Voyage et Découvertes (8)
Récit érotique écrit par PassifChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage et Découvertes (8)
Du calme avant la tempête
Après tous ces moments de sexe hyper intense, même si cela me rendait trop heureux et épanoui, j’avoue que j’avais besoin d’un petit break, ma réputation de « garçon facile » était dorénavant acquise. J’ai réussi à être super sage pendant deux jours, matant toujours autant, mais sans rien faire, à part une simple branlette dans un bosquet. Comment dire… j’avais à la fois envie de rien… et de beaucoup plus, hésitant entre les deux… !!!
J’avais tellement été baisé à la ferme par Mehdi, Ahmed et Francesco que j’avais peur que mon cul ne referme plus même si Dietrich me rassurait de ce côté au vu du nombre de fois où il se faisait enculer, et pas qu’à Ibiza, Munich était une ville hyper chaude aussi dont il profitait de tous ses plaisirs, plus ou moins cachés, en l’assumant totalement.
Ce séjour m’avait fait admettre que ma vie allait être définitivement celle d’un « homo », d’une femelle à mâles et que mon petit appendice entre mes jambes ne me servirait, dorénavant qu’à pisser, mon vrai sexe était l’orifice de l’autre côté de mes cuisses. Pas facile à supporter en 1975, surtout quand on est enfant unique dont les parents attendent vivement la procréation d’un héritier. Encore fallait-il m’en donner l’outil pour ça Maman… !!!
Quoiqu’il en soit, j’avais besoin de prendre un peu de recul, saturation de bites peut-être, mais je restais quand même déterminé, non seulement à profiter à fond des jours qui me restaient au Club, mais aussi de mettre au point ce fameux stage à la ferme. Autant en profiter jusqu’au bout, sachant qu’il me serait impossible de retrouver les mêmes plaisirs à Nice, et particulièrement, avec autant d’intensité.
J’en ai parlé avec Dietrich, qui devenait vraiment un vrai ami, avec lequel on partageait tout, et qui m’avait, d’ores et déjà, invité à Munich, chose relativement facile, Nice était jumelée avec Nuremberg en Bavière, les échanges étaient fréquents avec des étudiants en Allemand LV1 comme moi. De plus, mes parents seraient ravis que je me sois trouvé un correspondant en Allemagne, honorable bien sûr de famille de médecins. Ils connaissaient ma passion pour cette langue.
Je suis donc resté sage pendant 2 jours, même Luis en était surpris, tout en conservant ma décision de participer activement à la partouze dont m’avait parlée Dietrich, prévue pour la nuit suivante. Soit pour m’en faire la surprise, soit pour ne pas m’inquiéter, il ne m’avait pas donné le nombre de participants. Je savais que nous serions que lui et moi en passif total, plus un autre, mais qui n’aimait pas les grosses queues. Deux discrets vigiles du Club seraient présents pour éviter tout débordement.
Dès le matin, nous nous sommes retrouvés au buffet du petit déjeuner, où il m’a donné les conseils alimentaires pour la journée… A savoir, sans fibre, afin que même malgré un lavement hyper poussé, il ne risquait pas d’y avoir…. Certains désagréments.
Ce Club était vraiment plein de surprises, avec ses tarifs hyper élevés mais dont les petits minous bénéficiaient de réductions substantielles, ce qui ne m’avait pas tellement étonné, c’était souvent le cas dans les cinés ou dans les spectacles, la clientèle jeune était privilégiée la plupart du temps.
Le soir venu, nous nous sommes préparés ensemble avec Dietrich, pratiquant sur moi un lavement en véritable profondeur avec les produits adéquats (Merci la Pharmacie de son Papa…) ainsi que le rasage de quelques poils autour de ma vulve. Il est vrai que Mehdi avait dépucelé aussi mon deuxième sphincter, ce qui permettait à l’opération d’être plus facile et profonde. Nos chattes se devaient d’être hyper fraîches.
Juste un petit rappel quand même, cela se passait en 1975, le SIDA n’existait pas encore, les préservatifs n’étaient utilisés juste à des buts contraceptifs et non pas de prophylaxies, sauf pour les putes de trottoir ou de bordel, et rarement… !!!
