Enfin. - histoire érotique

Hier, 20h00.

« Je nous prépare l'apéro, pendant ce temps là tu vas mettre ta cage!».
Après une fin d'après-midi ou S. ma chauffé sur le canapé, jusqu'à cette phrase, direction salle de bain, à l'étage où m'attend depuis 2 semaines mon cadeau. Enfin! Et en même temps, un peu d’appréhension. C'est parti et je sais déjà que ça va être compliqué à la vue de mon excitation. Et je ne me suis pas trompé.
Première étape, faire passer le cockring( j’avais pourtant opté pour le diamètre le plus grand mis à disposition par le vendeur en espérant que cela pourrait faciliter l’affaire) autour de mon sexe et mes testicules….et là, il faut prendre son temps. Essayer de perdre un peu d’excitation afin de faire retomber mon érection. Au bout de 15 bonnes minutes de batailles et contorsions , yessss, enfin! Mais il reste la 2 ème partie de la cage de chasteté à mettre en place et pas la moindre. Celle que je redoutais le plus. La cage elle même dans laquelle je dois faire rentrer mon sexe à peine calmé.
J’attends encore et essaye de me détendre, mais je sens déjà la compression du métal froid à la base de ma queue et cela ne m’aide pas vraiment. J’adopte donc une position accroupie pour "ratatiner" cette satanée bête. J’arrive à insérer tant bien que mal mon gland à travers les premiers anneaux. Et le temps et l’inconfort faisant actions, je débande presque entièrement. J’en profite rapidement pour engager les 2 parties de la cage et verrouille celle-ci. C’est presque fait. Maintenant plus qu’à attendre que mon sexe se tapisse et se glisse, presque apeuré, à l’intérieur.
J’ai pas chronométré, mais mon temps de mise en place doit pas être exceptionnel. Je pense bien avoir mis au moins 25 min. On fera mieux la prochaine fois.
Mais alors, une fois ma queue lovée dans ce jouet. Ouah….plus aucun inconfort! Je peux bouger, marcher et être naturel( enfin, si j’ose dire) avec cette protubérance métallique, froide et lourde entre les jambes. Contre toutes attentes, je suis super à l’aise. Et redescends assez fier de moi rejoindre mon épouse.
A peine me demande t’elle de lui faire voir, mon érection essaye de se frayer un chemin. Et là, c’est plus la même affaire. Je sens que la soirée va être longue où alternerons excitation, inconfort et autres sensations à découvrir. Madame tâte, soupèse, observe sous toutes les coutures. Elle apprécie et s’enquiert quand même de mon confort. Je la rassure et essaye de me rassurer en même temps.
Nous passons le repas tranquillement, zen.
Mais dés la fin du repas, les festivités commencent. Pas un moment de repos. Au bout de 30 minutes, j’ai l’impression d’avoir le sexe en feu( vraiment cette sensation, bien que jamais essayé). Ça pousse de partout, tente l’évasion à travers les anneaux, forme des bourrelets. Moi qui me pensais à l’abris dans ma prison…Mon épouse arrive à y glisser un ongle inquisiteur. Mon gland est la principale victime. Et, alternativement, il semble perdre de sa sensibilité ou devient, au contraire, extrêmement sensible. Je ne sais plus. Je suis rouge, turgescent. Mes couilles sont aussi au programme. Mais ces dernières bien qu’exposées car à disposition, sont beaucoup moins sollicitées par les tensions. Mais quelle excitation.
« Tu sembles pas être trop attentif au film mon chéri ?
- Heuuuu…si si, ça va.
- Alors tu vas me donner du plaisir. Mais toi tu n’en n’auras pas. Comme depuis une semaine. Et cette fois, tu n’auras même pas mes mains sur ta queue. Enfin, pas de la façon que tu aimerais. Tu vas me faire jouir et je te laisserais gonflé, dans ta cage. Tu vas y penser toute la nuit, à moi, nous».
