Entre hommes murs - histoire érotique

Les années ont passées rythmées par des rencontres souvent occasionnelles. Elles allaient de 15 à plus de 150 pour l’année le plus faste. J’ai longtemps tenu un journal ou je notais toutes mes nouvelles aventures sexuelles. Je faisais des statistiques et je constatais que la moitié des hommes que je rencontrais avaient un sexe moyen, un sur quatre en avaient un gros et le reste un petit. La majorité acceptaient de se faire sucer et un sur cinq acceptaient de me sodomiser. Un sur cinq étaient bien poilus et un sur cinquante avaient une belle et grosse paire de couilles de taureau, bien lourdes. L’homme idéal pour moi était poilu, viril avec une belle queue épaisse et une grosse paire de couilles bien lourdes, vicieux et prenant son pied à enculer les salopes ayant une petite paire de couilles. J’adorais les contrastes et aimais voir mon corps dénudé, fin et entièrement rasé contre celui d’un homme fort, poilu et fortement membré. Cela me mettait psychologiquement dans un état d’infériorité physique et de soumission qui me rendait folle et prête à donner le meilleur de moi-même. Cela fait plusieurs années que je fréquente des lieux de drague sur Rambouillet, en foret et sur les parkings. J’ai encore mon petit succès et ai la chance d’avoir quelques partenaires qui apprécient mes services. Ce sont souvent des hommes de mon âge, mariés et dont les femmes n’assurent plus au lit. Il y a aussi ceux, plus vicieux, qui ont besoin de baiser une salope pour bander et jouir. C’est le cas d’un pompier en retraite, il est monstrueux, rustre et assez répugnant, mais il a entre les jambes tout ce qu’il faut pour satisfaire la plus salope des salopes et il le sait. En hivers, il se branle dans sa voiture et en été, il se balade le sexe à l’air en se caressant. J’aime sont coté vicieux et exhibitionniste. Il me connait bien, il sait que sa queue me rend dingue, que j’aime me faire défoncer par tous les mecs qui trainent la bite à la main et que je vais accepter de me soumettre à sa volonté. Quand il m’aborde, il me dit, elle te plait ma queue, vient ma salope, tu as envie que je t’encule. Je m’exhibe devant lui en dessous féminins sexys en me caressant et en regardant sont sexe prendre des dimensions plus que respectables. Puis il laisse tomber sont pantalon sur ses chevilles et ouvre sa chemise en me demandant de lui mordiller ses tétons, qui comme le reste sont énormes. Ils durcissent dans ma bouche comme des petits sexes sous mes coups de langue et je sens l’excitation envahir nos deux corps à moitié dénudés. Puis j’attends qu’il me dise, suce moi ma salope pour m’exécuter. Je descends lentement en embrassant et en caressant sa grosse panse de vieux cochon vicieux pour me retrouver enfin à genoux face à ce qui est pour moi l’une des plus belles expressions de la virilité masculine. Une bite énorme au garde à vous avec une paire de couilles bien lourdes et bien poilues. Je me sens à ma place et reconnais bien l’odeur suave du mâle en rut. Sa queue est si épaisse que j’ai du mal à la sucer, alors je commence par lui lécher sa tige et ses couilles pour m’habituer au gout de sont sexe odorant. Je m’en imprègne et me laisse envahir par son odeur qui m’enivre et m’excite. Puis je lui suce sont gros gland en soupesant ses lourdes testicules qui lui pendent entre les jambes. C’est le moment ou il m’attrape la tête et m’enfonce sont énorme engin jusqu’aux amygdales. Et la, impossible de protester car il me rentre son sexe en forçant et s’excite en me traitant de salope et en me disant qu’il ne veut pas sentir mais dents. Il aime me dominer et m’humilier. Il sait que j’ai un bon trou de salope et que j’aime me faire sodomiser mais il fait durer le plaisir et me donne des petites claques sur la tête en essayant de me faire avaler sont énorme engin dont je peux évaluer toute la force et la puissance. Puis enfin, viens le moment ou il décide de s’occuper de mes petites fesses, il se retire de ma bouche en me demandant de me retourner. Je baisse mon string et me met en position en le regardant se branler derrière moi en mettant un préservatif sur son gros membre érectile. J’en profite pour me mettre du gel entre les fesses avant qu’il ne m’attrape en me faisant répéter que je suis une bonne salope, une pute et que j’aime me faire enculer. Il est assez violent et me sodomise en me défonçant jusqu’aux couilles. Il a raison, je suis une vraie salope, mon trou du cul est tellement dilaté qu’il n’oppose plus aucune résistance à la pénétration de sont sexe au diamètre qui impressionne et rebute la plupart des petits culs serrés qui trainent sur les lieux de drague et qui risqueraient de me faire concurrence. Il aime défoncer et c’est toujours un peu douloureux quand il rentre très profondément en moi mais j’aime tellement sentir ses grosses balloches poilues venir me claquer et me réchauffer les fesses que j’en oublie la douleur et m’abandonne entièrement pour le laisser me prendre à sa guise. Il est assez endurant et avec lui j’ai le temps de bien profiter. Mon anus s’élargi et se dilate pour épouser parfaitement la forme monstrueuse de sa grosse bite. C’est trop bon.