Nous avons rejoint cette fameuse salle, située dans un sous-sol très discret, super bien équipée, fauteuils, matelas, petites tables avec boisson à volonté, et que le Club louait fort cher pour ces soirées particulières. Bien évidemment, les passifs y étaient cordialement invités, denrées tellement rares et encore plus exceptionnels ceux qui acceptaient d’y participer, se faire enculer restait toujours très tabou à l’époque.
Dietrich m’avait avoué avoir participé quelquefois à ce genre de plaisirs, tant à Munich, à Berlin Ouest, qu’à Ibiza, et c’est d’un pas certain, main sur mon dos, sentant quand même ma gêne, que nous avons fait notre entrée ensemble. Effectivement, l’endroit était sublime, occupé déjà par une dizaine d’hommes, plus virils les uns que les autres, de multiples origines, certains devaient encore nous rejoindre, le nombre des participants restant toutefois limité.
Dans cette chaude atmosphère, hyper clean, et face à tous ces mâles empestant le désir et la testostérone, toutes mes appréhensions sont tombées, rassuré de plus par la présence discrète dans un coin, des deux vigiles, bâtis comme des gardes du corps.
Cela a commencé comme une réunion conviviale, entre amis, même si on se faisait copieusement peloter, tripoter de partout, avec notre accord plein et entier, on était là pour ça. Juste vêtus d’un short assez court, sans sous-vêtement et d’un petit T-shirt, l’accès à notre intimité était très facile.
Toutes ces mains qui parcouraient mon corps, écartant mes cuisses pour caresser ma vulve me rendaient fou d’excitation, gobant à pleine bouche le premier sexe qui s’est présenté à mes lèvres. Le Top de la soirée était donné, les mâles avaient compris que les femelles étaient prêtes et en quelques minutes, nous avons été embrochés de toutes parts.
Les plus grosses queues venaient vers nous, le troisième les refusant, mais il avait quand même suffisamment de membres moyens pour le satisfaire.
Il m’est impossible de vous décrire le nombre de fois où nous avions été pris, en simple, quelquefois en double, en suçant et en branlant d’autres sexes en même temps. C’était géant… !!! Jamais je n’avais connu ça, un tel plaisir d’avoir été usé, et abusé pendant des heures. Pauses de quelques minutes pour vider nos chattes enfoutrées et nous désaltérer un peu, que cela recommençait. C’était du sexe à l’état pur, sans les dérives actuelles du genre uro, sado, maso, plus fréquentes actuellement mais qui, premièrement ne se pratiquaient que très peu à l’époque, sauf endroits spéciaux je suppose, et surtout, que nous avions totalement refusées, les gardes suivaient la stricte application des règles imposées.
Je crois que c’est vers 4 ou 5 heures du matin que nous avons retrouvé notre bungalow, soutenus par les vigiles, tellement nous avions du mal à marcher, lequel a quand même profité de mon orifice, tant il était excité, son corps hyper viril et son énorme membre de black ont vite fait fi de ma fatigue, surtout quand il a inondé ma chatte d’innombrables jets de foutre. Normal, il était super excité d’avoir assisté à un tel spectacle, sans pouvoir y participer et trop content que je me donne à lui.
Au début, j’avais super peur de participer à cette partouze, mais en fait, j’ai adoré, n’étant pas sûr que cela puisse se reproduire un jour, même si j’avais le conduit en feu après ces multiples accouplements.
Il nous a fallu quand même 2 jours pour nous rétablir de ces copulations intenses, et nous nous retrouvions, soit au buffet, soit pour barboter quelques instants à la piscine, mais aucun de nous deux ne regrettait notre soirée, tout en restant très sages pour l’instant, avant de recommencer.
Le sujet de la prolongation de mon séjour est revenu sur le tapis, Dietrich m’y encourageait fortement, et Medhi, qui était venu nous rejoindre un après-midi, se déclarait prêt à effectuer toutes les formalités. Il était habitué à embaucher des saisonniers de toutes parts, comme tout se passait super bien à chaque fois, il avait l’appui des autorités.
J’ai craqué un soir, et j’ai passé la nuit avec lui, me donnant et lui donnant un plaisir extrême si partagé qui ne pouvait pas se terminer dans les quelques jours qu’ils me restaient. Son corps, son sexe monstrueux, la manière dont il avait de me posséder, alliant sensualité et puissance absolue m’ont totalement décidé.
