Enivrantes vacances
Récit érotique écrit par Exocet1000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Enivrantes vacances
Nous, c’est Cyril et Julie, 29ans, mariés et extrêmement amoureux l’un de l’autre. Lors de mon premier récit, je vous ai raconté l’histoire d’une soirée très troublante vécue l’an passé.
Aujourd’hui, je m’en viens vous conter une petite histoire qui nous est arrivée il y a de ça 7 ans, avant notre mariage, alors que nous étions partis ensemble en vacances. Nous avions réservé des vacances de rêve, sur une île paradisiaque et dans un hôtel extraordinaire. Les qualitatifs me manquent pour retranscrire à quel point nous vivions un rêve éveillé.
Notre suite était somptueuse, au 12ème étage, avec un très grand lit au centre, un salon avec un grand canapé et un fauteuil, autour d’une table basse et d’une télé immense ! De l’autre côté un bureau, très pratique pour les cartes postales et pour l’ordinateur portable, et enfin une salle de bain avec une douche énorme, avec des buses de massages le long du dos, tout simplement génial !!! Pour couronner le tout, un terrasse relativement grande et sans vis-à-vis, ni aucune vue sur les voisins de part et d’autres !
C’étaient nos première vraies vacances ensemble, malgré que nous étions ensemble déjà depuis plus de 6 ans, et avec toutes mes économies cumulées, nous avions décidé de nous faire plaisir, avec ces 15 jours de vacances.
En plus des activités classiques à la plage, de lèche-vitrine, ou de sieste (plus ou moins coquines…) nous avions décidé de prendre quelques activités. Ainsi, je m’adonnais au golf en fin d’après-midi un jour sur deux (je n’en avais jamais fait, je n’aime pas particulièrement ça, mais je voulais essayer un jour), et Julie faisait suivant les jours des cours de cuisine locale, de la peinture, mais aussi son activité favorite : le bronzage. Souvent, pour patienter jusqu’à mon retour du golf, elle allait se délasser à l’étage « soin du corps et bien être » de notre fabuleux hôtel. Au programme, du hammam, du jacuzzi, du sauna, des massages, bref, que du bon.
Quelques jours passent naturellement, nous sommes plus amoureux que jamais, nous faisons beaucoup l’amour (3-4 fois par jour), nos sens sont éveillés et à l’affût, et le bonheur transpire de nos peaux.
En fin de première semaine, je rentre de mon golf (je suis nul, c’en est pitoyable, mais un homme plus âgé et visiblement habitué m’a pris sous son aile pour essayer de me perfectionner), et je ne trouve pas Julie dans la chambre. Sachant qu’elle est au spa, je ne me fais pas de soucis et file prendre ma douche tranquillement. En sortant, je m’aperçois qu’elle n’est pas encore rentrée, et donc je décide de me mettre sur la terrasse, face à la mer, pour bouquiner un peu le nouveau roman que j’ai acheté en arrivant à l’aéroport – les deux que j’avais prévu n’ont pas survécu au voyage aller en avion…
De longues minutes passent, et soudain, Julie arrive, environ 1 heure plus tard que les jours précédents. Elle m’embrasse, se renseigne sur mes progrès (je ne sais pas si c’est le mot idéal) au golf, et s’excuse du retard, elle a papoté un moment au spa et n’a pas vu l’heure passer. Je lui dis que ça n’est pas grave, mais, le regard un peu coquin, elle me dit qu’elle sait comment se faire pardonner. A ce moment, elle se met à genou devant moi, me déboutonne le short et commence à m’administrer une délicieuse fellation, ses yeux rivés dans les miens. Sa langue va et vient le long de mon sexe, et sa main me caresse les testicules, avant de remonter me branler doucement alors que sa bouche avale mon sexe… Elle reste là, à me sucer de façon extrêmement douce et appliquée, ce qui me fait durer très longtemps… Le moment venu, elle accélère légèrement le mouvement et serre un peu plus fort sa main autour de mon sexe, ce qui me déclenche un orgasme « sismique »... Elle avale tout mon sperme, ce qu’elle me fait assez souvent, mais en recrache un peu le long de mon sexe, qu’elle récupère juste après en passant sa langue tout le long… Quel bonheur, que ce fut bon…
Me laissant ainsi, calmé et détendu, elle alla direct à la douche. Une fois sa toilette faite, elle enfile une petite robe très sexy et nous descendons dîner… Le repas se passa de façon délicieuse, et une fois terminée, nous sommes sortis ensemble dans une boite de nuit proche de l’hôtel pour nous amuser un peu avant d’aller se coucher. Nous avons dansé comme des fous, nous nous sommes bien amusés, et au bout d’un moment, alors que je suis allé m’asseoir a une table, complètement vanné, un homme, environ 35-40 ans, s’approche de ma femme, et celle-ci le voyant lui fait la bise et commence à parler avec lui. Je ne connais pas cet homme, je ne l’ai jamais vu, et au bout d’un moment à les voir rigoler ensemble, je vois Julie revenir vers moi, l’homme au bras, et s'asseoir ensemble avec moi à la table. C’est là que j’ai appris qu’ils se sont rencontrés au spa, où il se rendait tous les jours, qu'il se nommait Florian, qu’il était fraîchement divorcé et qu’il était venu ici se reposer un peu après sa séparation un peu difficile. Il était charmant, avenant, gentil, et poli, et nous avons passé une bonne seconde partie de soirée. Il a invité Julie a danser, ce à quoi elle a répondu directement par un OUI, et ils ont dansé ensemble une bonne heure, du rock aux slows. L’heure venue, nous nous séparons et Julie et moi rentrons à notre hôtel.
Nous étions à ce moment-là si fatigués que nous nous endormîmes sans faire l'amour pour la première fois depuis que nous étions arrivés.
