Les fêtes de village
Récit érotique écrit par Orangina07 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Les fêtes de village
Les fêtes de villageCela fait 3 jours que nous sommes en vacance mon amie Judith et moi dans le sud de la France. Nous avons posé la tente dans un camping. La réceptionniste du camping Julie, femme d'une quarantaine d'année, pas très souriante, nous a expliqué qu'il y avait beaucoup de touristes en cette période de l'année. La cause ? Les villages organisent des fêtes avec musique, manèges et des marchés nocturnes.
Il fait chaud ce soir. La fête au village est un succès. Il y a beaucoup de monde sur la place de l'église. Des groupes discutent, d'autres boivent à la buvette ou au bar du village. Je vais chercher à boire laissant Judith danser devant la scène sur des tubes des années quatre-vingt. Je la trouve assise sur le bord de la fontaine, en sueur, quelques cheveux noirs collés sur son front. Je remarque aussi son teeshirt mouillé.
- " Il fait trop chaud " dit-elle en prenant le verre " je me suis aspergé avec l'eau de la fontaine ".
- " Aspergée...ou baignée ! " dis-je en souriant.
Elle baisse la tête et voit son teeshirt trempé mais aussi les taches brunes de ses auréoles mammaires percées chacune par un anneau. Elle m'attire par la ceinture et m'embrasse à pleine bouche.
- " C'est excitant et j'aime ça " ajoute-t-elle.
Elle se colle à moi pendant que nous dansons sur des rythmes rapides. Elle tourne sur elle-même faisant ainsi monter sa jupe courte jusqu'à montrer ses fesses à qui veut les regarder. C'est le cas pour deux femmes, l'une assise sur le banc entre les cuisses de l'autre posée sur le dossier. Les mains autour des chevilles qu'elle caresse comme si elle branle une grosse bite, l'autre passant sous les bras pour masser le bas de la poitrine.
- " Elles te mâtent " dis-je en serrant Judith dans mes bras.
Un rapide coup d'oeil par-dessus son épaule pour voir les mateuses qui lui répondent avec un sourire et un petit geste de la main.
- " Alors on va les chauffer encore un peu ".
Hasard ou non, la musique suivante est " La Lambada ". Judith se déhanche sur ma cuisse glissée entre les siennes, elle frotte ses seins contre mon torse. Elle mène la danse. Les mouvements s'enchaînent, les positions deviennent plus suggestives, les mains sur les genoux penchée en avant, elle frotte son cul contre mon entrecuisse. Elle fait cela en regardant les deux femmes. Puis elle se redresse, plaque son dos contre moi, passe ses bras au-dessus et derrière ma tête, montrant ainsi sa poitrine sous le tee-shirt mouillé. Après 10 minutes, Judith s'arrête et m'embrasse à pleine bouche.
- " J'ai envie de baiser " dit-elle.
Elle s'arrête devant les deux femmes, se penche sur celle assise sur le dossier pour lui parler à l'oreille et m'entraîne hors de la place.
- " Qu'est-ce que tu lui as dit ? " demandai-je.
Elle ne répond pas, elle avance en passant son bras autour de ma taille.
Judith est nue allongée sur un banc en pierre. Je la regarde. Elle est belle avec sa grosse poitrine en forme de melon aux tétons percés. Sa chatte entièrement épilée est léchée par la femme à qui elle a parlé avant de quitter la place. Elle s’est accroupi entre les cuisses de Judith. Ses grosses fesses apparaissent nues sous la lune et ses seins sont écrasés sur le banc en pierre. L'autre plus fine avec de petits seins est assise sur le visage de Judith. Elle joue avec les anneaux tirant fort dessus. Judith laisse échapper quelques cris. Je suis assis à quelques mètres d'elles, une main posée sur ma bite et je mate. Je remarque au-dessus des grosses fesses et en haut des cuisses de la brouteuse une bande noire. Les bouches se collent sur des chattes humide et dilatée. Des mains pressent, des doigts pincent des seins, des tétons durs. Je ne tarde pas à comprendre à quoi correspondent ses bandes noires. Elle se redresse et se place entre les cuisses de Judith. Ces bandes tiennent un gode ceinture long et épais. Sa compagne se penche pour le sucer, le couvrir de salive. Elle relève les cuisses de Judith en les passant sous ses bras. Après quelques passages sur la fente dégoulinante de salive, le gode pénètre Judith. Elle soulève le bassin pour échapper à cette pénétration. La femme appuie alors plus fort et le gode disparaît d'un seul coup dans mon amie.
- " Ooohhh mmeerrddeeee ! " crie-t-elle. L'autre lui empoigne la tête pour l'écraser sur sa chatte et la faire taire.
Après quelques secondes d'attente, le gode sort pour entrer à nouveau plus lentement. Elle pèse sur les cuisses de Judith, le mouvement devient plus rapide. Leurs seins bougent en cadence à chaque butée contre le pubis. L'autre s'assoit sur le visage entre ses cuisses pour un face-siting. Elle recouvre la figure de Judith de cyprine. Toutes les trois se frottent en cadence. Je me caresse la bite dure au gland décalotté dans le même rythme que le gode. Elles gémissent, râlent.
Judith est maintenant en position 69 au-dessus. Le gode glisse dans sa fente gonflée maintenant dilatée et couverte de cyprine. Je suis debout devant la tête de Judith qui me suce. Elle est pénétrée par ma bite et le gode. Je tiens sa tête entre les mains et je pousse ma bite au fond de sa gorge. Sa partenaire la tire ensuite par les hanches pour s'enfoncer plus profondément en elle. Leurs corps sont couverts de sueur. Je me penche pour embrasser Judith.
- " Je vais jouiiiirr ! " gémit-elle.
Elle laisse tomber sa tête entre les cuisses de la femme allongée sur le banc. Je me penche et pose mes mains sur ses hanches. Je pousse en avant pour faire entrer le gode plus fort et plus vite. L'autre attrape sa taille et tire. La réaction ne se fait pas attendre. Quelques secondes plus tard le corps de Judith se tend, se crispe. Elle ouvre la bouche sans pouvoir crier. Son corps est secoué par des tremblements puissants et incontrôlés. Elle se laisse tomber.
Je prépare le café quand Judith sort de la tente.
- " Bien dormi ? " me demande-t-elle.
- " Oui et toi ? ".
- " Super...j'étais vidé hier soir " ajoute-t-elle.
- " Ce n'était pas le cas pour tout le monde " dis-je en souriant.