C’est d’une voix enjouée que j’ai appelé mes parents le lendemain, debout, j’avais trop mal au cul pour m’assoir, que je leur ai expliqué, sans trop de détails quand même, la proposition qui m’avait été faite de rester dans une ferme espagnole pour la récolte d’été, olives, légumes, tout ce qui était son enfance.
Un peu réticente au début, ma mère a finalement été très contente que je « salisse un peu mes mains fines » dans la terre, renouant avec la tradition familiale, plutôt que de « glander » à Nice. Elle m’a quand même demandé si j’avais besoin d’argent, et malgré mon refus, elle m’a envoyé un mandat international, accompagné des divers sachets de graines de courgettes de Nice que je lui avais réclamées, comme une surprise pour mes employeurs, inconnues ici.
Très vite, le contrat a été rédigé, en français et en Espagnol, attesté par la commune…quelle masse de documents nécessaires à cette époque, que nous avons amenés, Mehdi, Dietrich et moi, par bateau à l’antenne du Consulat de France, de Palma à Majorque. Ils étaient prévenus, mon père les avait appelés la veille.
Tout était en route maintenant, et en rentrant, j’ai laissé Dietrich rejoindre le Club pour retrouver mes hommes, aussi impatients les uns que les autres, Ahmed et Francesco étaient fous de désir, j’ai ressenti leur puissance toute la nuit comme si leur usine à foutre ne tarissait jamais.
Il ne restait que 2 jours au Club, que j’ai tenu à ne passer qu’avec Dietrich, consolidant notre amitié, nous promettant de nous revoir au plus vite, à Nice ou à Munich. J’avais décidé de poursuivre un cursus universitaire équivalent de LEA aujourd’hui, avec Allemand en Langue principale, justifiant de fréquents séjours en RFA, facilités par Dietrich bien évidemment.
Le matin de son départ à été pénible, j’avais du mal à me séparer d’un tel ami, mais Mehdi m’accompagnait à l’aéroport, en restant en retrait tout d’abord et il m’a serré dans ses bras dès que l’avion eut décollé.
« Profite, mein Freund, und bis bald » (A très vite… !!!)
L’étrange véhicule m’a ramené à la ferme où j’ai pu commencer à prendre mes aises.
(Je sais que les récits trop longs lassent souvent les lecteurs, alors je verrais un peu plus tard si je reprendrais la suite… Merci à vous tous. Marc.)
Après tous ces moments de sexe hyper intense, même si cela me rendait trop heureux et épanoui, j’avoue que j’avais besoin d’un petit break, ma réputation de « garçon facile » était dorénavant acquise. J’ai réussi à être super sage pendant deux jours, matant toujours autant, mais sans rien faire, à part une simple branlette dans un bosquet. Comment dire… j’avais à la fois envie de rien… et de beaucoup plus, hésitant entre les deux… !!!
J’avais tellement été baisé à la ferme par Mehdi, Ahmed et Francesco que j’avais peur que mon cul ne referme plus même si Dietrich me rassurait de ce côté au vu du nombre de fois où il se faisait enculer, et pas qu’à Ibiza, Munich était une ville hyper chaude aussi dont il profitait de tous ses plaisirs, plus ou moins cachés, en l’assumant totalement.
Ce séjour m’avait fait admettre que ma vie allait être définitivement celle d’un « homo », d’une femelle à mâles et que mon petit appendice entre mes jambes ne me servirait, dorénavant qu’à pisser, mon vrai sexe était l’orifice de l’autre côté de mes cuisses. Pas facile à supporter en 1975, surtout quand on est enfant unique dont les parents attendent vivement la procréation d’un héritier. Encore fallait-il m’en donner l’outil pour ça Maman… !!!
Quoiqu’il en soit, j’avais besoin de prendre un peu de recul, saturation de bites peut-être, mais je restais quand même déterminé, non seulement à profiter à fond des jours qui me restaient au Club, mais aussi de mettre au point ce fameux stage à la ferme. Autant en profiter jusqu’au bout, sachant qu’il me serait impossible de retrouver les mêmes plaisirs à Nice, et particulièrement, avec autant d’intensité.
J’en ai parlé avec Dietrich, qui devenait vraiment un vrai ami, avec lequel on partageait tout, et qui m’avait, d’ores et déjà, invité à Munich, chose relativement facile, Nice était jumelée avec Nuremberg en Bavière, les échanges étaient fréquents avec des étudiants en Allemand LV1 comme moi. De plus, mes parents seraient ravis que je me sois trouvé un correspondant en Allemagne, honorable bien sûr de famille de médecins. Ils connaissaient ma passion pour cette langue.
