plus insistante. Ma main caresse maintenant son cul, donne de petite claque de temps en temps. Elle ne dit rien, ne bouge pas. Je glisse un doigt dans la raie profonde de son cul, de l'autre main je pince un téton. J'entends sa respiration plus forte et rapide. Elle bouge son bassin pour que mes doigts puissent aller plus loin. J'écarte l'élastique de son slip et pose mes doigts sur sa fente déjà humide.
- " Huumm ouuiii vas-y...enfonce les " me dit-elle entre deux gémissements.
Je réponds à se demande en glissant deux doigts dans son intimité chaude. Un troisième ne tarde pas à suivre quand elle ouvre mon pantalon pour sortir ma bite dure. Elle la caresse, décalotte le gland luisant sous la lumière de la lune. Mes doigts s'activent en elle et sur ses seins. Elle approche sa bouche de ma bite pour l'embrasser.
- " Oohhh t'arrête pas, suce la ma belle ".
Sa langue tourne sur le gland, s'introduit dans le méat puis ses lèvres se referment sur ma bite qu'elle enfonce au fond de sa bouche. J'appuie sur sa tête pour qu'elle la prenne toute en bouche. Elle la recrache en salivant beaucoup.
- " Elle est trop gosse désolée, je ne peux pas toute l'avaler " dit-elle en s'essuyant le menton.
- " Branle-moi alors !" dis-je en pénétrant son sexe avec mes doigts.
Sa main caresse ma bite, puis le gland. Un lent va et vient commence sur ma bite, elle continue en posant parfois ses lèvres sur le gland pour laisser de la salive. Ma main s'enfonce en elle au même rythme que sa main sur mon sexe. On gémit en même temps, notre respiration est presque synchronisée. Lorsqu'elle pose une nouvelle fois sa bouche sur mon gland, j'appuie sur sa tête pour enfoncer ma bite au fond de sa bouche et crache mon jus. Elle ne proteste pas, ne refuse pas et je vois sa gorge avaler mon sperme. Elle me serre les couilles pour en extraire tout le jus et aspire ma bite pour en tirer la dernière goutte.
- " Il a bon goût " dit-elle avant de se lever. " Sur ce...bonne nuit " ajoute-t-elle.
Le ciel est nuageux ce matin. Les parents de Sophie sont partis comme tous les jours de la semaine. Je bois mon thé, Sophie un jus de fruit.
- " Que vas-tu faire de la journée ? " demandais-je.
- " Ooh j'ai trop de choses à faire ! " réponds-elle en levant la tête vers moi. " Et ce temps n'est pas encouragent " ajoute-t-elle en s'enfonçant dans un fauteuil.
Il commence à pleuvoir, les gouttes frappent sur les vitres. Je me sers un nouveau thé.
- " As-tu déjà pratiqué la sodomie ? " me questionne-t-elle à mon retour.
Elle est assise en tailleur à demi allongée sur le fauteuil. Son short légèrement sur le côté laisse voir son sexe. Une main posée sur le ventre, l'autre lui sert de repose tête.
- " Non et toi ? ".
Elle sourit tout en prenant l'air sérieux.
- " Pas encore. J'ai vu des vidéos et j'ai une amie qui m'a dit qu'elle avait essayé ".
Je bois le thé. Je vois ses doigts faire de petits cercles autour du nombril alors que son petit doigt est glissé au coin de sa bouche.
- " Et alors ? ".
- " Pas top au début...maintenant elle ne peut pas s'en passer ".
La pluie s'intensifie, le tonnerre claque au loin. Elle décroise les jambes, ramène ses pieds contre ses fesses. Mon regard est posé sur sa chatte aux lèvres visibles sous le short. Je suis un peu excité et je sens ma bite durcir dans mon pantalon. Sans m'en rendre compte je glisse une main dans ma poche et je me caresse à travers le tissu. Elle écarte un peu plus les pieds pour me laisser admirer son entrecuisse. Je vois sa main descendre sur puis sous le short. Ses doigts jouent avec son bouton, sa fente maintenant humide.