S. est terriblement excitée également. Il y’a des signes qui ne trompent pas. Je suis tenté de hâter son plaisir pour ainsi être soulagé plus rapidement ou vais-je faire durer? Je ne peux finalement m’empêcher de faire durer son plaisir( et le mien par la même occasion). Je la fais jouir sous mes doigts, mes caresses, mes explorations. Elle continue à jouer avec ma cage. Sans délicatesse, ce qui est signe avant coureur de sa jouissance….
Le film est terminé depuis peu. Je regarde l’heure. Déjà presque 3 heures d’emprisonnement et de jeux. Je n’en peux plus et suis ravi en même temps.
« Alors, voyons à quoi tu ressembles? Oh, tu es tout gonflé et violacé. Hummmm, j’adore. Tu aimerais que je te libères?
- C’est toi qui décide ma chérie. Je t’appartiens.
- Je crois que pour une première fois, c’est pas mal».
Elle n’arrive pas à ouvrir la serrure. Effectivement, c’est pas si évident car mon sexe rempli de toutes parts la cage. Il faut attendre un peu que je me détende. Finalement, j’y arrive en forçant un peu.
Je suis à peine soulagé et il reste encore ce cockring qui m’enserre.
Et, là encore il vaut attendre et de nouveau me contorsionner. Mon sexe en profite pour s’écouler et je me décontracte un peu plus, je crois.
Nous nous embrassons et allons nous coucher. Dans notre lit, nous échangeons nos impressions pendant qu’elle me masturbe doucement puis un peu plus énergiquement. Mais, attention! Interdit de jouir pour moi! Je ne sais plus ce qui me ferait plaisir. Jouir là, ce qui me soulagerait ou qu’elle me laisse tranquille.
« j’ai adoré mon amour, bonne nuit mon chéri, si tu arrives à dormir!
- merci, bonne nuit je t’aime».
Effectivement, il ne sera pas évident de m’endormir. Je suis en feu, mon sexe est en feu. Et je rebande de plus belle. Il en sera ainsi toute la nuit. Je me réveille à de nombreuses reprises, le sexe dur et impossible de débander rapidement. Plus j’essaie moins j’y arrive. Ça chauffe, mon gland me parait sous le point d’exploser. Il est hyper sensible. Sûrement le contact de la cage m’a quelque peu irrité. Le frottement des draps m’est insupportable et excitant à la fois. Je crois me protéger en enfermant ma queue entre mes mains. Mais c’est sans fin!
Et c’est comme ça une bonne partie de la nuit. Des montagnes russes.
Heureusement que nous avons fait le choix de l’ôter pour la nuit. Encore que, la contrainte m’aurait peut-être évité ces érections répétées. Sera à vérifier une prochaine fois.
Mais que de sensations. Hâte de recommencer.
S. m’a déjà dit qu’elle aimerait bien m’acheter une autre cage en plastique, plus accessible, plus visuelle, pour jouer et qu’elle pourra alors me laisser toute la nuit et plus…..En attendant que je m’acclimate. Effectivement, j’aurais dû lire les conseils de choix pour une cage de chasteté. Les métalliques sont pour des porteurs aguerris et rompus à l’exercice. Mais esthétiquement parlant, je les trouve superbes. Mais, intense comme sensation. Pour un port plus régulier et pas forcément pour jouer en soirée. Mais là encore, encore que…Après coup, j’en ai vu avec des cockring articulés pour passer autour des couilles et de la queue. Ce qui me facilitera la mise en place. Surtout si prévu au dernier moment alors que je suis déjà excité. Mais connaissant S, je sais que m’exciter avant de me demande d’aller m’équiper fera partie du jeu et l’amusera.

Voila cette première fois. encore trop de choses qui se bousculent pour être réellement objectif sur cette soirée. Mais si il y a une chose dont je suis certain c’est: "Vivement la prochaine ".