Je suis donc resté sage pendant 2 jours, même Luis en était surpris, tout en conservant ma décision de participer activement à la partouze dont m’avait parlée Dietrich, prévue pour la nuit suivante. Soit pour m’en faire la surprise, soit pour ne pas m’inquiéter, il ne m’avait pas donné le nombre de participants. Je savais que nous serions que lui et moi en passif total, plus un autre, mais qui n’aimait pas les grosses queues. Deux discrets vigiles du Club seraient présents pour éviter tout débordement.
Dès le matin, nous nous sommes retrouvés au buffet du petit déjeuner, où il m’a donné les conseils alimentaires pour la journée… A savoir, sans fibre, afin que même malgré un lavement hyper poussé, il ne risquait pas d’y avoir…. Certains désagréments.
Ce Club était vraiment plein de surprises, avec ses tarifs hyper élevés mais dont les petits minous bénéficiaient de réductions substantielles, ce qui ne m’avait pas tellement étonné, c’était souvent le cas dans les cinés ou dans les spectacles, la clientèle jeune était privilégiée la plupart du temps.
Le soir venu, nous nous sommes préparés ensemble avec Dietrich, pratiquant sur moi un lavement en véritable profondeur avec les produits adéquats (Merci la Pharmacie de son Papa…) ainsi que le rasage de quelques poils autour de ma vulve. Il est vrai que Mehdi avait dépucelé aussi mon deuxième sphincter, ce qui permettait à l’opération d’être plus facile et profonde. Nos chattes se devaient d’être hyper fraîches.
Juste un petit rappel quand même, cela se passait en 1975, le SIDA n’existait pas encore, les préservatifs n’étaient utilisés juste à des buts contraceptifs et non pas de prophylaxies, sauf pour les putes de trottoir ou de bordel, et rarement… !!!
Nous avons rejoint cette fameuse salle, située dans un sous-sol très discret, super bien équipée, fauteuils, matelas, petites tables avec boisson à volonté, et que le Club louait fort cher pour ces soirées particulières. Bien évidemment, les passifs y étaient cordialement invités, denrées tellement rares et encore plus exceptionnels ceux qui acceptaient d’y participer, se faire enculer restait toujours très tabou à l’époque.
Dietrich m’avait avoué avoir participé quelquefois à ce genre de plaisirs, tant à Munich, à Berlin Ouest, qu’à Ibiza, et c’est d’un pas certain, main sur mon dos, sentant quand même ma gêne, que nous avons fait notre entrée ensemble. Effectivement, l’endroit était sublime, occupé déjà par une dizaine d’hommes, plus virils les uns que les autres, de multiples origines, certains devaient encore nous rejoindre, le nombre des participants restant toutefois limité.
Dans cette chaude atmosphère, hyper clean, et face à tous ces mâles empestant le désir et la testostérone, toutes mes appréhensions sont tombées, rassuré de plus par la présence discrète dans un coin, des deux vigiles, bâtis comme des gardes du corps.
Cela a commencé comme une réunion conviviale, entre amis, même si on se faisait copieusement peloter, tripoter de partout, avec notre accord plein et entier, on était là pour ça. Juste vêtus d’un short assez court, sans sous-vêtement et d’un petit T-shirt, l’accès à notre intimité était très facile.
Toutes ces mains qui parcouraient mon corps, écartant mes cuisses pour caresser ma vulve me rendaient fou d’excitation, gobant à pleine bouche le premier sexe qui s’est présenté à mes lèvres. Le Top de la soirée était donné, les mâles avaient compris que les femelles étaient prêtes et en quelques minutes, nous avons été embrochés de toutes parts.
Les plus grosses queues venaient vers nous, le troisième les refusant, mais il avait quand même suffisamment de membres moyens pour le satisfaire.
Il m’est impossible de vous décrire le nombre de fois où nous avions été pris, en simple, quelquefois en double, en suçant et en branlant d’autres sexes en même temps. C’était géant… !!! Jamais je n’avais connu ça, un tel plaisir d’avoir été usé, et abusé pendant des heures. Pauses de quelques minutes pour vider nos chattes enfoutrées et nous désaltérer un peu, que cela recommençait. C’était du sexe à l’état pur, sans les dérives actuelles du genre uro, sado, maso, plus fréquentes actuellement mais qui, premièrement ne se pratiquaient que très peu à l’époque, sauf endroits spéciaux je suppose, et surtout, que nous avions totalement refusées, les gardes suivaient la stricte application des règles imposées.