Elle me regarde, fais la moue et éclate de rire.
- " C'est vrai...j'avoue...une prochaine fois ".
On passe un moment à la piscine, puis on va marcher, profiter du beau temps. De retour au camping, la réceptionniste Julie nous demande si tout va bien.
- " Si ça vous intéresse, il y a une fête dans un très joli village ce soir " ajoute-t-elle sans détourner son regard de Judith.
- " On va voir " répondis-je.
On est en vacance, on est là pour s'amuser alors nous décidons d'y aller. La fête se tient dans un champ près du village. On marche dans les ruelles, passe sous des porches pour arriver sur de petites places. D'autres personnes font comme nous.
Je regarde Judith danser. Je le vois se déhancher, faire des tours sur elle-même. Je remarque aussi un couple qui la regarde depuis un moment.
- " Qu'est-ce que tu veux boire ? demandais-je à Judith qui me rejoins après avoir dansé.
- " Ce que tu veux, j'ai soif ".
- " Ok ".
Je m'absente 5 minutes, lorsque je reviens je vois Judith qui danse avec une femme, celle du couple qui la mâtait. Les mouvements sont lents, presque sensuels. Elles s'enlacent, se caresse le dos, le visage. Leurs seins se frottent. Quand je trouve l'homme du couple je vois qu'il fait un signe de la main à sa compagne. Elle prend celle de Judith et l'invite à la suivre. Ils l'entraînent dans les ruelles du village, je les suis jusqu'au terrain de boule. Ils avancent dans un coin vers des caisses de boisson posées sur le sol. Les deux femmes sont seins nus contre le mur, poitrine contre poitrine, elles s'embrassent, se caressent. L'homme derrière Judith est encore habillé. Judith est coincée entre ses deux partenaires du soir. Maintenant nue elle subit les caresses, les fessées. Voyant les mouvements du bassin de l'homme, je comprends qu'elle se fait baiser. Ses cris et gémissements sont étouffés par la femme qui l'embrasse. L'homme debout derrière elle l'écrase, s'enfonce en elle. Leurs langues se mêlent. Je les regarde avec le pantalon sur les chevilles, la bite dure humide, je me branle au même rythme que celui de l'homme. La femme monte sur une caisse de boisson et présente sa chatte à la bouche de Judith. D'où je suis je peux voir qu'elle est poilue. Elle tire sur ses tétons et gémit lorsque Judith pose sa bouche sur cette fente. Ainsi penchée, l'homme derrière Judith peut alors accélérer ses coups de reins. Il la prend par la taille et claque sur les fesses. Chaque coup pousse Judith en avant qui écrase sa bouche sur la chatte offerte. Judith remue son bassin comme si elle dansait. L'homme accélère ses coups de reins, s'enfonce plus fort. Il relâche Judith, se retire. Il écrase sa bite quelques secondes dans la main. Les deux femmes se mettent accroupis devant lui. Il pousse un cri lorsqu'il éjacule sur les deux visages à la bouche ouverte. Je crache aussi mon jus presque en même temps. Les deux femmes s'embrassent, se lèchent le visage pour partager cette semence. Ils se rhabillent. Judith me retrouve devant la scène. Les musiciens rangent leur matériel. Elle s'approche et m'embrasse. Je sens une odeur de sperme.
- " J'ai encore passé une bonne soirée " dit-elle en posant ses bras autour de mon cou.
Le ciel est nuageux ce matin. Il fait une chaleur lourde. Les premières gouttes tombent, puis la pluie devient plus forte, plus intense. On attrape ce qu'on peut avant de se réfugie à l'abri dans l'espace sanitaire du camping.
- " Sympa le petit-déj dans les toilettes " dit Judith en riant.
- " Oui sympa avec le bruit des douches et des chasse d'eau...vraiment sympa ! '.
Pendant que Judith prend une douche, je termine la vaisselle. Il pleut moins fort.
- " Jolies fesses ! " dit une voix féminine en passant derrière moi.
Je tourne la tête pour voir une femme portant un maillot de bain. Son physique aux courbes fines et rondes est joli. Elle avance en remuant des fesses. Elle jette un regard par-dessus son épaule, fais un clin d'oeil et passe derrière le mur des douches. Je la suis. Elle entre dans une douche individuelle. Je la regarde dos à moi sous le jet d'eau, son maillot jeté sur le carrelage. L'eau coule dans son dos, sur ses reins tatoués d'un signe tribal.
- " Les tiennes aussi sont jolies " dis-je en me collant à elle.
Je l'embrasse dans le cou, je lui mords l'oreille. Toujours dos à moi elle passe une main derrière ma tête. Elle frotte ses fesses contre mon pubis, remuant du cul en cercle pour sentir ma bite contre elle. J'empoigne ses seins aux larges auréoles percées, glisse une main sur son ventre aussi percé au nombril. Ma main descend encore sur son pubis où je ne touche aucun poil. Elle gémit lorsque mes doigts se posent sur sa fente. J'appui, je masse, je pince le clito. Je sens ma bite dure contre ses fesses. Elle se tourne, baisse mon short avant d'empoigner ma bite.
- " Ooohh ! " dit-elle en ouvrant grand les yeux " beau morceau " ajoute-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres. Elle m'embrasse en me caressant. Elle me branle avant de se mettre à genoux pour sucer le gland. Sa langue tourne autour, glisse le long de ma tige de chair. Elle lèche ensuite les couilles. Lorsque ma bite est couverte de salive elle se redresse et se frotte dessus. Elle la fait glisser sur sa fente en serrant les cuisses. Je plis les genoux, pointe ma bite au gland décalotté vers son sexe et m'enfonce en elle. La pénétration est lente et continue. Lorsque je suis tout entier en elle je marque un temps d'arrêt. Elle me tient par les épaules et se laisse tomber pour sentir ma bite bien au fond. Quelques mouvements de son bassin d'avant en arrière et les muscles de sa chatte se contractent sur ma bite. J'empoigne ses fesses et je la baise. Je donne des coups de reins rapides, nos pubis claquent. Elle glisse une main sur ses fesses, je sens ses doigts caresser mess couilles. J'embrasse ses seins, tire sur les tétons.
Je la plaque contre le mur. Je la soulève pour passer ses jambes autour de ma taille. Je la fais monter et descendre sur ma bite couverte de son jus. Elle caresse ses seins, son clito dur et bandé.
- " Vas-y plus fooooort " gémit-elle.
