Enfin le PREP (7)

- Par l'auteur HDS PassifChaud -
Auteur homme.
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Récit libertin : Enfin le PREP (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Enfin le PREP (7)
La vraie Communauté et la négociation
J’avais pas mal sacrifié ma vie pour la famille, pour dissimuler la « honte », acceptant un mariage forcé avec une femme magnifique, que j’aimais vraiment, en sachant que je n’étais pas apte à lui donner ce qu’elle pouvait attendre d’un vrai mari.

Mais bon… C’était l’époque et il fallait préserver les apparences, quitte à faire deux malheureux, un homme insatisfait et une femme inassouvie… !!! Mais bon… Peu importe, j’ai eu la chance d’avoir un fils, et malgré un divorce hyper conflictuel, nous sommes toujours restés très proches lui et moi. Il connait ma vie, il l’approuve totalement, sans que je lui avoue toutefois, mes rares excès.

Dans ce cas-là, c’était différent, j’avais trop envie de vivre à fond, d’enfin pouvoir en profiter. Mon fils n’avait pas besoin de savoir que j’étais la femelle de plusieurs mecs, et s’il le fallait, je lui présenterais Walid, seul bien sûr… Mais ça le sécurisait que je sois stable avec un avec un homme , le reste ne le concernait pas vraiment.
Tout se mettait en place facilement, aussi bien notre vie quotidienne que nos besoins sexuels, tous savaient que j’étais toujours prêt pour m’occuper d’eux, et ce, dans tous les domaines. Walid et Younes étant les plus assidus dans mon lit, je ne voulais pas quand même négliger les autres, vivant des soirées torrides entre nous.

Je me rendais régulièrement dans la boutique de l’africain pour m’approvisionner de ses pommades magiques, en lui donnant mon cul à chaque fois pour notre plus grand plaisir, pour motif de tester mon élasticité, bien évidemment et que je conservais.
Ma formation en FLE se déroulait parfaitement, avec d’excellents résultats, grâce à l’aide de mes hommes en arabe, je l’avoue. La plupart de mes profs étaient assez étonnés de mes progrès dans la langue… Si Il savaient comme j’étais doué avec ma langue… !!!

Toujours aussi tenace, mais patient, j’ai rappelé « Monsieur Martin » quelques semaines plus tard, fort des soutiens de ma banque concernant le financement de mon projet d’acquisition ainsi que pour les travaux que je voulais effectuer dans la foulée. Je n’en avais parlé à personne, ni à Walid, ni même à mon fils.
Le rendez-vous a été pris, pour envisager cette éventuelle transaction et ses modalités. Nous nous somme revus dans un bar, de son réseau évidement, pour en reparler.

« Bonjour Monsieur… Martin… Si je peux dire… Content de vous revoir… Alors, vous avez réfléchi ? »« Pourquoi voulez-vous acquérir cet immeuble ? »« Nous ne sommes pas là pour parler de mes motivations, mais des modalités. »« J’en veux Tant… »Me proposant une somme représentant le triple du prix réel, et bien moins encore, au vu de son état et de l’usage qu’il en faisait. Ça pouvait ne plus rien valoir si un arrêté de Péril était prononcé, ce qui était en instance, j’avais assez de connaissances pour avoir commencé à mettre la procédure en œuvre.
« Une telle somme pour un immeuble en cours de menace d’Arrêté de Péril, vous plaisantez, cher Monsieur… »« Comment vous savez ça ? »« J’ai mes sources. Pour l’instant, ça ne concerne que ce bâtiment, mais si les autorités ont connaissances des autres, dont j’ai liste, ça risque de vous faire mal… très mal… »« OK, vous voulez quoi ? »« L’immeuble à un prix dérisoire, que je vous paierais bien sûr, avec en prime, je vous donne la liste confidentielle que je possède de vos locaux de marchand de sommeil. A vous de réfléchir…Vous n’avez pas beaucoup de temps, l’Arrêté de Péril est proche » Et je suis parti, lui tournant le dos en le laissant mariner.

Deux jours après, j’étais en cours et j’ai vu 2 SMS de sa part. Il voulait me voir au plus vite avec sa proposition. Un prix vraiment hyper bas auquel je ne m’attendais même pas, justifié légalement par son notaire par la vétusté du bâtiment. Du coup, j’avais la somme à dispo et j’ai demandé un chèque certifié à ma banque pour concrétiser la transaction, le reste de mes possibilités accordées serait utilisé pour les travaux.

Rendez-vous pris, transaction entièrement régularisée, parts de la SCI transférées, et je lui ai confié, comme convenu, tous les documents originaux en ma possession en lui conseillant toutefois la prudence. Je voulais juste l’immeuble, mais d’autres auraient pu être beaucoup plus gourmands.

Quelques jours après, Walid a reçu une lettre recommandée le matin, l’informant du changement de propriétaire et de prendre contact avec le nouveau, même si la SCI restait la même, pour les modalités. Il a constaté, avec stupeur que c’était moi le nouveau gérant… !!! Il est resté ébahi, sans trouver le moindre mot, et j’ai pris la parole.