Le lendemain, nos vacances reprirent leur cours normal. Nous avons passé une journée sympa à la plage, en faisant de la bouée tractée derrière un bateau à moteur, du bronzage, la sieste, et tout ce qu'un couple amoureux peut envisager de faire en vacances... Nous ne reparlâmes pas de Florian depuis cette soirée en boite, mais le lendemain, au moment de partir jouer au golf, je fus pris d'un doute... Pourquoi Julie ne m'avait pas parlé de lui avant que je le rencontre ? Généralement, elle me raconte tout, et là, je suspecte qu'elle ait volontairement passé sous silence sa rencontre avec cet homme charmant...
Pris d'un doute (honteux certes, mais légitime), je partis en direction du parcours de golf, restai une bonne vingtaine de minutes au bar à siroter un cocktail local, qui a la capacité innée de me détendre un peu au bout du deuxième verre ingurgité. Au moment où j'estimai avoir laissé assez de temps passer pour que Julie soit certaine que je sois au golf, je retourne à l’hôtel, avec à l'esprit l'idée de simuler une douleur à l'épaule m’empêchant de réaliser un swing, pour justifier mon retour « impromptu » au cas où je me faisais des idées. Je me dirige droit vers l'espace détente, avec à l'esprit de retrouver ma femme. Je passe au vestiaire pour me changer, et accède aux espaces bains. Malgré toutes mes recherches, je ne trouvai pas ma femme, qui devait se trouver ici vu le planning qu'elle m'avait fourni... Je cherchai dans toutes les salles, tous les bains, je passai devant toutes les salles de massages en jetant un œil par le hublot, rien. Je me dis qu'elle n'est pas là, et je repars, passant devant les salles privatives. C'est à ce moment-là que je l'ai aperçue, dans la partie « privative », ou on peut réserver une petite partie de l'espace uniquement pour nous...
C'est derrière une petite porte vitrée que je l'ai vu passer, nue, avec ce fameux Florian à sa suite, en boxer lui, sortir ensemble du spa et se diriger vers le hammam...
A ce moment précis, je pense que ni mes pulsations, ni ma tension ne devait faire plaisir à mon docteur, tellement j’étais en fureur !!! Comment pouvait-elle me faire ça... Cela se présente comme une petite pièce avec quatre petits meubles servant de vestiaire, deux de chaque côtés, avec un siège en bambou au bas de chacun, un porte manteau, une étagère pour poser ses habits et un petit paravent pour se changer derrière, un de chaque côté. Au fond de la pièce, il y a une grande douche avec quatre jets communs. D'un côté, une pièce ouverte avec un grand spa, incrusté au sol, et de l'autre, deux portes, une entièrement vitrée au sauna, et une autre avec un hublot pour le hammam... Pour ne pas être dérangé, la porte d’accès se ferme à clé, comme cela les personnes qui ont réservé cet espace sont tranquilles. Mais moi, je devais rentrer... JE DEVAIS RENTRER VOIR !
Vite, il me faut un plan... La réceptionniste, elle a forcément un double, sans doute rangé dans un des tiroirs de son minuscule pupitre qui lui sert de bureau... Il me faut le trouver... Je n'ai pas le choix, je tente le tout pour le tout... Je fonce vers elle, et lui lance d'un air inquiet : « Mademoiselle, vite, une vieille dame est tombé dans le spa numéro 5 (le plus éloigné, il me faut un peu de temps), je pense qu'elle s'est blessée, vous devriez aller voir ». L’hôtesse s'y précipita après m'avoir remercié, et au moment où elle fut hors de vue, je me jetai sur son pupitre, ouvrant tous les tiroirs, et trouvant, du premier coup (ou presque), ce que j’étais venu chercher !!! Quelle chance. Je me saisis de la clé, et m’enfuis vers la salle privative, entrai après avoir inspecté les lieux par le hublot, refermai la porte derrière moi, et m'approchai du hammam...
Ce que j'y vis me glaça le sang. Julie, appuyée en arrière sur ses bras, parlant à ce type, dans les vapeurs d'eau flottant dans l’atmosphère. Elle était nue, ses seins sous les yeux de ce type. Ils discutaient, mais la bosse du gars sous son boxer m'a convaincu que ce petit manège le chauffait à blanc. La porte étant étanche, je ne pouvais pas entendre leur discussion, mais quelques minutes après, ils se levèrent pour sortir... Je me cachai rapidement derrière un paravent disposé à côté d'un vestiaire, et les vis repartir vers le spa. Du coup, je n'avais plus l'image, mais j'avais le son. Je ne pouvais pas voir ce qu'il se passait sans prendre le risque d’être aperçu, mais j'entendais à présent très bien leur discussion. Julie était en train de raconter nos petites aventures sexuelles, nos fantasmes, nos petits secrets de couple. J'hallucinais... Mais pourquoi lui disait-elle tous nos secrets ??? Au bout d'un moment de discussion, Florian lança qu'elle avait eu une très bonnes idée de réserver cet espace (c’était son idée en plus ! Salope…), que comme cela, ils étaient tranquilles, et qu'il pouvait en plus profiter du spectacle qu'elle lui offrait. Elle le remercia du compliment, lui avoua que nous n’étions pas pudiques, que nous faisions parfois du naturisme, et qu'elle aimait être nue.
Il n’arrêtait pas de faire des compliments à ma belle sur son corps (il pouvait), à quoi elle répondait qu'il était vraiment charmant aussi, mais qu’après tout, il pouvait bien faire un effort et lui en montrer autant qu'elle le faisait... AIE AIE AIE, je vais assister à mon cocufiage en live j'ai l’impression, et ça ne m'amuse pas du tout... Florian ne se fit pas prier, et de suite, il enleva son boxer. Je dis de suite, certes je n'ai rien vu, mais j'ai entendu le : « WHAOU » poussé par ma femme... Je vais essayer de retranscrire de mémoire a peut prés les dialogues que j’entendais :
J : WHAOU, quand même, quel engin
F : Il te plaît ?
