Entrevue avec trois noirs
Récit érotique écrit par Divine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2007 dans la catégorie Plus on est
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Entrevue avec trois noirs
Commençons par une présentation en détails. Je me prénomme Ludivine, 20 ans. Cheveux noirs mi-longs, yeux bleus clairs. Je mesure 1m67 pour 52 kg : on m'a toujours dit que j'étais très
mince. 90 B, aréoles rosées. Teint pâle, chatte entièrement épilée et un petit cul galbé très apprécié. Ce que j'ai pu remarquer ce jour-là.
J'étais dans un magasin où je faisais quelques courses, habillée de la façon suivante : débardeur jaune moulant sans soutien-gorge, pantalon blanc lui aussi très moulant, string ficelle jaune.
A un moment, j'ai tourné la tête, entraperçevant au moins deux noirs. Je ne soupçonnais rien, continuant à regarder ce que je pourrais bien acheter jusqu'au moment où je sentis les mêmes
personnes se rapprocher de moi.
Je me suis retournée, leur faisant face. Ils étaient trois, très noirs, typiquement une carrure de vigile : grands, musclés, crâne rasé, une trentaine-quarantaine d'années. Ils se trouvaient
autour de moi, en position d'encerclement. Je ne pouvais partir, j'étais soumise à leurs regards qui me détaillaient de bas en haut. Très rapidement, l'un d'entre eux m'a parlé, me disant qu'ils
étaient tombés sur une jeune blanche très apétissante. Le genre de phrase qui ne rassure pas spécialement. Leurs mains ont commencé à se faire baladeuses, notamment sur mon cul qui a
suscité un gros soupir d'admiration.
J'ai regardé tout autour de nous. Quelques personnes, notamment une vieille femme, scrutaient la scène d'un regard désapprobateur comme s'ils me sentaient menacée mais jamais ils
n'ont réagi d'une autre façon. J'ai bien tenté de me dégager mais vu leurs carrures imposantes, c'était impossible. Ils ne parlaient plus vraiment, échangeant quelques mots entre eux
ponctués de rires. Je me suis retrouvée pressée contre un rayon, saisie par une main au poignet qui s'est retrouvé posé par-dessus le sexe de l'un des noirs. Où j'ai senti un début de bosse, déjà
impressionnant.
Après avoir été surprise puis inquiète, je me suis trouvée rassurée par leurs propos, beaucoup moins agressifs que leurs gestes. Mon regard s'est fait moins apeuré, plus scrutateur. Noirs,
costauds. Trois noirs ! Je me suis dit que ça valait peut-être le coup de... voir ce que ça pouvait donner. A savoir : j'ai un homme dans ma vie, ce que j'ai franchement oublié pour le coup. J'ai
accepté leur invitation immédiate et ils m'ont conduit jusqu'à un parking où se trouvait leur voiture. J'ai appris leurs prénoms : Oumar, Moussa et Mahamat. C'est à côté de Moussa que j'ai
effectué le trajet à l'arrière de la voiture. J'avais encore un peu d'appréhension, légitime, ce qui ne l'a pas empêché de me peloter un peu partout.
Nous sommes arrivés au bout de cinq-dix minutes en bas d'un immeuble. Immeuble où se trouvait l'appartement d'Oumar. C'est lui qui m'a saisi par le bras et m'a poussé à les suivre
jusqu'au troisième étage. Je n'ai pas élevé de protestations qu'ils n'auraient de toute manière pas écouté. Et puis, je commençais à ressentir une réelle excitation devant l'inconnu. Ils m'ont
lentement déshabillée, les mains toujours aussi baladeuses. Mahamat léchait mes seins, Moussa m'embrassait, Oumar tâtait mon cul.
