Envie d'elle
Récit érotique écrit par Bielingue [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Envie d'elle
Nous avions rendez vous chez elle, ce samedi soir. J'avais passé une longue journée fatigante et j'avais ce besoin réel de me poser dans mon canapé pour reprendre mon souffle après cette journée haletante.
Au téléphone, je sentais son impatience et sa lassitude d'avoir toujours à m'attendre. Je la comprenais mais mon état me rendait irritable.
Je lui fis savoir que je ne passerais pas chez elle avant 22h, le temps de me reposer un peu, de me prendre une douche.
Elle attendit longtemps, toute la nuit, je n'étais pas venu. J'avais fait l'erreur de m'allonger devant un film et me suis endormi lourdement.
Le dimanche matin, je me suis rendu compte que je n'avais pas tenu parole.
Je me préparais tranquillement. Quelques pompes, une bonne douche, un jus de fruit, je m'habillais et parti de chez moi en direction de chez elle. Sur mon chemin je me suis arrêté à la boulangerie pour prendre des croissants.
Elle me demanda qui était là à l'interphone: "le livreur de croissant".
Arrivée dans son appartement, je ne vis pas de haine ou de rancoeur sur son visage. Cela m'étonna, mais elle avait compris que je m'étais endormi la veille.
Après un petit café accompagné de croissant, je ne pouvais m'empêcher de l'observer du coin de l'oeil dans son petit déshabillé de soie... J'avais envie d'elle. VRAIMENT ENVIE D'ELLE....
Elle me demanda si je pouvais lui masser le dos car elle avait toujours ces douleurs dans le bas du dos. Je lui répondis positivement.
Pendant qu'elle prenait sa douche, je fis chauffer dans un bain marie une fiole d'huile de massage.
Elle sortit de sa salle de bain, je me plaçais derrière elle pour sentir son odeur tout en lui caressant le corps. Mes mains passaient sur son dessus de soie puis en dessous.
J'aime tant sa peau douce, mes mains glissaient avec une aisance rare sur cette peau fraiche.
La tension montait en moi, une tension qu'il me fallait calmer car j'ai pour habitude de ne pas retenir l'animal qui est en moi. Mais c'tait trop tard, elle e faisait un effet fou.... je lui fit mettre les mains à plats sur le meuble de son séjour... Je pris les ficelles de son peignoir de soie pour les passer autour de son cou, je fis un noeud léger, puis je remontais son peignoir sur sa tête, pour admirer ses fesses, elle a un cul à rendre diable n'importe quel ange...
J'enlève ma ceinture que je noue autour de ses yeux, je veux qu'elle ressente plus qu'elle ne voit. Que ses autres sens se libèrent du joug de la vue...
Ses fesses, sa peau douce, son odeur font monter la pression dans ma tête et dans mon pantalon.
Je la laisse comme cela quelques secondes pour aller chercher un petit pouf que je place derrière elle. Je lui enlève son peignoir après avoir dénoué les liens de son cou.
Je la fais asseoir sur ce pouf et lui présente devant ses lèvres ma queue durci par l'envie qu'elle me procure... Elle la prend en bouche.... Hummmmmm Cette chaleur humide, cette douceur de lèvres... Un bonheur.... Je fais coulisser ma ceinture sur son cou que je serre légèrement...Je ne peux utiliser d'autres mots que ceux la : Elle me faisait une pipe magistrale, somptueuse... Quand je l'avais connu c'était différent, aujourd'hui elle est sûrement la femme que j'ai connu qui suce le mieux.... C'est trop bon-... Je la retourne pour la prendre et elle me dit que je risque d'être déçu... Je vis la ficelle de son tampax dépassé légèrement....
Elle aurait du savoir que dans l'état ou elle m'avais mis, rien ne pourrait m'arrêter... Je ne pouvais et ne voulait plus la prendre par son étau de velour, mais bel et bien par son petit anus tendu vers moi...
Je savais qu'elle aimait que je la prenne par derrière, sentir ma queue entrer en douceur, étape par étape pour éviter toute contraction liée à la douleur... Elle aimait me sentir tenir compte de ces paramètres. Le plaisir doit se partager....
J'étais en elle entièrement et je savais maintenant que je pouvais me laisser aller à une chevauchée sauvage. Son anus m'accueillait volontier. Je la pris ainsi de longues minutes. Je la relevais pour la pousser dans sa chambre et continuer à la prendre sur son lit. J'avais repris mon côté sauvage qu'elle aimait tant. Je la pris avec force et elle aimait ça... Moi plus encore...
Elle avait l'air de prendre un pied aussi énorme que le mien...
Je ne voulait pas éjaculer de suite... Quand je suis dans cet état je peux la prendre très longtemps sans jouir. C'est mon côté sauvage qui prend le dessus sur tout le reste, et mon côté sauvage à une endurance à toute épreuve...