J : Disons qu'il me surprend, à part les gars sur les plages naturistes, j'ai jamais vu d'autres queues que celle de Cyril, du moins jamais en érection, et la tienne est bien plus longue... Elle me fait penser aux acteurs de porno... Combien elle fait ?
F : 21
J : Ah ok, Cyril, la sienne, fait 16… (Raconte-lui tout, vas-y...)
F : C'est sûr, c'est pas la même arme qu'on a hahahahaha ! (Connard.)
J : Par contre, elle est pas plus grosse, environ le même diamètre a vue d’œil.
F : Prends-la dans la main pour te faire une idée ? (C'est ça, connard, tu veux pas une pipe non plus ?)
J : Bonne idée ! (QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII ???) Ah oui, a peu près pareil, peut être que la tienne est un poil plus fine, mais rien du tout… (Je rêve…) MMMM, elle est bonne en tout cas (QUOIIIIIIIIIIIIIII bis !?!?)
Je rêve encore, elle le suce, comme ça, cash, sans capote.... Je suis en train de bouillir dans mon coin, je vais bientôt m'en faire un des deux !!!
F : Mmm, mais dis-moi, tu suces super bien, quelle gourmande !!!
J : Ta queue m'inspire, je l'adore, jamais je n'en avais tenu d'autre que celle de Cyril...
F : Nmm, tu m'excites trop à me pomper comme une folle, je veux te baiser maintenant !
J : Tu as des capotes ? (Ah, quand même.)
F : Non, merde, j'en ai pas…
J : Alors non, si tu veux je te finis, mais tu me jouis pas dans la bouche. (Au point où on en est, c'est une maigre consolation…)
F : D'accord, mais reprends-moi dans ta bouche elle est trop bonne… Oh ! Ce que tu suces bien Julie, oui, c'est trop bon… MMMM oui lèche moi les couilles vas-y ! (Et toi, ferme ta gueule voyons…) Attention, je vais jouir…
J : Ahhhhhh, je t'avais dit de faire gaffe !
F : Et beh, j'ai joui sur tes seins, pas dans ta bouche ! (Bah, connard, elle a jamais voulu que je le fasse !!!)
J : Oui, c'est vrai, mais bon... Ça t'a plus au moins ?
F : Oh oui, je peux te dire que j'ai eu un paquet de pipe par plusieurs filles différentes, la tienne était de loin la meilleure !!!
J : J'en suis honorée !!! Allez, lève-toi, on prend une douche, et on doit rendre la salle !
Dans mon coin, je suis outré, sidéré, fou de rage, je ne sais plus où aller, quoi faire, quoi dire… Pourquoi a-t-elle fait ça ??? Je reste derrière mon paravent, étant caché, et je les vois allé sous la douche, Julie élimine une grande quantité de sperme sur sa poitrine, ce connard de Florian lui savonne les seins, la chatte, le cul, et elle en joue… A un moment, il est derrière elle, il lui savonne la chatte d'une main et les seins de l'autre, elle passe ses deux mains derrière la tête de Florian, comme pour s'y pendre et se laisse doigter comme une chienne…
J : Oh oui, c'est bon, doigte moi la chatte vas-y, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et elle jouit la pute !!! Elle se retourne, lui passe les deux mains autour du cou et lui roule une grosse pelle… Au bout d'un petit moment, ils s'approchent des deux vestiaires situés en face de ma position, et en se changeant, j’entends ce qui m’achève :
J : Si tu en as envie, demain je me libère l’après-midi et on pourra baiser dans ta chambre si tu veux, j'ai vraiment envie de sentir cette bite dans ma chatte… (Mais voyons !) On s'en va après demain, donc si t'es tenté c'est maintenant ou jamais…
F : OK, à quelle heure ?
J : Je me débrouille pour être libre de 15h à 18h, ça suffira tu penses ?
F : Faudra se dépêcher mais ça le fera ! (Mais bien sûr, connard va !)
J : Ok alors, quelle chambre ?
F : Aile ouest, second étage, chambre 251
J : OK, alors à demain, et sois en forme, pas de folie de ton corps ce soir, je voudrais pas être déçue...
F : T’inquiète pas, je me réserve pour ton cul, ma belle ! (On se lâche dis donc !)
J : Bye Florian, merci encore pour cette superbe après-midi !
F : Bye Julie !
Elle l'embrasse à nouveau, et sort, puis lui. Je l’entends fermer à clé la pièce et s'en aller…
Et voilà, je suis là, comme un connard, je viens d'entendre ma copine sucer un mec, ce mec gicler sur ses seins, puis je l'ai vu la doigter comme une chienne… Je suis anéanti…
Dix minutes passent, je sors de la pièce à mon tour, je profite que la standardiste s'occupe de touristes allemands à priori pour jeter la clé sur son bureau en totale discrétion, puis je remonte à la chambre. En entrant, je trouve Julie sous la douche. En voyant mon visage, elle me demande ce que j'ai, mais je préfère répondre que je me suis un peu fait mal au dos, d’où mon air… Elle me croit car elle repart à ses occupations. A mon tour, je lui demande : « Alors, cette après-midi ?
J : Rien de spécial tu sais, je suis revenu au spa après un cours de poterie, j'y suis restée à peine 15 minutes c’était plein, alors et je suis remontée et j'ai bronzée en lisant, je suis allé à la douche juste avant que tu arrives.
Moi : Ok, tant pis… Demain, on fait quoi, on part faire une petite excursion pour notre dernière journée ici ?
J (gênée) : Oh, chéri, j'avais oublié, je m’étais inscrite à un cours de Yoga… Ça te tient vraiment à cœur, tu veux que j'annule ?
