Envie nocturne - Ma première fois - histoire érotique

Malgré mon inébranlable hétérosexualité, il m'était déjà arrivé de fantasmer sur l'idée d'un rapport entre hommes. Gros consommateur de porno durant mon adolescence, je me surprenais parfois à m'imaginer à la place de l'actrice, pourléchant un sexe énorme avec des yeux de braise. Peu à peu je commençai à fréquenter les sites gay, en particulier ceux qui proposaient des murs de bites. Je passais de longs moments à les parcourir, comme des catalogues, me demandant à chaque fois si j'aimerais être face à tel ou tel membre. J'aimais me masturber en m'imaginant nu, tapotant malicieusement un gros sexe contre ma langue, caressant les boules, embrassant le gland. Après avoir joui je refermais mon ordinateur, un peu honteux.

Un jour, me rendant sur un de ces sites, je remarquai après quelques fiches une bite sublime. Épaisse, longue et sans défauts... La sucette parfaite! En la voyant mon cœur se mit à battre: je venais de réaliser que je n'allais pas pouvoir m'empêcher de contacter son propriétaire pour le féliciter d'être aussi bien pourvu. Après avoir envoyé un message je vous l'accorde assez explicite, la réponse ne se fit pas attendre. Le presque quarantenaire qui détenait ce joli mât se renseigna sur mes fantasmes et je lui expliquai précisément ce qui m'excitait. Mon interlocuteur semblait assez d'accord avec ce que je lui racontais et me proposa un jour de le rencontrer. Je repoussais à chaque fois, m'appuyant sur des excuses maladroites et l'excitant par chat interposé pour garder le contact.

Puis un soir d'ivresse, en me connectant au chat pour y chauffer mon beau mâle, une pensée me traversa: et si ce soir j'allais au-delà du fantasme?

Je me connecte, il est en ligne. Après quelques instants de discussions, je lui annonce mon projet. Voyant que je n'étais pas à l'aise, il me propose de venir chez lui et de faire tout ce dont j'avais envie, il serait mon sex-toy. Mon rythme cardiaque, qui s'était accéléré de manière exponentielle au fil de la discussion, atteint une rapidité presque inquiétante. Je me dis enfin que je n'avais rien à perdre, et me voilà dans un taxi filant vers l'inconnu.

Arrivé là-bas, avant de sonner à sa porte, je décide de jouer le jeu à fond, d'agir comme les petites chiennes avides de chibre que l'on voit dans les pornos. Lorsqu'il m'ouvre, je m'aperçois qu'il a appliqué mes consignes, il est nu, une serviette autour de la taille. Je lui dis que j'aimerais me déshabiller, et il me prête une serviette. Je suis maintenant assis sur le canapé, nu sous ma serviette, près d'un homme qui a presque le double de mon âge et qui est manifestement assez excité. Nous discutons brièvement, il est très sympa et voit que je suis un peu nerveux. Puis il me dit: "Voilà, fais ce que tu veux." À ce moment précis, j'oublie ma nervosité et mon cœur prêt à péter et je passe une main sous sa serviette. Je constate qu'il a triché, il porte un slip. Je décide alors de me lancer à corps perdu dans mon fantasme. J'enlève ma serviette et me positionne à genoux, devant lui, lui caressant les boules à l'aveugle. Puis je défais sa serviette qui laisse apparaître un énorme paquet compressé dans un slip que je me met à lécher avec gourmandise. Cela ne le laisse pas de marbre et l'énorme paquet devient encore plus gros, tendant le slip à son maximum.

Là, une idée me vient. Je lui avoue un de mes fantasmes: sucer sous la douche, et il est partant. Nous voilà dans la salle de bain, lui en slip et moi en rien. Il allume la douche qui emplit la salle de bain d'une atmosphère moite. Je lui dis de s'appuyer sur le lavabo et colle mes fesses contre son sexe qui visiblement a vraiment envie de prendre l'air. Je cesse la torture et m'accroupis face à lui pour dévoiler l'objet de toutes mes convoitises. Je ne suis pas déçu. Il a un membre énorme, encore plus joli que sur les photos, et déjà très raide. Sans encore le prendre en main, je dépose un long baiser sur son gland et me relève. Nous entrons dans la douche.