« D’abord, tu vas me dire la vérité… Vous payez au black, on va dire, 3 fois le loyer officiel, c’est ça ? »« Oui Marc, mais on avait pas vraiment le choix… !!! »« Alors, figure-toi, que je connais très bien le fameux Monsieur Martin, on va dire, et j’avais les preuves de toutes ses magouilles grâce à mon ancien boulot, ce genre de pratiques me dégoûtent et me révoltent. »« Et alors ? »« En faisant un peu de rangement, sans chercher quoique ce soit, par hasard, je suis tombé sur ton bail et j’ai vu le nom du propriétaire, ou du moins de la SCI qui le représente. »« Mais tu as fait comment pour le forcer à te le vendre ? »« C’est une ordure Walid, un sordide marchand de sommeil sans scrupule dont j’avais conservé toutes les preuves. Super facile de l’obliger à me céder l’immeuble pour une bouchée de pain, il n’avait guère le choix, de toute façon. »« Bien, et on va faire quoi maintenant ? »« Je veux que personne le sache, tu vas juste dire aux autres que, mettons, suite à un contrôle, il n’y aura plus de black à payer, que l’immeuble a été vendu à un autre propriétaire et que des travaux de restauration vont commencer. »« Parce que tu veux tout rénover ? »« Bien sûr… Je n’ai pas un budget énorme pour ça, mais avec l’aide de tous, on peut y arriver, non ? La plupart d’entre vous sont super compétents dans le bâtiment. »« Mais, pourquoi tu fais ça ? »« Tout simplement parce que je veux continuer à vivre avec vous, mais dans des conditions décentes. Vous méritez, on mérite mieux, qu’un taudis, même si vous l’avez bien amélioré déjà »
Il est resté silencieux et m’a porté jusqu’à notre chambre. J’ai eu le Grand Walid, au summum de sa tendresse de sa sensualité et de sa puissance de mâle. Heureusement que l’Africain avait renouvelé mon stock récemment, parce qu’il m’a défoncé complètement et dès qu’il a entendu Younes arriver, il l’a appelé pour nous rejoindre. J’avais les deux plus grosses bites de notre communauté qui prenaient tour à tour possession de moi, tentant même une double que je n’ai pas pu supporter vu leurs engins.

« Tu restes te reposer… Ce soir, je réunis tous les autres en ta présence, pour les informer, sans leur révéler, bien sûr, que tu es à la tête de tout ça. »
Je me suis endormi, fourbu, brisé, chatte dévastée, un vrai gouffre, débordant de leur semence que j’ai voulu garder en moi, me tartinant de cette crème réparatrice et revêtant une épaisse protection sous mon boxer pour absorber les fuites certaines.

Je me suis réveillé vers 19 heures, entendant du bruit dans la cuisine où ils étaient tous là, s’affairant à la confection d’un super repas algérien, comme j’aimais tant, et que Walid leur avait demandé. Je me suis approché, un peu chancelant après tant d’assauts, et il m’a renvoyé à la chambre, m’assurant de venir me chercher quand tout serait prêt.

Semi comateux, c’est son odeur de mâle puissance dix, qui m’a sorti de ma léthargie pour m’accompagner. La pommade avait fait son effet, vulve quasi normale, mais protection pleine que j’ai jetée au passage, après l’avoir soigneusement emballée dans une poubelle que je réservais à cet effet.

Repas savoureux dont je me suis régalé, j’avais effectivement bien besoin de reprendre des forces, et une fois terminé, nous avons tous rejoint le « salon » pour le thé rituel.
Walid a pris la parole devant tout le monde, expliquant le changement de propriétaire, sans le citer bien sûr et qu’un Arrêté de Péril était en cours. Le « black » était terminé, le loyer officiel restant le seul, ainsi que les travaux décidés, mais que tous devaient y participer, non pas financièrement, mais par leurs idées et par leur travail pour rendre notre espace le plus agréable à vivre possible. Il a été très clair. Les moyens du nouveau propriétaire n’étaient pas extensibles, c’est pour ça qu’il avait besoin de leur aide, et qu’en contrepartie, le loyer officiel resterait le même, soit, très faible pour chacun. Un X Euros divisé par une dizaine environ faisait vraiment un petit x Euros.

« Marc surveillera tout ça sur le plan légal et financier, et rien ne sera fait sans son accord. On a besoin de lui pour respecter les normes et suspendre l’Arrêté, d’accord les mecs ? »La conversation s’est déroulée en français, comme à chaque fois devant moi, même si je commençais à parler un peu arabe avec Walid, pour me former. Ils ont tous été enthousiastes, tous partant pour donner le meilleur d’eux même, et trop contents de la fin du « racket » qu’ils subissaient. En fait, ils étaient hyper sains et droits, ne dealant pas, refusant de plonger dans des combines que certains autres arabes pratiquaient. Ils fuyaient tout ça, voulant vivre… simplement, sans ennuis, même si ils partageaient la même femelle… pour le plaisir de tous et pour eux, c’était nettement moins humiliant qu’une tournante forcée. Walid s’est approché de mon oreille :« Ça te convient ? Tu es content ? »« Parfait… Mais tu sais ce dont j’ai envie maintenant ? »« Non, dis-moi… !!! »« Partager ma nuit avec Younes et toi. »« Mais… Tu es insatiable… !!! »« C’est ce qui vous plait, non ? »
Et j’ai rejoint ma chambre, avec ces deux monstres de virilité, accompagné de mon regard sur les énormes bosses entre leurs cuisses…
J’allais prendre cher…. Et j’en avais trop envie…

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