Je la repose et la plaque face contre le mur. Je frappe ses fesses avec ma bite avant de la pénétrer avec force entre les cuisses. Les seins contre les carreaux de la douche, elle râle, crie. Nos respirations sont rapides. Je claque plus vite et plus fort contre son cul. Sa fente est maintenant largement ouverte, les lèvres gonflées. Elle passe une main sur ses fesses, puis entre, avant d'introduire deux doigts dans son anneau plissé. Lorsque je pince son clito elle ne peut se retenir et crie.
- " OOouuiiiiii c'est çaaaaaaa ".
Elle resserre les jambes qui se mettent à trembler. Elle pose une main sur mon pubis pour me dire d'arrêter. Mais je continue. Je la baise encore plus vite et fort. Mes couilles frappent contre le haut des cuisses. Je la plaque contre le mur de tout mon poids et je m'enfonce en elle. Ses fesses rebondissent quand je m'enfonce. Je vois ma bite couverte de cyprine.
- " Encooooore c'est boooon ! ".
Mes couilles se contractent, je sens le sperme monter. Je me retire et je jouis sur ses fesses. Elle se retient au tuyau de douche. Je remets mon short et je sors.
- " Tu étais où ? " me demande Judith le regard pointé derrière moi.
- " Je prenais une douche " dis-je simplement en regardant par-dessus mon épaule. Je vois ma partenaire des douches partir.
- " J'espère qu'elle était bonne ! " ajoute-t-elle en souriant et m'attrapant la bite.
L'orage s'est arrêté aussi vite qu'il a commencé. Quelques coins de ciel bleu. Arrivé à notre tente on constate les dégâts. A moitié effondrée, à l'intérieur c'est la piscine. On met tout à sécher.
- "J'ai lu qu'il y avait un marché nocturne dans le village pas loin " dit Judith allongée sur une chaise longue près de la piscine.
- " ouais...on ira ".
Il fait encore lourd ce soir. Des éclairs zèbrent le ciel au loin. On marche dans les rues du village envahi par les touristes et les marchands de produits régionaux ou vêtements. On marche à petits pas, parfois on doit s'arrêter parce que ça bloque devant.
- " Est-ce que ça va ? " demandais-je à Judith.
- " Oui oui super " répond-elle.
Je la vois bouger les hanches. Elle est presque collée à l'homme devant elle, frottant parfois sa poitrine contre le dos. Elle porte une robe courte et une chemise fine. Je sais qu'elle ne porte pas de sous-vêtement.
- " Qu'est-ce qui t'arrive ? ".
Elle me regarde, ses yeux brillent. Sa respiration est courte. Elle se mord la lèvre, serre fortement ma main dans la sienne.
- " Huumm....le mec devant...a sa main....entre mes cuisses " dit-elle à mon oreille.
La foule se remet en marche. L'homme devant nous disparaît. Judith s'arrête pour acheter un souvenir.
- " C'était comment ? ".
- " Comment quoi ? " me demande-t-elle après avoir bu une gorgée de vin.
- " Et bien...avec l'homme devant toi dans la rue ".
- " C'était bon...excitant "répond-elle en m'embrassant.
Nous terminons le repas. On se dirige vers un point de vue au-dessus du village pour assister au feu d'artifice. L'espace est réduit, tout le monde ne peut pas se tenir là debout. Nous arrivons à nous glisser au milieu des gens. Au bout de quinze minutes, elle me prend la main qu'elle serre fortement. Elle ferme les yeux, ouvre la bouche pour respirer rapidement. Je vois qu'elle fait de petits mouvements du bassin d'avant en arrière. Son autre main attrape mon poignet. Je sens son épaule contre la mienne monter et descendre. Lorsqu'elle ouvre les yeux et qu'elle me regarde, elle se mord la lèvre comme dans la rue. Elle fait un "oui " de la tête. Lorsque le bouquet final explose, je sens Judith fléchir sur ses jambes. Je passe un bras autour de sa taille pour la soutenir. Elle plaque sa bouche contre mon bras pour étouffer un cri. La foule se disperse. On reste encore quelques minutes.
- " J'ai besoin de m'assoir " me dit-elle en marchant.
- " Tu te sens mal ? " demandais-je.
- " Non ça va bien, je veux m'assoir c'est tout ".
On trouve un banc.
- " Qu'est-ce qui s'est passé tout à l'heure ? ".
Elle m'explique que le même homme qui était dans le rue se tenait devant elle durant le feu d'artifice.
- " Il a remis sa main entre mes cuisses et cette fois en glissant deux doigts dans ma fente ".
Je la regarde et l'écoute. Cela devient excitant quand elle dit qu'il lui a enfoncé deux doigts et qu'en plus il y avait un autre homme derrière elle qui s'occupait de ses fesses.
- " Je ne contrôlais rien, leurs doigts glissaient dans ma fente et dans mon cul ".
Je bande en imaginant la scène, en voyant leurs doigts la pénétrer.
- " J'ai essayé de me retenir mais j'ai joui au milieu de la foule et c'était formidable ".
Je vois ses yeux briller, ses tétons pointent encore sous la chemise.
- " Tu vois le deux hommes là-bas près de la barrière ? ". Je tourne la tête. " Celui de droite est l'un d'eux ".
Elle s'assoit à califourchon face à moi. Elle passe ses bras autour de mon cou et m'embrasse.
- " J'en veux encore ! " dit-elle " montre leur mon cul, claque-le ". J'exécute. Je lui dis qu'ils arrivent. Elle se lève et m'entraîne dans une ruelle, non sans leur avoir jeté un regard. Elle me plaque contre un mur et m'embrasse à pleine bouche. Les deux hommes arrivent. Ils commencent à caresser ses fesses, sa poitrine. Avec des gestes précipités, elle retire ses vêtements. Judith relâche son étreinte sur moi et se laisse entraîner un peu plus loin. Je les regarde. Coincée entre les deux hommes, elle subit les caresses, les gifles, les baisers sur ses seins, sa bouche. L'homme dans son dos lui claque les fesses avant de les embrasser et de glisser son visage entre les deux sphères de chaire. Judith cambre les reins et écarte les jambes. L'homme devant glisse une main sur la fente de mon amie. Elle râle, gémit. Je suis spectateur de ce moment et j'adore ça. J'aime voir Judith prendre du plaisir. Les deux hommes ont sorti leurs queues bandées. Elle entoure ses bras autour du cou de l'homme devant qui empoigne ses fesses pour la soulever. Et là...il la laisse retomber sur sa bite dressée entre les cuisses de Judith. Lorsque la bite est toute entière en elle, elle crie, elle ondule du bassin. Mais lorsque l'autre bâton de chair pénètre son anneau plissé elle ne peut plus rien dire, ni même crier. Son souffle est coupé.