À genoux devant lui, je le branle lentement, faisant encore gagner quelques centimètres à son sexe gonflé; je lèche ensuite sa belle banane sur toute sa longueur pendant quelques poignées de secondes puis le prends en bouche. Je m'applique à faire de ma bouche un cocon soyeux pour son chibre magnifique et une fois mes aises prises, j'installe un va-et-vient qui excite mon partenaire au plus haut point.

Il bande maintenant comme un taureau et je me relève une minute pour passer ma langue sur ses tétons, avant de redescendre. J'alterne, les cochonneries, je branle, je suce, je gobe ses délicieuses boules, je lèche son frein en gémissant. Au bout d'un bon quart d'heure à ce régime, je lui propose que nous allions nous sécher pour attaquer la suite dans son lit. J'avais fait le plus difficile et maintenant que j'y étais, j'étais bien décidé à vider chaque centilitre de son sperme.

Non allons alors dans son lit où je recommence à le sucer. Il me dit que si j'ai envie il adorerait me lécher le trou, ce que j'accepte. Autant aller jusqu'au bout des choses pour en avoir le coeur net. Je me positionne donc sur lui, en 69, et il commence à me titiller la rondelle du bout de la langue. Je lui demande s'il aime la manière dont je le suce et il me rétorque qu'il a du mal à croire que c'est ma première bite. Je reprends donc mon ouvrage et lui le sien. Il mouille abondamment mon anus de sa salive, rentre parfois un peu sa langue et cela m'excite énormément. Je finis par me dire que j'allais TOUT essayer et prends sa main pour introduire un de ses doigts dans mon petit trou, puis deux, puis trois. Je me redresse, il pense m'avoir fait mal mais je le surprends agréablement: je lui demande s'il a une capote. Ni une ni deux, mon étalon passe une main sous son matelas et en sort une king size. Puis il saisit un tube de gel dans le tiroir de sa table de nuit.

Je suis maintenant à quatre pattes, lui me lubrifie généreusement, faisant glisser ses doigts en moi. Il enfile ensuite son fourreau de latex et appuie lentement son énorme sexe contre mon anus. Son gland rentre doucement, et j'ai déjà l'impression d'avoir un cheval derrière moi. Après quelques centimètres, il se retire et rerentre, ce qui m'excite énormément mais finit par être assez douloureux. J'ai peut-être été un peu audacieux, ce qu'il remarque. Il se retire, enlève sa capote et j'enfourne à nouveau son sexe dans ma bouche, faisant tourner ma langue autour de son gland plus enflé que jamais. Il est sur le dos, légèrement relevé, et je m'affaire sur son pylône avec beaucoup d'application. Alors que je donne ma bouche comme une petite salope, il me prévient qu'à ce régime il ne va pas tarder à jouir.

Je stoppe tout sur le champ et me mets à lécher tout son attirail très légèrement, du bout de la langue. Puis je le reprends en main et le branle avec vigueur. Je le sens proche de l'explosion et hésite à tout stopper à nouveau pour recommencer mes effleurements, mais je décide d'arrêter ma cruauté et continue à le branler, de plus en plus vite. J'approche mon visage de son sexe et souffle sur ses boules en le branlant, ce qu'il adore, mais pas longtemps car au bout de deux secondes je sens sa chaude semence asperger ma joue. Je continue à le branler et il râle comme un cerf. Il n'en peut plus et me supplie d'arrêter.

Je me nettoie, nous fumons une cigarette, il me dit qu'il avait bien fait de m'accueillir et je lui dis que si même si cela ne sera pas fréquent, sa discrétion lui assurerait d'autres moments comme celui-là. Je repars comme j'étais arrivé, avec la satisfaction d'avoir réalisé un fantasme plus que secret.

Et parfois, la nuit, il m'arrive de lui rendre visite...