Ils m'ont ensuite agenouillée et se sont rassemblés autour de moi, sortant leurs queues. Quelle surprise ! Longues, très épaisses. Déjà, rien qu'une m'aurait paru de trop, n'en ayant jamais vu
d'aussi imposante mais alors trois, ça aurait dû m'inquiéter. Sauf que ça m'intéressait vraiment beaucoup. Je les ai sucé à tour de rôle en bouche, ne les gobant pas très loin au début. Je me
suis pourtant rapidement totalement lâchée, je leur léchais les couilles, donnais des coups de langue sur leurs glands puis les reprenais en bouche. Parfois, je relevais les yeux en
direction de leurs visages et on peut dire qu'ils semblaient aimer ça. Parfois, une main se retrouvait à caresser ma chatte, mon cul.
Ils ne se sont pas gênés, au bout d'un certain temps, pour me baiser la bouche, un vrai calvaire avec ces chibres. Ils n'y sont pas allés de main morte, me la pénétrant très rapidement et
toujours plus en profondeur. Je bavais, les larmes aux yeux mais ils étaient bien décidés à continuer. Quitte à m'étouffer, ils voulaient me l'enfoncer entièrement. Et ils l'ont fait plusieurs
fois, malgré mes larmes, alors qu'ils me voyaient défaillir. Le nez aplati contre leur bas-ventre, je n'en revenais pas de pouvoir avaler de si grosses choses. A chaque fois qu'ils échangeaient
leurs places, je toussais, ayant du mal à reprendre ma respiration.
Enfin, ils décidèrent de me baiser et pour cela me placèrent en levrette. Ils me disaient même qu'ils allaient me casser en deux, ce qui n'était pas très rassurant pour moi. Oumar est venu le
premier pénétrer ma chatte d'un grand coup sec qui m'a arraché un cri. Leurs queues étaient si grosses qu'elles y étaient très serrées. Mais ils me l'ont baisé sans pitié, à une cadence très
rapide, me faisant fortement gémir et crier. Mais ils étaient étouffés par la queue qu'on me mettait en bouche. J'étais vraiment baisée par deux trous. Ils m'ont même mis la tête devant leurs
anus, m'intimant l'ordre de les lécher, ce que j'ai dû faire assez longtemps. Ils ne s'en lassaient pas.
Mon cul s'est retrouvé travaillé après ma chatte. Le premier y fut Moussa. Ils avaient encore plus de mal à y entrer leurs bites, très serrées à l'intérieur, ce qui paraissait beaucoup leur plaire.
Mon cul me faisait mal, ils n'y allaient pas en douceur. Mais je continuais à encaisser bites et fessées, données par intermittence. Je devais avoir le cul tout rougi. Par moments, ils revenaient
faire un tour dans ma chatte que Mahamat a inondé de sperme. Aussitôt, il a laissé sa place et est revenu se faire sucer, sa queue molle retrouvant vite sa dureté. Ce sexe à l'état brut
m'essoufflait. Il faut rappeler qu'ils étaient trois, et pas des tendres. La cadence de pénétration était infernale, ils suaient beaucoup mais ne s'arrêtait pas pour autant.
Ensuite, ils ont décidé de me combler tous les trous. Moussa s'est installé sous moi et m'a empalé sur sa queue. Tout de suite après, Mahamat s'est mis en position de me sodomiser pendant
qu'Oumar venait me rebaiser la bouche. Première fois de ma vie que je me trouvais dans cette situation. J'avais vraiment mal, larmoyant mais que le plaisir était lui aussi grand. Là encore,
ils se relayaient mais ils continuaient à me baiser sans pitié. Oumar a giclé dans ma chatte déjà poisseuse, Moussa dans mon cul. Ils sont venus aussitôt se refaire sucer pour retourner à
l'assaut. Ça dura longtemps mais finalement, alors que plaisir et douleur mêlées m'avaient conduite au bord de l'épuisement, ils m'ont réagenouillée, la tête retenue en arrière. Et chacun m'a
giclé sur le visage. Ma bouche ouverte reçut quelques jets, les autres furent ensuite recueillis avec leurs doigts qu'ils me firent consciencieusement lécher.