J'entends du bruit derrière moi, je me retourne, je vois une silhouette approcher. Lorsqu'elle arrive à ma hauteur je vois Julie, la réceptionniste. Je suis étonné de la voir ici. Elle me fait signe de me taire en posant son index sur ma bouche. Elle tourne ma tête dans la direction de Julie. Elle reste dans mon dos. Elle pose une main sur mon torse et l'autre sur ma bite qu'elle saisit fermement.
Judith se cramponne au cou de l'homme devant. Ils la soulèvent en même temps avant de la laisser s'empaler sur leurs membres. Judith se déchaîne sur ces bites.
Les caresses de Julie sur ma bite accélèrent. Je passe dans le dos, je ne rencontre aucun vêtement. Elle est cul nu. Ma main glisse entre ses cuisses. Je touche d'abord des poils rasés, ensuite les lèvres déjà humides. Mes doigts entrent facilement dans sa fente humide et dilatée.
- " Tu m'excite " dit-elle " depuis que vous êtes au camping je vous mate ". Elle pose le menton sur mon épaule. Elle donne des petits coups de reins sur ma main.
Cette double pénétration est une première pour Judith et je constate qu'elle adore ça. Après plusieurs minutes, ils la poser sur le sol, elle se met direct à genoux la tête levée vers leurs bites. Ils se branlent quelques secondes et éjaculent presque en même temps. Le sperme gicle sur ses seins, son visage.
Je ne tarde pas à envoyer la sauce. Julie presse fort ma bite et écrase ma main entre ses cuisses. Je sens un liquide visqueux et chaud couler sur mes doigts. Elle pose sa main sur le gland, les premières gouttent restent sur les doigts, les autres tombent sur le sol.
- " Bonne nuit " me dit-elle avant de partir en silence.
Après une douche, nous entrons sous la tente pour une bonne nuit de sommeil.
C'est notre dernière journée au camping. Demain nous rentrons. On a passé la journée au bord de la piscine. Julie est venus nous voir pour savoir si notre séjour s'était bien passé. Le contact du premier jour était différent d'aujourd'hui. Peut-être à cause de la soirée de la veille.
Les sacs sont prêts. La voiture chargée. Nous partons tôt demain matin. On décide d'aller une dernière fois à la piscine. Nous marchons vers l'espace jeu. Il y a un couple sur un banc. Une femme assise à califourchon sur le banc, un bras autour de la taille de l'homme. Nous discutons quelques minutes puis on se dirige vers la piscine.
- " Tu as vu ! " me dit Judith une fois assise sur les dalles chaudes autour de la piscine.
- " Vu quoi ? " demandai-je.
Elle regarde à nouveau en direction du couple dans l'espace jeu.
- " Le mec assis là-bas, c'est l'homme d'entretien du camping ".
- " Et alors ? il est avec sa compagne...comme nous ".
Elle me regarde en penchant la tête.
- " Aucune importance " ajoute-t-elle en se jetant sur moi " profitons de cette dernière soirée ".
Elle m'embrasse, me caresse. Nos corps se frottent, s'écrasent l'un contre l'autre. Une fois au-dessus, j'embrasse ses seins, son ventre pour arriver sur sa fente déjà humide et luisante. Je passe la langue dessus, j'aime son odeur, son goût piquant. Tout me plaît en Judith. Elle appui ma tête sur sa chatte que je suce, lèche. Elle couvre mon menton avec son jus intime. Je me redresse pour quitter mon short. Judith attrape ma bite dressée. Elle se tourne en position 69. Je plonge ma tête entre ses cuisses. Sa langue tourne sur le gland avant d'enfoncer ma bite toute entière dans sa bouche. Je passe ses jambes sous mes épaules pour relever son cul et bien l'ouvrir. Je laisse couler de la salive entre ses fesses. Je pose un doigt sur son anneau plissé qui l'aspire. Judith remue, donne de petits coups de reins. Elle recrache ma bite couverte de salive.
Les jambes relevées sur sa poitrine, je frotte ma bite dans sa fente avant d'y plonger d'un coup.
- " Aaahhhhh " gémit-elle.
Mon pubis claque sur l'arrière de ses cuisses à un rythme rapide. Ses seins bougent en tous sens. Sa chatte est dilatée, dégoulinante de mouille. Nos langues se mêlent, nos corps transpirent. Elle ouvre les yeux et pose une main sur mon ventre.
- " J'en ai envie maintenant ".
Elle prend ma bite couverte de mouille et pose le gland sur son anus. Elle écarte ses fesses. Un signe de tête pour me dire d'y aller et je pousse. Le bout entre un peu, je ressors. Je recommence plusieurs fois avant de l'enfoncer. Son visage se crispe un peu, elle souffle fort. Elle pose ses mains sur mes fesses et m'attire vers elle. Ma bite glisse en elle lentement en une seule pénétration. Une fois au fond elle m'embrasse. Je ressors de son cul qui reste ouvert quelques secondes avant de m'enfoncer une nouvelle fois. J'accélère le rythme et la cadence. Je relève la tête et je distingue une silhouette de l'autre côté de la piscine. Je m'arrête un moment pour le dire à Judith.
- " On a un ou une mateuse " me dit-elle en souriant. " Alors donnons-lui un spectacle ".
Judith se met à quatre pattes, la tête tournée vers la silhouette. Je la prends en levrette. Je m'enfonce en elle facilement, sa fente est humide, lubrifiée. Je sens les doigts de Judith qui me caresse les couilles. La femme que nous distinguons de l'autre côté de la piscine se caresse maintenant sans gêne. Elle est assise sur une chaise, les jambes ouvertes, sa main frottant sa chatte. Je m'enfonce encore plus vite et plus fort.
- " oouuiii vas-y...t'arrête pas....je viiieennss " crie Judith.
Je continue pendant que son corps se crispe, puis ses jambes tremblent. Elle se laisse tomber en poussant un long gémissement. Je m'écroule à côté d'elle. Elle relève la tête et voit ma bite encore dressée. Elle s'en approche et commence à me sucer. Ses mains glissent sur ma bite en cadence avec sa tête. La femme sur la chaise n'est plus là. Judith écrase mes couilles et j'éjacule sur ses joues, ses lèvres. Elle s'allonge à côté de moi.