M : Beh, j'aurai bien aimé passer notre dernière journée ici ensemble…
J : Oh, c'est dommage, sinon on le fait le matin, et l’après-midi tu vas faire de la plongez au club, depuis le temps que tu as envie…
M : Bon, d'accord. C'est dommage mais d'accord !
J : Désolé chéri, mais le programme de demain était vraiment énorme, donc j'ai pas voulu manquer ça… (Mais voyons, grosse chienne, va !!)
La soirée passa, pas fantastique à vrai dire, elle pensait que je faisais la tête pour mon excursion, alors elle essayait d’être gentille, mais j'avais pas le cœur à jouer la comédie. Le soir, une fois couchés, elle a voulu me chauffer pour faire l'amour, mais je n'avais vraiment aucune envie de passer après l'autre !!!
Le matin, nous nous sommes promenés, et l'heure venue, la voilà qui m'accompagne au club de plongée (pour être sure que je suis là et être tranquille, salope !), et me laisse pour « son cours de yoga ».
10 minutes plus tard, j'abandonne le club au moment d'embarquer, je leur laisse l'argent payé, et je repars vers l’hôtel, monte au numéro de la chambre, et essaie d’écouter à la porte… Pourquoi faut-il qu'il y ait toujours quelqu'un qui passe dans ce putain de couloir ? Du coup je fais comme si de rien n’était, et je reviens écouter, mais je n'entends pas grand-chose… Impossible d'aller à la fenêtre (second étage), donc j’attends comme un con devant la porte… Les serrures sont à carte, donc je peux rien voir, génial…
20 minutes à essayer d'entendre, et là, j’entends ma femme hurler, elle jouit comme une grosse chienne, je suis vraiment en train d'halluciner tellement elle crie… Je suis figé, que faire… Les cris ont cessé, et c'est là que j'ai décidé d’être un bonhomme… J'ai frappé à la porte.
Au début rien, alors je retape, toujours rien, et je retape. Au bout d'un moment, c'est Florian qui ouvre, un peignoir enroulé autour des reins. En me voyant, par réflexe il essai de refermer la porte mais je l'en empêche (je suis beaucoup plus costaud que lui, et juste en poussant d'un coup la porte je la fait claquer ouverte). Il recule, mais reste dans le chemin en me demandant :
F : Mais que fais-tu là ?
M : Florian, sors-toi de mon chemin et je te défonce pas la gueule…
Voyant que de toute façon il aurait jamais le dessus, il se pousse, et j'arrive dans la chambre. Je ne vois pas Julie, mais la porte de la salle de bain est fermée. Je vois ses fringues par contre dans la chambre. Je frappe alors à la porte de la salle de bain :
M : Julie, sort de suite de là.
Comprenant qu'elle est bloquée, elle sort, à poil, la tête basse, et je pense que ce qui la sauve de prendre une énorme gifle, c'est qu'elle n’essaie pas de s'expliquer…
Je lui ordonne de se rhabiller et de me suivre, ce qu'elle fait sans broncher, on sort en passant devant Florian, médusé. Elle le regarde même pas.
Arrivé à notre chambre, je lui raconte ce que j'ai vu la veille, et s'en suit une énorme scène de ménage… sauf que ça n’était pas une scène, mais un monologue. Elle restait là, figée, les yeux vers le sol, sans rien dire d'autre que : « Pardon mon chéri », « Excuse-moi », « Je suis désolée », « Je le ferai plus », « J'ai craqué », etc…
Voilà, cette histoire du coup a pourri le souvenir de ces vacances, mais après être rentrés, avoir mis du temps à nous reconstruire, ça nous a permis d'avancer dans notre vie de couple et sexuelle. Nous avons défini de nouvelles règles, et surtout, banni a jamais le mensonge de notre vie. Tout se dire, toujours. Plus de seconde chance.
Depuis, Julie a couché avec d'autres hommes (trois), mais à chaque fois, elle m'en parlait dès le début, et le faisait par envie, sans lendemain, sans suite, et surtout, en totale protection (plus de contact sans capotes, quels qu'ils soient). De mon côté, je n'ai pas eu d'autre femme qu'elle, je n'en ai pas l'envie, mais elle sait qu'il faudra qu'elle s'y plie de la même manière que moi le jour où je le déciderai.
Pour moi, tromper, c'est mentir, si on ne ment pas, on ne trompe pas...
P.S. : Certains se demandent peut être ce qu'il s'est passé pendant les 30-45 min ou elle est restée avec Florian dans la chambre. Elle me le raconta à ma demande plus tard. Ça m'a facilité les choses pour lui pardonner, la pauvre...
Il l'attendait en peignoir, nu dessous. Il a commencé par la caresser, puis la mettre nue, là il l'a mise a genou pour qu'elle le suce (avec capote), mais il a giclé en 1 minute a peine. A la suite de ça, le temps de reprendre des forces, il lui a fait un cuni, mais s'y prenait comme un manche, elle n'a pas pris beaucoup de plaisir. Puis il a voulu la prendre en levrette, c'est à ce moment qu'elle a joui très fort et que j'ai entendu, mais lui, il a giclé à nouveau au bout d’à peine 2 minutes, et a débandé de suite… Il est ressorti, et l'a laissé la, en pleine ébullition avec une envie de se faire baiser qui la brûlait de l’intérieur (ses termes). Elle a voulu le sucer mais il ne rebandait pas, et quelqu'un frappait a la porte… La suite, vous la connaissez déjà.
Elle m'a confié que c’était “le plus mauvais coup qu'elle ait eu de sa vie depuis, entre moi et ses trois autres amants, qu'il ne savait pas du tout s'y prendre pour baiser. Il avait la tchatche pour draguer, un outil d'enfer (ses mots toujours), mais savait pas s'en servir…” Comme quoi…
Aujourd’hui, je m’en viens vous conter une petite histoire qui nous est arrivée il y a de ça 7 ans, avant notre mariage, alors que nous étions partis ensemble en vacances. Nous avions réservé des vacances de rêve, sur une île paradisiaque et dans un hôtel extraordinaire. Les qualitatifs me manquent pour retranscrire à quel point nous vivions un rêve éveillé.