- " Montre-la moi " dit-elle.
Je la regarde. Une main entre ses cuisses, l'autre sur ses seins elle me défie du regard. Je baisse mon pantalon en soutenant son regard. On est assis face à face, se caressant, se branlant chacun de son côté. Quittant son short, elle s'avance un peu plus sur le fauteuil pour maintenir son cul dans le vide. Remontant ses cuisses pliées et écartées sur sa poitrine, je vois son sexe s'ouvrir, les lèvres se décoller. Avec deux doigts elle frotte son bouton, joue avec sa fente. Je quitte mon pantalon et j'avance vers elle. Je reste debout face à elle. Je crache dans ma main et commence à caresser le gland décalotté. Ses doigts glissent en elle qui sortent couvert de son jus. Elle tend don bras vers ma bite qu'elle attrape pour la caresser et la recouvrir de sa cyprine. La masturbation de ma queue est plus facile et plus rapide.
- " C'est trop bon " gémit-elle.
Elle prend ses fesses à pleine main et les écarte, les claque. Puis revient sur sa fente, presse un sein libéré de sa nuisette.
- " Huummmmm" lâche-t-elle en pinçant le téton. Je caresse mes boules pleines. Elle pose ses pieds sur mon visage, sur ma bouche. " Suce mes orteils " ordonne-t-elle.
C'est la première fois qu'on me demande de faire ça et surtout c'est la première fois que je le fais. Je commence par le petit orteil, puis les autres. Je prends les deux gros orteils en même temps et je suce, je lèche comme je peux. Sophie continue de s'astiquer la fente, de frapper son clito. Je vois qu'elle prend du plaisir à me voir faire ça. Elle descend sur mon torse, frotte mes tétons avant de caler ma bite entre ses pieds. Elle caresse, branle entre ses orteils. Je n'ai jamais expérimenté cette façon de faire et je trouve cela excitant. C'est doux, la peau est tendre, la caresse est légère. J'attrape ses pieds pour coincer plus fort ma bite et me branler plus vite. Je crie, je râle, je souffle fort, Sophie me répond avec des gémissements. Je sens que je vais jouir alors j'accélère le rythme....
- " Non " dit Sophie " pas tout de suite...retiens-toi ".
Toujours allongé sur le fauteuil, elle passe ses bras à l'intérieur de ses jambes et les relève pour avoir les pieds derrière les épaules. Apparaît devant mes yeux sa chatte bien dilatée coulant de mouille et son petit trou brun.
- " Je veux essayer " dit-elle en écartant un peu plus son anus.
Je me caresse toujours mais je sens d'un coup ma bite ramollir, comme si l'excitation venait de disparaître. Elle le remarque, se lève.
- " Tu ne veux pas ? " demande-t-elle en se collant à moi. Elle passe ses bras autour de ma taille, m'invite à en faire autant sur elle. " Pas grave...n'en parlons plus ! ". Elle m'embrasse sur la joue, ramasse ses affaires et monte à l'étage. Je sors, il ne pleut pas, l'air est chaud, l'atmosphère lourde.
- " Samedi ton cousin vient manger avec son amie " annonce ma tante en buvant son café.
Nous avons tous répondu avec enthousiasme. Puis nous avons discuté de nos journées, de nos activités respectives.
- " Sophie ne te dérange pas trop ? " me demande son père alors qu'elle est dans sa chambre.
- " Pas du tout, je ne la vois pas beaucoup...juste le matin, à midi. Je ne veux pas la perturber dans cette période " répondis-je. " Je ne sais pas comment je peux vous remercier pour votre hospitalité ".
- " Oohh ce n'est rien " réponds ma Tante " on est en famille, et si tu as besoin de quelque chose demande à Sophie, elle t'aidera !" ajoute-t-elle en se levant.