- " Ce fut de bonnes vacances " dit-elle en m'embrassant.
Il fait chaud ce soir. La fête au village est un succès. Il y a beaucoup de monde sur la place de l'église. Des groupes discutent, d'autres boivent à la buvette ou au bar du village. Je vais chercher à boire laissant Judith danser devant la scène sur des tubes des années quatre-vingt. Je la trouve assise sur le bord de la fontaine, en sueur, quelques cheveux noirs collés sur son front. Je remarque aussi son teeshirt mouillé.
- " Il fait trop chaud " dit-elle en prenant le verre " je me suis aspergé avec l'eau de la fontaine ".
- " Aspergée...ou baignée ! " dis-je en souriant.
Elle baisse la tête et voit son teeshirt trempé mais aussi les taches brunes de ses auréoles mammaires percées chacune par un anneau. Elle m'attire par la ceinture et m'embrasse à pleine bouche.
- " C'est excitant et j'aime ça " ajoute-t-elle.
Elle se colle à moi pendant que nous dansons sur des rythmes rapides. Elle tourne sur elle-même faisant ainsi monter sa jupe courte jusqu'à montrer ses fesses à qui veut les regarder. C'est le cas pour deux femmes, l'une assise sur le banc entre les cuisses de l'autre posée sur le dossier. Les mains autour des chevilles qu'elle caresse comme si elle branle une grosse bite, l'autre passant sous les bras pour masser le bas de la poitrine.
- " Elles te mâtent " dis-je en serrant Judith dans mes bras.
Un rapide coup d'oeil par-dessus son épaule pour voir les mateuses qui lui répondent avec un sourire et un petit geste de la main.
- " Alors on va les chauffer encore un peu ".
Hasard ou non, la musique suivante est " La Lambada ". Judith se déhanche sur ma cuisse glissée entre les siennes, elle frotte ses seins contre mon torse. Elle mène la danse. Les mouvements s'enchaînent, les positions deviennent plus suggestives, les mains sur les genoux penchée en avant, elle frotte son cul contre mon entrecuisse. Elle fait cela en regardant les deux femmes. Puis elle se redresse, plaque son dos contre moi, passe ses bras au-dessus et derrière ma tête, montrant ainsi sa poitrine sous le tee-shirt mouillé. Après 10 minutes, Judith s'arrête et m'embrasse à pleine bouche.
- " J'ai envie de baiser " dit-elle.
Elle s'arrête devant les deux femmes, se penche sur celle assise sur le dossier pour lui parler à l'oreille et m'entraîne hors de la place.
- " Qu'est-ce que tu lui as dit ? " demandai-je.
Elle ne répond pas, elle avance en passant son bras autour de ma taille.
Judith est nue allongée sur un banc en pierre. Je la regarde. Elle est belle avec sa grosse poitrine en forme de melon aux tétons percés. Sa chatte entièrement épilée est léchée par la femme à qui elle a parlé avant de quitter la place. Elle s’est accroupi entre les cuisses de Judith. Ses grosses fesses apparaissent nues sous la lune et ses seins sont écrasés sur le banc en pierre. L'autre plus fine avec de petits seins est assise sur le visage de Judith. Elle joue avec les anneaux tirant fort dessus. Judith laisse échapper quelques cris. Je suis assis à quelques mètres d'elles, une main posée sur ma bite et je mate. Je remarque au-dessus des grosses fesses et en haut des cuisses de la brouteuse une bande noire. Les bouches se collent sur des chattes humide et dilatée. Des mains pressent, des doigts pincent des seins, des tétons durs. Je ne tarde pas à comprendre à quoi correspondent ses bandes noires. Elle se redresse et se place entre les cuisses de Judith. Ces bandes tiennent un gode ceinture long et épais. Sa compagne se penche pour le sucer, le couvrir de salive. Elle relève les cuisses de Judith en les passant sous ses bras. Après quelques passages sur la fente dégoulinante de salive, le gode pénètre Judith. Elle soulève le bassin pour échapper à cette pénétration. La femme appuie alors plus fort et le gode disparaît d'un seul coup dans mon amie.
- " Ooohhh mmeerrddeeee ! " crie-t-elle. L'autre lui empoigne la tête pour l'écraser sur sa chatte et la faire taire.
Après quelques secondes d'attente, le gode sort pour entrer à nouveau plus lentement. Elle pèse sur les cuisses de Judith, le mouvement devient plus rapide. Leurs seins bougent en cadence à chaque butée contre le pubis. L'autre s'assoit sur le visage entre ses cuisses pour un face-siting. Elle recouvre la figure de Judith de cyprine. Toutes les trois se frottent en cadence. Je me caresse la bite dure au gland décalotté dans le même rythme que le gode. Elles gémissent, râlent.
Judith est maintenant en position 69 au-dessus. Le gode glisse dans sa fente gonflée maintenant dilatée et couverte de cyprine. Je suis debout devant la tête de Judith qui me suce. Elle est pénétrée par ma bite et le gode. Je tiens sa tête entre les mains et je pousse ma bite au fond de sa gorge. Sa partenaire la tire ensuite par les hanches pour s'enfoncer plus profondément en elle. Leurs corps sont couverts de sueur. Je me penche pour embrasser Judith.
- " Je vais jouiiiirr ! " gémit-elle.
Elle laisse tomber sa tête entre les cuisses de la femme allongée sur le banc. Je me penche et pose mes mains sur ses hanches. Je pousse en avant pour faire entrer le gode plus fort et plus vite. L'autre attrape sa taille et tire. La réaction ne se fait pas attendre. Quelques secondes plus tard le corps de Judith se tend, se crispe. Elle ouvre la bouche sans pouvoir crier. Son corps est secoué par des tremblements puissants et incontrôlés. Elle se laisse tomber.
Je prépare le café quand Judith sort de la tente.
- " Bien dormi ? " me demande-t-elle.
- " Oui et toi ? ".
- " Super...j'étais vidé hier soir " ajoute-t-elle.
- " Ce n'était pas le cas pour tout le monde " dis-je en souriant.
Elle me regarde, fais la moue et éclate de rire.
- " C'est vrai...j'avoue...une prochaine fois ".
On passe un moment à la piscine, puis on va marcher, profiter du beau temps. De retour au camping, la réceptionniste Julie nous demande si tout va bien.