Notre suite était somptueuse, au 12ème étage, avec un très grand lit au centre, un salon avec un grand canapé et un fauteuil, autour d’une table basse et d’une télé immense ! De l’autre côté un bureau, très pratique pour les cartes postales et pour l’ordinateur portable, et enfin une salle de bain avec une douche énorme, avec des buses de massages le long du dos, tout simplement génial !!! Pour couronner le tout, un terrasse relativement grande et sans vis-à-vis, ni aucune vue sur les voisins de part et d’autres !
C’étaient nos première vraies vacances ensemble, malgré que nous étions ensemble déjà depuis plus de 6 ans, et avec toutes mes économies cumulées, nous avions décidé de nous faire plaisir, avec ces 15 jours de vacances.
En plus des activités classiques à la plage, de lèche-vitrine, ou de sieste (plus ou moins coquines…) nous avions décidé de prendre quelques activités. Ainsi, je m’adonnais au golf en fin d’après-midi un jour sur deux (je n’en avais jamais fait, je n’aime pas particulièrement ça, mais je voulais essayer un jour), et Julie faisait suivant les jours des cours de cuisine locale, de la peinture, mais aussi son activité favorite : le bronzage. Souvent, pour patienter jusqu’à mon retour du golf, elle allait se délasser à l’étage « soin du corps et bien être » de notre fabuleux hôtel. Au programme, du hammam, du jacuzzi, du sauna, des massages, bref, que du bon.
Quelques jours passent naturellement, nous sommes plus amoureux que jamais, nous faisons beaucoup l’amour (3-4 fois par jour), nos sens sont éveillés et à l’affût, et le bonheur transpire de nos peaux.
En fin de première semaine, je rentre de mon golf (je suis nul, c’en est pitoyable, mais un homme plus âgé et visiblement habitué m’a pris sous son aile pour essayer de me perfectionner), et je ne trouve pas Julie dans la chambre. Sachant qu’elle est au spa, je ne me fais pas de soucis et file prendre ma douche tranquillement. En sortant, je m’aperçois qu’elle n’est pas encore rentrée, et donc je décide de me mettre sur la terrasse, face à la mer, pour bouquiner un peu le nouveau roman que j’ai acheté en arrivant à l’aéroport – les deux que j’avais prévu n’ont pas survécu au voyage aller en avion…
De longues minutes passent, et soudain, Julie arrive, environ 1 heure plus tard que les jours précédents. Elle m’embrasse, se renseigne sur mes progrès (je ne sais pas si c’est le mot idéal) au golf, et s’excuse du retard, elle a papoté un moment au spa et n’a pas vu l’heure passer. Je lui dis que ça n’est pas grave, mais, le regard un peu coquin, elle me dit qu’elle sait comment se faire pardonner. A ce moment, elle se met à genou devant moi, me déboutonne le short et commence à m’administrer une délicieuse fellation, ses yeux rivés dans les miens. Sa langue va et vient le long de mon sexe, et sa main me caresse les testicules, avant de remonter me branler doucement alors que sa bouche avale mon sexe… Elle reste là, à me sucer de façon extrêmement douce et appliquée, ce qui me fait durer très longtemps… Le moment venu, elle accélère légèrement le mouvement et serre un peu plus fort sa main autour de mon sexe, ce qui me déclenche un orgasme « sismique »... Elle avale tout mon sperme, ce qu’elle me fait assez souvent, mais en recrache un peu le long de mon sexe, qu’elle récupère juste après en passant sa langue tout le long… Quel bonheur, que ce fut bon…
Me laissant ainsi, calmé et détendu, elle alla direct à la douche. Une fois sa toilette faite, elle enfile une petite robe très sexy et nous descendons dîner… Le repas se passa de façon délicieuse, et une fois terminée, nous sommes sortis ensemble dans une boite de nuit proche de l’hôtel pour nous amuser un peu avant d’aller se coucher. Nous avons dansé comme des fous, nous nous sommes bien amusés, et au bout d’un moment, alors que je suis allé m’asseoir a une table, complètement vanné, un homme, environ 35-40 ans, s’approche de ma femme, et celle-ci le voyant lui fait la bise et commence à parler avec lui. Je ne connais pas cet homme, je ne l’ai jamais vu, et au bout d’un moment à les voir rigoler ensemble, je vois Julie revenir vers moi, l’homme au bras, et s'asseoir ensemble avec moi à la table. C’est là que j’ai appris qu’ils se sont rencontrés au spa, où il se rendait tous les jours, qu'il se nommait Florian, qu’il était fraîchement divorcé et qu’il était venu ici se reposer un peu après sa séparation un peu difficile. Il était charmant, avenant, gentil, et poli, et nous avons passé une bonne seconde partie de soirée. Il a invité Julie a danser, ce à quoi elle a répondu directement par un OUI, et ils ont dansé ensemble une bonne heure, du rock aux slows. L’heure venue, nous nous séparons et Julie et moi rentrons à notre hôtel.
Nous étions à ce moment-là si fatigués que nous nous endormîmes sans faire l'amour pour la première fois depuis que nous étions arrivés.
Le lendemain, nos vacances reprirent leur cours normal. Nous avons passé une journée sympa à la plage, en faisant de la bouée tractée derrière un bateau à moteur, du bronzage, la sieste, et tout ce qu'un couple amoureux peut envisager de faire en vacances... Nous ne reparlâmes pas de Florian depuis cette soirée en boite, mais le lendemain, au moment de partir jouer au golf, je fus pris d'un doute... Pourquoi Julie ne m'avait pas parlé de lui avant que je le rencontre ? Généralement, elle me raconte tout, et là, je suspecte qu'elle ait volontairement passé sous silence sa rencontre avec cet homme charmant...