- " Merci à toi d'accompagner Sophie demain pour son entretien ".
J'avais oublié ça, c'est vrai. Ils montent se coucher, je reste au salon, assis dans le noir. Je vois par la baie vitrée la pluie tomber fort, c'est un orage violent, le tonnerre gronde pas loin. La pièce est illuminée le temps de l'éclair. J'ai vu une ombre passer la porte, puis devant la baie vitrée. Nouveau flash de lumière, j'aperçois Sophie accroupie dans un coin. Elle tire le rideau pour assombrir un peu plus la pièce. Que fait-elle ? Je ne tarde pas à voir un écran s'allumer sur la table. Sophie s'assoit en reculant un peu la chaise. D'où je suis je peux voir un peu l'écran tourné dans ma direction. Elle tape sur quelques touches, règle l'écran puis s'installe. Quelques secondes plus tard un visage apparaît, celui d'une femme. Elles se font signe de la main, échanges quelques messages écrits. Puis Sophie ouvre son peignoir et dévoile sa poitrine nue. Elle se penche en avant et remue ses seins de droite à gauche. Je vois la bouche de l'autre femme en gros plan sur l'écran en train de tirer la langue, le faire mime de lécher les seins. Sophie les prend à pleine main et le pressent l'un contre l'autre.
Ce que je vois est amusant mais aussi troublant. Je regarde sans bouger, sans rien dire. Je me rappelle le matin où j'avais ouvert la porte de sa chambre et que je l'avais vu dans la même position. Cela devient encore plus torride quand elle quitte entièrement le peignoir et s'assoit en posant les pieds écartés sur la table. Sur l'écran la femme montre ses seins en pinçant les tétons, en les léchant. De son côté Sophie a ses deux mains entre les cuisses. J'en vois une qui tient la poignée de l'autre pour la faire entrer dans sa chatte. Le mouvement est plus rapide et plus fort. Elle lâche sa main pour tirer et pincer un téton. Derrière l'écran l'autre joue avec un gode en mimant une branlette espagnole. Je ne peux m'empêcher de participer à cette relation virtuelle, je me branle avec elles. J'entends Sophie qui commence à gémir, elle pose rapidement une main sur sa bouche pour étouffer un cri, elle se pli en deux sous l'arrivée soudaine de la jouissance. Sur l'écran sa compagne virtuelle a la langue collée à l'écran comme si elle veut lécher. L'écran s'éteint, un bruit de chaise et de vêtement froissé. Je vais me coucher.
J'attends Sophie dans la voiture. Le ciel est encore nuageux.
- " As-tu dormis cette nuit ? " me demande-t-elle en attachant sa ceinture.
- " Oh...pas beaucoup. J'ai eu chaud, l'orage m'a empêché de dormir alors je suis descendu au salon pour regarder les éclairs et la pluie tomber " répondis-je sans détourner les yeux de la route.
- " Ah...tu...tu veux dire que...tu étais....dans le salon cette nuit ?, toute la nuit ? " dit-elle avec un peu de tremblement dans la voix.
- " Non pas toute la nuit, mais une bonne partie " rétorquais-je.
- " Ah....c'est bien " dit-elle après plusieurs minutes de silence.
J'ai allumé la radio. Elle, d'un naturel si bavarde, ne décrocha pas un mot pendant tout le trajet, ou juste pour m'indiquer la direction à prendre. Une fois arrivé à destination, elle se regarde dans le miroir du par soleil, se recoiffe un peu, ajuste les boutons de son chemisier et sort de la voiture. Avant de partir elle se penche à la fenêtre et dit en pointant un doigt sur mon torse : " Il faut qu'on parle ! ". Elle se dirige vers la porte d'entrée d'un pas rapide et assuré.
Une heure dix minutes plus tard, je vois Sophie sortir. Elle me jette sa sacoche sur les genoux et s'assoit lourdement sur le siège.