- " Si ça vous intéresse, il y a une fête dans un très joli village ce soir " ajoute-t-elle sans détourner son regard de Judith.
- " On va voir " répondis-je.
On est en vacance, on est là pour s'amuser alors nous décidons d'y aller. La fête se tient dans un champ près du village. On marche dans les ruelles, passe sous des porches pour arriver sur de petites places. D'autres personnes font comme nous.
Je regarde Judith danser. Je le vois se déhancher, faire des tours sur elle-même. Je remarque aussi un couple qui la regarde depuis un moment.
- " Qu'est-ce que tu veux boire ? demandais-je à Judith qui me rejoins après avoir dansé.
- " Ce que tu veux, j'ai soif ".
- " Ok ".
Je m'absente 5 minutes, lorsque je reviens je vois Judith qui danse avec une femme, celle du couple qui la mâtait. Les mouvements sont lents, presque sensuels. Elles s'enlacent, se caresse le dos, le visage. Leurs seins se frottent. Quand je trouve l'homme du couple je vois qu'il fait un signe de la main à sa compagne. Elle prend celle de Judith et l'invite à la suivre. Ils l'entraînent dans les ruelles du village, je les suis jusqu'au terrain de boule. Ils avancent dans un coin vers des caisses de boisson posées sur le sol. Les deux femmes sont seins nus contre le mur, poitrine contre poitrine, elles s'embrassent, se caressent. L'homme derrière Judith est encore habillé. Judith est coincée entre ses deux partenaires du soir. Maintenant nue elle subit les caresses, les fessées. Voyant les mouvements du bassin de l'homme, je comprends qu'elle se fait baiser. Ses cris et gémissements sont étouffés par la femme qui l'embrasse. L'homme debout derrière elle l'écrase, s'enfonce en elle. Leurs langues se mêlent. Je les regarde avec le pantalon sur les chevilles, la bite dure humide, je me branle au même rythme que celui de l'homme. La femme monte sur une caisse de boisson et présente sa chatte à la bouche de Judith. D'où je suis je peux voir qu'elle est poilue. Elle tire sur ses tétons et gémit lorsque Judith pose sa bouche sur cette fente. Ainsi penchée, l'homme derrière Judith peut alors accélérer ses coups de reins. Il la prend par la taille et claque sur les fesses. Chaque coup pousse Judith en avant qui écrase sa bouche sur la chatte offerte. Judith remue son bassin comme si elle dansait. L'homme accélère ses coups de reins, s'enfonce plus fort. Il relâche Judith, se retire. Il écrase sa bite quelques secondes dans la main. Les deux femmes se mettent accroupis devant lui. Il pousse un cri lorsqu'il éjacule sur les deux visages à la bouche ouverte. Je crache aussi mon jus presque en même temps. Les deux femmes s'embrassent, se lèchent le visage pour partager cette semence. Ils se rhabillent. Judith me retrouve devant la scène. Les musiciens rangent leur matériel. Elle s'approche et m'embrasse. Je sens une odeur de sperme.
- " J'ai encore passé une bonne soirée " dit-elle en posant ses bras autour de mon cou.
Le ciel est nuageux ce matin. Il fait une chaleur lourde. Les premières gouttes tombent, puis la pluie devient plus forte, plus intense. On attrape ce qu'on peut avant de se réfugie à l'abri dans l'espace sanitaire du camping.
- " Sympa le petit-déj dans les toilettes " dit Judith en riant.
- " Oui sympa avec le bruit des douches et des chasse d'eau...vraiment sympa ! '.
Pendant que Judith prend une douche, je termine la vaisselle. Il pleut moins fort.
- " Jolies fesses ! " dit une voix féminine en passant derrière moi.
Je tourne la tête pour voir une femme portant un maillot de bain. Son physique aux courbes fines et rondes est joli. Elle avance en remuant des fesses. Elle jette un regard par-dessus son épaule, fais un clin d'oeil et passe derrière le mur des douches. Je la suis. Elle entre dans une douche individuelle. Je la regarde dos à moi sous le jet d'eau, son maillot jeté sur le carrelage. L'eau coule dans son dos, sur ses reins tatoués d'un signe tribal.
- " Les tiennes aussi sont jolies " dis-je en me collant à elle.
Je l'embrasse dans le cou, je lui mords l'oreille. Toujours dos à moi elle passe une main derrière ma tête. Elle frotte ses fesses contre mon pubis, remuant du cul en cercle pour sentir ma bite contre elle. J'empoigne ses seins aux larges auréoles percées, glisse une main sur son ventre aussi percé au nombril. Ma main descend encore sur son pubis où je ne touche aucun poil. Elle gémit lorsque mes doigts se posent sur sa fente. J'appui, je masse, je pince le clito. Je sens ma bite dure contre ses fesses. Elle se tourne, baisse mon short avant d'empoigner ma bite.
- " Ooohh ! " dit-elle en ouvrant grand les yeux " beau morceau " ajoute-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres. Elle m'embrasse en me caressant. Elle me branle avant de se mettre à genoux pour sucer le gland. Sa langue tourne autour, glisse le long de ma tige de chair. Elle lèche ensuite les couilles. Lorsque ma bite est couverte de salive elle se redresse et se frotte dessus. Elle la fait glisser sur sa fente en serrant les cuisses. Je plis les genoux, pointe ma bite au gland décalotté vers son sexe et m'enfonce en elle. La pénétration est lente et continue. Lorsque je suis tout entier en elle je marque un temps d'arrêt. Elle me tient par les épaules et se laisse tomber pour sentir ma bite bien au fond. Quelques mouvements de son bassin d'avant en arrière et les muscles de sa chatte se contractent sur ma bite. J'empoigne ses fesses et je la baise. Je donne des coups de reins rapides, nos pubis claquent. Elle glisse une main sur ses fesses, je sens ses doigts caresser mess couilles. J'embrasse ses seins, tire sur les tétons.
Je la plaque contre le mur. Je la soulève pour passer ses jambes autour de ma taille. Je la fais monter et descendre sur ma bite couverte de son jus. Elle caresse ses seins, son clito dur et bandé.
- " Vas-y plus fooooort " gémit-elle.