Pris d'un doute (honteux certes, mais légitime), je partis en direction du parcours de golf, restai une bonne vingtaine de minutes au bar à siroter un cocktail local, qui a la capacité innée de me détendre un peu au bout du deuxième verre ingurgité. Au moment où j'estimai avoir laissé assez de temps passer pour que Julie soit certaine que je sois au golf, je retourne à l’hôtel, avec à l'esprit l'idée de simuler une douleur à l'épaule m’empêchant de réaliser un swing, pour justifier mon retour « impromptu » au cas où je me faisais des idées. Je me dirige droit vers l'espace détente, avec à l'esprit de retrouver ma femme. Je passe au vestiaire pour me changer, et accède aux espaces bains. Malgré toutes mes recherches, je ne trouvai pas ma femme, qui devait se trouver ici vu le planning qu'elle m'avait fourni... Je cherchai dans toutes les salles, tous les bains, je passai devant toutes les salles de massages en jetant un œil par le hublot, rien. Je me dis qu'elle n'est pas là, et je repars, passant devant les salles privatives. C'est à ce moment-là que je l'ai aperçue, dans la partie « privative », ou on peut réserver une petite partie de l'espace uniquement pour nous...
C'est derrière une petite porte vitrée que je l'ai vu passer, nue, avec ce fameux Florian à sa suite, en boxer lui, sortir ensemble du spa et se diriger vers le hammam...
A ce moment précis, je pense que ni mes pulsations, ni ma tension ne devait faire plaisir à mon docteur, tellement j’étais en fureur !!! Comment pouvait-elle me faire ça... Cela se présente comme une petite pièce avec quatre petits meubles servant de vestiaire, deux de chaque côtés, avec un siège en bambou au bas de chacun, un porte manteau, une étagère pour poser ses habits et un petit paravent pour se changer derrière, un de chaque côté. Au fond de la pièce, il y a une grande douche avec quatre jets communs. D'un côté, une pièce ouverte avec un grand spa, incrusté au sol, et de l'autre, deux portes, une entièrement vitrée au sauna, et une autre avec un hublot pour le hammam... Pour ne pas être dérangé, la porte d’accès se ferme à clé, comme cela les personnes qui ont réservé cet espace sont tranquilles. Mais moi, je devais rentrer... JE DEVAIS RENTRER VOIR !
Vite, il me faut un plan... La réceptionniste, elle a forcément un double, sans doute rangé dans un des tiroirs de son minuscule pupitre qui lui sert de bureau... Il me faut le trouver... Je n'ai pas le choix, je tente le tout pour le tout... Je fonce vers elle, et lui lance d'un air inquiet : « Mademoiselle, vite, une vieille dame est tombé dans le spa numéro 5 (le plus éloigné, il me faut un peu de temps), je pense qu'elle s'est blessée, vous devriez aller voir ». L’hôtesse s'y précipita après m'avoir remercié, et au moment où elle fut hors de vue, je me jetai sur son pupitre, ouvrant tous les tiroirs, et trouvant, du premier coup (ou presque), ce que j’étais venu chercher !!! Quelle chance. Je me saisis de la clé, et m’enfuis vers la salle privative, entrai après avoir inspecté les lieux par le hublot, refermai la porte derrière moi, et m'approchai du hammam...
Ce que j'y vis me glaça le sang. Julie, appuyée en arrière sur ses bras, parlant à ce type, dans les vapeurs d'eau flottant dans l’atmosphère. Elle était nue, ses seins sous les yeux de ce type. Ils discutaient, mais la bosse du gars sous son boxer m'a convaincu que ce petit manège le chauffait à blanc. La porte étant étanche, je ne pouvais pas entendre leur discussion, mais quelques minutes après, ils se levèrent pour sortir... Je me cachai rapidement derrière un paravent disposé à côté d'un vestiaire, et les vis repartir vers le spa. Du coup, je n'avais plus l'image, mais j'avais le son. Je ne pouvais pas voir ce qu'il se passait sans prendre le risque d’être aperçu, mais j'entendais à présent très bien leur discussion. Julie était en train de raconter nos petites aventures sexuelles, nos fantasmes, nos petits secrets de couple. J'hallucinais... Mais pourquoi lui disait-elle tous nos secrets ??? Au bout d'un moment de discussion, Florian lança qu'elle avait eu une très bonnes idée de réserver cet espace (c’était son idée en plus ! Salope…), que comme cela, ils étaient tranquilles, et qu'il pouvait en plus profiter du spectacle qu'elle lui offrait. Elle le remercia du compliment, lui avoua que nous n’étions pas pudiques, que nous faisions parfois du naturisme, et qu'elle aimait être nue.
Il n’arrêtait pas de faire des compliments à ma belle sur son corps (il pouvait), à quoi elle répondait qu'il était vraiment charmant aussi, mais qu’après tout, il pouvait bien faire un effort et lui en montrer autant qu'elle le faisait... AIE AIE AIE, je vais assister à mon cocufiage en live j'ai l’impression, et ça ne m'amuse pas du tout... Florian ne se fit pas prier, et de suite, il enleva son boxer. Je dis de suite, certes je n'ai rien vu, mais j'ai entendu le : « WHAOU » poussé par ma femme... Je vais essayer de retranscrire de mémoire a peut prés les dialogues que j’entendais :
J : WHAOU, quand même, quel engin
F : Il te plaît ?
J : Disons qu'il me surprend, à part les gars sur les plages naturistes, j'ai jamais vu d'autres queues que celle de Cyril, du moins jamais en érection, et la tienne est bien plus longue... Elle me fait penser aux acteurs de porno... Combien elle fait ?
F : 21
J : Ah ok, Cyril, la sienne, fait 16… (Raconte-lui tout, vas-y...)