- " Ces chaussures me font mal aux pieds " dit-elle en les balançant à l'arrière de la voiture. Elle se masse les orteils, les tendons d'achiles où je vois une petite marque rouge de frottement.
Sur le chemin du retour on s'arrête pour manger un morceau puis on repart. Elle s'est endormie, le dossier de son siège baissé, les pieds ramenés contre ses fesses. Je la regarde, ce que je n'aurais pas dû faire parce que je prends un virage un peu trop rapidement, les roues glissent sur la chaussée humide, mordent un peu sur le bord de la chaussée. Je donne alors un coup de frein un peu violent ce qui la réveille.
- " Quoi ! c'est quoi ! ' hurle-t-elle en se réveillant et se cramponnant à la poignée de la porte. Son autre main a agrippé ce qu'elle a trouvé en plantant les ongles dans mon bras.
- " Excuse-moi " dis-je " tout va bien....une bestiole a traversé la route comme j'arrivais ".
- " Oohhh merde..j'ai eu peur. Arrête-toi, j'ai envie de pisser ".
- " Quoi ? Là ? maintenant ? demandais-je.
- " Oui ! Là ! Maintenant ! " répondit-elle sèchement.
Je m'exécute. Je descends de la voiture pour marcher un peu. Une fois sa petite affaire terminée elle s'appuie contre ma portière.
- " Qu'as-tu vu la nuit dernière ? " me demanda-t-elle me fixant droit dans les yeux.
- " De quoi parles-tu !....Je n'ai rien vu... à part les éclairs " dis-je en regardant mes pieds.
- " Tu sais de quoi je parle " reprend-elle en prenant mon menton entre son pouce et son index. " De toutes façons tu ne peux pas nier ".
Je la regarde avec l'air surpris et paniqué.
- " Même si tu pensais être dans le noir et bien mon amie pouvait voir une silhouette en arrière plan ".
Je reste debout sans pouvoir bouger, ni parler.
- " Elle m'a expliqué le lendemain ce qu'elle avait vu, que ça l'avait excité de savoir que quelqu'un mattait." ajoute-t-elle en souriant. " J'en ai déduit que c'était toi ".
Je suis un peu soulagé mais aussi embarrassé par la situation.
- " Cela m'a aussi beaucoup excité de savoir que tu nous matais et......j'ai envie de toi maintenant ".
Elle se mit nue en quelques secondes avant de m'embrasser avec fougue. Sa langue cherche la mienne, ses mains me touchent partout avant de s'immobiliser sur ma braguette. Il ne faut pas longtemps pour que je sois nu les fesses posées sur le capot de la voiture. Elle caresse ma bite, mes couilles. Elle crache dans sa main pour humidifier le gland. Je lui caresse les fesses, les claque, les écarte. Ses tétons durs frottent contre les miens. Elle m'embrasse puis descend sa langue sur mon ventre, pointe dans le nombril avant de la poser sur le gland décalotté et humide. Elle tourne autour, la tête, le lèche. Je sens ses lèvres se refermer sur ma bite et sa bouche l'avaler. Elle l'enfonce le plus loin possible. Elle crache, s'étrangle quand le gland touche le fond de sa gorge. Elle me suce pendant plusieurs minutes accroupi les jambes écartées. Je vois qu'elle se caresse en même temps. Elle remonte le long de ma bite, un filet de salive la relie à ses lèvres.
- "Ouuaaa ! " dit-elle en me regardant " je veux encore essayer ".
Je suis assis sur le capot, Sophie dos à moi. Elle se frotte contre mon torse. Je caresse ses seins, pince et tire sur les tétons déjà durs. Elle coince ma bite entre ses cuisses et se frotte la fente puis la raie des fesses.
- " Oui j'en ai envie maintenant " ajoute-elle le cul relevé et les seins contre le capot.
Je me place derrière, je caresse ses fesses, effleure son anus avec ma bite. Je pose le bout sur cet orifice plissé et je pousse. Je l'entends souffler, gémir. Je sens le trou s'ouvrir et le gland entrer.