Je la repose et la plaque face contre le mur. Je frappe ses fesses avec ma bite avant de la pénétrer avec force entre les cuisses. Les seins contre les carreaux de la douche, elle râle, crie. Nos respirations sont rapides. Je claque plus vite et plus fort contre son cul. Sa fente est maintenant largement ouverte, les lèvres gonflées. Elle passe une main sur ses fesses, puis entre, avant d'introduire deux doigts dans son anneau plissé. Lorsque je pince son clito elle ne peut se retenir et crie.
- " OOouuiiiiii c'est çaaaaaaa ".
Elle resserre les jambes qui se mettent à trembler. Elle pose une main sur mon pubis pour me dire d'arrêter. Mais je continue. Je la baise encore plus vite et fort. Mes couilles frappent contre le haut des cuisses. Je la plaque contre le mur de tout mon poids et je m'enfonce en elle. Ses fesses rebondissent quand je m'enfonce. Je vois ma bite couverte de cyprine.
- " Encooooore c'est boooon ! ".
Mes couilles se contractent, je sens le sperme monter. Je me retire et je jouis sur ses fesses. Elle se retient au tuyau de douche. Je remets mon short et je sors.
- " Tu étais où ? " me demande Judith le regard pointé derrière moi.
- " Je prenais une douche " dis-je simplement en regardant par-dessus mon épaule. Je vois ma partenaire des douches partir.
- " J'espère qu'elle était bonne ! " ajoute-t-elle en souriant et m'attrapant la bite.
L'orage s'est arrêté aussi vite qu'il a commencé. Quelques coins de ciel bleu. Arrivé à notre tente on constate les dégâts. A moitié effondrée, à l'intérieur c'est la piscine. On met tout à sécher.
- "J'ai lu qu'il y avait un marché nocturne dans le village pas loin " dit Judith allongée sur une chaise longue près de la piscine.
- " ouais...on ira ".
Il fait encore lourd ce soir. Des éclairs zèbrent le ciel au loin. On marche dans les rues du village envahi par les touristes et les marchands de produits régionaux ou vêtements. On marche à petits pas, parfois on doit s'arrêter parce que ça bloque devant.
- " Est-ce que ça va ? " demandais-je à Judith.
- " Oui oui super " répond-elle.
Je la vois bouger les hanches. Elle est presque collée à l'homme devant elle, frottant parfois sa poitrine contre le dos. Elle porte une robe courte et une chemise fine. Je sais qu'elle ne porte pas de sous-vêtement.
- " Qu'est-ce qui t'arrive ? ".
Elle me regarde, ses yeux brillent. Sa respiration est courte. Elle se mord la lèvre, serre fortement ma main dans la sienne.
- " Huumm....le mec devant...a sa main....entre mes cuisses " dit-elle à mon oreille.
La foule se remet en marche. L'homme devant nous disparaît. Judith s'arrête pour acheter un souvenir.
- " C'était comment ? ".
- " Comment quoi ? " me demande-t-elle après avoir bu une gorgée de vin.
- " Et bien...avec l'homme devant toi dans la rue ".
- " C'était bon...excitant "répond-elle en m'embrassant.
Nous terminons le repas. On se dirige vers un point de vue au-dessus du village pour assister au feu d'artifice. L'espace est réduit, tout le monde ne peut pas se tenir là debout. Nous arrivons à nous glisser au milieu des gens. Au bout de quinze minutes, elle me prend la main qu'elle serre fortement. Elle ferme les yeux, ouvre la bouche pour respirer rapidement. Je vois qu'elle fait de petits mouvements du bassin d'avant en arrière. Son autre main attrape mon poignet. Je sens son épaule contre la mienne monter et descendre. Lorsqu'elle ouvre les yeux et qu'elle me regarde, elle se mord la lèvre comme dans la rue. Elle fait un "oui " de la tête. Lorsque le bouquet final explose, je sens Judith fléchir sur ses jambes. Je passe un bras autour de sa taille pour la soutenir. Elle plaque sa bouche contre mon bras pour étouffer un cri. La foule se disperse. On reste encore quelques minutes.
- " J'ai besoin de m'assoir " me dit-elle en marchant.
- " Tu te sens mal ? " demandais-je.
- " Non ça va bien, je veux m'assoir c'est tout ".
On trouve un banc.
- " Qu'est-ce qui s'est passé tout à l'heure ? ".
Elle m'explique que le même homme qui était dans le rue se tenait devant elle durant le feu d'artifice.
- " Il a remis sa main entre mes cuisses et cette fois en glissant deux doigts dans ma fente ".
Je la regarde et l'écoute. Cela devient excitant quand elle dit qu'il lui a enfoncé deux doigts et qu'en plus il y avait un autre homme derrière elle qui s'occupait de ses fesses.
- " Je ne contrôlais rien, leurs doigts glissaient dans ma fente et dans mon cul ".
Je bande en imaginant la scène, en voyant leurs doigts la pénétrer.
- " J'ai essayé de me retenir mais j'ai joui au milieu de la foule et c'était formidable ".
Je vois ses yeux briller, ses tétons pointent encore sous la chemise.
- " Tu vois le deux hommes là-bas près de la barrière ? ". Je tourne la tête. " Celui de droite est l'un d'eux ".
Elle s'assoit à califourchon face à moi. Elle passe ses bras autour de mon cou et m'embrasse.
- " J'en veux encore ! " dit-elle " montre leur mon cul, claque-le ". J'exécute. Je lui dis qu'ils arrivent. Elle se lève et m'entraîne dans une ruelle, non sans leur avoir jeté un regard. Elle me plaque contre un mur et m'embrasse à pleine bouche. Les deux hommes arrivent. Ils commencent à caresser ses fesses, sa poitrine. Avec des gestes précipités, elle retire ses vêtements. Judith relâche son étreinte sur moi et se laisse entraîner un peu plus loin. Je les regarde. Coincée entre les deux hommes, elle subit les caresses, les gifles, les baisers sur ses seins, sa bouche. L'homme dans son dos lui claque les fesses avant de les embrasser et de glisser son visage entre les deux sphères de chaire. Judith cambre les reins et écarte les jambes. L'homme devant glisse une main sur la fente de mon amie. Elle râle, gémit. Je suis spectateur de ce moment et j'adore ça. J'aime voir Judith prendre du plaisir. Les deux hommes ont sorti leurs queues bandées. Elle entoure ses bras autour du cou de l'homme devant qui empoigne ses fesses pour la soulever. Et là...il la laisse retomber sur sa bite dressée entre les cuisses de Judith. Lorsque la bite est toute entière en elle, elle crie, elle ondule du bassin. Mais lorsque l'autre bâton de chair pénètre son anneau plissé elle ne peut plus rien dire, ni même crier. Son souffle est coupé.