Rassasiés, ils me laissèrent partir après m'avoir complimenté et bien sûr récupéré mon numéro de téléphone.
mince. 90 B, aréoles rosées. Teint pâle, chatte entièrement épilée et un petit cul galbé très apprécié. Ce que j'ai pu remarquer ce jour-là.
J'étais dans un magasin où je faisais quelques courses, habillée de la façon suivante : débardeur jaune moulant sans soutien-gorge, pantalon blanc lui aussi très moulant, string ficelle jaune.
A un moment, j'ai tourné la tête, entraperçevant au moins deux noirs. Je ne soupçonnais rien, continuant à regarder ce que je pourrais bien acheter jusqu'au moment où je sentis les mêmes
personnes se rapprocher de moi.
Je me suis retournée, leur faisant face. Ils étaient trois, très noirs, typiquement une carrure de vigile : grands, musclés, crâne rasé, une trentaine-quarantaine d'années. Ils se trouvaient
autour de moi, en position d'encerclement. Je ne pouvais partir, j'étais soumise à leurs regards qui me détaillaient de bas en haut. Très rapidement, l'un d'entre eux m'a parlé, me disant qu'ils
étaient tombés sur une jeune blanche très apétissante. Le genre de phrase qui ne rassure pas spécialement. Leurs mains ont commencé à se faire baladeuses, notamment sur mon cul qui a
suscité un gros soupir d'admiration.
J'ai regardé tout autour de nous. Quelques personnes, notamment une vieille femme, scrutaient la scène d'un regard désapprobateur comme s'ils me sentaient menacée mais jamais ils
n'ont réagi d'une autre façon. J'ai bien tenté de me dégager mais vu leurs carrures imposantes, c'était impossible. Ils ne parlaient plus vraiment, échangeant quelques mots entre eux
ponctués de rires. Je me suis retrouvée pressée contre un rayon, saisie par une main au poignet qui s'est retrouvé posé par-dessus le sexe de l'un des noirs. Où j'ai senti un début de bosse, déjà
impressionnant.
Après avoir été surprise puis inquiète, je me suis trouvée rassurée par leurs propos, beaucoup moins agressifs que leurs gestes. Mon regard s'est fait moins apeuré, plus scrutateur. Noirs,
costauds. Trois noirs ! Je me suis dit que ça valait peut-être le coup de... voir ce que ça pouvait donner. A savoir : j'ai un homme dans ma vie, ce que j'ai franchement oublié pour le coup. J'ai
accepté leur invitation immédiate et ils m'ont conduit jusqu'à un parking où se trouvait leur voiture. J'ai appris leurs prénoms : Oumar, Moussa et Mahamat. C'est à côté de Moussa que j'ai
effectué le trajet à l'arrière de la voiture. J'avais encore un peu d'appréhension, légitime, ce qui ne l'a pas empêché de me peloter un peu partout.
Nous sommes arrivés au bout de cinq-dix minutes en bas d'un immeuble. Immeuble où se trouvait l'appartement d'Oumar. C'est lui qui m'a saisi par le bras et m'a poussé à les suivre
jusqu'au troisième étage. Je n'ai pas élevé de protestations qu'ils n'auraient de toute manière pas écouté. Et puis, je commençais à ressentir une réelle excitation devant l'inconnu. Ils m'ont
lentement déshabillée, les mains toujours aussi baladeuses. Mahamat léchait mes seins, Moussa m'embrassait, Oumar tâtait mon cul.