Je m'arrêtais donc, lui demanda de s'allonger de tout son long pour lui prodiguer son massage, surtout que je n'avais pas ménagé son dos....
A bientôt la suite.......
Au téléphone, je sentais son impatience et sa lassitude d'avoir toujours à m'attendre. Je la comprenais mais mon état me rendait irritable.
Je lui fis savoir que je ne passerais pas chez elle avant 22h, le temps de me reposer un peu, de me prendre une douche.
Elle attendit longtemps, toute la nuit, je n'étais pas venu. J'avais fait l'erreur de m'allonger devant un film et me suis endormi lourdement.
Le dimanche matin, je me suis rendu compte que je n'avais pas tenu parole.
Je me préparais tranquillement. Quelques pompes, une bonne douche, un jus de fruit, je m'habillais et parti de chez moi en direction de chez elle. Sur mon chemin je me suis arrêté à la boulangerie pour prendre des croissants.
Elle me demanda qui était là à l'interphone: "le livreur de croissant".
Arrivée dans son appartement, je ne vis pas de haine ou de rancoeur sur son visage. Cela m'étonna, mais elle avait compris que je m'étais endormi la veille.
Après un petit café accompagné de croissant, je ne pouvais m'empêcher de l'observer du coin de l'oeil dans son petit déshabillé de soie... J'avais envie d'elle. VRAIMENT ENVIE D'ELLE....
Elle me demanda si je pouvais lui masser le dos car elle avait toujours ces douleurs dans le bas du dos. Je lui répondis positivement.
Pendant qu'elle prenait sa douche, je fis chauffer dans un bain marie une fiole d'huile de massage.
Elle sortit de sa salle de bain, je me plaçais derrière elle pour sentir son odeur tout en lui caressant le corps. Mes mains passaient sur son dessus de soie puis en dessous.
J'aime tant sa peau douce, mes mains glissaient avec une aisance rare sur cette peau fraiche.
La tension montait en moi, une tension qu'il me fallait calmer car j'ai pour habitude de ne pas retenir l'animal qui est en moi. Mais c'tait trop tard, elle e faisait un effet fou.... je lui fit mettre les mains à plats sur le meuble de son séjour... Je pris les ficelles de son peignoir de soie pour les passer autour de son cou, je fis un noeud léger, puis je remontais son peignoir sur sa tête, pour admirer ses fesses, elle a un cul à rendre diable n'importe quel ange...
J'enlève ma ceinture que je noue autour de ses yeux, je veux qu'elle ressente plus qu'elle ne voit. Que ses autres sens se libèrent du joug de la vue...
Ses fesses, sa peau douce, son odeur font monter la pression dans ma tête et dans mon pantalon.
Je la laisse comme cela quelques secondes pour aller chercher un petit pouf que je place derrière elle. Je lui enlève son peignoir après avoir dénoué les liens de son cou.
Je la fais asseoir sur ce pouf et lui présente devant ses lèvres ma queue durci par l'envie qu'elle me procure... Elle la prend en bouche.... Hummmmmm Cette chaleur humide, cette douceur de lèvres... Un bonheur.... Je fais coulisser ma ceinture sur son cou que je serre légèrement...Je ne peux utiliser d'autres mots que ceux la : Elle me faisait une pipe magistrale, somptueuse... Quand je l'avais connu c'était différent, aujourd'hui elle est sûrement la femme que j'ai connu qui suce le mieux.... C'est trop bon-... Je la retourne pour la prendre et elle me dit que je risque d'être déçu... Je vis la ficelle de son tampax dépassé légèrement....
Elle aurait du savoir que dans l'état ou elle m'avais mis, rien ne pourrait m'arrêter... Je ne pouvais et ne voulait plus la prendre par son étau de velour, mais bel et bien par son petit anus tendu vers moi...
Je savais qu'elle aimait que je la prenne par derrière, sentir ma queue entrer en douceur, étape par étape pour éviter toute contraction liée à la douleur... Elle aimait me sentir tenir compte de ces paramètres. Le plaisir doit se partager....
J'étais en elle entièrement et je savais maintenant que je pouvais me laisser aller à une chevauchée sauvage. Son anus m'accueillait volontier. Je la pris ainsi de longues minutes. Je la relevais pour la pousser dans sa chambre et continuer à la prendre sur son lit. J'avais repris mon côté sauvage qu'elle aimait tant. Je la pris avec force et elle aimait ça... Moi plus encore...
Elle avait l'air de prendre un pied aussi énorme que le mien...
Je ne voulait pas éjaculer de suite... Quand je suis dans cet état je peux la prendre très longtemps sans jouir. C'est mon côté sauvage qui prend le dessus sur tout le reste, et mon côté sauvage à une endurance à toute épreuve...
Je m'arrêtais donc, lui demanda de s'allonger de tout son long pour lui prodiguer son massage, surtout que je n'avais pas ménagé son dos....
A bientôt la suite.......
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