J'entends du bruit derrière moi, je me retourne, je vois une silhouette approcher. Lorsqu'elle arrive à ma hauteur je vois Julie, la réceptionniste. Je suis étonné de la voir ici. Elle me fait signe de me taire en posant son index sur ma bouche. Elle tourne ma tête dans la direction de Julie. Elle reste dans mon dos. Elle pose une main sur mon torse et l'autre sur ma bite qu'elle saisit fermement.
Judith se cramponne au cou de l'homme devant. Ils la soulèvent en même temps avant de la laisser s'empaler sur leurs membres. Judith se déchaîne sur ces bites.
Les caresses de Julie sur ma bite accélèrent. Je passe dans le dos, je ne rencontre aucun vêtement. Elle est cul nu. Ma main glisse entre ses cuisses. Je touche d'abord des poils rasés, ensuite les lèvres déjà humides. Mes doigts entrent facilement dans sa fente humide et dilatée.
- " Tu m'excite " dit-elle " depuis que vous êtes au camping je vous mate ". Elle pose le menton sur mon épaule. Elle donne des petits coups de reins sur ma main.
Cette double pénétration est une première pour Judith et je constate qu'elle adore ça. Après plusieurs minutes, ils la poser sur le sol, elle se met direct à genoux la tête levée vers leurs bites. Ils se branlent quelques secondes et éjaculent presque en même temps. Le sperme gicle sur ses seins, son visage.
Je ne tarde pas à envoyer la sauce. Julie presse fort ma bite et écrase ma main entre ses cuisses. Je sens un liquide visqueux et chaud couler sur mes doigts. Elle pose sa main sur le gland, les premières gouttent restent sur les doigts, les autres tombent sur le sol.
- " Bonne nuit " me dit-elle avant de partir en silence.
Après une douche, nous entrons sous la tente pour une bonne nuit de sommeil.
C'est notre dernière journée au camping. Demain nous rentrons. On a passé la journée au bord de la piscine. Julie est venus nous voir pour savoir si notre séjour s'était bien passé. Le contact du premier jour était différent d'aujourd'hui. Peut-être à cause de la soirée de la veille.
Les sacs sont prêts. La voiture chargée. Nous partons tôt demain matin. On décide d'aller une dernière fois à la piscine. Nous marchons vers l'espace jeu. Il y a un couple sur un banc. Une femme assise à califourchon sur le banc, un bras autour de la taille de l'homme. Nous discutons quelques minutes puis on se dirige vers la piscine.
- " Tu as vu ! " me dit Judith une fois assise sur les dalles chaudes autour de la piscine.
- " Vu quoi ? " demandai-je.
Elle regarde à nouveau en direction du couple dans l'espace jeu.
- " Le mec assis là-bas, c'est l'homme d'entretien du camping ".
- " Et alors ? il est avec sa compagne...comme nous ".
Elle me regarde en penchant la tête.
- " Aucune importance " ajoute-t-elle en se jetant sur moi " profitons de cette dernière soirée ".
Elle m'embrasse, me caresse. Nos corps se frottent, s'écrasent l'un contre l'autre. Une fois au-dessus, j'embrasse ses seins, son ventre pour arriver sur sa fente déjà humide et luisante. Je passe la langue dessus, j'aime son odeur, son goût piquant. Tout me plaît en Judith. Elle appui ma tête sur sa chatte que je suce, lèche. Elle couvre mon menton avec son jus intime. Je me redresse pour quitter mon short. Judith attrape ma bite dressée. Elle se tourne en position 69. Je plonge ma tête entre ses cuisses. Sa langue tourne sur le gland avant d'enfoncer ma bite toute entière dans sa bouche. Je passe ses jambes sous mes épaules pour relever son cul et bien l'ouvrir. Je laisse couler de la salive entre ses fesses. Je pose un doigt sur son anneau plissé qui l'aspire. Judith remue, donne de petits coups de reins. Elle recrache ma bite couverte de salive.
Les jambes relevées sur sa poitrine, je frotte ma bite dans sa fente avant d'y plonger d'un coup.
- " Aaahhhhh " gémit-elle.
Mon pubis claque sur l'arrière de ses cuisses à un rythme rapide. Ses seins bougent en tous sens. Sa chatte est dilatée, dégoulinante de mouille. Nos langues se mêlent, nos corps transpirent. Elle ouvre les yeux et pose une main sur mon ventre.
- " J'en ai envie maintenant ".
Elle prend ma bite couverte de mouille et pose le gland sur son anus. Elle écarte ses fesses. Un signe de tête pour me dire d'y aller et je pousse. Le bout entre un peu, je ressors. Je recommence plusieurs fois avant de l'enfoncer. Son visage se crispe un peu, elle souffle fort. Elle pose ses mains sur mes fesses et m'attire vers elle. Ma bite glisse en elle lentement en une seule pénétration. Une fois au fond elle m'embrasse. Je ressors de son cul qui reste ouvert quelques secondes avant de m'enfoncer une nouvelle fois. J'accélère le rythme et la cadence. Je relève la tête et je distingue une silhouette de l'autre côté de la piscine. Je m'arrête un moment pour le dire à Judith.
- " On a un ou une mateuse " me dit-elle en souriant. " Alors donnons-lui un spectacle ".
Judith se met à quatre pattes, la tête tournée vers la silhouette. Je la prends en levrette. Je m'enfonce en elle facilement, sa fente est humide, lubrifiée. Je sens les doigts de Judith qui me caresse les couilles. La femme que nous distinguons de l'autre côté de la piscine se caresse maintenant sans gêne. Elle est assise sur une chaise, les jambes ouvertes, sa main frottant sa chatte. Je m'enfonce encore plus vite et plus fort.
- " oouuiii vas-y...t'arrête pas....je viiieennss " crie Judith.
Je continue pendant que son corps se crispe, puis ses jambes tremblent. Elle se laisse tomber en poussant un long gémissement. Je m'écroule à côté d'elle. Elle relève la tête et voit ma bite encore dressée. Elle s'en approche et commence à me sucer. Ses mains glissent sur ma bite en cadence avec sa tête. La femme sur la chaise n'est plus là. Judith écrase mes couilles et j'éjacule sur ses joues, ses lèvres. Elle s'allonge à côté de moi.
- " Ce fut de bonnes vacances " dit-elle en m'embrassant.
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