Ils m'ont ensuite agenouillée et se sont rassemblés autour de moi, sortant leurs queues. Quelle surprise ! Longues, très épaisses. Déjà, rien qu'une m'aurait paru de trop, n'en ayant jamais vu
d'aussi imposante mais alors trois, ça aurait dû m'inquiéter. Sauf que ça m'intéressait vraiment beaucoup. Je les ai sucé à tour de rôle en bouche, ne les gobant pas très loin au début. Je me
suis pourtant rapidement totalement lâchée, je leur léchais les couilles, donnais des coups de langue sur leurs glands puis les reprenais en bouche. Parfois, je relevais les yeux en
direction de leurs visages et on peut dire qu'ils semblaient aimer ça. Parfois, une main se retrouvait à caresser ma chatte, mon cul.
Ils ne se sont pas gênés, au bout d'un certain temps, pour me baiser la bouche, un vrai calvaire avec ces chibres. Ils n'y sont pas allés de main morte, me la pénétrant très rapidement et
toujours plus en profondeur. Je bavais, les larmes aux yeux mais ils étaient bien décidés à continuer. Quitte à m'étouffer, ils voulaient me l'enfoncer entièrement. Et ils l'ont fait plusieurs
fois, malgré mes larmes, alors qu'ils me voyaient défaillir. Le nez aplati contre leur bas-ventre, je n'en revenais pas de pouvoir avaler de si grosses choses. A chaque fois qu'ils échangeaient
leurs places, je toussais, ayant du mal à reprendre ma respiration.
Enfin, ils décidèrent de me baiser et pour cela me placèrent en levrette. Ils me disaient même qu'ils allaient me casser en deux, ce qui n'était pas très rassurant pour moi. Oumar est venu le
premier pénétrer ma chatte d'un grand coup sec qui m'a arraché un cri. Leurs queues étaient si grosses qu'elles y étaient très serrées. Mais ils me l'ont baisé sans pitié, à une cadence très
rapide, me faisant fortement gémir et crier. Mais ils étaient étouffés par la queue qu'on me mettait en bouche. J'étais vraiment baisée par deux trous. Ils m'ont même mis la tête devant leurs
anus, m'intimant l'ordre de les lécher, ce que j'ai dû faire assez longtemps. Ils ne s'en lassaient pas.
Mon cul s'est retrouvé travaillé après ma chatte. Le premier y fut Moussa. Ils avaient encore plus de mal à y entrer leurs bites, très serrées à l'intérieur, ce qui paraissait beaucoup leur plaire.
Mon cul me faisait mal, ils n'y allaient pas en douceur. Mais je continuais à encaisser bites et fessées, données par intermittence. Je devais avoir le cul tout rougi. Par moments, ils revenaient
faire un tour dans ma chatte que Mahamat a inondé de sperme. Aussitôt, il a laissé sa place et est revenu se faire sucer, sa queue molle retrouvant vite sa dureté. Ce sexe à l'état brut
m'essoufflait. Il faut rappeler qu'ils étaient trois, et pas des tendres. La cadence de pénétration était infernale, ils suaient beaucoup mais ne s'arrêtait pas pour autant.
Ensuite, ils ont décidé de me combler tous les trous. Moussa s'est installé sous moi et m'a empalé sur sa queue. Tout de suite après, Mahamat s'est mis en position de me sodomiser pendant
qu'Oumar venait me rebaiser la bouche. Première fois de ma vie que je me trouvais dans cette situation. J'avais vraiment mal, larmoyant mais que le plaisir était lui aussi grand. Là encore,
ils se relayaient mais ils continuaient à me baiser sans pitié. Oumar a giclé dans ma chatte déjà poisseuse, Moussa dans mon cul. Ils sont venus aussitôt se refaire sucer pour retourner à
l'assaut. Ça dura longtemps mais finalement, alors que plaisir et douleur mêlées m'avaient conduite au bord de l'épuisement, ils m'ont réagenouillée, la tête retenue en arrière. Et chacun m'a
giclé sur le visage. Ma bouche ouverte reçut quelques jets, les autres furent ensuite recueillis avec leurs doigts qu'ils me firent consciencieusement lécher.
Rassasiés, ils me laissèrent partir après m'avoir complimenté et bien sûr récupéré mon numéro de téléphone.
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