- " Aaaaahh " crie-t-elle en posant une main sur mon ventre pour stopper la pénétration.
Je recule aussitôt. L'anus reste ouvert un instant avant de se refermer. Elle frotte ma bite contre sa fente pour la couvrir de son jus intime, crache dans sa main et laisse couler la salive sur son trou. Elle cambre un peu plus les reins, écarte les jambes.
- " Vas-y maintenant...et même si je crie ne t'arrête pas ".
Je me passe le bout de ma bite une dernière fois contre sa fente, je cogne contre son bouton. Sophie laisse échapper un long soupire. Je pose le gland et pousse doucement. Il rentre à moitié, puis je ressors. Je fais cela plusieurs fois pour que Sophie s'habitue à cette nouvelle pénétration. Je pousse une quatrième fois, l'anneau s'ouvre et se referme lorsque le gland est entier en elle. Sophie gémit, souffle fort. Elle se caresse, presse ses grandes lèvres pour coincer le clito et le faire jaillir. Parfois ses doigts atteignent mes testicules. Je l'attrape par les hanches et je pousse maintenant plus à fond dans son cul. Elle serre les cuisses, laisse retomber son bassin contre la voiture, elle frappe du poing sur le capot. Elle râle, crie pendant que je m'introduis en elle. Les cigales aussi chantent de plus en plus fort.
- " Ooohhh oouuiiiii " crie-t-elle.
J'écarte ses cuisses pour bien ouvrir sa fente qui coule et son cul maintenant dilaté par ma bite. Je commence à bouger en elle. Ma bite ressort de son cul, l'anus reste ouvert quelques secondes et je m'enfonce à nouveau avec plus de force et de rapidité.
- " Vas-y ne t'arrête pas.....plus fort ouuiiiii ".
Je claque ses fesses, je les empoigne, je pèse de tout mon poids pour m'enfoncer en elle. Mes coups de reins sont puissants, ça claque contre ses fesses avec force. Ses seins bougent dans tous les sens. Elle en prend un en main et pince, tire sur un téton. On gémit ensemble, on crie. Chaque pénétration est plus forte, plus rapide. Ma bite sort entièrement de son trou avant de plonger encore et encore. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Son bassin ne touche plus le capot. Je ne me contrôle plus, Sophie s'est accroché si fort que le bout ses doigts est blanc. Je sors ma bite pour la pénétrer avec rage lorsque le bout glisse et s'enfonce jusqu'à la garde dans son sexe aux lèvres gonflées. Sophie a le souffle coupé.
- " Oooohhhhh......ooouuiiiiiii" hurle-t-elle après quelques secondes.
Sa chatte est chaude, serrée. Je la baise avec violence. Je me glisse dans son sexe puis dans son cul en alternance. Elle remue son bassin de haut en bas sur ma bite.
- " Continue....oui continue....je vais jouiiiiirrr " crie-t-elle lorsque son corps tout entier se tend, ses muscles se contractent.
Je sens son anus me serrer la bite avec une telle force que je ne peux me retenir plus longtemps, je décule et lâche tout sur ses fesses. Je laisse tomber les jambes de Sophie et m'allonge à côté d'elle sur le capot. Son corps a encore des petits tremblements.
- " On n'entends plus les cigales " remarque Sophie en se relevant.
- " Oui c'est vrai...elles ont entendu que tu chantais plus fort, elles t'ont laissé la place ".
- " N'importe quoi...que tu es bête ! " dit-elle en me cognant l'épaule.
Le lendemain je fais la connaissance de Lunèse, la compagne de mon cousin. Une très belle femme d'origine espagnole, une peau brune, les cheveux longs noirs et les yeux très clairs. Aprés cette journée passée en famille, je décide de changer mes plans pour les vacances. Je leur annonce que je reste ici encore quelques jours.