F : C'est sûr, c'est pas la même arme qu'on a hahahahaha ! (Connard.)
J : Par contre, elle est pas plus grosse, environ le même diamètre a vue d’œil.
F : Prends-la dans la main pour te faire une idée ? (C'est ça, connard, tu veux pas une pipe non plus ?)
J : Bonne idée ! (QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIII ???) Ah oui, a peu près pareil, peut être que la tienne est un poil plus fine, mais rien du tout… (Je rêve…) MMMM, elle est bonne en tout cas (QUOIIIIIIIIIIIIIII bis !?!?)
Je rêve encore, elle le suce, comme ça, cash, sans capote.... Je suis en train de bouillir dans mon coin, je vais bientôt m'en faire un des deux !!!
F : Mmm, mais dis-moi, tu suces super bien, quelle gourmande !!!
J : Ta queue m'inspire, je l'adore, jamais je n'en avais tenu d'autre que celle de Cyril...
F : Nmm, tu m'excites trop à me pomper comme une folle, je veux te baiser maintenant !
J : Tu as des capotes ? (Ah, quand même.)
F : Non, merde, j'en ai pas…
J : Alors non, si tu veux je te finis, mais tu me jouis pas dans la bouche. (Au point où on en est, c'est une maigre consolation…)
F : D'accord, mais reprends-moi dans ta bouche elle est trop bonne… Oh ! Ce que tu suces bien Julie, oui, c'est trop bon… MMMM oui lèche moi les couilles vas-y ! (Et toi, ferme ta gueule voyons…) Attention, je vais jouir…
J : Ahhhhhh, je t'avais dit de faire gaffe !
F : Et beh, j'ai joui sur tes seins, pas dans ta bouche ! (Bah, connard, elle a jamais voulu que je le fasse !!!)
J : Oui, c'est vrai, mais bon... Ça t'a plus au moins ?
F : Oh oui, je peux te dire que j'ai eu un paquet de pipe par plusieurs filles différentes, la tienne était de loin la meilleure !!!
J : J'en suis honorée !!! Allez, lève-toi, on prend une douche, et on doit rendre la salle !
Dans mon coin, je suis outré, sidéré, fou de rage, je ne sais plus où aller, quoi faire, quoi dire… Pourquoi a-t-elle fait ça ??? Je reste derrière mon paravent, étant caché, et je les vois allé sous la douche, Julie élimine une grande quantité de sperme sur sa poitrine, ce connard de Florian lui savonne les seins, la chatte, le cul, et elle en joue… A un moment, il est derrière elle, il lui savonne la chatte d'une main et les seins de l'autre, elle passe ses deux mains derrière la tête de Florian, comme pour s'y pendre et se laisse doigter comme une chienne…
J : Oh oui, c'est bon, doigte moi la chatte vas-y, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et elle jouit la pute !!! Elle se retourne, lui passe les deux mains autour du cou et lui roule une grosse pelle… Au bout d'un petit moment, ils s'approchent des deux vestiaires situés en face de ma position, et en se changeant, j’entends ce qui m’achève :
J : Si tu en as envie, demain je me libère l’après-midi et on pourra baiser dans ta chambre si tu veux, j'ai vraiment envie de sentir cette bite dans ma chatte… (Mais voyons !) On s'en va après demain, donc si t'es tenté c'est maintenant ou jamais…
F : OK, à quelle heure ?
J : Je me débrouille pour être libre de 15h à 18h, ça suffira tu penses ?
F : Faudra se dépêcher mais ça le fera ! (Mais bien sûr, connard va !)
J : Ok alors, quelle chambre ?
F : Aile ouest, second étage, chambre 251
J : OK, alors à demain, et sois en forme, pas de folie de ton corps ce soir, je voudrais pas être déçue...
F : T’inquiète pas, je me réserve pour ton cul, ma belle ! (On se lâche dis donc !)
J : Bye Florian, merci encore pour cette superbe après-midi !
F : Bye Julie !
Elle l'embrasse à nouveau, et sort, puis lui. Je l’entends fermer à clé la pièce et s'en aller…
Et voilà, je suis là, comme un connard, je viens d'entendre ma copine sucer un mec, ce mec gicler sur ses seins, puis je l'ai vu la doigter comme une chienne… Je suis anéanti…
Dix minutes passent, je sors de la pièce à mon tour, je profite que la standardiste s'occupe de touristes allemands à priori pour jeter la clé sur son bureau en totale discrétion, puis je remonte à la chambre. En entrant, je trouve Julie sous la douche. En voyant mon visage, elle me demande ce que j'ai, mais je préfère répondre que je me suis un peu fait mal au dos, d’où mon air… Elle me croit car elle repart à ses occupations. A mon tour, je lui demande : « Alors, cette après-midi ?
J : Rien de spécial tu sais, je suis revenu au spa après un cours de poterie, j'y suis restée à peine 15 minutes c’était plein, alors et je suis remontée et j'ai bronzée en lisant, je suis allé à la douche juste avant que tu arrives.
Moi : Ok, tant pis… Demain, on fait quoi, on part faire une petite excursion pour notre dernière journée ici ?
J (gênée) : Oh, chéri, j'avais oublié, je m’étais inscrite à un cours de Yoga… Ça te tient vraiment à cœur, tu veux que j'annule ?
M : Beh, j'aurai bien aimé passer notre dernière journée ici ensemble…
J : Oh, c'est dommage, sinon on le fait le matin, et l’après-midi tu vas faire de la plongez au club, depuis le temps que tu as envie…
M : Bon, d'accord. C'est dommage mais d'accord !
J : Désolé chéri, mais le programme de demain était vraiment énorme, donc j'ai pas voulu manquer ça… (Mais voyons, grosse chienne, va !!)