Je crois que c’est vers 4 ou 5 heures du matin que nous avons retrouvé notre bungalow, soutenus par les vigiles, tellement nous avions du mal à marcher, lequel a quand même profité de mon orifice, tant il était excité, son corps hyper viril et son énorme membre de black ont vite fait fi de ma fatigue, surtout quand il a inondé ma chatte d’innombrables jets de foutre. Normal, il était super excité d’avoir assisté à un tel spectacle, sans pouvoir y participer et trop content que je me donne à lui.
Au début, j’avais super peur de participer à cette partouze, mais en fait, j’ai adoré, n’étant pas sûr que cela puisse se reproduire un jour, même si j’avais le conduit en feu après ces multiples accouplements.
Il nous a fallu quand même 2 jours pour nous rétablir de ces copulations intenses, et nous nous retrouvions, soit au buffet, soit pour barboter quelques instants à la piscine, mais aucun de nous deux ne regrettait notre soirée, tout en restant très sages pour l’instant, avant de recommencer.
Le sujet de la prolongation de mon séjour est revenu sur le tapis, Dietrich m’y encourageait fortement, et Medhi, qui était venu nous rejoindre un après-midi, se déclarait prêt à effectuer toutes les formalités. Il était habitué à embaucher des saisonniers de toutes parts, comme tout se passait super bien à chaque fois, il avait l’appui des autorités.
J’ai craqué un soir, et j’ai passé la nuit avec lui, me donnant et lui donnant un plaisir extrême si partagé qui ne pouvait pas se terminer dans les quelques jours qu’ils me restaient. Son corps, son sexe monstrueux, la manière dont il avait de me posséder, alliant sensualité et puissance absolue m’ont totalement décidé.
C’est d’une voix enjouée que j’ai appelé mes parents le lendemain, debout, j’avais trop mal au cul pour m’assoir, que je leur ai expliqué, sans trop de détails quand même, la proposition qui m’avait été faite de rester dans une ferme espagnole pour la récolte d’été, olives, légumes, tout ce qui était son enfance.
Un peu réticente au début, ma mère a finalement été très contente que je « salisse un peu mes mains fines » dans la terre, renouant avec la tradition familiale, plutôt que de « glander » à Nice. Elle m’a quand même demandé si j’avais besoin d’argent, et malgré mon refus, elle m’a envoyé un mandat international, accompagné des divers sachets de graines de courgettes de Nice que je lui avais réclamées, comme une surprise pour mes employeurs, inconnues ici.
Très vite, le contrat a été rédigé, en français et en Espagnol, attesté par la commune…quelle masse de documents nécessaires à cette époque, que nous avons amenés, Mehdi, Dietrich et moi, par bateau à l’antenne du Consulat de France, de Palma à Majorque. Ils étaient prévenus, mon père les avait appelés la veille.
Tout était en route maintenant, et en rentrant, j’ai laissé Dietrich rejoindre le Club pour retrouver mes hommes, aussi impatients les uns que les autres, Ahmed et Francesco étaient fous de désir, j’ai ressenti leur puissance toute la nuit comme si leur usine à foutre ne tarissait jamais.
Il ne restait que 2 jours au Club, que j’ai tenu à ne passer qu’avec Dietrich, consolidant notre amitié, nous promettant de nous revoir au plus vite, à Nice ou à Munich. J’avais décidé de poursuivre un cursus universitaire équivalent de LEA aujourd’hui, avec Allemand en Langue principale, justifiant de fréquents séjours en RFA, facilités par Dietrich bien évidemment.
Le matin de son départ à été pénible, j’avais du mal à me séparer d’un tel ami, mais Mehdi m’accompagnait à l’aéroport, en restant en retrait tout d’abord et il m’a serré dans ses bras dès que l’avion eut décollé.
« Profite, mein Freund, und bis bald » (A très vite… !!!)
L’étrange véhicule m’a ramené à la ferme où j’ai pu commencer à prendre mes aises.
(Je sais que les récits trop longs lassent souvent les lecteurs, alors je verrais un peu plus tard si je reprendrais la suite… Merci à vous tous. Marc.)
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