La soirée passa, pas fantastique à vrai dire, elle pensait que je faisais la tête pour mon excursion, alors elle essayait d’être gentille, mais j'avais pas le cœur à jouer la comédie. Le soir, une fois couchés, elle a voulu me chauffer pour faire l'amour, mais je n'avais vraiment aucune envie de passer après l'autre !!!
Le matin, nous nous sommes promenés, et l'heure venue, la voilà qui m'accompagne au club de plongée (pour être sure que je suis là et être tranquille, salope !), et me laisse pour « son cours de yoga ».
10 minutes plus tard, j'abandonne le club au moment d'embarquer, je leur laisse l'argent payé, et je repars vers l’hôtel, monte au numéro de la chambre, et essaie d’écouter à la porte… Pourquoi faut-il qu'il y ait toujours quelqu'un qui passe dans ce putain de couloir ? Du coup je fais comme si de rien n’était, et je reviens écouter, mais je n'entends pas grand-chose… Impossible d'aller à la fenêtre (second étage), donc j’attends comme un con devant la porte… Les serrures sont à carte, donc je peux rien voir, génial…
20 minutes à essayer d'entendre, et là, j’entends ma femme hurler, elle jouit comme une grosse chienne, je suis vraiment en train d'halluciner tellement elle crie… Je suis figé, que faire… Les cris ont cessé, et c'est là que j'ai décidé d’être un bonhomme… J'ai frappé à la porte.
Au début rien, alors je retape, toujours rien, et je retape. Au bout d'un moment, c'est Florian qui ouvre, un peignoir enroulé autour des reins. En me voyant, par réflexe il essai de refermer la porte mais je l'en empêche (je suis beaucoup plus costaud que lui, et juste en poussant d'un coup la porte je la fait claquer ouverte). Il recule, mais reste dans le chemin en me demandant :
F : Mais que fais-tu là ?
M : Florian, sors-toi de mon chemin et je te défonce pas la gueule…
Voyant que de toute façon il aurait jamais le dessus, il se pousse, et j'arrive dans la chambre. Je ne vois pas Julie, mais la porte de la salle de bain est fermée. Je vois ses fringues par contre dans la chambre. Je frappe alors à la porte de la salle de bain :
M : Julie, sort de suite de là.
Comprenant qu'elle est bloquée, elle sort, à poil, la tête basse, et je pense que ce qui la sauve de prendre une énorme gifle, c'est qu'elle n’essaie pas de s'expliquer…
Je lui ordonne de se rhabiller et de me suivre, ce qu'elle fait sans broncher, on sort en passant devant Florian, médusé. Elle le regarde même pas.
Arrivé à notre chambre, je lui raconte ce que j'ai vu la veille, et s'en suit une énorme scène de ménage… sauf que ça n’était pas une scène, mais un monologue. Elle restait là, figée, les yeux vers le sol, sans rien dire d'autre que : « Pardon mon chéri », « Excuse-moi », « Je suis désolée », « Je le ferai plus », « J'ai craqué », etc…
Voilà, cette histoire du coup a pourri le souvenir de ces vacances, mais après être rentrés, avoir mis du temps à nous reconstruire, ça nous a permis d'avancer dans notre vie de couple et sexuelle. Nous avons défini de nouvelles règles, et surtout, banni a jamais le mensonge de notre vie. Tout se dire, toujours. Plus de seconde chance.
Depuis, Julie a couché avec d'autres hommes (trois), mais à chaque fois, elle m'en parlait dès le début, et le faisait par envie, sans lendemain, sans suite, et surtout, en totale protection (plus de contact sans capotes, quels qu'ils soient). De mon côté, je n'ai pas eu d'autre femme qu'elle, je n'en ai pas l'envie, mais elle sait qu'il faudra qu'elle s'y plie de la même manière que moi le jour où je le déciderai.
Pour moi, tromper, c'est mentir, si on ne ment pas, on ne trompe pas...
P.S. : Certains se demandent peut être ce qu'il s'est passé pendant les 30-45 min ou elle est restée avec Florian dans la chambre. Elle me le raconta à ma demande plus tard. Ça m'a facilité les choses pour lui pardonner, la pauvre...
Il l'attendait en peignoir, nu dessous. Il a commencé par la caresser, puis la mettre nue, là il l'a mise a genou pour qu'elle le suce (avec capote), mais il a giclé en 1 minute a peine. A la suite de ça, le temps de reprendre des forces, il lui a fait un cuni, mais s'y prenait comme un manche, elle n'a pas pris beaucoup de plaisir. Puis il a voulu la prendre en levrette, c'est à ce moment qu'elle a joui très fort et que j'ai entendu, mais lui, il a giclé à nouveau au bout d’à peine 2 minutes, et a débandé de suite… Il est ressorti, et l'a laissé la, en pleine ébullition avec une envie de se faire baiser qui la brûlait de l’intérieur (ses termes). Elle a voulu le sucer mais il ne rebandait pas, et quelqu'un frappait a la porte… La suite, vous la connaissez déjà.
Elle m'a confié que c’était “le plus mauvais coup qu'elle ait eu de sa vie depuis, entre moi et ses trois autres amants, qu'il ne savait pas du tout s'y prendre pour baiser. Il avait la tchatche pour draguer, un outil d'enfer (ses mots toujours), mais savait pas s'en servir…” Comme quoi…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tout à fait d'accord avec Rudy, En fait , elle a dû prendre un pied terrible, Pas
étonnant qu'il a encore été cocu après ça,France et Noël
étonnant qu'il a encore été cocu après ça,France et Noël
La fin du récit semble être un mensonge de la femme . . .
Pour adoucir et amoindrir les faits.
Rudy
Pour adoucir et amoindrir les faits.
Rudy
Merci pour cette histoire très intéressante
Histoire captivante ou l'auteur communique au lecteur ses impressions , sa déception et
même sa rage de se voir tromper. la fin du récit semble bien adapté.
même sa rage de se voir tromper. la fin du récit semble bien adapté.